[Index Fiction] Kaamelott : Les répliques de Kaamelott, et autres...

[Daredevil]

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[Tugdual]

À propos de Kaamelott :
-> une interview de Alexandre Astier ...

[Daredevil]

À propos de Kaamelott :
-> une interview de Alexandre Astier ...

Astier le compositeur

[Daredevil]

La trilogie Kaamelott au cinéma : le tournage pourrait débuter en janvier 2017
De nouvelles répliques en perspective

[Daredevil]

À tous ceux qui ont un pote à qui il faut souvent tout expliquer, même les principes de vie les plus logiques, cet article vous est dédié. On a pris la mesure de ce que vous pouvez endurer quotidiennement, comme quand vous perdez votre temps à définir à votre dadais de "gars sur" certains mots de votre vocabulaire soutenu.

article

[AsperGuerre]

Alors que je ne regarde jamais (pas depuis un très grand moment), ce soir ma mère a allumé :

le "Provençal le Gaulois" m'a achevée !

[Jérémy]

"J'estime ne pas avoir à subir les fantasmes carriéristes d'une entité générationnelle, réactionnaire et oppressive !"

Il y a peut-être un raté dans la phrase, j'écris de mémoire.

[Daredevil]

"J'estime ne pas avoir à subir les fantasmes carriéristes d'une entité générationnelle, réactionnaire et oppressive !"

Il y a peut-être un raté dans la phrase, j'écris de mémoire.

C'est Yvan qui dit ça, je comprend rien mais ça doit être la bonne phrase

[evolution650HBn°2]

Karadoc : C'est vraiment sympa d'être venu sir.
Perceval : Vous vous rendez pas compte ; quand vous êtes là, on fait vachement de progrès. Nous, avant, on s'mettait pas l'un derrière l'autre. On progressait pas.
Arthur : Comment ?
Karadoc : C'est pas ça qu'vous avez dit toute à l'heure ?
Arthur : Qu'est ce que j'ai dit ?
Perceval : Vous avez dit "on progresse l'un derrière l'autre". Nous on savait pas.
Karadoc : D'habitude on s'mettait côte à côte comme des cons.
Perceval : Du coup on progresse jamais.
Arthur ; Progresser, ça veut dire avancer.
Perceval : Oui c est ce que je dis ; on avance jamais parce qu'on n'est pas l'un derrière l'autre. 'Tendez, c'est comme le coup du château hanté, en fait ça a rien à voir avec la forme du château.
Karadoc : Ah mais vous aussi vous aviez --compris ça ??
Perceval : Mais ouais !! (à Arthur) Sauf que ce matin vous avez dit "c'est un château en L", donc là, château en T, c'est pas la forme. Et hop, du coup on progresse l'un derrière l'autre.
Karadoc : C'est hyper important qu'vous v'niez avec nous sir.
Arthur : C'est aussi hyper important qu'un jour vous finissiez par vous démerdez sans moi.
Perceval : Ca va venir sir, faut pas trop vous impatienter.
Karadoc : Rendez vous compte des progrès qu'on a fait déjà !
Arthur : Des progrès dans quelle matière ?
Perceval : Parce qu'il faut progresser dans de la matière ?
Karadoc : Putain c'est fou ça...
Perceval : et voilà, encore un truc qu'on savait pas ! Parce que nous jusqu'à aujourd'hui, on marchait de côté, faut bien l'comprendre ça. Et là, tac, l'un derrière l'autre, dans de la matière.
Karadoc : C'est un vrai bond en avant !
Perceval : Et là c'est pareil, un bon en avant, y a quelques années, on aurait sautillé. C'est vrai ou pas ?
Karadoc : Mais bien sûr ! Y a pas de honte, on savait pas !
Perceval : Maintenant c'est bon on a pigé : c'est une métaphore.
Arthur : Oh ! De quoi ?
Perceval : C'est pas ça ?
Karadoc : Non métaphore c'est pas une famille qu'est dans l'besoin et qui refuse de l'aide par fierté ?
Perceval : J'ai oublié. Mais c'est un des deux en tout cas.
Arthur : Attendez attendez, qu'est ce que vous entendez exactement par métaphore ?
Perceval : Métaphore, c'est un truc y faut pas faire c'que ça dit. Par exemple faire un bond en avant, je sautille pas. Envoyer promener quelqu'un, faut pas qu'il parte trop loin. Monter à l'assaut, c'est pareil, j'bouge pas.
Karadoc : Ah sir, y a un truc que l j'voulais vous d'mander.
Perceval : Ouais moi aussi.
Karadoc : Les morts-vivants...
Perceval : Ah ouais c'est bien !
Karadoc : Les morts-vivants, c'est ou l'un ou l'autre ?
Arthur : Non, les morts-vivants c'est les deux à la fois. Je vais pas vous l'expliquer aujourd'hui ça, hein, vous avez déjà fait beaucoup de progrès.

