[Index Fiction] Kaamelott : Les répliques de Kaamelott, et autres...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
L'adoubement.
Perceval : C'était bien la cérémonie ce matin. Comment ça s'appelle déjà ?
Arthur : L'adoubement.
Perceval : Ah ouais, voilà. Le p'tit jeune il était pas rassuré quand même, avec tout ce monde. Remarquez j'dis ça, moi j'sais pas comment j'aurais réagit.
Arthur : Nan, sans déconner, vous allez pas encore recommencer ? Vous avez forcément été adoubé, sans ça vous pourriez pas être à la Table Ronde.
Perceval : Mais j'arrête pas d'le dire : je peux pas être à la Table Ronde.
Arthur : Toute façon l'autre fois je vous ai re-adoubé, au cas où. Vous allez pas m'gonfler.
Perceval : Vous m'avez adoubé vit'fait, il y avait personne, ça compte pas, ça.
Arthur : Mais attendez, je suis qui, moi, ici ? Le portier ? Si j'vous dis que j'vous adoube, j'vous adoube, si y a du monde ou pas, ça compte, crétin !
Perceval : Même si y a personne ?
Arthur : Évidement !
Perceval : Du coup, vous pourrez pas l'refaire, la ?
Arthur : ???
Perceval : Non parce que, j'aime bien ...
[...]
Perceval : Il avait drôlement bien appris son poème, le p'tit.
Arthur : C'est pas un poème.
Perceval : Ah bon, c'est quoi ?
Arthur : C'est pas un poème, c'est un texte de cérémonie, ça fait partie du rituel.
Perceval : Ah ouais, mais il l'avait appris par cœur, quand même.
Arthur : Ah ben oui, ça, oui ...
Perceval : Moi j'dis chapeau, hein. Heureusement qu'jai jamais été adoubé, j'aurais jamais pu retenir tout ça.
Arthur : ...
Perceval : Et c'est quoi quand il a dit j'sais pas quoi, machin, gna gna gna ... le respect à la mémoire d'Uter du dragon ?
Arthur : Uter Pandragon.
Perceval : De ?
Arthur : Pandragon c'est son nom. C'est pas un dragon.
Perceval : Pandragon ? Mais qui c'est, c'ui là ?
Arthur : Mon père.
Perceval : Votre père ? Mais on l'voit jamais votre père ...
Arthur : Il est mort.
Perceval : Ah merde ! Mais là, dans la s'maine ?
Arthur : Non, pas là, dans la s'maine, non.
Perceval : Et la cérémonie c'matin, c'était pas pour ça ?
Arthur : J'l'ai jamais connu, mon père.
Perceval : Ah bon ? Mais comment vous savez qu'il s'appelle Pandragon ?
Arthur : Qu'est c'que j'fais, moi ? J'me fous en rogne ? J'vous fais descendre les escaliers à coup de pompes dans l'cul ? Je fais quoi ?
Perceval : Non mais, m'engueulez pas, j'essaye de piger ...
Arthur : Mais qu'est ce que vous essayez de piger ? Pandragon, c'est le plus grand roi de Bretagne.
Perceval : Mais j'croyais qu'c'était vous, le roi de Bretagne.
Arthur : C'est le personnage le plus célèbre du monde celte, vous n'allez pas m'dire qu'vos vieux vous ont jamais parlé d'lui ?
Perceval : Mais mes vieux, qu'est c'qui en savent de qui c'est le roi ? Ça fait quarante ans qu'ils entassent des navets dans une grange, si vous pensez qu'ils ont eu le temps de m'apprendre les courbettes ...
Arthur : Quelles courbettes ?
Perceval : Ben ... les machins d'cérémonies, là ... Les rois, les reines ... J'ai tout compris par moi-même : la main sur l'épée quand vous passez devant nous ...
Arthur : Bah, vous l'faites jamais, vous !
Perceval : Ben parc'que j'oublie, mais j'le sais. Ou quand vous êtes en danger : il vaut mieux mourir pour vous défendre vous, que pour se défendre soi-même.
Arthur : Quoi ?
Perceval : Quoi, quoi ?
Arthur : Qu'est c'que vous avez dit ?
Perceval : Nan mais ça, en même temps, c'est logique. Priorité à celui qui a la vie qui vaut plus.
Arthur : Qui a la vie qui vaut plus ? Mais qu'est c'que c'est qu'ça ?
Perceval : Attendez, Sire, vous et moi on tombe dans une embuscade, il vaut mieux qu'ce soit vous qui restiez, plutôt qu'moi.
Arthur : Mais, c'est quelqu'un qui vous l'a dit, ça ?
Perceval : Ben, j'sais plus, les autres ... Ils disent que si vous êtes en danger, il faut se sacrifier.
Arthur : Non non non non non, non non non ! Jamais vous faites ça ! Vous m'entendez ?
Perceval : Mais si c'est la loi ?
Arthur : VOUS FAITES JAMAIS ÇA ! SI ON TOMBE DANS UNE EMBUSCADE, VOUS VOUS BARREZ EN COURANT ! C'est clair ?
Perceval : *** perturbé ***
Arthur : C'EST CLAIR ?
Perceval : Ok, ok, comme vous voulez.
[...]
Perceval : Mais le p'tit : "me ferais tuer pour mon roi sauver".
Arthur : Oui, d'accord, mais ça c'est le rituel, ça !
Perceval : Alors il va pas l'faire ?
Arthur : Pas vraiment.
Perceval : Et les autres, ils le font pas non plus ?
Arthur : Les autres, les autres, mais je m'en fout des autres ! Vous, je veux pas que vous l'fassiez, voilà !
Perceval : Mais pourquoi ?
Arthur : Parc'que ... parc'que ... parc'que vous êtes pas adoubé ! Voilà ! Vous avez pas l'droit ! Hop !
Perceval : Oh ! Et l'aut'fois, quand vous m'avez re-adoubé ?
Arthur : Et oui, mais l'aut'fois, y'avait personne, ça compte pas !
Perceval : C'était bien la cérémonie ce matin. Comment ça s'appelle déjà ?
Arthur : L'adoubement.
Perceval : Ah ouais, voilà. Le p'tit jeune il était pas rassuré quand même, avec tout ce monde. Remarquez j'dis ça, moi j'sais pas comment j'aurais réagit.
Arthur : Nan, sans déconner, vous allez pas encore recommencer ? Vous avez forcément été adoubé, sans ça vous pourriez pas être à la Table Ronde.
Perceval : Mais j'arrête pas d'le dire : je peux pas être à la Table Ronde.
Arthur : Toute façon l'autre fois je vous ai re-adoubé, au cas où. Vous allez pas m'gonfler.
Perceval : Vous m'avez adoubé vit'fait, il y avait personne, ça compte pas, ça.
Arthur : Mais attendez, je suis qui, moi, ici ? Le portier ? Si j'vous dis que j'vous adoube, j'vous adoube, si y a du monde ou pas, ça compte, crétin !
Perceval : Même si y a personne ?
Arthur : Évidement !
Perceval : Du coup, vous pourrez pas l'refaire, la ?
Arthur : ???
Perceval : Non parce que, j'aime bien ...
[...]
Perceval : Il avait drôlement bien appris son poème, le p'tit.
Arthur : C'est pas un poème.
Perceval : Ah bon, c'est quoi ?
Arthur : C'est pas un poème, c'est un texte de cérémonie, ça fait partie du rituel.
Perceval : Ah ouais, mais il l'avait appris par cœur, quand même.
Arthur : Ah ben oui, ça, oui ...
Perceval : Moi j'dis chapeau, hein. Heureusement qu'jai jamais été adoubé, j'aurais jamais pu retenir tout ça.
Arthur : ...
Perceval : Et c'est quoi quand il a dit j'sais pas quoi, machin, gna gna gna ... le respect à la mémoire d'Uter du dragon ?
Arthur : Uter Pandragon.
Perceval : De ?
Arthur : Pandragon c'est son nom. C'est pas un dragon.
Perceval : Pandragon ? Mais qui c'est, c'ui là ?
Arthur : Mon père.
Perceval : Votre père ? Mais on l'voit jamais votre père ...
Arthur : Il est mort.
Perceval : Ah merde ! Mais là, dans la s'maine ?
Arthur : Non, pas là, dans la s'maine, non.
Perceval : Et la cérémonie c'matin, c'était pas pour ça ?
Arthur : J'l'ai jamais connu, mon père.
