[Index Fiction] Kaamelott : Les répliques de Kaamelott, et autres...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
L'episode où le Duc d'Aquitaine et sa (nouvelle)femme rencontrent labelle famille d'Arthur, il y a une replique de " quicher la tete" dedans et je ne le trouve pas ici.
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ah ok.
En fait je n'ai mis que les passages que je trouvais amusants - j'en ai certainement omis certains.
D'ailleurs, question : je comptais noter quelques épisodes intégralement, mais ce qui me rebute c'est de devoir mettre les noms en italique à chaque fois ça me prends un temps "fou".
Sans italique, pensez vous que cela rendrait la lecture désagréable ?
En fait je n'ai mis que les passages que je trouvais amusants - j'en ai certainement omis certains.
D'ailleurs, question : je comptais noter quelques épisodes intégralement, mais ce qui me rebute c'est de devoir mettre les noms en italique à chaque fois ça me prends un temps "fou".
Sans italique, pensez vous que cela rendrait la lecture désagréable ?
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Sur le wikiquote de Kaamelott ca passe bien sans italiques.
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ok merci, bon ben yapuka alors :p
(par contre, j'anticipe, non ça ne sera pas de mémoire, je les regarderaien parallèle).
(par contre, j'anticipe, non ça ne sera pas de mémoire, je les regarderaien parallèle).
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Allez, je vous mets à contribution.
Si vous ne deviez choisir qu'un seul épisode, celui qui vous a le plus fait rire, lequel serait-ce ? (question pas évidente...)
Si vous ne deviez choisir qu'un seul épisode, celui qui vous a le plus fait rire, lequel serait-ce ? (question pas évidente...)
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
C'est sacrément ouvert, comme question ...evolution650HBn°2 a écrit :Si vous ne deviez choisir qu'un seul épisode, celui qui vous a le plus fait rire, lequel serait-ce ? (question pas évidente...)
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le garde du corps.
Arthur : Donc c'est sûr, ils acceptent ?
Lancelot : Le messager est formel, ils arrivent à Kaamelott pour signer le traité de paix.
Bohort : C'est magnifique sir, la signature d'un traité de paix ! c'est la plus belle chose qui soit ! (fait un bisou à Arthur, qui se crispe) Excusez-moi.. c'est la joie..
Arthur : Allez y mollo avec la joie !
[...]
Arthur : Vous êtes sûr que c'est obligé le coup du garde du corps ? Parce que franchement j'suis assez grand pour me protéger tout seul.
Lancelot : Je suis désolé mais ça fait partie des conditions.
Bohort : C'est normal, imaginez qu'il vous arrive quelque chose avant la signature du traité.
Lancelot : Non et puis deux jours c'est pas tellement long, en plus je vous en ai trouvé un formidable (montrant Grudu)
Arthur : Non mais j'en doute pas, c'est pas contre vous, simplement le principe d'êrtre collé non stop par quelqu'un pendant deux jours...
Bohort : eh oui.. jour et nuit.
Arthur : Jour et nuit ???
Bohort : ça fait partie des conditions.
Lancelot : Ne vous inquiétez pas, Grudu est un garçon très discret.
Grudu : Au bout d'un moment vous ne saurez même plus que je suis là.
Lancelot : Et puis avec lui je suis tranquille, c'est une force de la nature. Entrainé à tué, il a grandi sur la banquise Viking, il a été élevé par des ours polaires, ah bon par contre, si vous sentez qu'il s'énerver un peu, vous lui sortez un morceau de viande crue et.. (grudu se jette sur la viande) aaah !!! tu lâches ! tu lâches !
[...] Plus tard, au lit.
Arthur : Non mais c'est débile cette histoire !
Grudu : J'ai pas le droit de vous laisser.
Demetra : Quand même, avec ses maitresses il a bien droit à un peu d'intimité !
Grudu : Ni avec ses maitresses ni avec sa femme, j'ai pas le droit de le laisser.
Demetra : Alors allez au moins dans le coin de la pièce.
Grudu : J'ai pas le droit de m'éloigner.
Demetra : Mais regarder ailleurs alors ! Parce que là ça va pas êter facile !
Grudu : J'ai pas le droit de le quitter des yeux.
Demetra : Bon qu'est ce qu'on fait alors ? On le fait quand même ?
Arthur : Non mais sûrement pas non ! Non mais ça va bien oui !?
Demetra, s'approchant d'Arthur : Ca fait deux semaines qu'on ne s'est pas vu et...
Grudu, la menaçant avec un couteau : Recule ! Recule ou je te sors les boyaux !
Demetra : Non mais ça va pas !!
Grudu : Personne n'a le droit de le toucher.
Arthur : Non mais ne soyez pas con... ! Vous croyez peut-êrtre qu'elle veut m'assassiner ?
Demetra : La vache, la trouille !
Grudu : Personne n'a le droit de vous toucher.
Arthur : Et si quelqu'un me sert la main ?? Ou me passe un morceau de pain à table ??
Grudu : Je lui démonte sa face.
Arthur : Ah non mais vous êtes pas bien hein. Alors si je comprends bien il va falloir que je fasse attention pendant deux jours à ce que personne me frôle dans les couloirs !!?
Grudu : Non mais personne vous frôlera parce que je lui aurais pété sa tête avant.
Arthur : Et ma femme ? La reine ?
Grudu : Avec tout le respect que je dois à une personne royale, sir, si la reine essaie de vous toucher, je lui bousille sa gueule.
Demetra : Ca serait bête, du coup vous seriez obligé de choisir une autre reine.
[...]
Demetra : Et dès que vous aurez signé le traité il ne vous protégera plus ?
Arthur : Non. Là il me lâche pas, mais dans deux jours il en aura plus rien à foutre.
Grudu : Quand même, faut pas exagérer.
Arthur : Ben quoi, c'est vrai ou c'est pas vrai ?
Grudu : Attendez, l'affectif ça joue aussi. A force d'être ensemble, des liens se créent c'est obligé.
Arthur : Des liens se créent ? Mais qu'est ce qu'il me raconte ? Vous me filez le train depuis 2h de l'apres midi !
Grudu : Oui mais je vous apprécie beaucoup, je trouve que vous avez beaucoup de noblesse. Vous exercer votre pouvoir avec grandeur et humilité, et c'est vraiment beau à voir.
Arthur : Bon ben si vous m'aimez bien, vous pouvez pas me faire une fleur ?
Grudu : Si, tout ce que vous voulez.
Arthur : Vous pouvez pas aller à la porte une petite demie-heure ?
Grudu : J'ai pas le droit de vous laisser.
Arthur (prend le couteau de Grudu et s'auto-menace) : Ah ! Et là qu'est ce qui se passe ? Eh oui, je me menace, il faudrait me buter mais vous n'avez pas le droit de me toucher ! Aaah ?
Grudu est pris de convulsion.
Arthur : Non non mais ça va, c'était pour déconner ! C'était pour déconner ! ça va, c'était une connerie, oh !! Ca va, ça va, un morceau de viande, un morceau de viande ! un morceau de viande !
