Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Tempête (Nekfeu)
Je mène pas une vie hyper saine même si j'ai percé,
j'aperçois des personnes derrière les persiennes,
seul dans mon appart' sale,
ma soeur révise un partiel,
y a pas d'coin impartial à part l'ciel.
J'suis entouré de zonards sur le sonar
mais c est trop tard quand les ennuis sont là,
les accusés sont sur l'banc, transpirent comme au sauna
les mères pleurent comme Solaar.
J'suis jamais à l'abri,
le mal me l'a appris, la me-la brille,
une maman prie "Pourquoi tu me l'as pris , Ô Dieu ?"
C'est pas le ciel c'est les hommes odieux.
Leur âme est scellée par le sexe et les sommes,
J'ai vu le seum donner du sale,
c'est comme si leur coeur avait regardé les deux yeux de Médusa
le courage et la peur ensemble sont mes deux armes
quand je me sens déraciné je monte au sommet des arbres.
De là haut j'vois la mort, faut être précis, elle approche,
la vie c'est apprécier la vue et après scier la branche.
Avis d'tempête, ici on est vite tenté,
on veut finir du bon côté d'la vitre teintée
ah ouais, je sais que t'as envie d'tâter les fonds et les formes
pourvu que ça vide ta tête...
La nuit je sors sans but comme un somnambule
y a certains rêves que les hommes n'ont plus.
J'ai vu cette fille, on était seuls dans l'bus,
elle avait les yeux rouges, elle avait pas seulement bu,
elle avait de la came dans un sac Balenciaga,
elle s'est fait canner, c'est ça d'balancer un gars.
Dans paname y en a qui s'perdent, y en a qu'espèrent
péter des sapes Agnès b. des [CENSURÉ] SB
Dehors c'est froid, y a plus d'humanité,
un homme est mort, inanimé, d'vant un immeuble inhabité.
C'est la crise.
La crise ? Qui est ce qu'elle atteint ?
Toi, moi, où l'suicidaire qui escalade un toit ?
Refrain.
Comme Walter White j'ai mes Clarks wallabee:
Soeur, serre moi la main; frère, claque moi la bise,
je ne côtoie que des avions à la carlingue parfaite,
j'ai beaucoup plus de goût que Karl Lagerfield.
Le monde de l'art est vantard,
ils te vendent du street art
mais ne veulent surtout pas voir mes scarlas graffeurs vandales.
Tu peux sentir l'aura dans nos raps,
sortez les anoraks on aura bientôt l'orage selon l'oracle.
Ma conscience m'a dit "qui es tu ?
veux tu vivre dans le vice ou dans la quiétude ?"
Ca dépend où est l'pèze, on doit être bêtes ouais peut-être...
Mais ma plume peut clouer le bec de Houellebecq
Ici on est vite tenté, il vaut mieux que tu vives ta quête.
J'ai entendu "vite, ta caisse !"
le lendemain les flics enquêtent,
avis d'tempête.
Ici on est vite tenté,
on veut finir du bon côté d'la vitre teintée...
Je mène pas une vie hyper saine même si j'ai percé,
j'aperçois des personnes derrière les persiennes,
seul dans mon appart' sale,
ma soeur révise un partiel,
y a pas d'coin impartial à part l'ciel.
J'suis entouré de zonards sur le sonar
mais c est trop tard quand les ennuis sont là,
les accusés sont sur l'banc, transpirent comme au sauna
les mères pleurent comme Solaar.
J'suis jamais à l'abri,
le mal me l'a appris, la me-la brille,
une maman prie "Pourquoi tu me l'as pris , Ô Dieu ?"
C'est pas le ciel c'est les hommes odieux.
Leur âme est scellée par le sexe et les sommes,
J'ai vu le seum donner du sale,
c'est comme si leur coeur avait regardé les deux yeux de Médusa
le courage et la peur ensemble sont mes deux armes
quand je me sens déraciné je monte au sommet des arbres.
De là haut j'vois la mort, faut être précis, elle approche,
la vie c'est apprécier la vue et après scier la branche.