[evolution650HBn°2]

Perceval :
Karadoc : C'est vraiment sympa d'être venu sir.
Perceval : Vous vous rendez pas compte ; quand vous êtes là, on fait vachement de progrès. Nous, avant, on s'mettait pas l'un derrière l'autre. On progressait pas.
Arthur : Comment ?
Karadoc : C'est pas ça qu'vous avez dit toute à l'heure ?
Arthur : Qu'est ce que j'ai dit ?
Perceval : Vous avez dit "on progresse l'un derrière l'autre". Nous on savait pas.
Karadoc : D'habitude on s'mettait côte à côte comme des cons.
Perceval : Du coup on progresse jamais.
Arthur ; Progresser, ça veut dire avancer.
Perceval : Oui c est ce que je dis ; on avance jamais parce qu'on n'est pas l'un derrière l'autre. 'Tendez, c'est comme le coup du château hanté, en fait ça a rien à voir avec la forme du château.
Karadoc : Ah mais vous aussi vous aviez --compris ça ??
Perceval : Mais ouais !! (à Arthur) Sauf que ce matin vous avez dit "c'est un château en L", donc là, château en T, c'est pas la forme. Et hop, du coup on progresse l'un derrière l'autre.
Karadoc : C'est hyper important qu'vous v'niez avec nous sir.
Arthur : C'est aussi hyper important qu'un jour vous finissiez par vous démerdez sans moi.
Perceval : Ca va venir sir, faut pas trop vous impatienter.
Karadoc : Rendez vous compte des progrès qu'on a fait déjà !
Arthur : Des progrès dans quelle matière ?
Perceval : Parce qu'il faut progresser dans de la matière ?
Karadoc : Putain c'est fou ça...
Perceval : et voilà, encore un truc qu'on savait pas ! Parce que nous jusqu'à aujourd'hui, on marchait de côté, faut bien l'comprendre ça. Et là, tac, l'un derrière l'autre, dans de la matière.
Karadoc : C'est un vrai bond en avant !
Perceval : Et là c'est pareil, un bon en avant, y a quelques années, on aurait sautillé. C'est vrai ou pas ?
Karadoc : Mais bien sûr ! Y a pas de honte, on savait pas !
Perceval : Maintenant c'est bon on a pigé : c'est une métaphore.
Arthur : Oh ! De quoi ?
Perceval : C'est pas ça ?
Karadoc : Non métaphore c'est pas une famille qu'est dans l'besoin et qui refuse de l'aide par fierté ?
Perceval : J'ai oublié. Mais c'est un des deux en tout cas.
Arthur : Attendez attendez, qu'est ce que vous entendez exactement par métaphore ?
Perceval : Métaphore, c'est un truc y faut pas faire c'que ça dit. Par exemple faire un bond en avant, je sautille pas. Envoyer promener quelqu'un, faut pas qu'il parte trop loin. Monter à l'assaut, c'est pareil, j'bouge pas.
Karadoc : Ah sir, y a un truc que l j'voulais vous d'mander.
Perceval : Ouais moi aussi.
Karadoc : Les morts-vivants...
Perceval : Ah ouais c'est bien !
Karadoc : Les morts-vivants, c'est ou l'un ou l'autre ?
Arthur : Non, les morts-vivants c'est les deux à la fois. Je vais pas vous l'expliquer aujourd'hui ça, hein, vous avez déjà fait beaucoup de progrès.

