[Index Cinéma] Faire découvrir des films peu connus...

[Lia]

Dark cristal! ( je sais pas si ça a été un globe buster parcontre)

https://youtu.be/0fhD8euumAU

[Samfelsouth]

J'apporte ma pierre

Céline et Julie vont en bateau

À Paris, Julie (Dominique Labourier), bibliothécaire et magicienne à ses heures, rencontre Céline (Juliet Berto), jeune danseuse-prestidigitatrice de cabaret. La jeune fille est difficile à aborder, mais, peu à peu, elles se trouvent entraînées dans une quête fantastique autour d'une vieille maison, rue du Nadir-aux-Pommes, qui est peut-être la maison de l'enfance de Julie, peut-être le lieu d'une étrange comédie, "un mélodrame de l'Odéon", que des acteurs fantômes semblent rejouer sans cesse... Dans les intervalles de ce drame énigmatique, les deux jeunes femmes devenues complices s'amusent à déjouer les projets d'un impresario suspect ou d'un fiancé trop entreprenant... La fantaisie de Rivette explore toutes les combinaisons du thème "la vie est un songe" ou "la vie est une comédie".

Un film merveilleux qui pourrait être vu comme un sorte de pseudo-remake d'Alice au Pays des Merveilles.
Julie et Céline vont rencontrer une petite fille, Madlyn qu'elles sauvent.
Pour moi, en la sauvant, elles sauvent leur vision du monde. Car elles n'ont pas renoncé à l'innocence. Au contraire, elles luttent pour sauver l'innocence dans ce monde corrompu d'adultes "salauds" et coupables.
Un de mes films cultes

[Samfelsouth]

Suspira



Synopsis :

C'est par une nuit d'orage que Suzy Banner, une jeune étudiante américaine, atterrit à Fribourg pour intégrer l'une des meilleures académies de danse au monde.
Suzy parvient à trouver un taxi qui, de mauvaise grâce et sous une pluie battante, la conduit jusqu'à l'école. À peine arrivée, la jeune danseuse assiste à une scène étrange : sur le perron, une femme affolée semble crier une mise en garde à quelqu'un situé dans le bâtiment. À cause de la tempête, Suzy n'entend pas les propos de l'inconnue. Celle-ci claque aussitôt la porte et s'enfuit à toutes jambes. La personne de l'autre côté de l'interphone refuse de laisser entrer Suzy qui passe la nuit en ville.
Le lendemain, la nouvelle venue intègre l'école et apprend que deux étudiantes ont été sauvagement assassinées pendant la nuit. Elle comprend que cela doit avoir un rapport avec la femme croisée la veille.
Dès le début des cours, Suzy sympathise avec Sara, l'amie d'une des victimes, qui lui confie que l'école est le théâtre de phénomènes aussi curieux qu'inquiétants. Tandis que la danseuse s'habitue progressivement à sa vie de pensionnaire, les incidents se multiplient et la situation dégénère : des étudiants et membres du personnel sont blessés, victimes d'accidents tragiques ou disparaissent sans laisser de traces.
En proie au doute et à un sentiment de menace toujours plus présent, Suzy est contrainte d'élucider les mystères qui entourent l'académie et apprend que, d'après la légende locale, celle-ci aurait été édifiée plus d'un siècle auparavant pour servir de demeure à une terrible et puissante sorcière du nom d’Héléna Markos, surnommée la « reine noire », ainsi qu'à ses disciples. Mais le passé funeste de l'école est-il vraiment révolu ?

Suspiria est le 1er film de la Trilogie des Enfers (ou des Trois Mères) de Dario Angelo mais il se suffit à lui-même.
Sorte de film contre-initiatique où l'héroïne doit traverser des lieux la menant, non vers la solution (comme dans une histoire initiatique) mais vers le mal, Dario Angelo s'inspire avec beaucoup de recul des théories gnostiques et son esthétique annonce celle de David Lynch.
L'histoire est difficile à interpréter (comme chez Lynch !) mais elle est captivante.
La lumière, la photo sont splendides (il faut se souvenir en le regardant qu'il s'agit d'un film de 1977 !)

[Lia]

Suspira



Synopsis :

C'est par une nuit d'orage que Suzy Banner, une jeune étudiante américaine, atterrit à Fribourg pour intégrer l'une des meilleures académies de danse au monde.
Suzy parvient à trouver un taxi qui, de mauvaise grâce et sous une pluie battante, la conduit jusqu'à l'école. À peine arrivée, la jeune danseuse assiste à une scène étrange : sur le perron, une femme affolée semble crier une mise en garde à quelqu'un situé dans le bâtiment. À cause de la tempête, Suzy n'entend pas les propos de l'inconnue. Celle-ci claque aussitôt la porte et s'enfuit à toutes jambes. La personne de l'autre côté de l'interphone refuse de laisser entrer Suzy qui passe la nuit en ville.
Le lendemain, la nouvelle venue intègre l'école et apprend que deux étudiantes ont été sauvagement assassinées pendant la nuit. Elle comprend que cela doit avoir un rapport avec la femme croisée la veille.
Dès le début des cours, Suzy sympathise avec Sara, l'amie d'une des victimes, qui lui confie que l'école est le théâtre de phénomènes aussi curieux qu'inquiétants. Tandis que la danseuse s'habitue progressivement à sa vie de pensionnaire, les incidents se multiplient et la situation dégénère : des étudiants et membres du personnel sont blessés, victimes d'accidents tragiques ou disparaissent sans laisser de traces.
En proie au doute et à un sentiment de menace toujours plus présent, Suzy est contrainte d'élucider les mystères qui entourent l'académie et apprend que, d'après la légende locale, celle-ci aurait été édifiée plus d'un siècle auparavant pour servir de demeure à une terrible et puissante sorcière du nom d’Héléna Markos, surnommée la « reine noire », ainsi qu'à ses disciples. Mais le passé funeste de l'école est-il vraiment révolu ?