(Arthur lance de la viande crue à Grudu)
Arthur : Putain ça va être long deux jours...
[...]
Guenièvre : Et si vous laissiez tomber la lecture pour un petit moment ?
Grudu : Recule ! Recule ou jte crève les yeux !!!
Arthur : Ouais non j'ai pas l'droit, parce que y a le traité de paix, tout ça, j'suis désolé. En fait c'est pas désagréable de se sentir protéger.
Arthur : Donc c'est sûr, ils acceptent ?
Lancelot : Le messager est formel, ils arrivent à Kaamelott pour signer le traité de paix.
Bohort : C'est magnifique sir, la signature d'un traité de paix ! c'est la plus belle chose qui soit ! (fait un bisou à Arthur, qui se crispe) Excusez-moi.. c'est la joie..
Arthur : Allez y mollo avec la joie !
[...]
Arthur : Vous êtes sûr que c'est obligé le coup du garde du corps ? Parce que franchement j'suis assez grand pour me protéger tout seul.
Lancelot : Je suis désolé mais ça fait partie des conditions.
Bohort : C'est normal, imaginez qu'il vous arrive quelque chose avant la signature du traité.
Lancelot : Non et puis deux jours c'est pas tellement long, en plus je vous en ai trouvé un formidable (montrant Grudu)
Arthur : Non mais j'en doute pas, c'est pas contre vous, simplement le principe d'êrtre collé non stop par quelqu'un pendant deux jours...
Bohort : eh oui.. jour et nuit.
Arthur : Jour et nuit ???
Bohort : ça fait partie des conditions.
Lancelot : Ne vous inquiétez pas, Grudu est un garçon très discret.
Grudu : Au bout d'un moment vous ne saurez même plus que je suis là.
Lancelot : Et puis avec lui je suis tranquille, c'est une force de la nature. Entrainé à tué, il a grandi sur la banquise Viking, il a été élevé par des ours polaires, ah bon par contre, si vous sentez qu'il s'énerver un peu, vous lui sortez un morceau de viande crue et.. (grudu se jette sur la viande) aaah !!! tu lâches ! tu lâches !
[...] Plus tard, au lit.
Arthur : Non mais c'est débile cette histoire !
Grudu : J'ai pas le droit de vous laisser.
Demetra : Quand même, avec ses maitresses il a bien droit à un peu d'intimité !
Grudu : Ni avec ses maitresses ni avec sa femme, j'ai pas le droit de le laisser.
Demetra : Alors allez au moins dans le coin de la pièce.
Grudu : J'ai pas le droit de m'éloigner.
Demetra : Mais regarder ailleurs alors ! Parce que là ça va pas êter facile !
Grudu : J'ai pas le droit de le quitter des yeux.
Demetra : Bon qu'est ce qu'on fait alors ? On le fait quand même ?
Arthur : Non mais sûrement pas non ! Non mais ça va bien oui !?
Demetra, s'approchant d'Arthur : Ca fait deux semaines qu'on ne s'est pas vu et...
Grudu, la menaçant avec un couteau : Recule ! Recule ou je te sors les boyaux !
Demetra : Non mais ça va pas !!
Grudu : Personne n'a le droit de le toucher.
Arthur : Non mais ne soyez pas con... ! Vous croyez peut-êrtre qu'elle veut m'assassiner ?
Demetra : La vache, la trouille !
Grudu : Personne n'a le droit de vous toucher.
Arthur : Et si quelqu'un me sert la main ?? Ou me passe un morceau de pain à table ??
Grudu : Je lui démonte sa face.
Arthur : Ah non mais vous êtes pas bien hein. Alors si je comprends bien il va falloir que je fasse attention pendant deux jours à ce que personne me frôle dans les couloirs !!?
Grudu : Non mais personne vous frôlera parce que je lui aurais pété sa tête avant.
Arthur : Et ma femme ? La reine ?
Grudu : Avec tout le respect que je dois à une personne royale, sir, si la reine essaie de vous toucher, je lui bousille sa gueule.
Demetra : Ca serait bête, du coup vous seriez obligé de choisir une autre reine.
[...]
Demetra : Et dès que vous aurez signé le traité il ne vous protégera plus ?
Arthur : Non. Là il me lâche pas, mais dans deux jours il en aura plus rien à foutre.
Grudu : Quand même, faut pas exagérer.
Arthur : Ben quoi, c'est vrai ou c'est pas vrai ?
Grudu : Attendez, l'affectif ça joue aussi. A force d'être ensemble, des liens se créent c'est obligé.
Arthur : Des liens se créent ? Mais qu'est ce qu'il me raconte ? Vous me filez le train depuis 2h de l'apres midi !
Grudu : Oui mais je vous apprécie beaucoup, je trouve que vous avez beaucoup de noblesse. Vous exercer votre pouvoir avec grandeur et humilité, et c'est vraiment beau à voir.
Arthur : Bon ben si vous m'aimez bien, vous pouvez pas me faire une fleur ?
Grudu : Si, tout ce que vous voulez.
Arthur : Vous pouvez pas aller à la porte une petite demie-heure ?
Grudu : J'ai pas le droit de vous laisser.
Arthur (prend le couteau de Grudu et s'auto-menace) : Ah ! Et là qu'est ce qui se passe ? Eh oui, je me menace, il faudrait me buter mais vous n'avez pas le droit de me toucher ! Aaah ?
Grudu est pris de convulsion.
Arthur : Non non mais ça va, c'était pour déconner ! C'était pour déconner ! ça va, c'était une connerie, oh !! Ca va, ça va, un morceau de viande, un morceau de viande ! un morceau de viande !
(Arthur lance de la viande crue à Grudu)
Arthur : Putain ça va être long deux jours...
[...]
Guenièvre : Et si vous laissiez tomber la lecture pour un petit moment ?
Grudu : Recule ! Recule ou jte crève les yeux !!!
Arthur : Ouais non j'ai pas l'droit, parce que y a le traité de paix, tout ça, j'suis désolé. En fait c'est pas désagréable de se sentir protéger.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Arf Tugdual je n'ai pas compris, elle est pourtant plutôt fermée non ?
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Codes et Stratégies.
Kay, souffle dans la corne de brume.
Arthur : Mais j'ai rien dit encore !
Kay : Bah faut bien que je la teste.
Arthur (aux combattants) : Non mais c'est rien, c'est rien, c'était pour tester la corne !
Léodagan : C'est bon maintenant elle marche ?
[...]
Arthur : Là !! Là !!! Mais ne courrez pas comme des cons !! Rah ! Donne un coup d'tutut toi !
Kay souffle dans la corne.
Lancelot : Drapeau noir ! Drapeau rouge, deux fois !
Léodagan : Mais ils font pas du tout ce qu'on leur demande ils partent à droite.
Lancelot : Mais c'est pourtant clair.. bon qu'est ce que je fais ? Je relance ? Je relance ou je relance pas ?
Arthur : Mais relancez si ça vous chante qu'est ce que vous voulez que je vous dise moi !!?