Avis d'tempête, ici on est vite tenté,
on veut finir du bon côté d'la vitre teintée
ah ouais, je sais que t'as envie d'tâter les fonds et les formes
pourvu que ça vide ta tête...
La nuit je sors sans but comme un somnambule
y a certains rêves que les hommes n'ont plus.
J'ai vu cette fille, on était seuls dans l'bus,
elle avait les yeux rouges, elle avait pas seulement bu,
elle avait de la came dans un sac Balenciaga,
elle s'est fait canner, c'est ça d'balancer un gars.
Dans paname y en a qui s'perdent, y en a qu'espèrent
péter des sapes Agnès b. des [CENSURÉ] SB
Dehors c'est froid, y a plus d'humanité,
un homme est mort, inanimé, d'vant un immeuble inhabité.
C'est la crise.
La crise ? Qui est ce qu'elle atteint ?
Toi, moi, où l'suicidaire qui escalade un toit ?
Refrain.
Comme Walter White j'ai mes Clarks wallabee:
Soeur, serre moi la main; frère, claque moi la bise,
je ne côtoie que des avions à la carlingue parfaite,
j'ai beaucoup plus de goût que Karl Lagerfield.
Le monde de l'art est vantard,
ils te vendent du street art
mais ne veulent surtout pas voir mes scarlas graffeurs vandales.
Tu peux sentir l'aura dans nos raps,
sortez les anoraks on aura bientôt l'orage selon l'oracle.
Ma conscience m'a dit "qui es tu ?
veux tu vivre dans le vice ou dans la quiétude ?"
Ca dépend où est l'pèze, on doit être bêtes ouais peut-être...
Mais ma plume peut clouer le bec de Houellebecq
Ici on est vite tenté, il vaut mieux que tu vives ta quête.
J'ai entendu "vite, ta caisse !"
le lendemain les flics enquêtent,
avis d'tempête.
Ici on est vite tenté,
on veut finir du bon côté d'la vitre teintée...
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Nique les clones (Nekfeu)
ce qui suit est un c/c.
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Je t'avais promis qu'un jour tu te rappellerais de nos têtes
Je ne suis pas prêt de me taire
De la primaire au lycée, déprimé, je me sentais prisonnier
Parce que les professeurs voulaient toujours me noter
Pourtant, j'aimais les cours
J'étais différent de tous ceux qui me disaient : "Soit tu subis, soit tu mets les coups"
Moi, je rêvais d'aventure, griffonnais les devantures
J'attaquais tout ce qui m'était défendu
Rien à péter de toutes leurs émissions télé de vendus
Je voulais voir le monde avant d'être rappelé devant Dieu
Et, pour ne pas qu'on se moque de moi, je bouquinais en cachette
Pendant que les gamins de mon âge parlaient de voitures
Un des gars de l'époque bicravait des Armani Code
Et, un beau jour, il a ramené une arme à l'école
J'étais choqué de le voir avec un glock (Oui !)
J'en ai rien à foutre de vos putains de codes (Oui !)
J'avais peur, je l'ai dit, mais j'ai un cœur, je le dis
Mais je suis toujours là pour mes putains de potes
Maintenant, pour lui, le bruit des balles est imprimé dans le crâne
Ceux qui traînaient dans le bât' l'ont entraîné vers le bas
Faut jamais céder à la pression du groupe
D't'façons, quand tu fais du mal, au fond, tu ressens du doute
Faut jamais céder à la pression du groupe
D't'façons, quand tu fais du mal, au fond, tu ressens du doute
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je suis un nomade, ne me dites pas qu'on est bons qu'à stagner
Casse-toi, moi, je ne me sens pas casanier
Instable, ne me parlez pas de m'installer
Quand t'es différent des autres, on veut te castagner
T'es malheureux quand t'as qu'un rêve et que tes parents ne veulent pas
Traîner vers le bas, t’inquiète, je te promets de me battre
Non, je n'aime pas quand je me promène et que je vois
Ce petit qui se fait traquer pour des problèmes de poids
Mais pour qui se prend-on ? De tristes pantins
J'écris c'te pensée pour que Le Christ m'entende
Et, dans nos cœur, on est à l'ère de L'Age de Glace
Aymé ? C'est plus qu'un personnage de H
On n'est pas des codes barres
T'as la cote sur les réseaux puis ta cote part, nan
On n'est pas des codes barres
T'as la cote sur les réseaux puis ta cote part
Le regard des gens t'amènera devant le mirage du miroir
Mais, moi, j'ai la rage, ma vision du rap, elle est rare
Tant qu'un misérable s'endormira dans la rame
Pendant que le rat se réchauffera sur les rails
Vu qu'on forme des copies conformes
Qui ne pensent qu'à leur petit confort
Vu qu'on forme des copies conformes
Qui ne pensent qu'à leur petit confort
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
J'éduque ma peine en leur parlant de nous
Je décuple mes sens comme un handicapé
Comment trouver le chemin qu'on m'indique à peine ?
