[Index Fiction] Kaamelott : Les répliques de Kaamelott, et autres...
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- Prolifique
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Yvain et Gauvain, au moment de quitter la tour de guet car la relève va arriver :
Gauvain : Est-ce que vous pensez que nous sommes tenus de mettre de l'ordre ?
Yvain : wouhouuuu !
Gauvain : Ouaiiiis ! Non mais, sérieusement.
Yvain : Ah, bah euh si vous voulez ouais, mais comme on s'en va j'vois pas l'intérêt.
Gauvain : Ah vous croyez.
Yvain : Bah déjà quand on est là j'vois pas l'intérêt moi.
Gauvain : C'est à dire que je peux pas m'empêcher de réfléchir et de penser à tous nos camarades qui vont venir prendre la relève.
Yvain : Qu'est ce qu'on s'en fout puisqu'on s'en va ?
Gauvain : Je crains que nos bougres, voyant l'état des lieux, soient pris d'un vif sentiment d'agacement et en viennent à nous molester.
Gauvain : Est-ce que vous pensez que nous sommes tenus de mettre de l'ordre ?
Yvain : wouhouuuu !
Gauvain : Ouaiiiis ! Non mais, sérieusement.
Yvain : Ah, bah euh si vous voulez ouais, mais comme on s'en va j'vois pas l'intérêt.
Gauvain : Ah vous croyez.
Yvain : Bah déjà quand on est là j'vois pas l'intérêt moi.
Gauvain : C'est à dire que je peux pas m'empêcher de réfléchir et de penser à tous nos camarades qui vont venir prendre la relève.
Yvain : Qu'est ce qu'on s'en fout puisqu'on s'en va ?
Gauvain : Je crains que nos bougres, voyant l'état des lieux, soient pris d'un vif sentiment d'agacement et en viennent à nous molester.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Plus tard, assis, attendant...
Yvain : Le plus dur, c'est que s'ils viennent pas, on aura tout rangé pour rien...
Gauvain : C'est clair...
Yvain : J'ai faim...
Gauvain : Pareil...
Yvain : Mais j'ose pas manger parce que ça va faire des miettes, et j'ai trop pas envie d'ressortir le balai...
Gauvain : Pareil...
Yvain : Le plus dur, c'est que s'ils viennent pas, on aura tout rangé pour rien...
Gauvain : C'est clair...
Yvain : J'ai faim...
Gauvain : Pareil...
Yvain : Mais j'ose pas manger parce que ça va faire des miettes, et j'ai trop pas envie d'ressortir le balai...
Gauvain : Pareil...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
(pas de mémoire).
Perveval : J'ai un peu les jetons pour tout à l'heure.
Arthur : Pourquoi qu'est ce qui se passe tout à l'heure ?
Perveval : Ben, j'dois raconter ma derniere aventure à la table ronde.
Arthur : J'imagine que ça va encore être épique...
Perveval : Ben non, jpense que ça risque d'être un peu naze.
Arthur : Sans indiscrétion, c'est quel genre votr derniere aventure ? Que j'ai un avant goût...
Perveval : Ben c'est le genre que j'ai foiré bien comme il faut... En plus mon cheval m'a mordu parce que j'voulais qu'il arrête de brouter.
Arthur : Et vous comptez amener ça comment ... ?
Perveval : Quoi, le cheval ?
Arthur : Non pas le cheval non, l'aventure.
Perveval : Euh, vu l'aventure franchement, jferais mieux d'raconter l'coup du cheval...
Arthur : Bon, on va essayer de reprendre un peu les choses dans l'ordre, d'accord ?
Perveval : Moi j'veux bien, mais ça va être moisi.
Arthur : Non non non attendez. Tout d'abord, est ce que vous êtes parti seul ?
Perveval : Oui.
Arthur : Tres bien. Ensuite, qu'est ce que vous aviez comme renseign...
Perveval : Enfin, y avait Karadoc quand même.
Arthur : Pardon ?
Perveval : Vous m'demandez si j'étais seul ; oui, mais y avait Karadoc quand même.