Perceval : Ah bon ? Mais comment vous savez qu'il s'appelle Pandragon ?
Arthur : Qu'est c'que j'fais, moi ? J'me fous en rogne ? J'vous fais descendre les escaliers à coup de pompes dans l'cul ? Je fais quoi ?
Perceval : Non mais, m'engueulez pas, j'essaye de piger ...
Arthur : Mais qu'est ce que vous essayez de piger ? Pandragon, c'est le plus grand roi de Bretagne.
Perceval : Mais j'croyais qu'c'était vous, le roi de Bretagne.
Arthur : C'est le personnage le plus célèbre du monde celte, vous n'allez pas m'dire qu'vos vieux vous ont jamais parlé d'lui ?
Perceval : Mais mes vieux, qu'est c'qui en savent de qui c'est le roi ? Ça fait quarante ans qu'ils entassent des navets dans une grange, si vous pensez qu'ils ont eu le temps de m'apprendre les courbettes ...
Arthur : Quelles courbettes ?
Perceval : Ben ... les machins d'cérémonies, là ... Les rois, les reines ... J'ai tout compris par moi-même : la main sur l'épée quand vous passez devant nous ...
Arthur : Bah, vous l'faites jamais, vous !
Perceval : Ben parc'que j'oublie, mais j'le sais. Ou quand vous êtes en danger : il vaut mieux mourir pour vous défendre vous, que pour se défendre soi-même.
Arthur : Quoi ?
Perceval : Quoi, quoi ?
Arthur : Qu'est c'que vous avez dit ?
Perceval : Nan mais ça, en même temps, c'est logique. Priorité à celui qui a la vie qui vaut plus.
Arthur : Qui a la vie qui vaut plus ? Mais qu'est c'que c'est qu'ça ?
Perceval : Attendez, Sire, vous et moi on tombe dans une embuscade, il vaut mieux qu'ce soit vous qui restiez, plutôt qu'moi.
Arthur : Mais, c'est quelqu'un qui vous l'a dit, ça ?
Perceval : Ben, j'sais plus, les autres ... Ils disent que si vous êtes en danger, il faut se sacrifier.
Arthur : Non non non non non, non non non ! Jamais vous faites ça ! Vous m'entendez ?
Perceval : Mais si c'est la loi ?
Arthur : VOUS FAITES JAMAIS ÇA ! SI ON TOMBE DANS UNE EMBUSCADE, VOUS VOUS BARREZ EN COURANT ! C'est clair ?
Perceval : *** perturbé ***
Arthur : C'EST CLAIR ?
Perceval : Ok, ok, comme vous voulez.
[...]
Perceval : Mais le p'tit : "me ferais tuer pour mon roi sauver".
Arthur : Oui, d'accord, mais ça c'est le rituel, ça !
Perceval : Alors il va pas l'faire ?
Arthur : Pas vraiment.
Perceval : Et les autres, ils le font pas non plus ?
Arthur : Les autres, les autres, mais je m'en fout des autres ! Vous, je veux pas que vous l'fassiez, voilà !
Perceval : Mais pourquoi ?
Arthur : Parc'que ... parc'que ... parc'que vous êtes pas adoubé ! Voilà ! Vous avez pas l'droit ! Hop !
Perceval : Oh ! Et l'aut'fois, quand vous m'avez re-adoubé ?
Arthur : Et oui, mais l'aut'fois, y'avait personne, ça compte pas !
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Les répliques de Kaamelott.
L'ambidextre.
Lancelot : Moi j'essaie de trouver une solution.
Arthur : Ah parce que vous appelez ça une solution vous.
Lancelot : Je suis désolé, je ne peux pas commander en même temps à droite et à gauche, il faut que je délègue les lanciers à Perceval !
Arthur : Non non mais c'est bon allez j'vais le faire, laissez tomber.
Lancelot : M'enfin vous n'allez pas tout faire, c'est un de vos hommes quand même ! Seigneur Perceval, venez, on a besoin de vous !
Perceval : J'peux pas ! j'surveille le stock de pain !
[...]
Lancelot : Le Seigneur Calogrenant est parti il y a deux jours pour placer son armée en amont de la rivière.
Perceval : Ah, c'est pour ça qu'il est plus là.
Lancelot : Ben oui, on l'a envoyé se positionner en avance.
Perceval : Ah bon, moi j'croyais qu'il était rentré chez lui alors jme disais, il s'fait pas chier quand même.
Arthur : Bref. Alors nous quand on va arriver dans la plaine, le Seigneur Calogrenant pourra envoyer une attaque surprise par la doite.
Perceval : Plutôt dans le sens du courant de la rivière alors ?
Arthur : Plut.. n.. non je saurais pas bien vous dire ça...
Lancelot : Bon et en dernier recours, Léodagan se tient prêt avec 150 cavaliers qui arriveraient par la gauche.
Perceval : Par la gauche ?
Lancelot : Par... la gauche oui.. euh..
Perceval : Non mais par rapport au courant de la rivière ?
Lancelot : Ben.. ben j'en sais rien moi..
Arthur : Mais qu'est ce que vous venez emmerder le monde avec votre rivière vous ?
Perceval : Moi, la gauche, la droite, c'est bien gentil ça, mais moi il m'faut du concret.
[...]
Arthur : Mais c'est pas compliqué bon dieu, y a Calogrenant à droite, Léodagan à gauche, et nous on arrive par le milieu !
Lancelot : C'est bon jusque là ?
Perceval : Attendez, moi si jme souviens bien y a la rivière qui passe en travers.
Arthur : Ah mais merde avec votre rivière !!
Perceval : C'est un point de repère comme un autre.
Lancelot : Mais bon dieu y a pas besoin de point de repère puisque les envahisseurs vont nous attaquer de face !
Perceval : Mais de face ça va, c'est le reste qui va pas.
Arthur : Mais quoi nom d'un chien !?
Perceval : Ben la gauche, la droite, moi j'aime pas ces trucs.
Lancelot : Mais qu'est ce que vous n'aimez pas ?
Perceval : Ces conneries de gauche et de droite ! ça veut rien dire ces machins, selon comment on est tourné ça change tout !
Arthur : Mais qu'est ce que vous nous chanter ?
Perceval : Moi j'estime que quand on parle tactique militaire, il faut employer des termes précis.
Lancelot : Ben.. oui effectivement.. ça peut prêter à confusion...
Arthur : Non mais attendez, nous c'est pour vous qu'on dit gauche et droite nous, c'est pour pas vous embrouiller.
Perceval : Mais si ça m'embrouille !
Lancelot : Ah bon, on peut parler normalement alors ?
Perceval : Professionnel.
Arthur : Bon, alors ok, on reprend depuis le début. Donc, Calogrenant est posté depuis hier soir au nord-est de la zone d'attaque...
Lancelot : Léodagan sud/sud-est, un peu plus en retrait avec ses cavaliers.
Perceval : Moi j'aime pas ces conneries de sud-est, nord-ouest et tous ces machins là.
Arthur : Quoi ? Qu'est ce qu'il y a qui va pas encore ??
Perceval : Mais c'est un coup à se planter ça ! Toute façon on dit l'Nord, selon comment on est tourné ça change tout !
[...]
Perceval : Calogrenant ça va. Maintenant, Léodagan, il est où ?
Lancelot : Du côté de la forêt, un peu après la clairière, où y a une grosse pierre qui ressemble à une miche de pain.
Perceval : Voilà !! Là c'est pro ! Là je comprends ! Et quand Calogrenant va arriver il va couper par où ?
Arthur : Il va couper du côté de la rivière à gauche...
Perceval : Ahahaha attention !
Arthur : Pardon. Du côté de la rivière où y a les brebis qui passent...
Perceval : D'accord ! Allez, c'est bon, j'les attends les envahisseurs. Ils vont se prendre mon épée dans les côtelettes, ça va les calmer pour un moment. Oh, j'ai hâte d'y être, ils vont se frotter à la fausse patte du pays de Galles.
Lancelot : Les fausses pattes c'est les gauchers.
Perceval : Ben oui.
Arthur : Vous êtes pas gaucher vous.
Perceval : Ah ben si.
Lancelot : Vous dégainez de la main droite.
Perceval : Merde, comment on dit l'inverse d'une fausse patte ?
Arthur : J'sais pas. On dit rien.
Lancelot : La vraie patte ?
Perceval : Attendez, la vraie patte du pays de Galles ça veut rien dire, vous voulez que j'passe pour un con ?
[...]
