TiZ a écrit :
Mais à mon avis, il existe sûrement quelques psychiatres psychanalystes.
Bien plus qu'on ne pense
J'ai été étonnée quand la médecine préventive universitaire a voulu m'envoyer chez un hybride du genre, puis j'ai fait quelques recherches...
J'ai eu le droit à quelques anxiolytiques / hypnotiques / neuroleptiques que j'ai fini par refuser de prendre et qui n'avaient d'autres effets que de "m'abrutir" (je ne pense pas avoir besoin de développer le fond de ma pensée) et m’assommer. Et aussi un somnifère. C'est l'infirmière scolaire qui m'a mise en garde et m'a dit que c'était pas normal que je prenne ces choses à mon âge, et à cette dose. Mais moi c'est mon généraliste qui m'avait prescrit ça. Il me croyait simplement dépressive (et folle, aussi).
Me souviens plus des noms. La période où je les prenais, j'étais HS, je ne pouvais plus rien faire, je ne faisais que rester au lit (mais sans dormir, insomnie oblige, sauf les 3 premiers jours). Je n'avais vraiment plus aucune force, impossible même de lire, encore moins travailler, je n'allais plus en cours et j'ai réussi à m'en tirer en recommençant à peindre, seule chose que je pouvais encore faire, puis en me remettant à lire.
Malgré les "crises de folie" et crises d'angoisse, où ma mère me croyait possédée, c'est l'homéopathie (et la volonté) qui m'a sauvée.
Même si c'est difficile de prendre son autonomie des médicaments, la vie est tellement plus belle sans ! Au moins en réduisant un peu si certains sont nécessaires...
Clémentine, 20 ans. TSA - diagnostiquée le 19/10/2017 à l'hôpital Albert-Chenevier.