Suspiria est le 1er film de la Trilogie des Enfers (ou des Trois Mères) de Dario Angelo mais il se suffit à lui-même.
Sorte de film contre-initiatique où l'héroïne doit traverser des lieux la menant, non vers la solution (comme dans une histoire initiatique) mais vers le mal, Dario Angelo s'inspire avec beaucoup de recul des théories gnostiques et son esthétique annonce celle de David Lynch.
L'histoire est difficile à interpréter (comme chez Lynch !) mais elle est captivante.
La lumière, la photo sont splendides (il faut se souvenir en le regardant qu'il s'agit d'un film de 1977 !)

Magnifique film! j ai adoré l'ambiance et la lumière de ce film

Argento pas angelo

[Lilette]

Darío de son prénom.

[Samfelsouth]

Magnifique film! j ai adoré l'ambiance et la lumière de ce film

Argento pas angelo

Mais c'est incroyable ! J'adore ce réalisateur, j'ai vu quasiment tous ses films et depuis que je le connais, je l'appelle Dario Angelo

J'ai décidément un vrai problème avec les noms

[Lia]

Magnifique film! j ai adoré l'ambiance et la lumière de ce film

Argento pas angelo

Mais c'est incroyable ! J'adore ce réalisateur, j'ai vu quasiment tous ses films et depuis que je le connais, je l'appelle Dario Angelo

J'ai décidément un vrai problème avec les noms

Ba écoute moi mon psy son prénom c est Hedi. Moi j avais lu plusieurs fois Heidi et j étais sur que lors de notre premier rendez vous j allais être reçu par une grande dame blonde allemande....Quant je suis rentrée chez moi je suis passée voir ma mère et lui ai raconter ma confusion quant j ai vu un petit monsieur brun m acceuillir. ma mère a lu le nom et c est elle qui M as dis que c était Hedi.... ( alors que j avais lu lu et relu le mail ou y avait son nom)

[Lia]

Samefelsoth tu aimes le genre horrifique? OU c est juste ce réalisateur que tu aimes?

[Samfelsouth]

Samefelsoth tu aimes le genre horrifique? OU c est juste ce réalisateur que tu aimes?

En fait, je n'ai jamais compris que Suspiria soit classé dans la catégorie des films d'horreur...
Mais quand tu dis "genre horrifique", tu parles des films d'horreur ou d'autre chose ?

Parce que je n'aime pas les films d'horreur tel qu'on l'entend habituellement, sauf certains vieux films d'horreur. J'en parlerai surement sur ce fil.

[Lia]

Oui je parle de film d horreur ( épouvante angoisse). il y a plusieurs sous catégorie dans le genre horrifique.

Après perso, je ne suis pas fan du tout du genre gore réaliste, les trucs trash j aime bien quant il sont traité avec humour dans les comédie horrifique.
J avoue avoir un faible pour les film d horreur!

[Lia]

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Film_d%27horreur

Une bonne définition du film d horreur

[Rána]

Le Décalogue du polonais Krzysztof Kieślowski sortie en 1988.



Dans une série de 10 films d'une heure, il explore chacun des 10 Commandements. Il montre la difficulté de les appliquer et crée même des situations où des commandements entre en conflits entre eux.

Les films se déroulent dans une cité HLM de Varsovie dans la Pologne communiste. Chacun des films est indépendant mais les différents personnages sont reliés entre eux par leur lieu de vie commun. Parfois, ils se rencontrent dans le couloir.

Krzysztof Kieślowski est profondément humaniste. Les films parlent de l'humain, de la difficulté parfois de vivre avec des situations pénibles.
Dans un livre, le réalisateur explique son objectif :

Le Décalogue se propose de raconter dix histoires, fictives ou inspirées de la réalité, mais susceptibles d'arriver à tout un chacun, des histoires au sujet de dix ou douze personnes qui, à la suite d'un concours de circonstances précises, se rendent soudain compte qu'elles tournent en rond, qu'elles ne réalisent pas ce qu'elles veulent vraiment. Nous sommes devenus trop égoïstes, trop amoureux de nous-mêmes et de nos besoins. Les autres ont été relégués au second plan. Nous faisons soi-disant beaucoup pour nos proches, mais quand vient le soir, nous nous apercevons que nous n'avons plus la force ni le temps de les cajoler, de leur dire des mots doux et gentils. Nous n'avons pas le temps. Nous n'avons plus l'énergie. Tout s'est évaporé. Je considère que le vrai problème vient de là, du fait que nous n'avons pas le temps de manifester nos sentiments et nos passions. Quelque part, la vie nous glisse entre les doigts.

Dans le Décalogue 1 "Un seul Dieu tu adoreras", Krzysztof est un rationaliste. Un accident tragique lui fait comprendre qu'on ne peut pas tout expliquer.

Dans le Décalogue 2 "Tu ne commettras point de parjure", Dorota est enceinte. Malade, son mari semble condamné. Il n'est pas le père de l'enfant qu'elle porte. S'il meurt, elle aura cet enfant. Mais s'il s'en sort, devra-t-elle avorter ?

Dans le Décalogue 8 "Tu ne mentiras pas", Elzbieta, une jeune femme juive, revient à Varsovie pour retrouver la femme qui lui a refusé son aide pendant la guerre.

Je considère ces dix films comme un chef d'œuvre du cinéma.