Calogrenant : Seigneur Perceval, c'est le chef des (?) qui m'envoie, ils ont discuté de la signalétique.
Perceval : Et alors ?
Calogrenant : Donc ce sera bras gauche en l'air pour un envoi de flèches et bras droit en l'air pour envoyer les lanciers.
Perceval : Toi un jour, je te crame ta famille, toi.
Lancelot : Moi j'essaie de trouver une solution.
Arthur : Ah parce que vous appelez ça une solution vous.
Lancelot : Je suis désolé, je ne peux pas commander en même temps à droite et à gauche, il faut que je délègue les lanciers à Perceval !
Arthur : Non non mais c'est bon allez j'vais le faire, laissez tomber.
Lancelot : M'enfin vous n'allez pas tout faire, c'est un de vos hommes quand même ! Seigneur Perceval, venez, on a besoin de vous !
Perceval : J'peux pas ! j'surveille le stock de pain !
[...]
Lancelot : Le Seigneur Calogrenant est parti il y a deux jours pour placer son armée en amont de la rivière.
Perceval : Ah, c'est pour ça qu'il est plus là.
Lancelot : Ben oui, on l'a envoyé se positionner en avance.
Perceval : Ah bon, moi j'croyais qu'il était rentré chez lui alors jme disais, il s'fait pas chier quand même.
Arthur : Bref. Alors nous quand on va arriver dans la plaine, le Seigneur Calogrenant pourra envoyer une attaque surprise par la doite.
Perceval : Plutôt dans le sens du courant de la rivière alors ?
Arthur : Plut.. n.. non je saurais pas bien vous dire ça...
Lancelot : Bon et en dernier recours, Léodagan se tient prêt avec 150 cavaliers qui arriveraient par la gauche.
Perceval : Par la gauche ?
Lancelot : Par... la gauche oui.. euh..
Perceval : Non mais par rapport au courant de la rivière ?
Lancelot : Ben.. ben j'en sais rien moi..
Arthur : Mais qu'est ce que vous venez emmerder le monde avec votre rivière vous ?
Perceval : Moi, la gauche, la droite, c'est bien gentil ça, mais moi il m'faut du concret.
[...]
Arthur : Mais c'est pas compliqué bon dieu, y a Calogrenant à droite, Léodagan à gauche, et nous on arrive par le milieu !
Lancelot : C'est bon jusque là ?
Perceval : Attendez, moi si jme souviens bien y a la rivière qui passe en travers.
Arthur : Ah mais merde avec votre rivière !!
Perceval : C'est un point de repère comme un autre.
Lancelot : Mais bon dieu y a pas besoin de point de repère puisque les envahisseurs vont nous attaquer de face !
Perceval : Mais de face ça va, c'est le reste qui va pas.
Arthur : Mais quoi nom d'un chien !?
Perceval : Ben la gauche, la droite, moi j'aime pas ces trucs.
Lancelot : Mais qu'est ce que vous n'aimez pas ?
Perceval : Ces conneries de gauche et de droite ! ça veut rien dire ces machins, selon comment on est tourné ça change tout !
Arthur : Mais qu'est ce que vous nous chanter ?
Perceval : Moi j'estime que quand on parle tactique militaire, il faut employer des termes précis.
Lancelot : Ben.. oui effectivement.. ça peut prêter à confusion...
Arthur : Non mais attendez, nous c'est pour vous qu'on dit gauche et droite nous, c'est pour pas vous embrouiller.
Perceval : Mais si ça m'embrouille !
Lancelot : Ah bon, on peut parler normalement alors ?
Perceval : Professionnel.
Arthur : Bon, alors ok, on reprend depuis le début. Donc, Calogrenant est posté depuis hier soir au nord-est de la zone d'attaque...
Lancelot : Léodagan sud/sud-est, un peu plus en retrait avec ses cavaliers.
Perceval : Moi j'aime pas ces conneries de sud-est, nord-ouest et tous ces machins là.
Arthur : Quoi ? Qu'est ce qu'il y a qui va pas encore ??
Perceval : Mais c'est un coup à se planter ça ! Toute façon on dit l'Nord, selon comment on est tourné ça change tout !
[...]
Perceval : Calogrenant ça va. Maintenant, Léodagan, il est où ?
Lancelot : Du côté de la forêt, un peu après la clairière, où y a une grosse pierre qui ressemble à une miche de pain.
Perceval : Voilà !! Là c'est pro ! Là je comprends ! Et quand Calogrenant va arriver il va couper par où ?
Arthur : Il va couper du côté de la rivière à gauche...
Perceval : Ahahaha attention !
Arthur : Pardon. Du côté de la rivière où y a les brebis qui passent...
Perceval : D'accord ! Allez, c'est bon, j'les attends les envahisseurs. Ils vont se prendre mon épée dans les côtelettes, ça va les calmer pour un moment. Oh, j'ai hâte d'y être, ils vont se frotter à la fausse patte du pays de Galles.
Lancelot : Les fausses pattes c'est les gauchers.
Perceval : Ben oui.
Arthur : Vous êtes pas gaucher vous.
Perceval : Ah ben si.
Lancelot : Vous dégainez de la main droite.
Perceval : Merde, comment on dit l'inverse d'une fausse patte ?
Arthur : J'sais pas. On dit rien.
Lancelot : La vraie patte ?
Perceval : Attendez, la vraie patte du pays de Galles ça veut rien dire, vous voulez que j'passe pour un con ?
[...]
Calogrenant : Seigneur Perceval, c'est le chef des (?) qui m'envoie, ils ont discuté de la signalétique.
Perceval : Et alors ?
Calogrenant : Donc ce sera bras gauche en l'air pour un envoi de flèches et bras droit en l'air pour envoyer les lanciers.
Perceval : Toi un jour, je te crame ta famille, toi.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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- Prolifique
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ce personnage de Perceval, je me sens en phase, c'est triste pour moi mais ça me fait rire quand même...
(Heureusement que je filtre ce genre de réplique )
Merci Evo
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Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
CIM10 F84
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- Prolifique
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Les répliques de Kaamelott.
Ceci dit il n'a pas tort.. la droite, la gauche, selon comment on est tourné ça change tout.
Non-diag.
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- Prolifique
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Les répliques de Kaamelott.
Les alchimistes.
Le tavernier : Vous êtes pas parti au combat avec les autres ?
Karadoc : Demain.
Perceval : Avant on s'fait fabriquer une potion magique de puissance par Merlin.
Le tavernier : Vous êtes sûrs qu'il va vouloir ?
Perceval : Ben s'il veut pas on part pas au combat. Y en a marre d'se faire charcuter !
[...]
Merlin : C'est gentil d'être passé mais j'ai pas l'temps d'discutailler, faut que j'm'en aille.
Karadoc : Attendez deux minutes quand même !
Perceval : On a besoin d'vous pour un truc !
Merlin : Non ! Ca vous a pas suffit la dernière fois ? Ne touchez pas à la magie !
Perceval : La dernière fois ça a rien à voir, vous nous avez mal expliqué !
Merlin : Quoi ??
Karadoc : On était venu pour un sort de boule de feu pour aller attaquer un orque, vous nous donnez un parchemin...
Merlin : Un parchemin de boule de feu ! Et je vous ai dit que quand on le lisait ça déclenchait quoi ? Une boule de feu. Alors forcément, si vous le lisez dans l'couloir en sortant d'ici, vous foutez l'feu au château, jvois pas c'que j'ai mal expliqué.
Perceval : Mais dans l'couloir c'était pour répéter !
Karadoc : On voulait pas lancer la boule dans l'couloir, on n'est pas cons non plus !
Perceval : Forcément, à peine on lit, ça part comme un pet votre saloperie.
Merlin : Bref. La boutique est fermée, adressez vous à la concurrence.
Perceval : Allez quoi ! On a besoin d'une potion ! On va pas la faire nous même si ??
[...]
Perceval : Bon, alors maintenant il s'agit de pas faire n'importe quoi.
Karadoc : De l'organisation.
Perceval : Déjà, on devrait commencer par trier les fioles.
Karadoc : Selon quoi ? Les couleurs ?
Perceval : Ah non non non non non non, les couleurs ça peut être trompeur. Regardez les haricots : les rouges sont plus jolis que les blancs, mais ils bousillent les boyaux.
Karadoc : Ah ouaiiiis....
Perceval : Par exemple, celle là, qu'est ce qu'on peut dire ?
Karadoc : Elle pue ?