[Daredevil]

Je suis bidonné

[evolution650HBn°2]

Idem : D

[evolution650HBn°2]

(Perceval et Arthur sous la même tente, la nuit, essaient de dormir avant la bataille).

Perceval : Sire ? Vous dormez ?
Arthur : Merde.
Perceval : Ah bon. J'voulais vous d'mander un truc.
Arthur : Quoi ?
Perceval : Est-c'que vous croyez qu'il y a des gens qui vivent dans une autre galaxie ?
Arthur : Oui.
Perceval : Ouais moi aussi. Et vous croyez qu'y a des planètes avec que des chevaux, d'autres planètes où y a qu'des furets, et d'autres planètes où y a qu'des insectes ?
Arthur : Non.
Perceval : Ah ouais. Moi mon rêve ça s'rait d'aller dans une autre galaxie. Quand j"regarde le ciel avec toutes ces étoiles, la Voie lactée et tout, j'ai l'impression qu'....
Arthur (le coupant) : C'est marrant qu'vous sentiez pas l'moment où y faut s'arrêter.
Perceval : S'arrêter de ?
Arthur : De m'faire chier.
Perceval : Ah j'suis désolé Sire, quand j'm'embarque sur l'espace j....
Arthur (le coupant) : On se réveille dans 3 heures, vous pouvez la fermer ?
Perceval : Ouais ouais. Bonne nuit Sire.

(5 secondes plus tard)
Perceval : Y parait qu'le soleil il est tellement chaud qu'une saucisse elle crame en même pas deux s'condes. Karadoc il dit "ouais mais si on présente la saucisse à peine à peine, et qu'on la retire tout d'suite ?" moi j'lui dis c'est même pas la peine d'y penser, votre saucisse elle va être toute noire, et en plus, vous vous cramez aussi, à moins d'faire venir la saucisse avec un super long bâton, mais pas en bois, sinon il crame aussi. Sire ? Vous croyez qu'un jour ça s'ra possible d'aller dans l'espace ?
Arthur : En tout cas si un coup d'pied au cul suffisait vous y seriez déjà.

[evolution650HBn°2]

Les clous de la Sainte-Croix.


Arthur : Tiens don' ! J'croyais qu'vous étiez en mission ?
Perceval : Ben oui j'reviens d'mission.
Arthur : Sans indiscrétion, qu'est-c'que vous ramenez ?
Perceval : Des puces.
Arthur : Quoi ??
Perceval : Bah c'est toujours pareil, ceux qu'ont des indices sur le Grâal, les trois quarts c'est des vieux pourris.
Arthur : Ah bon ?
Perceval : C'coup là on m'dit "allez hop, Seigneur Perceval, allez donc voir l'vieux machin'', j'ai déjà oublié comment y s'appelle, résultat c'est un clodo, il parle même pas la langue, et il est bourré d'bestioles. Allez, s'cusez, faut qu'j'aille brûler mes vêtements.
Arthur : Hein ?! 'tendez, nan nan nan nan, 'tendez !

[...]