Arthur : Vous êtes parti avec Karadoc ?
Perveval : Oui.
Arthur : D'accord, vous n'étiez pas seul du tout donc.
Perveval : Ouais, en un sens non.
Arthur : Faites un effort, non, sans blague.
Perveval : J'ai un peu les jetons pour tout à l'heure.
Arthur : Pourquoi qu'est ce qui se passe tout à l'heure ?
Perveval : Ben, j'dois raconter ma derniere aventure à la table ronde.
Arthur : J'imagine que ça va encore être épique...
Perveval : Ben non, jpense que ça risque d'être un peu naze.
Arthur : Sans indiscrétion, c'est quel genre votr derniere aventure ? Que j'ai un avant goût...
Perveval : Ben c'est le genre que j'ai foiré bien comme il faut... En plus mon cheval m'a mordu parce que j'voulais qu'il arrête de brouter.
Arthur : Et vous comptez amener ça comment ... ?
Perveval : Quoi, le cheval ?
Arthur : Non pas le cheval non, l'aventure.
Perveval : Euh, vu l'aventure franchement, jferais mieux d'raconter l'coup du cheval...
Arthur : Bon, on va essayer de reprendre un peu les choses dans l'ordre, d'accord ?
Perveval : Moi j'veux bien, mais ça va être moisi.
Arthur : Non non non attendez. Tout d'abord, est ce que vous êtes parti seul ?
Perveval : Oui.
Arthur : Tres bien. Ensuite, qu'est ce que vous aviez comme renseign...
Perveval : Enfin, y avait Karadoc quand même.
Arthur : Pardon ?
Perveval : Vous m'demandez si j'étais seul ; oui, mais y avait Karadoc quand même.
Arthur : Vous êtes parti avec Karadoc ?
Perveval : Oui.
Arthur : D'accord, vous n'étiez pas seul du tout donc.
Perveval : Ouais, en un sens non.
Arthur : Faites un effort, non, sans blague.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Arthur : Bon, donc, le renseignement, comment ça s'est passé ?
Perceval : Bah j'étais tranquille, peinard, j'buvais un coup.
Arthur : Oui, vous étiez à la taverne donc.
Perceval : Bah ouais...
Arthur : Super, top classe comme début !
Perceval : Ben j'vous raconte [...] C'était des marchands, ils racontaient qu'il y avait une partie du sentier en forêt où y avait des attaques.
Arthur : D'accord.
Perceval : Alors je sais, c'est pourri, mais jme suis dit que si j'arrive à coincer les bandits, ça pouvait faire un genre de quête.
Arthur : Ah non mais c'est pas pourri, c'est pas pourri du tout, c'est même très bien ! On va jusdte changer quelques bricoles ; déjà, vous étiez pas à la taverne.
Perceval : Ben si.
Arthur : Non mais non, on va dire que non, on va dire que vous étiez en forêt, qque vous vous rendiez ici à Kaamelott pour une réunion de la table ronde, et que les marchands vous ont abordé pour vous demander de l'aide.
Perceval : Mais qu'est ce que ça change ?
Arthur : Ca change que vous étiez pas en train de picoler, déjà, d'un point de vue ethique c est pas pareil et puis c'est mieux quand le héros ne compte pas faire quelque chose au début de l'histoire ; ce qui le pousse dans l'aventure est imprévisible : c'est pas lui qui veut partir à l'aventure, c'est l'aventure qui se met sur sa route. Au début c'est toujours plus intéressant s'il veut rien faire de particulier.
Perceval : Ben du coup la taverne c'est encore mieux, moi j'avais rien demander à personne, j'venais là pour glander.
Arthur : Ouais... en théorie c'est vrai qu'c'est bien... sauf que je préfère éviter de suggérer que les chevaliers sont des alcoolos notoires, de une, et de deux je pense que vous glandouiller bien assez comme ça dans la réalité pour qu'on puisse se permettre d'optimiser le fictionnel.