Perceval : Voilà, et qu'est ce qu'y a d'autre qui pue sinon ?
Karadonc : Comme fiole ?
Perceval : Non non non, dans la vie.
Karadoc : Les pieds ?
Perceval : Et les pieds, on peut dire que c'est une bonne chose ou une mauvaise chose ?
Karadoc : C'est plutôt une bonne chose pour marcher, mais quand on marche trop ça fait mal aux pieds.
Perceval : Exactement ! Donc cette fiole, selon comment elle pue, on dit qu'elle est plutôt bonne, mais qu'il faut pas trop en mettre.
Karadonc : J'en mets combien ?
Perceval : Vous en mettez pas trop. Voilà, ensuite ?
Karadoc : Celle là.
Perceval : Non celle là on n'en met pas.
Karadonc : Ben pourquoi ?
Perceval : Bah parce que on va pas toutes le smettre quand même, Merlin il met pas tout à chaque fois.
Karadonc : Ah ouais. Celle là ?
Perceval : Allez-y vous ! Sentez la ! Il faut oser se lancer sinon vous progresserez jamais.
Karadoc : Ah merde.
Perceval : De quoi ?
Karadoc : Elle sent les pieds celle la.
Perceval : Comme l'autre ?
Karadoc : Ah non, l'autre j'ai dit qu'elle puait, mais pas forcément les pieds. Après vous avez dit qu'est ce qu'il y a d'autre qui pue, et moi j'ai dit les pieds.
Perceval : Merde, et celle la.. ?
Karadoc : Ben celle la elle sent vraiment les pieds.
Perceval : Pfiouuu, bon, ben faut tout recommencer.
[...]
Perceval : Alors voilà, si on vous a convoqué...
Arthur : Pfff...
Karadoc : Ben quoi ?
Arthur : Vous croyez vraiment qu'vous avez les moyens d'me convoquer ? Je suis là parce que j'veux bien. Et si vous m'avez fait déplacer pour rien, je vous balance quinze jours dans une cage sans boire ni bouffer, et jme démerde pour qu'vous chopiez l'typhus. J'vous écoute.
Perceval : On va faire simple.
Arthur : J'vous l'conseille oui.
Karadoc : On était parti pour inventer une potion magique de puissance.
Arthur : Qui ça ? Vous ??
Perceval : Ben, on n'a pas de technique, mais c'est comme tout, faut avoir du... voyez.
Karadoc : Bon, la potion de puissance ça a foiré.
Arthur : Ah merde. Ah ça m'coupe les jambes ça, comment ça s'fait ?
Perceval : Mais comparé à c'qu'on a trouvé, la potion d'puissance ça vaut d'la pisse.
(Karadoc boit la potion).
Perceval : Vous êtes prêt ?
Arthur : Ah ben moi ouais.
(Karadoc, avec une voix aigüe comme sous hélium) : Bonjour sire, comment vous portez vous aujourd'hui ?
(Karadoc et Perceval pliés de rire).
[...]
Lancelot : Victoire sire ! L'ennemi est en fuite !
Karadoc (avec sa voix aigue) : Ouais, c'est grâce à notre arme secrète !
Perceval (avec sa voie aigue) : On est indestructibles !
(Perceval et Karadoc pliés de rire, Lancelot leur donne des coups d'épée)
Perceval : Arrêtez ! C'est pour déconner !
Le tavernier : Vous êtes pas parti au combat avec les autres ?
Karadoc : Demain.
Perceval : Avant on s'fait fabriquer une potion magique de puissance par Merlin.
Le tavernier : Vous êtes sûrs qu'il va vouloir ?
Perceval : Ben s'il veut pas on part pas au combat. Y en a marre d'se faire charcuter !
[...]
Merlin : C'est gentil d'être passé mais j'ai pas l'temps d'discutailler, faut que j'm'en aille.
Karadoc : Attendez deux minutes quand même !
Perceval : On a besoin d'vous pour un truc !
Merlin : Non ! Ca vous a pas suffit la dernière fois ? Ne touchez pas à la magie !
Perceval : La dernière fois ça a rien à voir, vous nous avez mal expliqué !
Merlin : Quoi ??
Karadoc : On était venu pour un sort de boule de feu pour aller attaquer un orque, vous nous donnez un parchemin...
Merlin : Un parchemin de boule de feu ! Et je vous ai dit que quand on le lisait ça déclenchait quoi ? Une boule de feu. Alors forcément, si vous le lisez dans l'couloir en sortant d'ici, vous foutez l'feu au château, jvois pas c'que j'ai mal expliqué.
Perceval : Mais dans l'couloir c'était pour répéter !
Karadoc : On voulait pas lancer la boule dans l'couloir, on n'est pas cons non plus !
Perceval : Forcément, à peine on lit, ça part comme un pet votre saloperie.
Merlin : Bref. La boutique est fermée, adressez vous à la concurrence.
Perceval : Allez quoi ! On a besoin d'une potion ! On va pas la faire nous même si ??
[...]
Perceval : Bon, alors maintenant il s'agit de pas faire n'importe quoi.
Karadoc : De l'organisation.
Perceval : Déjà, on devrait commencer par trier les fioles.
Karadoc : Selon quoi ? Les couleurs ?
Perceval : Ah non non non non non non, les couleurs ça peut être trompeur. Regardez les haricots : les rouges sont plus jolis que les blancs, mais ils bousillent les boyaux.
Karadoc : Ah ouaiiiis....
Perceval : Par exemple, celle là, qu'est ce qu'on peut dire ?
Karadoc : Elle pue ?
Perceval : Voilà, et qu'est ce qu'y a d'autre qui pue sinon ?
Karadonc : Comme fiole ?
Perceval : Non non non, dans la vie.
Karadoc : Les pieds ?
Perceval : Et les pieds, on peut dire que c'est une bonne chose ou une mauvaise chose ?
Karadoc : C'est plutôt une bonne chose pour marcher, mais quand on marche trop ça fait mal aux pieds.
Perceval : Exactement ! Donc cette fiole, selon comment elle pue, on dit qu'elle est plutôt bonne, mais qu'il faut pas trop en mettre.
Karadonc : J'en mets combien ?
Perceval : Vous en mettez pas trop. Voilà, ensuite ?
Karadoc : Celle là.
Perceval : Non celle là on n'en met pas.
Karadonc : Ben pourquoi ?
Perceval : Bah parce que on va pas toutes le smettre quand même, Merlin il met pas tout à chaque fois.
Karadonc : Ah ouais. Celle là ?
Perceval : Allez-y vous ! Sentez la ! Il faut oser se lancer sinon vous progresserez jamais.
Karadoc : Ah merde.
Perceval : De quoi ?
Karadoc : Elle sent les pieds celle la.
Perceval : Comme l'autre ?
Karadoc : Ah non, l'autre j'ai dit qu'elle puait, mais pas forcément les pieds. Après vous avez dit qu'est ce qu'il y a d'autre qui pue, et moi j'ai dit les pieds.
Perceval : Merde, et celle la.. ?
Karadoc : Ben celle la elle sent vraiment les pieds.
Perceval : Pfiouuu, bon, ben faut tout recommencer.
[...]
Perceval : Alors voilà, si on vous a convoqué...
Arthur : Pfff...
Karadoc : Ben quoi ?
Arthur : Vous croyez vraiment qu'vous avez les moyens d'me convoquer ? Je suis là parce que j'veux bien. Et si vous m'avez fait déplacer pour rien, je vous balance quinze jours dans une cage sans boire ni bouffer, et jme démerde pour qu'vous chopiez l'typhus. J'vous écoute.
Perceval : On va faire simple.
Arthur : J'vous l'conseille oui.
Karadoc : On était parti pour inventer une potion magique de puissance.
Arthur : Qui ça ? Vous ??
Perceval : Ben, on n'a pas de technique, mais c'est comme tout, faut avoir du... voyez.
Karadoc : Bon, la potion de puissance ça a foiré.
Arthur : Ah merde. Ah ça m'coupe les jambes ça, comment ça s'fait ?
Perceval : Mais comparé à c'qu'on a trouvé, la potion d'puissance ça vaut d'la pisse.
(Karadoc boit la potion).
Perceval : Vous êtes prêt ?
Arthur : Ah ben moi ouais.
(Karadoc, avec une voix aigüe comme sous hélium) : Bonjour sire, comment vous portez vous aujourd'hui ?
(Karadoc et Perceval pliés de rire).
[...]