Lancelot : Bon, appel.
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Non mais déjà à la corne ils regardent même pas par ici, alors vous pouvez bien agiter tous les drapeaux que vous voulez hein.
Arthur : Allez insiste ! Du souffle !!
Kay souffle dans la corne.
Arthur : Non mais c'est pas vrai ! Oh ! Non mais si on vous emmerde vous prévenez ! Ben ouais, c'est un peu là que ça se passe oui !
[...]
Lancelot : Drapeau noir ! Drapeau rouge ! Drapeaux en V !
Léodagan : C'est quand même magnifique une armée bien coordonnée hein.. Bah quoi, vous allez pas me dire qu'on n'a pas l'air con avec nos drapeaux ! ça fait une heure qu'on fait des signes y en a pas un qui va dans le même sens.
Lancelot : Oui bah ils ont du mal avec le code !
Léodagan : Oui oh ils ont du mal avec tout hein.
Arthur : M'enfin y a quand même pas 50 trucs à retenir bon sang.. débordement, gauche, droite, retrait, quelques petits signes pour les archers..
Lancelot : Mais je sais bien, en plus il est clair ce code, enfin il me semble.
Kay : Peut-être qu'il aurait fallu moins de signes différents et plus de couleurs ?
Léodagan : Bien sûr, comme ça au lieu de confondre les signes ils auraient confondu les couleurs.
Arthur : Mais vous vous rendez compte qu'on était deux fois plus nombreux qu'eux et qu'on va quand même perdre parce que ces débiles sont pas foutus de retenir trois signes de code ??
Lancelot : On n'a pas encore perdu.
Léodagan : AAAh il y a une faillle à gauche.
Lancelot : Ah il faut la tenter celle là !
Arthur : Allez, donne un coup d'tsoin tsoin toi !
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Oh mais c'est pas vrai, mais ils regardent même pas vers ici !
Lancelot : Double l'appel !
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Oh non mais ils se foutent de nous ou quoi ?
Lancelot : On triple l'appel ?
Arthur : On triple.. on triple.. donne moi ça toi ! (arrache violemment la corne de Kay, et souffle à plein poumons dedans) Ooooh là !! là !!! là !!! làààà !! Sortez vous les doigts du cul !!! (balance la corne).
[...]
Lancelot : Olala, il faut sonner la retraite là, sire.
Arthur : Hein ?
Lancelot : J'suis désolé si on veut avoir encore une chance de sauver quelques hommes il faut sonner la retraite.
Arthur : Ils écoutent pas quand on sonne.
Léodagan : Non mais peut-être que quand c'est la retraite ils écoutent.
Arthur : Faites comme vous voulez ça m'est égal.
Lancelot : Bon, appel.
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Ah ben ça marche, ils se tirent.
Kay : Mais j'ai pas fait les signes encore !
Léodagan : Ah ben peut-être, n'empêche qu'ils se tirent.
Lancelot : Mais ils ont pas le droit de décider la retraite d'eux même, on l'a dit et redit ça !
Arthur : Moi, prochaine bataille arrangée, je reste à Kaamelott.
Lancelot : Quoi ?
Léodagan : Oh mais dites pas de connerie.
Lancelot : Vous pouvez pas faire ça !
Arthur : Je vais vous dire ; ils font ce qu'ils veulent, ils attaquent par où ils veulent, quand ils perdent ils décident de se tirer sans prévenir personne... j'suis chef de guerre moi, j'suis pas là pour secouer des drapeaux et jouer de la trompette.
[...]
Lancelot : Il va falloir qu'on trouve un code plus simple.
Léodagan : Mais c'est pas le code qui va pas.
Lancelot : Je sais pas ce qui va pas mais va falloir que ça aille !
Léodagan : Ah c'est sûr que les hommes vont pas pouvoir se prendre une dérouillée par semaine comme ça
pendant longtemps.
Lancelot : Les hommes c'est une chose, mais le problème c'est surtout lui ; un chef de guerre qui n'commande plus c'est pas bon. Il va déprimer, il va se mettre à bouffer, il va prendre 40 livres.
Léodagan : Ouais. Ou alors faut voir, peut-être qu'en changeant le code...
Kay, souffle dans la corne de brume.
Arthur : Mais j'ai rien dit encore !
Kay : Bah faut bien que je la teste.
Arthur (aux combattants) : Non mais c'est rien, c'est rien, c'était pour tester la corne !
Léodagan : C'est bon maintenant elle marche ?
[...]
Arthur : Là !! Là !!! Mais ne courrez pas comme des cons !! Rah ! Donne un coup d'tutut toi !
Kay souffle dans la corne.
Lancelot : Drapeau noir ! Drapeau rouge, deux fois !
Léodagan : Mais ils font pas du tout ce qu'on leur demande ils partent à droite.
Lancelot : Mais c'est pourtant clair.. bon qu'est ce que je fais ? Je relance ? Je relance ou je relance pas ?
Arthur : Mais relancez si ça vous chante qu'est ce que vous voulez que je vous dise moi !!?
Lancelot : Bon, appel.
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Non mais déjà à la corne ils regardent même pas par ici, alors vous pouvez bien agiter tous les drapeaux que vous voulez hein.
Arthur : Allez insiste ! Du souffle !!
Kay souffle dans la corne.
Arthur : Non mais c'est pas vrai ! Oh ! Non mais si on vous emmerde vous prévenez ! Ben ouais, c'est un peu là que ça se passe oui !
[...]
Lancelot : Drapeau noir ! Drapeau rouge ! Drapeaux en V !
Léodagan : C'est quand même magnifique une armée bien coordonnée hein.. Bah quoi, vous allez pas me dire qu'on n'a pas l'air con avec nos drapeaux ! ça fait une heure qu'on fait des signes y en a pas un qui va dans le même sens.
Lancelot : Oui bah ils ont du mal avec le code !
Léodagan : Oui oh ils ont du mal avec tout hein.
Arthur : M'enfin y a quand même pas 50 trucs à retenir bon sang.. débordement, gauche, droite, retrait, quelques petits signes pour les archers..
Lancelot : Mais je sais bien, en plus il est clair ce code, enfin il me semble.
Kay : Peut-être qu'il aurait fallu moins de signes différents et plus de couleurs ?
Léodagan : Bien sûr, comme ça au lieu de confondre les signes ils auraient confondu les couleurs.
Arthur : Mais vous vous rendez compte qu'on était deux fois plus nombreux qu'eux et qu'on va quand même perdre parce que ces débiles sont pas foutus de retenir trois signes de code ??
Lancelot : On n'a pas encore perdu.
Léodagan : AAAh il y a une faillle à gauche.
Lancelot : Ah il faut la tenter celle là !
Arthur : Allez, donne un coup d'tsoin tsoin toi !
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Oh mais c'est pas vrai, mais ils regardent même pas vers ici !
Lancelot : Double l'appel !
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Oh non mais ils se foutent de nous ou quoi ?
Lancelot : On triple l'appel ?