Père Blaise : Bon, il faut qu'on passe au compte rendu du Seigneur Perceval.
Léodagan : Oh putain....
Arthur : Eh ben on peut dire qu'vous gardez l'meilleur pour la fin !
Léodagan : Ca va encore durer 8 jours...
Perceval : 8 jours ?? Ah ben j'vous rassure tout d'suite, va y en avoir pour 30 secondes.
Gauvin : Il s'est rien passé ?
Calogrenant : Vous avez pas rencontré de vieux ?
Perceval : Si, comment vous savez ?
Léodagan : Eh ben voilà, c'est reparti...
Père Blaise : Vous rencontrez toujours des vieux...
Perceval : Non mais c'coup ci c'est vrai !
Galessin : Parce que d'habitude c'est pas vrai ?
Perceval : Non mais à peu près, mais c'coup ci c'est un vrai vieux avec des puces, tout.
Père Blaise : Ecoutez moi bien, vous allez raconter exactement ce qui s'est passé, vous racontez d'une traite, et vous changez pas d'avis au milieu. C'est clair ?
Perceval : Il s'est rien passé, en deux phrases c'est fini.
Père Blaise : Non mais je veux pas l'savoir, vous racontez ce qui s'est passé d'un coup sans vous arrêter, et si vous changez un truc, je vous envoie le registre à travers la gueule. Vu ?
Perceva : Bah c'est bon j'suis pas con non plus...
Père Blaise : Je vous écoute.
Perceval : Pour commencer, j'ai rencontré une vieille.
Père Blaise : AH NON MAIS C'EST PAS VRAI ! Y a deux s'condes c'était un vieux !!!!! (s'apprêtant à jeter le registre sur Perceval)
Perceval : Non mais c'est la vieille qui m'a aiguillé sur le vieux, j'commence par l'début !
Arthur : Non, juste, avant, laissez lui deux secondes le temps d'en placer une.
Père Blaise : Excusez-moi Sire.
Léodagan : On est obligé de rester nous ou pas ?
Arthur (à Perceval) : Allez y.
Perceval : La vieille me dit d'aller voir un vieux, sauf que j'ai oublié comment il s'appelle.
Bohort : A la limite c'est pas très grave.
Perceval : Vous voulez qu'j'invente un prénom d'vieux ?
Arthur : Non.
Père Blaise : On enchaine.
Perceval : J'arrive vers l'vieux, j'lui dis "est-ce que t'as des renseignements sur le Graal ?'' (parce que moi, les vieux, j'les tutoie), Y m'fait : "Noble chevalier"...... non mais à côté d'lui j'fais noble hein...
Arthur : Bref !
Perceval : Y m'fait "j'ai pas l'Graal." moi j'lui fais "j'tai pas d'mandé si tu l'avais." Y m'répond "ouais mais j'l'ai pas." Et après il a essayé d'me refourguer tout un tas d'salop'rie, genre d'la ferraille vous voyez. Des merdes qu'y d'vait récupérer à droite à gauche, et après j'me suis barré.
Père Blaise : Et y vous a rien donné ?
Arthur : A part des puces.
Perceval : Ben non. Ah si. Il voulait absolument m'donner une boite de clous rouillés. J'les ai pris sinon
il m'aurait jamais lâché.
Léodagan : Il vous a donné des clous ? Non mais il était pas un peu givré votre vieux ?
Perceval : Il était complètement s'coué oui ! Non mais puis c'était pas des clous c'était euh, comment il disait déjà euuuuuh... les clous de... d'la sainte croix, ou un truc comme ça.
Père Blaise : Les quoi ?????
Perceval : Quoi les quoi ?
Bohort : Les clous de la Sainte-Croix !
Arthur : Vous avez ramené les clous de la Sainte-Croix ???
Perceval : Les ramener !? Vous voulez qu'j'choppe le tétanos ou quoi ?? J'les ai foutus en l'air oui !
Arthur : Vous avez pas fait ça ??
Perceval : Quoi, vous aviez besoin d'clous ?
Arthur : Mais c'est les clous de la Sainte-Croix, trou du cul !!!
Père Blaise : Les croix qui ont servi à crucifier le Christ !!! Vous les avez jeté où, vous vous rappelez ?
Perceval : Ben dans la forêt ou dans la rivière, j'sais plus.
Arthur : Mais c'est pas vrai ! mais c'est pas vrai ! mais c'est pas vrai !!
Perceval : Mais ils étaient rongés de rouille, y a rien à regretter !

[...]

Arthur : C'était p't'être pas les clous d'la Saitne-Croix.
Perceval : Pourquoi pas ?
Arthur : Parce que ça m'étonne qu'ils rouillent, déjà, les clous d'la Sainte-Croix.
Perceval : Ah bon.
Arthur : Ben oui, c'est pas des clous euh... comme les autres.
Perceval : Ouais mais faut voir dans quoi il les conservait aussi... un linge tout déchiré. D'ailleurs c'est marrant quand j'l'ai jeté avec le reste, y avait des endroits plus crades que d'autres, ça faisait comme une tête de barbu.
Arthur : .... le saint suaire... vous avez foutu en l'air le saint suaire ???
Perceval : Mais Sire, ça grouillait d'puces...

[Daredevil]

Pour une fois que Perceval trouvait quelque chose !