Lancelot : Victoire sire ! L'ennemi est en fuite !
Karadoc (avec sa voix aigue) : Ouais, c'est grâce à notre arme secrète !
Perceval (avec sa voie aigue) : On est indestructibles !
(Perceval et Karadoc pliés de rire, Lancelot leur donne des coups d'épée)
Perceval : Arrêtez ! C'est pour déconner !
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le portrait.
Arthur : Qu'est-ce que vous avez encore, pourquoi vous faites cette tête ?
Guenièvre : Mais quelle tête je fais ? Je fais pas de tête !
Arthur : Bah vous êtes toute euuuuh...
Guenièvre : Toute quoi ?
Arthur : Bah toute... vous faites pas la gueule là ?
Guenièvre : Mais non !
Arthur : Ouais ptetre ouais.. ouais...
[...]
Arthur (tenant un tableau) : Et vous allez le mettre où ça ?
Léodagan : Voyez comment c'est foutu chez moi à peu près ?
Arthur : Vaguement oui.
Léodagan : Quand vous rentrez, tout d'suite à gauche, vous avez la salle d'armes, et en face vous avez deux portes. Une qui donne sur la cuisine, et l'autre qui donne sur un long couloir avec des f'nêtres à ptits carreaux. Et après vous avez trois marches qui vont vers les chambres, ou alors si vous prenez à droite vous allez vers la tour de garde.
Arthur : Non mais attendez ça va, vous allez pas m'faire tout l'domaine si ?
Léodagan : Bah quoi ???
Arthur : Mais j'vais pas l'acheter votre baraque, j'vous d'mande où vous allez mettre ça !
Léodagan : Bah, tout d'suite en entrant. Voilà, y avait déjà mon père, mon grand-père, manquait plus qu'moi.
Arthur : ? Comment ? Mais pasque c'est vous ça ??
Léodagan : Ben évidemment ! Qui voulez vous qu'ce soit ?
Arthur : Bah la vache, faut avoir l'oeil !
Léodagan : Vous rigolez ou quoi, vous m'reconnaissez pas là d'ssus ?
Arthur : Peut-être oui...non, non mais enfin non pas du tout..
[...]
Bohort : Père Blaise ?
Léodagan : Non mais vous vous foutez d'ma gueule ?
Bohort : Ben j'sais pas quoi vous dire moi...
Léodagan : Mais vous êtes bigleux ou quoi ? L'Père Blaise il a plus un poil sur l'caillou. Vous reconnaissez pas ma tignasse là ?
Bohort : Oui, maintenant qu'vous me l'dites...
Léodagan : Bah quand même !
Bohort : On dirait Père Blaise avec une tignasse.
Léodagan : Mais qu'est ce que vous venez m'gonfler avec votre Père Blaise ????
Bohort : Ah si, j'suis désolé, y a du Père Blaise. Surtout dans le sourire.
Arthur : Tiens c'est vrai ça, qui c'est qui vous a d'mandé d'sourire comme ça ?
Léodagan : Ben c'est l'autre con là avec ses pinceaux...
Arthur : Ouais enfin, moi j'crois que c'est là qu'ça coince.
Bohort : Mais pourquoi est-ce que vous n'avez pas dit au peintre que vous n'souriez jamais ?
Léodagan : Comment ça j'souris jamais ?
Bohort : En tout cas j'ai pas le souvenir.
Arthur : Allez y, souriez pour voir ? Ah non mais cherchez pas hein, je vous jure, c'est super flippant.
Léodagan : Qu'est-ce qu'y a ?? Il vous plait pas mon sourire !!?
Arthur : Ah par contre là voilà, là c'est vous, là je vous reconnais. Tenez regardez, moi j'souris pas sur les pièces de bronze.
Léodagan : Quoi ? C'est vous sur les pièces de bronze ?
Arthur : Bah, ahah.
[...]
Perceval (regardant la pièce) : C'est quelqu'un que j'connais ?
Arthur : Bah un peu oui.
Perceval : Et lui i m'connait ?
Arthur : Mais qu'est ce que ça peut foutre ?
Perceval : Ben ça me donnera un angle de réflexion.
Arthur : Ah non ne commencez pas avec vos termes !
Bohort : Il parait qu'il s'agit du roi.
Arthur : Mais y a pas de "il parait" ! c'est moi, c'est tout !
Léodagan : Personne vous reconnait.
Perceval : Mais ça peut pas être vous ça.
Arthur : Et le dragon ? Vous reconnaissez pas l'dragon ? Arthur, le dragon, le dragon, Arthur, y a rien qui gigote là d'dans ?
Perceval : Ben j'vous ai jamais vu avec un dragon moi !
Arthur : ... oh...
Léodagan : Moi pour qu'on me r'connaisse faut juste deux/trois coups d'pinceau mais vous... ahah.
Arthur : Vous, vous devriez arrêter de sourire, parce que j'vous promets ça devient vraiment malsain.
[...]
Guenièvre : C'était pas désagréable ce ptit dîner ce soir hein ?
Arthur : Ah ça y est ! Vous avez exactement le même sourire que votre père.
Guenièvre : Ah bon !!
Arthur : Oui, affiché. D'ailleurs ça m'fait le même... Non arrêtez, c'est hyper malsain.
Arthur : Qu'est-ce que vous avez encore, pourquoi vous faites cette tête ?
Guenièvre : Mais quelle tête je fais ? Je fais pas de tête !
Arthur : Bah vous êtes toute euuuuh...
Guenièvre : Toute quoi ?
Arthur : Bah toute... vous faites pas la gueule là ?
Guenièvre : Mais non !
Arthur : Ouais ptetre ouais.. ouais...
[...]
Arthur (tenant un tableau) : Et vous allez le mettre où ça ?
Léodagan : Voyez comment c'est foutu chez moi à peu près ?
Arthur : Vaguement oui.
Léodagan : Quand vous rentrez, tout d'suite à gauche, vous avez la salle d'armes, et en face vous avez deux portes. Une qui donne sur la cuisine, et l'autre qui donne sur un long couloir avec des f'nêtres à ptits carreaux. Et après vous avez trois marches qui vont vers les chambres, ou alors si vous prenez à droite vous allez vers la tour de garde.
Arthur : Non mais attendez ça va, vous allez pas m'faire tout l'domaine si ?
Léodagan : Bah quoi ???
Arthur : Mais j'vais pas l'acheter votre baraque, j'vous d'mande où vous allez mettre ça !
Léodagan : Bah, tout d'suite en entrant. Voilà, y avait déjà mon père, mon grand-père, manquait plus qu'moi.
Arthur : ? Comment ? Mais pasque c'est vous ça ??
Léodagan : Ben évidemment ! Qui voulez vous qu'ce soit ?
Arthur : Bah la vache, faut avoir l'oeil !
Léodagan : Vous rigolez ou quoi, vous m'reconnaissez pas là d'ssus ?
Arthur : Peut-être oui...non, non mais enfin non pas du tout..
[...]
Bohort : Père Blaise ?
Léodagan : Non mais vous vous foutez d'ma gueule ?
Bohort : Ben j'sais pas quoi vous dire moi...
Léodagan : Mais vous êtes bigleux ou quoi ? L'Père Blaise il a plus un poil sur l'caillou. Vous reconnaissez pas ma tignasse là ?
Bohort : Oui, maintenant qu'vous me l'dites...
Léodagan : Bah quand même !
Bohort : On dirait Père Blaise avec une tignasse.
Léodagan : Mais qu'est ce que vous venez m'gonfler avec votre Père Blaise ????
Bohort : Ah si, j'suis désolé, y a du Père Blaise. Surtout dans le sourire.
Arthur : Tiens c'est vrai ça, qui c'est qui vous a d'mandé d'sourire comme ça ?
Léodagan : Ben c'est l'autre con là avec ses pinceaux...
Arthur : Ouais enfin, moi j'crois que c'est là qu'ça coince.
Bohort : Mais pourquoi est-ce que vous n'avez pas dit au peintre que vous n'souriez jamais ?
Léodagan : Comment ça j'souris jamais ?
Bohort : En tout cas j'ai pas le souvenir.
Arthur : Allez y, souriez pour voir ? Ah non mais cherchez pas hein, je vous jure, c'est super flippant.
Léodagan : Qu'est-ce qu'y a ?? Il vous plait pas mon sourire !!?
Arthur : Ah par contre là voilà, là c'est vous, là je vous reconnais. Tenez regardez, moi j'souris pas sur les pièces de bronze.