J'me sens comme Andy Kaufman dans Man on the Moon
J'éduque ma peine en leur parlant de nous
Je décuple mes sens comme un handicapé
Comment trouver le chemin qu'on m'indique à peine ?
J'me sens comme Andy Kaufman dans Man on the Moon
Nique les clones
Nique les clones
Nique les clones
Nique les clones
« Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette
Laissant les assiettes des autres vides et qui, ayant tout
Disent, avec une bonne figure, une bonne conscience "Nous, nous qui avons tout, on est pour la paix !"
Tu sais c'que j'dois leur crier, à ceux-là ?
"Les premiers violents, les provocateurs de toute violence, c'est vous ! Et quand, le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos p'tits enfants, avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscients que n'en aura jamais le désespéré qui a pris des armes pour essayer de sortir de son désespoir."»
ce qui suit est un c/c.
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Je t'avais promis qu'un jour tu te rappellerais de nos têtes
Je ne suis pas prêt de me taire
De la primaire au lycée, déprimé, je me sentais prisonnier
Parce que les professeurs voulaient toujours me noter
Pourtant, j'aimais les cours
J'étais différent de tous ceux qui me disaient : "Soit tu subis, soit tu mets les coups"
Moi, je rêvais d'aventure, griffonnais les devantures
J'attaquais tout ce qui m'était défendu
Rien à péter de toutes leurs émissions télé de vendus
Je voulais voir le monde avant d'être rappelé devant Dieu
Et, pour ne pas qu'on se moque de moi, je bouquinais en cachette
Pendant que les gamins de mon âge parlaient de voitures
Un des gars de l'époque bicravait des Armani Code
Et, un beau jour, il a ramené une arme à l'école
J'étais choqué de le voir avec un glock (Oui !)
J'en ai rien à foutre de vos putains de codes (Oui !)
J'avais peur, je l'ai dit, mais j'ai un cœur, je le dis
Mais je suis toujours là pour mes putains de potes
Maintenant, pour lui, le bruit des balles est imprimé dans le crâne
Ceux qui traînaient dans le bât' l'ont entraîné vers le bas
Faut jamais céder à la pression du groupe
D't'façons, quand tu fais du mal, au fond, tu ressens du doute
Faut jamais céder à la pression du groupe
D't'façons, quand tu fais du mal, au fond, tu ressens du doute
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je suis un nomade, ne me dites pas qu'on est bons qu'à stagner
Casse-toi, moi, je ne me sens pas casanier
Instable, ne me parlez pas de m'installer
Quand t'es différent des autres, on veut te castagner
T'es malheureux quand t'as qu'un rêve et que tes parents ne veulent pas
Traîner vers le bas, t’inquiète, je te promets de me battre
Non, je n'aime pas quand je me promène et que je vois
Ce petit qui se fait traquer pour des problèmes de poids
Mais pour qui se prend-on ? De tristes pantins
J'écris c'te pensée pour que Le Christ m'entende
Et, dans nos cœur, on est à l'ère de L'Age de Glace
Aymé ? C'est plus qu'un personnage de H
On n'est pas des codes barres
T'as la cote sur les réseaux puis ta cote part, nan
On n'est pas des codes barres
T'as la cote sur les réseaux puis ta cote part
Le regard des gens t'amènera devant le mirage du miroir
Mais, moi, j'ai la rage, ma vision du rap, elle est rare
Tant qu'un misérable s'endormira dans la rame
Pendant que le rat se réchauffera sur les rails
Vu qu'on forme des copies conformes
Qui ne pensent qu'à leur petit confort
Vu qu'on forme des copies conformes
Qui ne pensent qu'à leur petit confort
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
Je ne vois plus que des clones, ça a commencé à l'école
À qui tu donnes de l'épaule pour t'en sortir ?