Arthur : On triple.. on triple.. donne moi ça toi ! (arrache violemment la corne de Kay, et souffle à plein poumons dedans) Ooooh là !! là !!! là !!! làààà !! Sortez vous les doigts du cul !!! (balance la corne).
[...]
Lancelot : Olala, il faut sonner la retraite là, sire.
Arthur : Hein ?
Lancelot : J'suis désolé si on veut avoir encore une chance de sauver quelques hommes il faut sonner la retraite.
Arthur : Ils écoutent pas quand on sonne.
Léodagan : Non mais peut-être que quand c'est la retraite ils écoutent.
Arthur : Faites comme vous voulez ça m'est égal.
Lancelot : Bon, appel.
Kay souffle dans la corne.
Léodagan : Ah ben ça marche, ils se tirent.
Kay : Mais j'ai pas fait les signes encore !
Léodagan : Ah ben peut-être, n'empêche qu'ils se tirent.
Lancelot : Mais ils ont pas le droit de décider la retraite d'eux même, on l'a dit et redit ça !
Arthur : Moi, prochaine bataille arrangée, je reste à Kaamelott.
Lancelot : Quoi ?
Léodagan : Oh mais dites pas de connerie.
Lancelot : Vous pouvez pas faire ça !
Arthur : Je vais vous dire ; ils font ce qu'ils veulent, ils attaquent par où ils veulent, quand ils perdent ils décident de se tirer sans prévenir personne... j'suis chef de guerre moi, j'suis pas là pour secouer des drapeaux et jouer de la trompette.
[...]
Lancelot : Il va falloir qu'on trouve un code plus simple.
Léodagan : Mais c'est pas le code qui va pas.
Lancelot : Je sais pas ce qui va pas mais va falloir que ça aille !
Léodagan : Ah c'est sûr que les hommes vont pas pouvoir se prendre une dérouillée par semaine comme ça
pendant longtemps.
Lancelot : Les hommes c'est une chose, mais le problème c'est surtout lui ; un chef de guerre qui n'commande plus c'est pas bon. Il va déprimer, il va se mettre à bouffer, il va prendre 40 livres.
Léodagan : Ouais. Ou alors faut voir, peut-être qu'en changeant le code...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Il y en a pleins, des épisodes que j'aime bien ...evolution650HBn°2 a écrit :Arf Tugdual je n'ai pas compris, elle est pourtant plutôt fermée non ?
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le maitre d'armes.
Guenièvre : Dîtes, c'est pas aujourd'hui votre entraînement avec le maitre d'armes ?
Arthur : Je sais pas, je sais plus quel jour c'est.
Le maitre d'armes : Ahah sir, je vous attends ! à moins que vous préfériez qu'on dise partout que le roi est une petite pédale qui pisse dans son froc à l'idée de se battre !
Arthur : Ouais c'est aujourd'hui je crois.
[...]
Arthur et le Maitre d'armes se battent.
Arthur : Mais allez y doucement, c'est de l'entraînement !!
Maitre d'armes : Y a pas d'entraînement qui tienne, vous allez me faire le plaisir de vous remuer les miches. J'ai l'impression d'me battre contre une vieille !
Arthur : Oui, parce que là on a dit qu'on se battait pas, c'est juste deux trois passes comme ça histoire de se dégourdir !
Maitre d'armes : Parce que vous appelez ça des passes vous ? Moi j'appelle ça des politesses ! Allez en garde ma mignonne !
Arthur : Mais bon dieu mais c'est pas possible vous pourriez prévenir !
Maitre d'armes : Le jour où vous tomberez sur un ennemi, ça m'étonnerait qu'il vous prévienne.
Arthur : Alors déjà je suis pas votre ennemi, et vous avez failli me couper un bras !
Maitre d'armes : S'il faut ça pour vous réveiller ça me fait pas peur.
Arthur : Non mais vous êtes quand même bien allumé !
Maitre d'armes : En garde ma mignonne !
Arthur : Rah, c'est obligé les prénoms féminins ?
[...]
Maitre d'armes : Ahah sir, c'est pas le tout d'avoir une épée magique pas vrai ? Encore faut-il savoir s'en servir.
Arthur : Me prenez pas trop pour une bleusaille quand même, en combat réel jme débrouille pas trop mal figurez vous.
Maitre d'armes : Alors dites vous que c'est un combat réel ; montrez moi ce que vous avez dans le slibard, ptite pucelle !
Arthur : ... Non non.. moi j'arrête.
Maitre d'armes : Ben pourquoi ?
Arthur : Parce que j'en ai ras le bol de vos conneries !
Maitre d'armes : Sir, un personnage de votre importance se doit d'être entraîné !
Arthur : Je parle pas de ça, je parle de vos provocations à deux ronds, ça j'en ai marre !
Maitre d'armes : Mais c'est comme ça qu'il faut faire, pour stimuler la colère, sinon on peut rien faire.
Arthur : Non mais à quoi ça rime de me traiter de pucelle je vous le demande.
Maitre d'armes : Sir, aucun homme dans votre cour ne vous est plus dévoué que moi. J'ai donné mon âme et mon coeur au service de votre divine destinée. C'est justement l'amour profond que je vous porte qui m'empêcherait de lever la main sur vous.
Arthur : Mais moi aussi c'est exactement la même chose je vous aime bien, j'ai pas envie de vous cogner sur la tronche.
Maitre d'armes : Mais c'est pour ça qu'on s'insulte - pour oublier qu'on s'apprécie. En garde espèce de vieille pute dégarnie !
Arthur : Pfff
Maitre d'armes : Allez sir, provoquez moi avec une bonne insulte.
Arthur : Faudrait déjà qu'j'en trouve.
Maitre d'armes : N'importe quoi, ce qui vous vient pourvu que ce soit vexant.
Arthur : Bon alors en garde, fils d'unijambiste.
Maitre d'armes : Quoi... ? Mais... ?
Arthur : Quoi ? j'ai dit une connerie ?
Maitre d'armes : Mais c'est pas une insulte ça sir, c'est vrai !
Arthur : Ben évidemment que c'est vrai, vous avez jamais dit qu'il fallait que ce soit faux !
Maitre d'armes : Mais j'ai jamais dit que ça devait être vrai !!!!
Arthur : Vous avez dit "quelque chose de vexant", ben voilà vous êtes vexé, alors profitez en.
Maitre d'armes : Non.
Arthur : Ah ben allez ! allez ! Hop ! Allez !
[...]
Maitre d'armes : Je trouve révoltant de se servie de l'infirmité d'un père à des fins...
Arthur : Mais profitez en ! Traitez moi de grosse gouine et attaquez moi puisque vous êtes en colère !
Maitre d'armes : Mais je ne suis pas en colère sir, je suis profondément outré ! Qu'est ce que vous diriez si je me permettais d'en faire autant !?
Arthur : Ben je suis désolé mais moi mon père n'est pas unijambiste...
Maitre d'armes : Encore !?? Mais à la fin, mais est ce que ça va finir !!