Léodagan : Quoi ? C'est vous sur les pièces de bronze ?
Arthur : Bah, ahah.
[...]
Perceval (regardant la pièce) : C'est quelqu'un que j'connais ?
Arthur : Bah un peu oui.
Perceval : Et lui i m'connait ?
Arthur : Mais qu'est ce que ça peut foutre ?
Perceval : Ben ça me donnera un angle de réflexion.
Arthur : Ah non ne commencez pas avec vos termes !
Bohort : Il parait qu'il s'agit du roi.
Arthur : Mais y a pas de "il parait" ! c'est moi, c'est tout !
Léodagan : Personne vous reconnait.
Perceval : Mais ça peut pas être vous ça.
Arthur : Et le dragon ? Vous reconnaissez pas l'dragon ? Arthur, le dragon, le dragon, Arthur, y a rien qui gigote là d'dans ?
Perceval : Ben j'vous ai jamais vu avec un dragon moi !
Arthur : ... oh...
Léodagan : Moi pour qu'on me r'connaisse faut juste deux/trois coups d'pinceau mais vous... ahah.
Arthur : Vous, vous devriez arrêter de sourire, parce que j'vous promets ça devient vraiment malsain.
[...]
Guenièvre : C'était pas désagréable ce ptit dîner ce soir hein ?
Arthur : Ah ça y est ! Vous avez exactement le même sourire que votre père.
Guenièvre : Ah bon !!
Arthur : Oui, affiché. D'ailleurs ça m'fait le même... Non arrêtez, c'est hyper malsain.
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Les volontaires II
Lancelot : Donc, j'vous retire la surveillance du stock de nourriture puisque vous tapez d'dans !
Perceval : C'est Karadoc !
Karadoc : Même pas vrai !
Perceval : Qu'est-c'qu'on va faire pendant qu'vous partez combattre maintenant ?
Lancelot : Ben rien. Asseyez vous sur une souche et attendez qu'on r'vienne.
[...]
Perceval : Là maintenant y en a marre !
Karadoc : Ras la visière !
Merlin : Mais qu'est c'que vous voulez qu'j'y fasse moi ?
Perceval : On veut montrer à notre roi qu'on est capable d'autre chose que surveiller un stock de bouffe !
Karadoc : Et qu'c'est pas parce qu'on pique un quignon d'pain une fois d'temps en temps qu'on est des débiles !
Perceval : On est des chevaliers, on a l'droit d'aller s'battre comme les autres !
Merlin : Moi j'suis désolé, j'comprends. Parce que foutre la merde dans un stock de bouffe c'est une chose, mais sur un champ d'bataille...
Perceval : Mais qu'ils viennent pas nous dire qu'on fout la merde sur un champ d'bataille !!
Karadoc : On n'y fout jamais les pieds !!!
Perceval : Ca va bien maintenant !
Karadoc : Merde !!
Merlin : Oh. Rappelez moi pourquoi vous venez gueuler chez moi au fait.
Perceval : Parce qu'on voudrait que vous nous bricoliez quelque chose pour qu'on impressionne.
Karadoc : Qu'ils s'disent qu'ils ont affaire à des...
Merlin : A des quoi ?
Perceval : A des pièces maîtresses. C'qu'il faut, c'est qu'dans pas longtemps on dise : Perceval et Karadoc sont pas là, on annule la bataille, on a aucune chance.
[...]
Arthur : Soit ils se sont scindés en deux groupes et on n'est pas assez...
Lancelot : Soit ils sont restés soudés, et là on a nos chances.
Karadonc : Ils sont combien exactement ?
Arthur : Qu'est-ce que ça peut vous faire ?
Karadoc : Pour évaluer.
Perceval : Qu'on ait une petite vue d'ensemble.
Arthur : Il vous faut une vue d'ensemble maitnenant pour surveiller les chevaux ?
Perceval : Sire il faut être un peu sérieux là...
Karadoc : Vous avez besoin d'nous aujourd'hui.
Lancelot : Et pourquoi aujourd'hui plus que d'habitude ?
Perceval : Vous risquez d'être en sous nombre, vous v'nez d'le dire.
Lancelot : Mais d'habitude quand on est en sous nombre vous gardez quand même les chevaux.
Arthur : Qu'est c'qui vous prend aujourd'hui ? Ca va ouais ?
Karadoc : Ecoutez sire, on s'est préparé.
Perceval : Aujourd'hui, on pourrait être la clef de voûte de votre régiment.
Lancelot : La clef de ? voûte ?
Perceval : Ca veut pas dire ça ?
Lancelot : Ben si...
Arthur : On vous a déjà expliqué. Une bataille, ça demande de la discipline et de la coordination.
Lancelot : On pense que vous êtes pas encore mûrs.
Karadoc : Pour la coordination j'veux bien, d'autant que j'sais même pas c'que ça veut dire.
Perceval : Par contre, aujourd'hui y a du changement.
Karadoc : Tous les enfoirés d'en face, on s'les prend à deux si vous voulez.
Perceval : Aujourd'hui c'est spécial !
Arthur : Ouais ? Vous êtes devenus suicidaires en plus d'être cons ?
Perceval : Envoyez.
Karadoc envoie une boule de feu.
Arthur : Les chevaux !!!
Karadoc : Oh merde.
[...]
Karadoc : Moi la magie, j'arrête.
Perceval : Vous avezréussi à envoyer une boule de feu, c'est déjà pas si mal.
Karadoc : Ouais mais si en plus faut faire gaffe où on l'envoie..
Merlin : Ben c'est un métier...
Perceval : Moi j'vais prendre un truc cette fois.
Merlin : Dîtes, vous croyez que j'ai qu'ça à faire, de faire faire d'la magie à deux corniauds ?
Perceval : Vous êtes au service de l'armée d'Kaamelott ou pas ?
Merlin : Ah parce que vous êtes l'armée d'Kaamelott vous maintenant ?
Perceval : Exactement, puis méfiez vous parce que dans les hierarchies, les chevaliers c'est avant les druides.
Merlin : Non.
Perceval : Comment, non ?
Merlin : Les druides, c'est avant les chevaliers.
Perceval : Ah bon ? Bah, si j'dis s'il vous plait ?
Merlin : Mais qu'est ce que vous voulez ? Une boule de feu vous aussi ? Vous comptez cramer la moitié du patrimoine forestier du pays ?
Karadoc : Moi la boule de feu j'la déconseille. C'est un vrai piège à cons.
Perceval : Non mais donnez moi un autre truc, plus calme, mais quand même qui impressionne.
Merlin : Un truc qui fait pousser les cheveux ça vous ira ?
[...]
Perceval : Ca va sire ?
Arthur : Qu'est ce que ça peut vous foutre ?
Perceval : J'crois qu'aujourd'hui vous allez pouvoir m'utiliser au combat.
Arthur : Ah bon ?
Perceval : Eh machin, viens voir.
Un autre Perceval : Bonjour sire, je trouve qu'il fait beau, mais encore frais. Mais beau.
Perceval : Par contre il est hyper con, j'sais pas pourquoi.
Lancelot : Donc, j'vous retire la surveillance du stock de nourriture puisque vous tapez d'dans !
Perceval : C'est Karadoc !
Karadoc : Même pas vrai !
Perceval : Qu'est-c'qu'on va faire pendant qu'vous partez combattre maintenant ?
Lancelot : Ben rien. Asseyez vous sur une souche et attendez qu'on r'vienne.
[...]
Perceval : Là maintenant y en a marre !
Karadoc : Ras la visière !
Merlin : Mais qu'est c'que vous voulez qu'j'y fasse moi ?
Perceval : On veut montrer à notre roi qu'on est capable d'autre chose que surveiller un stock de bouffe !
Karadoc : Et qu'c'est pas parce qu'on pique un quignon d'pain une fois d'temps en temps qu'on est des débiles !
Perceval : On est des chevaliers, on a l'droit d'aller s'battre comme les autres !
Merlin : Moi j'suis désolé, j'comprends. Parce que foutre la merde dans un stock de bouffe c'est une chose, mais sur un champ d'bataille...
Perceval : Mais qu'ils viennent pas nous dire qu'on fout la merde sur un champ d'bataille !!
Karadoc : On n'y fout jamais les pieds !!!
Perceval : Ca va bien maintenant !
Karadoc : Merde !!
Merlin : Oh. Rappelez moi pourquoi vous venez gueuler chez moi au fait.
