Un soit disant pédagogue, haut placé dans l'éducation nationale française, explique dans une émission de radio pourquoi il faut dire aux enfants le vraie et pas les laisser penser par eux même en citant une expérience menée par une institutrice de ce1 si mes souvenir sont exact.
l'expérience consiste a gonfler un ballon de baudruche, de le poser sur le radiateur pour constater qu'il gonfle, puis de le sortir au frais dehors pour constater qu'il dégonfle, puis de demander aux enfants une explication pour voir s'il peuvent comprendre.
L'instit' fait cette expérience et demande aux enfants ce qu'il en pense, et on obtiens des réponse du genre :
_"ben c'est dedans ils ont chaud peut être, alors ils prennent de la place (expliqué en étirant les bras), et quant ils ont froid il se replis (imagé encore avec le corp)".
Réponse de l'institutrice : non, c'est pas ça, c'est les molécules patati patata, et remarque ce celui qui cite cette histoire à la radio, comment voulez-vous qu'il aient pu savoir une chose pareil, c'est complètement ridicule, bien sur que c'est a nous de leur expliquer pour pas les laisser dans l'ignorance ...
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Petite histoire perso en rapport :
A Jussieu j'ai eut un professeur de thermodynamique absolument géniale. Au lieux de nous faire faire du grattage de papier comme ces collègues a grand coup de calcul différentiel indigeste, il s'attachait surtout a nous faire comprendre les choses, a nous les faire ressentir. Ce qu'il disait lui ressemblais plus a ce que disaient les enfants...
L'exaspération étaient pourtant la même a l'échelle de la faculté qu'a celle de l'école primaire, et ses collègues exaspéré par ces méthodes et ces évaluations relatif a acquisition intellectuelle de cette compréhension ont font aligner ces résulta sur les leurs, 5 point de moins pour tout le monde sur la moyenne pour équilibrer. J'ai pas eut le module a cause de ça, je suis repasser dans les cours des autres, mais aujourd'hui je sais que tout ce que je comprend dans le domaine viens de lui, pas des autres.
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Il y a des faussé de compréhension et curieusement un refus récurent de laisser comprendre (prendre pas soit même si on décompose le mot).
L'instit' n'a pas été capable de comprendre que oui a 7 ans les enfant avais ressentis la chose correctement, et plus grave un référant officiel utilisait l'anecdote pour expliquer qu'il ne fallais pas permettre aux enfant de comprendre pas eux-même.
Les enseignant de thermodynamique physique de jussieu n'ont pas été en mesure de comprendre que leur collègue enseignait cette même appréhension des choses, et ils ont fait en sorte que sont boulot extra-ordinaire n'ai aucune valeur.
C'est deux exemple sont malheureux car ceux qui sont en apprentissage sont les otage de l'incompréhension de ceux qui apprennent.
Ce faussé pour se comprendre mutuellement il est dans ce que j'appelle donc la bonhommisation.
La bonhommisation est pour moi le chemin par lequel passe l'esprit humain pour ressentir les choses, on pourrait parler d'anthropomorphisme, mais je trouve que la notion de forme gêne l'idée, alors je parle de bonhommiser.
Une fois la chose perçue, ressentie, on peut débonhommiser et enlever le ressentis projeté. La molécule ne s'étire pas quant elle a chaud, elle bouge plus, c'est entendu, mais en attendant ça a permis de percevoir quelque chose.
Ces deux étapes, et c'est là où je veux en venir, sont inhérente aussi au mécanisme de l'empathie. (point de vue perso ça vas de soit, mais que je crois valable et partageable).
Bonhommiser c'est "se mettre à la place de". C'est comme un organe intellectuelle qui aide a ressentir.
Débonhommiser c'est distinguer, aller plus loin en s'appuyant sur ce ressentis, en enlevant ce qui est en trop, ce qui viens purement de la bonhommisation.