Ici, tout l'monde joue des rôles en rêvant du million d'euros
Et j'ai poussé comme une rose parmi les orties
J'éduque ma peine en leur parlant de nous
Je décuple mes sens comme un handicapé
Comment trouver le chemin qu'on m'indique à peine ?
J'me sens comme Andy Kaufman dans Man on the Moon
J'éduque ma peine en leur parlant de nous
Je décuple mes sens comme un handicapé
Comment trouver le chemin qu'on m'indique à peine ?
J'me sens comme Andy Kaufman dans Man on the Moon
Nique les clones
Nique les clones
Nique les clones
Nique les clones
« Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette
Laissant les assiettes des autres vides et qui, ayant tout
Disent, avec une bonne figure, une bonne conscience "Nous, nous qui avons tout, on est pour la paix !"
Tu sais c'que j'dois leur crier, à ceux-là ?
"Les premiers violents, les provocateurs de toute violence, c'est vous ! Et quand, le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos p'tits enfants, avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscients que n'en aura jamais le désespéré qui a pris des armes pour essayer de sortir de son désespoir."»
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
On va le faire ( S-Crew)
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
des mots en l'air, et au final on remet à demain.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
ma paresse me fout en l'air et me met hors de moi.
J'ai beaucoup volé, en moi je mets le feu,
j'suis toujours moi-même et je suis jamais le même ;
j'en parle dans l'album, mal dans ma peau.
La maille dans la paume,
l'impression que je m'élevais.
On évolue, on marche tous les deux au fond,
quand j'suis venu au monde et que l'monde est venu à moi,
ma couleur, c'est blanc,
cassé, et la douleur j'en redemande.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant on a le temps
[...]
J'suis né la nuit,
j'étais destiné à vagabonder,
j'suis dans mon wagon, j'attends de conquérir le train.
J'ai des bons conseils et j'suis têtu,
les vrais gars m'ont dit
que la flemmardise t'empêche d'enlever le pied du frein.
J'aime pas la fatigue quand il faut taffer l'album,
j'carbone et j'm'évade comme les daltons,
des fois j'ai trop la flemme et j'remets à demain.
On va le faire, on va le faire
[...]
C'est dur de s'organiser, de se focaliser,
rendez moi les jours que j'ai perdu dans leur totalité.
En plus j'ai pas souvent de quoi payer
mais y a toujours moyen de moyenner.
J't'ai dit demain le mois dernier,
maintenant jdois marcher calibrer.
Ma feuille est blanche depuis des heures
parfois l'inspi s'épuise et meurt,
envie d'tout remettre à demain
mais la vie est remplie d'épreuves.
J'ai donné de la valeur à des choses futiles
et j'ai négligé des choses importantes,
pardonnez moi dans ma tête j'suis qu'un gosse stupide,
tout remis à demain, j'ai pas quitté l'enfance.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
des mots en l'air, et au final on remet à demain.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
ma paresse me fout en l'air et me met hors de moi.
Je n'suis pas d'ceux qui disent que le mal est un aimant,
la force de l'un et l'autre fzit qu'on monte simultanément,
j'aurais pas l'dernier mot éternellement,
on veut tous découvrir le monde et tous ses éléments.
Course après le temps tous les jours,
j’ai vu que beaucoup tombent dans l’héro.