Perceval : Parce qu'on voudrait que vous nous bricoliez quelque chose pour qu'on impressionne.
Karadoc : Qu'ils s'disent qu'ils ont affaire à des...
Merlin : A des quoi ?
Perceval : A des pièces maîtresses. C'qu'il faut, c'est qu'dans pas longtemps on dise : Perceval et Karadoc sont pas là, on annule la bataille, on a aucune chance.
[...]
Arthur : Soit ils se sont scindés en deux groupes et on n'est pas assez...
Lancelot : Soit ils sont restés soudés, et là on a nos chances.
Karadonc : Ils sont combien exactement ?
Arthur : Qu'est-ce que ça peut vous faire ?
Karadoc : Pour évaluer.
Perceval : Qu'on ait une petite vue d'ensemble.
Arthur : Il vous faut une vue d'ensemble maitnenant pour surveiller les chevaux ?
Perceval : Sire il faut être un peu sérieux là...
Karadoc : Vous avez besoin d'nous aujourd'hui.
Lancelot : Et pourquoi aujourd'hui plus que d'habitude ?
Perceval : Vous risquez d'être en sous nombre, vous v'nez d'le dire.
Lancelot : Mais d'habitude quand on est en sous nombre vous gardez quand même les chevaux.
Arthur : Qu'est c'qui vous prend aujourd'hui ? Ca va ouais ?
Karadoc : Ecoutez sire, on s'est préparé.
Perceval : Aujourd'hui, on pourrait être la clef de voûte de votre régiment.
Lancelot : La clef de ? voûte ?
Perceval : Ca veut pas dire ça ?
Lancelot : Ben si...
Arthur : On vous a déjà expliqué. Une bataille, ça demande de la discipline et de la coordination.
Lancelot : On pense que vous êtes pas encore mûrs.
Karadoc : Pour la coordination j'veux bien, d'autant que j'sais même pas c'que ça veut dire.
Perceval : Par contre, aujourd'hui y a du changement.
Karadoc : Tous les enfoirés d'en face, on s'les prend à deux si vous voulez.
Perceval : Aujourd'hui c'est spécial !
Arthur : Ouais ? Vous êtes devenus suicidaires en plus d'être cons ?
Perceval : Envoyez.
Karadoc envoie une boule de feu.
Arthur : Les chevaux !!!
Karadoc : Oh merde.
[...]
Karadoc : Moi la magie, j'arrête.
Perceval : Vous avezréussi à envoyer une boule de feu, c'est déjà pas si mal.
Karadoc : Ouais mais si en plus faut faire gaffe où on l'envoie..
Merlin : Ben c'est un métier...
Perceval : Moi j'vais prendre un truc cette fois.
Merlin : Dîtes, vous croyez que j'ai qu'ça à faire, de faire faire d'la magie à deux corniauds ?
Perceval : Vous êtes au service de l'armée d'Kaamelott ou pas ?
Merlin : Ah parce que vous êtes l'armée d'Kaamelott vous maintenant ?
Perceval : Exactement, puis méfiez vous parce que dans les hierarchies, les chevaliers c'est avant les druides.
Merlin : Non.
Perceval : Comment, non ?
Merlin : Les druides, c'est avant les chevaliers.
Perceval : Ah bon ? Bah, si j'dis s'il vous plait ?
Merlin : Mais qu'est ce que vous voulez ? Une boule de feu vous aussi ? Vous comptez cramer la moitié du patrimoine forestier du pays ?
Karadoc : Moi la boule de feu j'la déconseille. C'est un vrai piège à cons.
Perceval : Non mais donnez moi un autre truc, plus calme, mais quand même qui impressionne.
Merlin : Un truc qui fait pousser les cheveux ça vous ira ?
[...]
Perceval : Ca va sire ?
Arthur : Qu'est ce que ça peut vous foutre ?
Perceval : J'crois qu'aujourd'hui vous allez pouvoir m'utiliser au combat.
Arthur : Ah bon ?
Perceval : Eh machin, viens voir.
Un autre Perceval : Bonjour sire, je trouve qu'il fait beau, mais encore frais. Mais beau.
Perceval : Par contre il est hyper con, j'sais pas pourquoi.
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Huuu,huuuhuuuu. musique de fin
Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le terroriste.
Le prisonnier : Fumieeeeeeeer !
Dame Séli : Qu'est ce que c'est qu'ça ?
Léodagan : Un prisonnier qui gueule.
Dame Séli : Qu'est-ce qui veut ?
Léodagan : Il dit qu'il est innocent.
Dame Séli : Ben c'est ptêtre vrai.
Léodagan : Oui enfin, vrai ou pas vrai, quand on a un minimum d'éducation, on emmerde pas le monde a une heure du matin pour des problèmes personnels hein.
[...]
Arthur : Comment vous dites qu'il s'appelle déjà ?
Léodagan : J'sais plus.
Lancelot : Et depuis combien de temps il est enfermé ?
Léodagan : Alors là...
Arthur : Oui, en gros vous savez rien quoi..
Lancelot : Qu'est-ce qu'il y a d'marquer sur l'registre ?
Léodagan : Rien...
Lancelot : Comment ça "rien" ?
Léodagan : Rien, y a rien de marqué.
Arthur : Comment ça s'fait ?
Léodagan : Mais parce que y a jamais eu rien de marqué sur l'registre, on dit "le registre" histoire de se donner des airs, mais personne s'en est jamais occupé d'ce machin.
Arthur : En gros, vous savez ni qui c'est, ni c'qu'il fout là.
Léodagan : Ben ça j'vous dirais, c'est bien pareil pour les autres.
Lancelot : Mais enfin c'est intolérable !
Léodagan : S'ils y sont c'est qu'ils l'ont mérité toute façon.
Lancelot : Sîre, il faut faire quelque chose.
Léodagan : Ah oui ! Parce que là, toutes les nuits il nous emmerde, c'est devenu systématique !
Arthur : Mais qu'est ce qu'on peut faire ?
Léodagan : Ah vous j'sais pas mais moi j'abandonne. J'ai tout essayé, les coups d'fouets, lui couper la bouffe, la flotte, pas moyen d'lui faire fermer sa gueule.
[...]
Arthur : C'est lequel ?
Le prisonnier : Fumieeeeeers !!
Lancelot : C'est celui là.
Arthur : Quel est votre nom ?
Le prisonnier : Allez vous faire mettre !
Lancelot : Vous êtes en présence du roi Arthur, surveillez votre langage !
Le prisonnier : Qu'est ce que vous allez m'faire ? Me foutre au cachot ?
Lancelot : Nous sommes ici pour vous écouter, vous devriez en profiter.
Arthur : Vous voulez vraiment nous dire votre nom ?
Le prisonnier : Feherbac.
Lancelot : Et vous êtes détenu depuis combien de temps ?
Le prisonnier : 22 ans.
Arthur : 22 ans !?
Le prisonnier : Ouais enfin ça va faire 22 ans au mois de mai. Vous allez pas chipoter !
Lancelot : Et quel est le motif de votre incarcération ?
Le prisonnier : Terrorisme et détention d'insectes.
Arthur : Détention d'insecte ?
Le prisonnier : Ouais à l'époque j'avais des poux j'ai pris 3 jours de cachot.
Lancelot : Et 21 ans pour terrorisme ??
Le prisonnier : Non, 4 ans. Ca faisait une peine de 4 ans et trois jours.
Lancelot : Et les 18 de plus ?
Le prisonnier : Eh, vous avez oublié d'me libérer !
Arthur : Vous avez jamais rien dit ?
Le prisonnier : Bah au début non, mais là merde, 18 ans jtrouve que c'est exagéré.
Lancelot : Bon vous inquiétez pas on va vous faire sortir.
Arthur : Attendez attendez, cette histoire de terrorisme là, racontez nous comment ça s'est passé.
Le prisonnier : Vous avez qu'à consulter l'registre.
Lancelot : Non mais ça on peut pas on..
Arthur : Non mais si on pourrait mais on..
Lancelot : Oui on voudrait votre version pour comparer.
Arthur : Oui voilà.
[...]
Le prisonnier : A l'époque, tout c'qu'on voulait c'était la peau d'ce fumer d'Pandragon.
Lancelot : Pandragon était le père du roi !
Le prisonnier : Excusez moi..
Arthur : Non non ben j'en ai rien à carrer t'façon j'l'ai jamais connu.
Le prisonnier : Ah bon, bah c'était une jolie ptite salope j'aime autant vous l'dire.