Arthur : Oh s'il vous plait faites pas votre mijorée, depuis ce matin je me fais traiter de gonzesse, j'en fais pas tout un cake.
Maitre d'armes : Mais gonzesse c'est une formule je le pensais pas ! Si j'avais voulu taper dans les potins, j'aurais très bien pu parler du votre, de père.
Arthur : Quoi ??
Maitre d'armes : Au hasard, l'épisode de la grange de Brigit.
Arthur : Quelle grange ?
Maitre d'armes : Celle où il s'est endormi dans le foin et où il s'est fait chier dessus par un bouc !
Arthur : Ok, alors là ça va être un bain de sang.
[...]
Guenièvre : Il me semble qu'il était musclé l'entrainement hier...
Arthur : Oui on a un peu chargé, ça nous fait du bien, ça nous stimule..
Maitre d'armes : Sire ! Mon père est peut-être unijambiste, mais moi, ma femme a pas de moustache !
Guenièvre : Qu'est ce qu'il dit ???
Arthur : Rien ! c'est rien ! on fait semblant ! c'est pour nous stimuler un peu voyez.
Maitre d'armes : Alors ça vient ? Ptite bite !
Guenièvre : Dîtes, c'est pas aujourd'hui votre entraînement avec le maitre d'armes ?
Arthur : Je sais pas, je sais plus quel jour c'est.
Le maitre d'armes : Ahah sir, je vous attends ! à moins que vous préfériez qu'on dise partout que le roi est une petite pédale qui pisse dans son froc à l'idée de se battre !
Arthur : Ouais c'est aujourd'hui je crois.
[...]
Arthur et le Maitre d'armes se battent.
Arthur : Mais allez y doucement, c'est de l'entraînement !!
Maitre d'armes : Y a pas d'entraînement qui tienne, vous allez me faire le plaisir de vous remuer les miches. J'ai l'impression d'me battre contre une vieille !
Arthur : Oui, parce que là on a dit qu'on se battait pas, c'est juste deux trois passes comme ça histoire de se dégourdir !
Maitre d'armes : Parce que vous appelez ça des passes vous ? Moi j'appelle ça des politesses ! Allez en garde ma mignonne !
Arthur : Mais bon dieu mais c'est pas possible vous pourriez prévenir !
Maitre d'armes : Le jour où vous tomberez sur un ennemi, ça m'étonnerait qu'il vous prévienne.
Arthur : Alors déjà je suis pas votre ennemi, et vous avez failli me couper un bras !
Maitre d'armes : S'il faut ça pour vous réveiller ça me fait pas peur.
Arthur : Non mais vous êtes quand même bien allumé !
Maitre d'armes : En garde ma mignonne !
Arthur : Rah, c'est obligé les prénoms féminins ?
[...]
Maitre d'armes : Ahah sir, c'est pas le tout d'avoir une épée magique pas vrai ? Encore faut-il savoir s'en servir.
Arthur : Me prenez pas trop pour une bleusaille quand même, en combat réel jme débrouille pas trop mal figurez vous.
Maitre d'armes : Alors dites vous que c'est un combat réel ; montrez moi ce que vous avez dans le slibard, ptite pucelle !
Arthur : ... Non non.. moi j'arrête.
Maitre d'armes : Ben pourquoi ?
Arthur : Parce que j'en ai ras le bol de vos conneries !
Maitre d'armes : Sir, un personnage de votre importance se doit d'être entraîné !
Arthur : Je parle pas de ça, je parle de vos provocations à deux ronds, ça j'en ai marre !
Maitre d'armes : Mais c'est comme ça qu'il faut faire, pour stimuler la colère, sinon on peut rien faire.
Arthur : Non mais à quoi ça rime de me traiter de pucelle je vous le demande.
Maitre d'armes : Sir, aucun homme dans votre cour ne vous est plus dévoué que moi. J'ai donné mon âme et mon coeur au service de votre divine destinée. C'est justement l'amour profond que je vous porte qui m'empêcherait de lever la main sur vous.
Arthur : Mais moi aussi c'est exactement la même chose je vous aime bien, j'ai pas envie de vous cogner sur la tronche.
Maitre d'armes : Mais c'est pour ça qu'on s'insulte - pour oublier qu'on s'apprécie. En garde espèce de vieille pute dégarnie !
Arthur : Pfff
Maitre d'armes : Allez sir, provoquez moi avec une bonne insulte.
Arthur : Faudrait déjà qu'j'en trouve.
Maitre d'armes : N'importe quoi, ce qui vous vient pourvu que ce soit vexant.
Arthur : Bon alors en garde, fils d'unijambiste.
Maitre d'armes : Quoi... ? Mais... ?
Arthur : Quoi ? j'ai dit une connerie ?
Maitre d'armes : Mais c'est pas une insulte ça sir, c'est vrai !
Arthur : Ben évidemment que c'est vrai, vous avez jamais dit qu'il fallait que ce soit faux !
Maitre d'armes : Mais j'ai jamais dit que ça devait être vrai !!!!
Arthur : Vous avez dit "quelque chose de vexant", ben voilà vous êtes vexé, alors profitez en.
Maitre d'armes : Non.
Arthur : Ah ben allez ! allez ! Hop ! Allez !
[...]
Maitre d'armes : Je trouve révoltant de se servie de l'infirmité d'un père à des fins...
Arthur : Mais profitez en ! Traitez moi de grosse gouine et attaquez moi puisque vous êtes en colère !
Maitre d'armes : Mais je ne suis pas en colère sir, je suis profondément outré ! Qu'est ce que vous diriez si je me permettais d'en faire autant !?
Arthur : Ben je suis désolé mais moi mon père n'est pas unijambiste...
Maitre d'armes : Encore !?? Mais à la fin, mais est ce que ça va finir !!
Arthur : Oh s'il vous plait faites pas votre mijorée, depuis ce matin je me fais traiter de gonzesse, j'en fais pas tout un cake.
Maitre d'armes : Mais gonzesse c'est une formule je le pensais pas ! Si j'avais voulu taper dans les potins, j'aurais très bien pu parler du votre, de père.
Arthur : Quoi ??
Maitre d'armes : Au hasard, l'épisode de la grange de Brigit.
Arthur : Quelle grange ?
Maitre d'armes : Celle où il s'est endormi dans le foin et où il s'est fait chier dessus par un bouc !
Arthur : Ok, alors là ça va être un bain de sang.
[...]
Guenièvre : Il me semble qu'il était musclé l'entrainement hier...
Arthur : Oui on a un peu chargé, ça nous fait du bien, ça nous stimule..
Maitre d'armes : Sire ! Mon père est peut-être unijambiste, mais moi, ma femme a pas de moustache !
Guenièvre : Qu'est ce qu'il dit ???
Arthur : Rien ! c'est rien ! on fait semblant ! c'est pour nous stimuler un peu voyez.
Maitre d'armes : Alors ça vient ? Ptite bite !
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ah oui, c'est vrai que c'est compliqué comme question..
Bon, tu as droit à 5 alors...
Bon, tu as droit à 5 alors...