Moi j’ai d’autres bâtons dans les roues.
La raison était une erreur,
je cours après le temps, donc les sou?
J’en ai vu plein balancer, hein
pas voir le bout comme les océans
quand y’a du cash on s’en sert.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
des mots en l'air, et au final on remet à demain.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
ma paresse me fout en l'air et me met hors de moi.
J'ai beaucoup volé, en moi je mets le feu,
j'suis toujours moi-même et je suis jamais le même ;
j'en parle dans l'album, mal dans ma peau.
La maille dans la paume,
l'impression que je m'élevais.
On évolue, on marche tous les deux au fond,
quand j'suis venu au monde et que l'monde est venu à moi,
ma couleur, c'est blanc,
cassé, et la douleur j'en redemande.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant on a le temps
[...]
J'suis né la nuit,
j'étais destiné à vagabonder,
j'suis dans mon wagon, j'attends de conquérir le train.
J'ai des bons conseils et j'suis têtu,
les vrais gars m'ont dit
que la flemmardise t'empêche d'enlever le pied du frein.
J'aime pas la fatigue quand il faut taffer l'album,
j'carbone et j'm'évade comme les daltons,
des fois j'ai trop la flemme et j'remets à demain.
On va le faire, on va le faire
[...]
C'est dur de s'organiser, de se focaliser,
rendez moi les jours que j'ai perdu dans leur totalité.
En plus j'ai pas souvent de quoi payer
mais y a toujours moyen de moyenner.
J't'ai dit demain le mois dernier,
maintenant jdois marcher calibrer.
Ma feuille est blanche depuis des heures
parfois l'inspi s'épuise et meurt,
envie d'tout remettre à demain
mais la vie est remplie d'épreuves.
J'ai donné de la valeur à des choses futiles
et j'ai négligé des choses importantes,
pardonnez moi dans ma tête j'suis qu'un gosse stupide,
tout remis à demain, j'ai pas quitté l'enfance.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
des mots en l'air, et au final on remet à demain.
On va le faire, on va le faire,
mais pas maintenant, on a le temps,
ma paresse me fout en l'air et me met hors de moi.
Je n'suis pas d'ceux qui disent que le mal est un aimant,
la force de l'un et l'autre fzit qu'on monte simultanément,
j'aurais pas l'dernier mot éternellement,
on veut tous découvrir le monde et tous ses éléments.
Course après le temps tous les jours,
j’ai vu que beaucoup tombent dans l’héro.
Moi j’ai d’autres bâtons dans les roues.
La raison était une erreur,
je cours après le temps, donc les sou?
J’en ai vu plein balancer, hein
pas voir le bout comme les océans
quand y’a du cash on s’en sert.
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Deux phrases que j'aimerais placer si je deviens prof ou guide,et que j'ai déjà placé dans un compte-rendu de conférence sur l'économie en Mésopotamie Antique:
"L'Archéologie est la recherche des faits,pas de la Vérité. Si c'est la Vérité que vous cherchez, la classe de Philosophie du professeur Tyree est au bout du couloir."
"L'Archéologie est la recherche des faits,pas de la Vérité. Si c'est la Vérité que vous cherchez, la classe de Philosophie du professeur Tyree est au bout du couloir."
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Citation du Dr Jones
Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Non non rien n'a changé (les Poppys)
C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée,
c'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré,
c'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant,
c'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
je voulais très heureux pour toute la planète,
que je voulais, j'esperais que la paix règne en maître,
en ce soir de Noël, mais tout a continué,
mais tout a continué, tout a continué.
Non non rien n'a changé,
tout, tout a continué,
non non rien n'a changé,
tout, tout a continué,
héhéééé..
Et pourtant bien des gens ont chanté avec nous,
et pourtant bien des gens se sont mis à genoux
pour prier,
oui pour prier.
Mais j'ai vu tous les jours à la télévision,
même le soir de Noël, des fusils, des canons,
j'ai pleuré,
oui j'ai pleuré.