Lancelot : Un peu de tenue !
Arthur : J'l'ai jamais connu mais d'après c'qu'on m'a dit c'est pas complètement faux.
Le prisonnier : A l'époque, j'vous parle de ça le château était même pas construit, j'ai fait 14 ans à Tintagel avant d'être transferé ici. Pandragon avait pactisé avec les romains, vous vous rendez compte du fumier ?
Lancelot : Non mais il l'a pas fait finalement.
Le prisonnier : Ah non ?
Arthur : Non. Moi j'l'ai fait par contre.
Le prisonnier : Ah ? Et alors comment ça s'est passé ?
Arthur : Très bien. Maintenant on a les routes, l'école, la mortalité infantile a diminué de moitié, on a les aqueducs...
Le prisonnier : Ah, c'est plutôt une bonne chose alors ?
Lancelot : Sans l'ombre d'un doute oui.
Le prisonnier : Bah moi à l'époque j'pouvais pas les blairer les romains, j'ai fait cramer trois auberges et trois postes aux frontières.
Arthur : Ah ouais quand même... Non parce que si on vous libère là, mettons, qu'est ce qui me prouve que vous allez pas recommencer ?
Lancelot : Vu qu'on a pactisé avec les romains.
Le prisonnier : Moi j'pense que j'vais recommencer... ouais c'est sûr.
[...]
Lancelot : Vous êtes sûr hein ? Pas de regret ?
Le prisonnier : J'vous dirais bien que j'vais m'tenir à carreaux mais jme connais ; jvais tomber sur un romain, jvais faire cramer une grange.
Arthur : Bon ben on vous laisse là alors.
Le prisonnier : Ouais c'est aussi bien. En plus depuis l'temps j'ai mes potes... hein tété ?
Le prisonnier : Fumieeeeeeeer !
Dame Séli : Qu'est ce que c'est qu'ça ?
Léodagan : Un prisonnier qui gueule.
Dame Séli : Qu'est-ce qui veut ?
Léodagan : Il dit qu'il est innocent.
Dame Séli : Ben c'est ptêtre vrai.
Léodagan : Oui enfin, vrai ou pas vrai, quand on a un minimum d'éducation, on emmerde pas le monde a une heure du matin pour des problèmes personnels hein.
[...]
Arthur : Comment vous dites qu'il s'appelle déjà ?
Léodagan : J'sais plus.
Lancelot : Et depuis combien de temps il est enfermé ?
Léodagan : Alors là...
Arthur : Oui, en gros vous savez rien quoi..
Lancelot : Qu'est-ce qu'il y a d'marquer sur l'registre ?
Léodagan : Rien...
Lancelot : Comment ça "rien" ?
Léodagan : Rien, y a rien de marqué.
Arthur : Comment ça s'fait ?
Léodagan : Mais parce que y a jamais eu rien de marqué sur l'registre, on dit "le registre" histoire de se donner des airs, mais personne s'en est jamais occupé d'ce machin.
Arthur : En gros, vous savez ni qui c'est, ni c'qu'il fout là.
Léodagan : Ben ça j'vous dirais, c'est bien pareil pour les autres.
Lancelot : Mais enfin c'est intolérable !
Léodagan : S'ils y sont c'est qu'ils l'ont mérité toute façon.
Lancelot : Sîre, il faut faire quelque chose.
Léodagan : Ah oui ! Parce que là, toutes les nuits il nous emmerde, c'est devenu systématique !
Arthur : Mais qu'est ce qu'on peut faire ?
Léodagan : Ah vous j'sais pas mais moi j'abandonne. J'ai tout essayé, les coups d'fouets, lui couper la bouffe, la flotte, pas moyen d'lui faire fermer sa gueule.
[...]
Arthur : C'est lequel ?
Le prisonnier : Fumieeeeeers !!
Lancelot : C'est celui là.
Arthur : Quel est votre nom ?
Le prisonnier : Allez vous faire mettre !
Lancelot : Vous êtes en présence du roi Arthur, surveillez votre langage !
Le prisonnier : Qu'est ce que vous allez m'faire ? Me foutre au cachot ?
Lancelot : Nous sommes ici pour vous écouter, vous devriez en profiter.
Arthur : Vous voulez vraiment nous dire votre nom ?
Le prisonnier : Feherbac.
Lancelot : Et vous êtes détenu depuis combien de temps ?
Le prisonnier : 22 ans.
Arthur : 22 ans !?
Le prisonnier : Ouais enfin ça va faire 22 ans au mois de mai. Vous allez pas chipoter !
Lancelot : Et quel est le motif de votre incarcération ?
Le prisonnier : Terrorisme et détention d'insectes.
Arthur : Détention d'insecte ?
Le prisonnier : Ouais à l'époque j'avais des poux j'ai pris 3 jours de cachot.
Lancelot : Et 21 ans pour terrorisme ??
Le prisonnier : Non, 4 ans. Ca faisait une peine de 4 ans et trois jours.
Lancelot : Et les 18 de plus ?
Le prisonnier : Eh, vous avez oublié d'me libérer !
Arthur : Vous avez jamais rien dit ?
Le prisonnier : Bah au début non, mais là merde, 18 ans jtrouve que c'est exagéré.
Lancelot : Bon vous inquiétez pas on va vous faire sortir.
Arthur : Attendez attendez, cette histoire de terrorisme là, racontez nous comment ça s'est passé.
Le prisonnier : Vous avez qu'à consulter l'registre.
Lancelot : Non mais ça on peut pas on..
Arthur : Non mais si on pourrait mais on..
Lancelot : Oui on voudrait votre version pour comparer.
Arthur : Oui voilà.
[...]
Le prisonnier : A l'époque, tout c'qu'on voulait c'était la peau d'ce fumer d'Pandragon.
Lancelot : Pandragon était le père du roi !
Le prisonnier : Excusez moi..
Arthur : Non non ben j'en ai rien à carrer t'façon j'l'ai jamais connu.
Le prisonnier : Ah bon, bah c'était une jolie ptite salope j'aime autant vous l'dire.
Lancelot : Un peu de tenue !
Arthur : J'l'ai jamais connu mais d'après c'qu'on m'a dit c'est pas complètement faux.
Le prisonnier : A l'époque, j'vous parle de ça le château était même pas construit, j'ai fait 14 ans à Tintagel avant d'être transferé ici. Pandragon avait pactisé avec les romains, vous vous rendez compte du fumier ?
Lancelot : Non mais il l'a pas fait finalement.
Le prisonnier : Ah non ?
Arthur : Non. Moi j'l'ai fait par contre.
Le prisonnier : Ah ? Et alors comment ça s'est passé ?
Arthur : Très bien. Maintenant on a les routes, l'école, la mortalité infantile a diminué de moitié, on a les aqueducs...
Le prisonnier : Ah, c'est plutôt une bonne chose alors ?
Lancelot : Sans l'ombre d'un doute oui.
Le prisonnier : Bah moi à l'époque j'pouvais pas les blairer les romains, j'ai fait cramer trois auberges et trois postes aux frontières.
Arthur : Ah ouais quand même... Non parce que si on vous libère là, mettons, qu'est ce qui me prouve que vous allez pas recommencer ?
Lancelot : Vu qu'on a pactisé avec les romains.
Le prisonnier : Moi j'pense que j'vais recommencer... ouais c'est sûr.
[...]
Lancelot : Vous êtes sûr hein ? Pas de regret ?
Le prisonnier : J'vous dirais bien que j'vais m'tenir à carreaux mais jme connais ; jvais tomber sur un romain, jvais faire cramer une grange.
Arthur : Bon ben on vous laisse là alors.
Le prisonnier : Ouais c'est aussi bien. En plus depuis l'temps j'ai mes potes... hein tété ?
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Dardevil,
c'est plus : Uhuuuuuuuuuuuuu, Uhuuuuuuuuuuuu, Uhuuuuuuuuuuuuuu !
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Re: Les répliques de Kaamelott.
C,'est pas faux !evolution650HBn°2 a écrit :Dardevil,
c'est plus : Uhuuuuuuuuuuuuu, Uhuuuuuuuuuuuu, Uhuuuuuuuuuuuuuu !
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Re: Les répliques de Kaamelott.
C'est quel 'mot' que tu comprends pas?
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
UBenoit a écrit :C'est quel 'mot' que tu comprends pas?
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Les nouveaux commerçants !Daredevil a écrit :UBenoit a écrit :C'est quel 'mot' que tu comprends pas?
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