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le négociateur.
Guenièvre : C'est aujourd'hui que vous partez repousser les barbares ?
Arthur : Ahah oui, affirmatif ! Va y avoir du sport, moi j'vous l'dis !
Guenièvre : J'aime bien quand vous partez au combat, vous êtes toujours joyeux (elle prend une pomme).
Arthur (reprend la pomme) : Non non non non non, commencez pas, c'était où ça déjà ? Là.
[...]
Arthur : Bonjour à vous. Restez assis, restez assis. Je sais pas vous mais j'ai une patate moi ce matin !
Léodagan : Ah moi pareil ! Va y avoir de la danse, j'aime autant vous l'dire.
Arthur : J'connais deux/trois barbares qui feraient bien de s'échauffer !
Léodagan : Ahah, alors, et vous ?
Perceval : ça va, la pêche, la pêche, qu'est ce qu'il y a de prévu aujourd'hui ?
Arthur : Qu'est ce que vous avez foutu de votre armure vous ?
Perceval : Ben chez moi pourquoi ? y a un tournoi ?
Léodagan : Non mais vous vous foutez de nous non ? Les envahisseurs barbares ça vous dit rien ?
Arthur : La réunion de bataille hier soir, il me semblait pas vous avoir vu roupiller pourtant.
Perceval : Ah non bien sûr mais c'est fini cette histoire.
Léodagan : Qu'est ce qui est fini ?
Perceval : Ben ils s'en vont les envahisseurs ; Bohort a négocié comme un chef, y a même plus besoin de se remuer les doigts de pieds. J'croyais qu'c'était pour ça qu'vous étiez content...
[...]
Arthur : Qu'est ce que c'est que cette histoire de solution diplomatique ?
Bohort : J'ai réussi à éviter la catastrophe, sire, le sang ne coulera pas.
Perceval : On a eu chaud.
Bohort : Il n'y a plus qu'à recevoir leur chef.
Arthur : Recevoir leur chef pour quoi faire ?
Bohort : Ben pour signer le traiter.
Arthur : Le traité de quoi ???
Bohort : Bah comme quoi on leur cède les marais.
Arthur : ... Non c'est moi qui suis abruti, vous comprenez quelque chose vous ?
Léodagan : Non.
Bohort : On n'est pas venu vous faire un rapport.
Arthur : Non
Bohort : Pourtant j'avais bien dit aux gars qu'ils viennent vous voir, mais bon, faut les comprendre.. la joie d'avoir été épargné. Vous les auriez vu quand je leur ai annoncé la nouvelle ! "Le négociateur !" qu'ils criaient, "vive le négociateur !", "vive le seigneur Bohort !"
Léodagan : Oui oui, bon, mais qu'est ce que les marais viennent foutre là dedans ?
Perceval : Attendez vous allez voir.
Bohort : Alors voilà, en échange des marais, nous ne serons pas attaqués.
Léodagan : Comment ça, en échange ?
Arthur : Vous.. vous leur avez pas refilé les terres quand même ?
Bohort : Oh, des terres... peut-on seulement appeler ça des terres ?
Arthur : Oui on appelle ça des terres oui !!
Léodagan : Qu'est ce qui vous a pris de vendre des terres à des ennemis vous ?
Bohort : Mais je ne les ai pas vendues puisque je les ai cédées.
Léodagan : Mais.. cédées pour combien ?
Bohort : Mais pour rien.. contre nos vies.
Perceval : Ah ben franchement moi j'aime autant.
Léodagan : Mais il est marteau c'est pas vrai !
Arthur : On était parti pour les dérouiller, qui vous a demander d'arrêter les combats ?? Personne !!
Léodagan : Alors il cède des terres, il négocie, il arrange des bidons.. Faudrait savoir si vous êtes chevalier ou promoteur !
[...]
Bohort : Je suis vraiment confus, je n'avais pas pensé que Kaamelott était encerclé par les marais.
Perceval : C'est vrai que dans l'urgence du truc...
Léodagan : Oui oh c'est pas bien grave, au lieu de nous attaquer par le sud, ils nous attaqueront par tous les côtés en même temps quoi.
Arthur : Toute façon ils sont chez eux, ils font c'qu'ils veulent.
Bohort : Mais enfin, y a aucune raison qu'ils soient agressifs maintenant qu'ils ont obtenus les marais.
Perceval : Peut-être qu'ils vont juste y mettre des cabanons.
Arthur : Ben oui, pour leurs vacances aux barbares, ça leur fait un joli petit pied à terre.
Lancelot : Sire !! Les barbares ont avancé leur catapulte jusque dans les marais !!!! On est encerclé !!
Léodagan : Tiens donc !
Arthur : Vous êtes fier de vous ???
Perceval : Toute façon vous aviez bien prévu d'aller les dérouiller, ça change pas grand chose au programme.
Bohort : On en profitera juste pour récupérer nos marais.
[...]
Guenièvre : Quel dommage quand même qu'on ait perdu ces jolis marais.
Arthur : Non mais on les a récupéré finalement.
Guenièvre : Mais, on les avait perdus quand ?
Arthur : Ce matin.
Guenièvre : Et quand est ce qu'on les a récupérés ?
Arthur : Cet après-midi.
Guenièvre : Oula, ça va un peu trop vite pour moi.
Arthur : Y a un paquet de trucs qui vont trop vite pour vous.
Guenièvre : C'est aujourd'hui que vous partez repousser les barbares ?
Arthur : Ahah oui, affirmatif ! Va y avoir du sport, moi j'vous l'dis !
Guenièvre : J'aime bien quand vous partez au combat, vous êtes toujours joyeux (elle prend une pomme).
Arthur (reprend la pomme) : Non non non non non, commencez pas, c'était où ça déjà ? Là.
[...]
Arthur : Bonjour à vous. Restez assis, restez assis. Je sais pas vous mais j'ai une patate moi ce matin !
Léodagan : Ah moi pareil ! Va y avoir de la danse, j'aime autant vous l'dire.
Arthur : J'connais deux/trois barbares qui feraient bien de s'échauffer !
Léodagan : Ahah, alors, et vous ?
Perceval : ça va, la pêche, la pêche, qu'est ce qu'il y a de prévu aujourd'hui ?
Arthur : Qu'est ce que vous avez foutu de votre armure vous ?
Perceval : Ben chez moi pourquoi ? y a un tournoi ?
Léodagan : Non mais vous vous foutez de nous non ? Les envahisseurs barbares ça vous dit rien ?
Arthur : La réunion de bataille hier soir, il me semblait pas vous avoir vu roupiller pourtant.
Perceval : Ah non bien sûr mais c'est fini cette histoire.
Léodagan : Qu'est ce qui est fini ?
Perceval : Ben ils s'en vont les envahisseurs ; Bohort a négocié comme un chef, y a même plus besoin de se remuer les doigts de pieds. J'croyais qu'c'était pour ça qu'vous étiez content...
[...]
Arthur : Qu'est ce que c'est que cette histoire de solution diplomatique ?