Qui pourra m'expliquer que
Non non rien n'a changé,
tout, tout a continué
[...]
Moi je pense à l'enfant entouré de soldats,
moi je pense à l'enfant qui demande pourquoi
tout le temps,
oui tout le temps.
Moi je pense à tout ça mais je ne devrais pas
toutes ces choses là ne me regardent pas
et pourtant...
oui et pourtant..
et pourtant
je chante :
Non non rien n'a changé,
tout, tout à continué
héhééééé.
C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée,
c'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré,
c'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant,
c'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
je voulais très heureux pour toute la planète,
que je voulais, j'esperais que la paix règne en maître,
en ce soir de Noël, mais tout a continué,
mais tout a continué, tout a continué.
Non non rien n'a changé,
tout, tout a continué,
non non rien n'a changé,
tout, tout a continué,
héhéééé..
Et pourtant bien des gens ont chanté avec nous,
et pourtant bien des gens se sont mis à genoux
pour prier,
oui pour prier.
Mais j'ai vu tous les jours à la télévision,
même le soir de Noël, des fusils, des canons,
j'ai pleuré,
oui j'ai pleuré.
Qui pourra m'expliquer que
Non non rien n'a changé,
tout, tout a continué
[...]
Moi je pense à l'enfant entouré de soldats,
moi je pense à l'enfant qui demande pourquoi
tout le temps,
oui tout le temps.
Moi je pense à tout ça mais je ne devrais pas
toutes ces choses là ne me regardent pas
et pourtant...
oui et pourtant..
et pourtant
je chante :
Non non rien n'a changé,
tout, tout à continué
héhééééé.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
J'veux du soleil (Au p'tit bonheur)
J'suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite,
dans un monde en superplastique, j'veux retrouver maman,
qu'elle m'raconte des histoires de Jane et de Tarzan,
de princesses et de cerf-volants,
j'veux du soleil dans ma mémoire.
J'veux du soleil, j'veux du soleil,
j'veux du soleil.
J'veux traverser les océans, devenir Monté-Cristo.
Au clair de lune, m'échapper d'la citadelle,
j'veux devenir roi des marécages,
sortir de ma cage,
un Père-Noël pour Cendrillon sans escarpin.
J'veux du soleil, j'veux du soleil,
[...]
J'veux faire danser maman au son clair des grillons,
j'veux retrouver mon sourire d'enfant perdu dans l'tourbillon,
dans l'tourbillon d'la vie qui fait que l'on oublie
que l'on est resté des mômes bien au fond de nos abris,
j'veux du soleil.
J'veux du soleil,
rien que du soleil.
J'suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite
dans un monde en superplastique jveux retrouver maman,
qu'elle mraconte des histoires de Janes et de Tarzan,
de princesse et de cerfs volants,
j'veux du soleil dans ma mémoire,
j'veux du soleil
[...]
J'suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite,
dans un monde en superplastique, j'veux retrouver maman,
qu'elle m'raconte des histoires de Jane et de Tarzan,
de princesses et de cerf-volants,
j'veux du soleil dans ma mémoire.
J'veux du soleil, j'veux du soleil,
j'veux du soleil.
J'veux traverser les océans, devenir Monté-Cristo.
Au clair de lune, m'échapper d'la citadelle,
j'veux devenir roi des marécages,
sortir de ma cage,
un Père-Noël pour Cendrillon sans escarpin.
J'veux du soleil, j'veux du soleil,
[...]
J'veux faire danser maman au son clair des grillons,
j'veux retrouver mon sourire d'enfant perdu dans l'tourbillon,
dans l'tourbillon d'la vie qui fait que l'on oublie
que l'on est resté des mômes bien au fond de nos abris,
j'veux du soleil.
J'veux du soleil,
rien que du soleil.
J'suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite
dans un monde en superplastique jveux retrouver maman,
qu'elle mraconte des histoires de Janes et de Tarzan,
de princesse et de cerfs volants,
j'veux du soleil dans ma mémoire,
j'veux du soleil
[...]