Bohort : J'ai réussi à éviter la catastrophe, sire, le sang ne coulera pas.
Perceval : On a eu chaud.
Bohort : Il n'y a plus qu'à recevoir leur chef.
Arthur : Recevoir leur chef pour quoi faire ?
Bohort : Ben pour signer le traiter.
Arthur : Le traité de quoi ???
Bohort : Bah comme quoi on leur cède les marais.
Arthur : ... Non c'est moi qui suis abruti, vous comprenez quelque chose vous ?
Léodagan : Non.
Bohort : On n'est pas venu vous faire un rapport.
Arthur : Non
Bohort : Pourtant j'avais bien dit aux gars qu'ils viennent vous voir, mais bon, faut les comprendre.. la joie d'avoir été épargné. Vous les auriez vu quand je leur ai annoncé la nouvelle ! "Le négociateur !" qu'ils criaient, "vive le négociateur !", "vive le seigneur Bohort !"
Léodagan : Oui oui, bon, mais qu'est ce que les marais viennent foutre là dedans ?
Perceval : Attendez vous allez voir.
Bohort : Alors voilà, en échange des marais, nous ne serons pas attaqués.
Léodagan : Comment ça, en échange ?
Arthur : Vous.. vous leur avez pas refilé les terres quand même ?
Bohort : Oh, des terres... peut-on seulement appeler ça des terres ?
Arthur : Oui on appelle ça des terres oui !!
Léodagan : Qu'est ce qui vous a pris de vendre des terres à des ennemis vous ?
Bohort : Mais je ne les ai pas vendues puisque je les ai cédées.
Léodagan : Mais.. cédées pour combien ?
Bohort : Mais pour rien.. contre nos vies.
Perceval : Ah ben franchement moi j'aime autant.
Léodagan : Mais il est marteau c'est pas vrai !
Arthur : On était parti pour les dérouiller, qui vous a demander d'arrêter les combats ?? Personne !!
Léodagan : Alors il cède des terres, il négocie, il arrange des bidons.. Faudrait savoir si vous êtes chevalier ou promoteur !
[...]
Bohort : Je suis vraiment confus, je n'avais pas pensé que Kaamelott était encerclé par les marais.
Perceval : C'est vrai que dans l'urgence du truc...
Léodagan : Oui oh c'est pas bien grave, au lieu de nous attaquer par le sud, ils nous attaqueront par tous les côtés en même temps quoi.
Arthur : Toute façon ils sont chez eux, ils font c'qu'ils veulent.
Bohort : Mais enfin, y a aucune raison qu'ils soient agressifs maintenant qu'ils ont obtenus les marais.
Perceval : Peut-être qu'ils vont juste y mettre des cabanons.
Arthur : Ben oui, pour leurs vacances aux barbares, ça leur fait un joli petit pied à terre.
Lancelot : Sire !! Les barbares ont avancé leur catapulte jusque dans les marais !!!! On est encerclé !!
Léodagan : Tiens donc !
Arthur : Vous êtes fier de vous ???
Perceval : Toute façon vous aviez bien prévu d'aller les dérouiller, ça change pas grand chose au programme.
Bohort : On en profitera juste pour récupérer nos marais.
[...]
Guenièvre : Quel dommage quand même qu'on ait perdu ces jolis marais.
Arthur : Non mais on les a récupéré finalement.
Guenièvre : Mais, on les avait perdus quand ?
Arthur : Ce matin.
Guenièvre : Et quand est ce qu'on les a récupérés ?
Arthur : Cet après-midi.
Guenièvre : Oula, ça va un peu trop vite pour moi.
Arthur : Y a un paquet de trucs qui vont trop vite pour vous.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le sixième sens.
Le tavernier : Eh bah alors, ils finissent pas leur coupette ?
Karadoc : Ca passe pas.
Perceval : On est noué.
Le tavernier : A cause ?
Perceval : On est convoqués à la table ronde.
Le tavernier : Oula.. Vous avez fait une connerie ?
Karadoc : Bah une connerie évidemment ! Mais de là à être convoqués...
Perceval : On a dû en faire une sévère.
[...]
Karadoc : Qu'est-ce qu'on attend là déjà ?
Arthur : Alors pour la vingtième fois, on attend une apparition de la Dame du Lac.
Karadoc : Ah ouais c'est ça.
Perceval : La dame du Lac, par rapport à vous c'est...
Arthur : Comment par rapport à moi ?
Perceval : Votre cousine ?
Arthur : Mais absolument pas.
Karadoc : Il parait qu'elle accepte de voir que vous.
Arthur : Alors, pour la trentième fois ça aussi, c'est pas qu'elle accepte de voir que moi, c'est qu'il n'y a que moi qui peux la voir.
Karadoc : Ben ouais du coup...
Perceval : ... Si elle accepte de voir que vous...
Arthur : Non. Y a que moi qui PEUX la voir. Roh putain.. Y a que moi qui ai la capacité physique, sensorielle, de la voir, vous vous pouvez pas.
Perceval : Ben si elle veut pas on va pas la forcer.
Arthur : Ah merde !! Là !
[...]
Arthur : Voilà. Vous me les avez demandés, ils sont là.
Dame du Lac : Vous savez que l'un d'entre eux a une destinée tout à fait exceptionnelle ? Par exemple...
Perceval : A qui vous parlez là ?
Arthur : Attendez. Je vous ai dit, je m'adresse à la dame du Lac.
Perceval : Ah elle va venir ?
Karadoc : Mais pas si on est là, elle accepte de voir que lui.
Arthur : Elle est là ! Mais vous pouvez pas la voir.
Dame du Lac : Je sais pas si c'est la peine d'insister.
Arthur : Vous êtes sûre qu'ils ont une destinée exceptionnelle ceux-là ?
Karadoc : Mais qui ?
Dame du Lac : Attendez, celui avec les jolis yeux bleus là ? Très gros potentiel.
Arthur : Perceval ?? Vous vous foutez de moi ??
Dame du Lac : Pas du tout.
Perceval : Mais je me fous pas de vous, j'ai rien dit !
Karadoc : Ah si votre cousine arrive on va peut-être vous laisser hein parce que..
Dame du Lac : Perceval de Galles c'est ça ?
Arthur : Oui et ben ?
Dame du Lac : Dans vingt siècle on en parle encore.
Perceval : Sire, ça devient flippant là.
Arthur : Mais vous allez fermer vos mouilles oui ???!! Je vous répète en long, en large, en travers, que je m'adresse à quelqu'un que vous ne pouvez pas voir !!
Dame du Lac : Oh non non vous vous énervez pas hein.
Arthur : Alors vous la bouclez, vous restez là, et vous attendez que j'ai fini !
Dame du Lac : Attendez c'est quand même pas facile à comprendre, faut se mettre à leur place.
Arthur : Mais même quand c'est facile à comprendre ils comprennent rien !
Karadoc : Mais qui ?
Arthur, à deux doigt de péter un plomb, se retient de dire quoique ce soit.
[...]