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Calogero : le Portrait
Il mélange au fond de sa tasse
Du miel
Il regarde par le vasistas
Le ciel
A chaque fois que passe un avion
Il se dit que c'est peut-être elle
Qui passe au-dessus de sa maison
On lui a dit qu'elle était au ciel
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Perdu au fond de sa classe
Il s’emmêle
Il se débat avec le coriace
Pluriel
Puis il explique à sa maîtresse
Pourquoi "parent" ne prend pas d'"s"
Des câlins il en voudrait tellement
Ne serait-ce qu'un par an
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il mélange au fond de sa tasse
Du miel
Il regarde par le vasistas
Le ciel
A chaque fois que passe un avion
Il se dit que c'est peut-être elle
Qui passe au-dessus de sa maison
On lui a dit qu'elle était au ciel
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Perdu au fond de sa classe
Il s’emmêle
Il se débat avec le coriace
Pluriel
Puis il explique à sa maîtresse
Pourquoi "parent" ne prend pas d'"s"
Des câlins il en voudrait tellement
Ne serait-ce qu'un par an
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d'un portrait
Trait pour trait
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Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Calogero : avant toi
C'est des jours entiers
Ployer sous un fardeau
Jamais léger
Toujours courber le dos
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire que
C'est traîner des pieds
C'est exister à peine
Désespérer
Que quelque chose advienne
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire
Avant toi c'était quoi
Sinon un préambule
Un long chemin de croix
Puis tout bascule
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mon corps
Avant toi se souvient
De s'être senti mort
C'est se démener
Chanter dans le désert
Pour qui c'était
Tous ces vers, tous ces airs
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire
Avant toi c'était quoi
Une répétition
De mots de gestes las
Puis l'explosion
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mes bras
N'avaient jamais étreint
Que du vide et du froid
Avant toi c'était quoi
Sinon un préambule
Un long chemin de croix
Puis tout bascule
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mon corps
Avant toi se souvient
De s'être senti mort
Avant toi c'était quoi
Juste une scène immense
Bien trop vaste pour moi
Et puis tout danse
Avant toi c'était rien
Ou si peu que ma vie
Commença le matin
Du jour où je te vis
C'est des jours entiers
Ployer sous un fardeau
Jamais léger
Toujours courber le dos
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire que
C'est traîner des pieds
C'est exister à peine
Désespérer
Que quelque chose advienne
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire
Avant toi c'était quoi
Sinon un préambule
Un long chemin de croix
Puis tout bascule
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mon corps
Avant toi se souvient
De s'être senti mort
C'est se démener
Chanter dans le désert
Pour qui c'était
Tous ces vers, tous ces airs
Avant toi
Avant toi laisse moi te dire
Avant toi c'était quoi
Une répétition
De mots de gestes las
Puis l'explosion
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mes bras
N'avaient jamais étreint
Que du vide et du froid
Avant toi c'était quoi
Sinon un préambule
Un long chemin de croix
Puis tout bascule
Avant toi c'était rien
Ou si peu que mon corps
Avant toi se souvient
De s'être senti mort
Avant toi c'était quoi
Juste une scène immense
Bien trop vaste pour moi
Et puis tout danse
Avant toi c'était rien
Ou si peu que ma vie
Commença le matin
Du jour où je te vis
Vieux geek non diagnostiqué
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Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
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- Prolifique
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
1000 moi-même (Deportivo)
Mais dans mon monde,
dans monde,
il y a du chlore dans les ornières,
à voir d'ici c'est immonde
tous ces miroirs à l'envers.
Tous les cancres ne sont pas nés du même père,
tous les cancres se mettent la tête à l'envers.
Mais dans mon monde,
dans mon monde,
écoute les se marrer,
y a deux amis qui répondent,
si tu pars t'es un pompier.
Jeter l'ancre puis les ramasser à terre,
oh jeter l'ancre, putain, demain c'est l'hiver.
Ce soir mon amour valse et danse
demain on verra, on verra.
Ce soir mon amour valse et lance
des étoiles sous mes pas.