Arthur : Bon voilà, ça c'est pas trop mal passé.
Perceval : Ben nous au bout d'un moment, on a préféré plus rien dire.
Arthur : Oui ben voilà, du coup ça c'est pas trop mal passé. Alors, j'ai un message pour vous de la part de la Dame du Lac.
Karadoc : Ah mais vous l'avez vue finalement ?
Arthur : Non taisez vous ! taisez vous, taisez vous parce que là ça... voilà.. la Dame du Lac me charge de vous dire que vous, (à Perceval) alors plutôt vous apparemment, seriez susceptible d'accéder à une destinée hors du commun.
Perceval : J'ai rien compris. Non ou alors c'est moi ?
Karadoc : Non moi non plus j'ai rien compris.
Arthur : Non non mais c'est moi.. Vous en ce moment c'est pas terrible. La gloire, la légende, les quêtes, tout ça, c'est pas terrible.
(Perceval et Karadoc, songeurs).
Arthur : Ah non mais ne réfléchissez pas je vous l'affirme, c'est pas terrible ! c'est nul, archi nul, vous êtes des zéros ! Eh bien, soyez patients, ça va aller mieux.
Perceval : Mais quand ?
Arthur : Ah ça, j'ai pas d'informations précises à ce sujet, à mon avis c'est pas pour après-demain. voilà. Tirez vous. Tirez vous.
[...]
Le tavernier : Eh ben ! Ils se sont pas trop fait engueuler on dirait !
Karadoc : Figurez vous qu'on a un destin.
Perceval : Alors regardez bien nos tronches, parce que vous allez pas les voir longtemps. On a autre chose à foutre que d'se râper les miches sur les tabourets de votre bouiboui.
Karadoc : D'ailleurs on finit ça et puis on se tire.
Perceval : Quand j'pense qu'on a failli gâcher un destin pareil à boire des canons.
Le tavernier : Eh bah alors, ils finissent pas leur coupette ?
Karadoc : Ca passe pas.
Perceval : On est noué.
Le tavernier : A cause ?
Perceval : On est convoqués à la table ronde.
Le tavernier : Oula.. Vous avez fait une connerie ?
Karadoc : Bah une connerie évidemment ! Mais de là à être convoqués...
Perceval : On a dû en faire une sévère.
[...]
Karadoc : Qu'est-ce qu'on attend là déjà ?
Arthur : Alors pour la vingtième fois, on attend une apparition de la Dame du Lac.
Karadoc : Ah ouais c'est ça.
Perceval : La dame du Lac, par rapport à vous c'est...
Arthur : Comment par rapport à moi ?
Perceval : Votre cousine ?
Arthur : Mais absolument pas.
Karadoc : Il parait qu'elle accepte de voir que vous.
Arthur : Alors, pour la trentième fois ça aussi, c'est pas qu'elle accepte de voir que moi, c'est qu'il n'y a que moi qui peux la voir.
Karadoc : Ben ouais du coup...
Perceval : ... Si elle accepte de voir que vous...
Arthur : Non. Y a que moi qui PEUX la voir. Roh putain.. Y a que moi qui ai la capacité physique, sensorielle, de la voir, vous vous pouvez pas.
Perceval : Ben si elle veut pas on va pas la forcer.
Arthur : Ah merde !! Là !
[...]
Arthur : Voilà. Vous me les avez demandés, ils sont là.
Dame du Lac : Vous savez que l'un d'entre eux a une destinée tout à fait exceptionnelle ? Par exemple...
Perceval : A qui vous parlez là ?
Arthur : Attendez. Je vous ai dit, je m'adresse à la dame du Lac.
Perceval : Ah elle va venir ?
Karadoc : Mais pas si on est là, elle accepte de voir que lui.
Arthur : Elle est là ! Mais vous pouvez pas la voir.
Dame du Lac : Je sais pas si c'est la peine d'insister.
Arthur : Vous êtes sûre qu'ils ont une destinée exceptionnelle ceux-là ?
Karadoc : Mais qui ?
Dame du Lac : Attendez, celui avec les jolis yeux bleus là ? Très gros potentiel.
Arthur : Perceval ?? Vous vous foutez de moi ??
Dame du Lac : Pas du tout.
Perceval : Mais je me fous pas de vous, j'ai rien dit !
Karadoc : Ah si votre cousine arrive on va peut-être vous laisser hein parce que..
Dame du Lac : Perceval de Galles c'est ça ?
Arthur : Oui et ben ?
Dame du Lac : Dans vingt siècle on en parle encore.
Perceval : Sire, ça devient flippant là.
Arthur : Mais vous allez fermer vos mouilles oui ???!! Je vous répète en long, en large, en travers, que je m'adresse à quelqu'un que vous ne pouvez pas voir !!
Dame du Lac : Oh non non vous vous énervez pas hein.
Arthur : Alors vous la bouclez, vous restez là, et vous attendez que j'ai fini !
Dame du Lac : Attendez c'est quand même pas facile à comprendre, faut se mettre à leur place.
Arthur : Mais même quand c'est facile à comprendre ils comprennent rien !
Karadoc : Mais qui ?
Arthur, à deux doigt de péter un plomb, se retient de dire quoique ce soit.
[...]
Arthur : Bon voilà, ça c'est pas trop mal passé.
Perceval : Ben nous au bout d'un moment, on a préféré plus rien dire.
Arthur : Oui ben voilà, du coup ça c'est pas trop mal passé. Alors, j'ai un message pour vous de la part de la Dame du Lac.
Karadoc : Ah mais vous l'avez vue finalement ?
Arthur : Non taisez vous ! taisez vous, taisez vous parce que là ça... voilà.. la Dame du Lac me charge de vous dire que vous, (à Perceval) alors plutôt vous apparemment, seriez susceptible d'accéder à une destinée hors du commun.
Perceval : J'ai rien compris. Non ou alors c'est moi ?
Karadoc : Non moi non plus j'ai rien compris.
Arthur : Non non mais c'est moi.. Vous en ce moment c'est pas terrible. La gloire, la légende, les quêtes, tout ça, c'est pas terrible.
(Perceval et Karadoc, songeurs).
Arthur : Ah non mais ne réfléchissez pas je vous l'affirme, c'est pas terrible ! c'est nul, archi nul, vous êtes des zéros ! Eh bien, soyez patients, ça va aller mieux.
Perceval : Mais quand ?
Arthur : Ah ça, j'ai pas d'informations précises à ce sujet, à mon avis c'est pas pour après-demain. voilà. Tirez vous. Tirez vous.
[...]
Le tavernier : Eh ben ! Ils se sont pas trop fait engueuler on dirait !
Karadoc : Figurez vous qu'on a un destin.
Perceval : Alors regardez bien nos tronches, parce que vous allez pas les voir longtemps. On a autre chose à foutre que d'se râper les miches sur les tabourets de votre bouiboui.
Karadoc : D'ailleurs on finit ça et puis on se tire.
Perceval : Quand j'pense qu'on a failli gâcher un destin pareil à boire des canons.
Non-diag.
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