Mais dans mon monde,
dans mon monde,
écoute mon nombril parler,
dire "y a mille moi-même qui m’inondent,
si je flotte j'suis un sorcier."
Jeter l'ancre puis les ramasser à terre,
oh jeter l'ancre, putain, demain c'est l'hiver.
[...]
Mais dans mon monde,
dans monde,
il y a du chlore dans les ornières,
à voir d'ici c'est immonde
tous ces miroirs à l'envers.
Tous les cancres ne sont pas nés du même père,
tous les cancres se mettent la tête à l'envers.
Mais dans mon monde,
dans mon monde,
écoute les se marrer,
y a deux amis qui répondent,
si tu pars t'es un pompier.
Jeter l'ancre puis les ramasser à terre,
oh jeter l'ancre, putain, demain c'est l'hiver.
Ce soir mon amour valse et danse
demain on verra, on verra.
Ce soir mon amour valse et lance
des étoiles sous mes pas.
Mais dans mon monde,
dans mon monde,
écoute mon nombril parler,
dire "y a mille moi-même qui m’inondent,
si je flotte j'suis un sorcier."
Jeter l'ancre puis les ramasser à terre,
oh jeter l'ancre, putain, demain c'est l'hiver.
[...]
Non-diag.
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
L'immobilité (Deportivo)
Puis-je au moins sortir la tête
et oublier qu'ici on n'sort pas ?
Mais je sais bien qu'ma ville arrête
les plus bellles espérances en contrebas.
Puis-je au moins sortir la tête ?
Mais nous on croyait qu'on s'rait loin et déjà revenus,
qu'à prendre la traverse en chemin on fuirait nos ombres.
Peut-on jamais savoir où être
là dans mon trou à rat, on n'pense pas
mais je sais bien qu'ma ptite ville arrête
les plus belles espérances en contrebas.
Puis-je au moins sortir la tête ?
Mais nous on croyait qu'on s'rait loin et déjà revenus
[...]
Puis-je au moins sortir la tête
et oublier qu'ici on n'sort pas ?
Mais je sais bien qu'ma ville arrête
les plus bellles espérances en contrebas.
Puis-je au moins sortir la tête ?
Mais nous on croyait qu'on s'rait loin et déjà revenus,
qu'à prendre la traverse en chemin on fuirait nos ombres.
Peut-on jamais savoir où être
là dans mon trou à rat, on n'pense pas
mais je sais bien qu'ma ptite ville arrête
les plus belles espérances en contrebas.
Puis-je au moins sortir la tête ?
Mais nous on croyait qu'on s'rait loin et déjà revenus
[...]
Non-diag.
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- Enregistré le : dimanche 3 février 2013 à 18:48
Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
L'HORLOGE TOURNE - MICKAEL MIROSpoiler : :
Un SMS vient d’arriver, j’ai 18 ans,
Envolée ma virginité, j'suis plus un enfant.
L’horloge tourne, les minutes sont torrides
Et moi je rêve d’accélérer le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 20 ans,
On l’a fait sans se protéger mais j'veux pas d’un enfant,
L’horloge tourne, les minutes infanticides
Et moi je rêve de remonter le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 21 ans,
9 mois se sont écoulés et toujours pas d’enfants. Ouh...
L’horloge tourne, les minutes se dérident
Et moi je rêve, tranquille je prends mon temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 25 ans,
Un tsunami a tout emporté, même les jeux d’enfants,
L’horloge tourne, les minutes sont acides
Et moi je rêve que passe le mauvais temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 28 ans,
Mamie est bien fatiguée mais j’suis plus un enfant,
L’horloge tourne mais son coeur se suicide
Et moi je rêve, je rêve du bon vieux temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS va arriver, j’aurai 30 ans,
30 ans de liberté et soudain le bilan,
L’horloge tourne, les minutes sont des rides
Et moi je rêve, je rêve d’arrêter le temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
En savoir plus sur http://www.paroles.net/mickael-miro/par ... 66XsRzj.99
Aspi.
Je pars d'ici
Je pars d'ici