Perceval : Oula, c'est chaud là... j'ai rien compris.
Arthur : Faites moi confiance.
[...]
Arthur : Les marchands se présentent à vous et vous demandent de leur porter secours car un groupe de bandits de grand chemin leur tend des embuscades.
Perceval : D'accord. Et moi j'leur dis non.
Arthur : Et vous leur dites non. Vous leur dites ? N... vous leur dites non ? Pourquoi non ?
Perceval : Ben qu'est-ce qu'ils viennent me demander ? J'les connais pas moi, j'suis pas leur boniche.
Arthur : Non mais vous acceptez de les aider !
Perceval : Mais pourquoi ? J'comprends que dalle là.
Arthur : Mais enfin parce qu'après vous partez à la poursuite des bandits et ça raccorde avec votre histoire !
Perceval : *siffle* Là c'est hyper balèze.
Arthur : Bon.. Vous vous souviendrez d'tout ou vous allez vous emmêler les pinceaux ?
Perceval : Donc on dit que j'étais pas à la taverne, mais en forêt.
Arthur : Voilà.
Perceval : Les marchands sont venus m'dire qu'il y avait des bandits qui tendaient des embuscades sur le sentier/
Arthur : Très bien.
Perceval : Ils m'ont demandé de les aider, et moi j'ai refusé.
Arthur : Non !!!!!!
Perceval : Ah non non non, j'ai dit oui, j'ai dit oui ! Putain j'arrive pas à le retenir ça.
Arthur : Mais évidemment que vous avez dit oui sinon après y a pas d'aventure !!
Perceval : Ouais ouais, et après c'est fini.
Arthur : Comment c'est fini ? Mais, c'est à peine commencé !
Perceval : Non mais après une chouette intro comme ça, jvais pas leur raconter ce qui m'est vraiment arrivé ! Non là c'est classe, ils m'demandent de l'aide, je dis oui, merci mon cul.
Arthur : ....
Perceval : Mais j'peux pas vous raconter ça, c'est trop pourri !
Arthur : Ca fait rien on changera, d'abord vous me racontez tout comme ça c'est passé.
Perceval : D'accord. Ben d'abord jme suis planté là où y aurait du avoir les bandits.
Arthur :Attendez... vous vous pointez tout seul, comme ça, au milieu du sentier, sans savoir combien ils sont ?
Perceval : Toute façon ils étaient pas là.
Arthur : Mais s'ils avaient été là ?
Perceval : Bah au moins j'aurais été fixé.
Arthur : AH ben j'comprends oui.. non mais vous êtes pas dingue d'avancer à découvert comme ça ? Non mais moi j'vous envoie plus en mission c'est pas possible, à la moindre embuscade vous vous faites déglinguer !
Perceval : Ben il fallait bien qu'j'aille voir.
Arthur : Mais enfin faut étudier le terrain ! Demander des renforts, on fait pas ça comme ça !
Perceval : Bah j'ai été chercher Karadoc quand même.
Arthur : Ah ouais c'est vrai... bon ben allez y, racontez.
Perceval : Qu'est ce qu'il faut que j'raconte ?
Arthur : Mais je n'sais pas moi, vous avez bien préparé un plan, quelque chose...
[...]
Perceval : J'fais quoi tout à l'heure ? J'raconte ça ?
Arthur : Ben l'coup des boulettes de pain dans le nez non, déjà, après votre pote qui prépare pas plus de plan d'attaque que vous mais qui pense quand même à préparer le casse-graine, non plus...
Perceval : J'raconte rien donc...
Arthur : Ben non.. c'est dommage hein, parce que dans une histoire la partie où le héros réuni son équipe, c'est bateau mais ça marche toujours.
Perceval : Puis là une équipe de deux ça fait charlot non ?
Arthur : Bon... et une fois que Karadoc a été dans la course, vous êtes retourné sur le sentier.
Perceval : Voilà.
Arthur :... eeeeeeeet ?
Perceval : Et c'est bon, on a pas été attaqué.
Arthur : Quoi ???
Perceval : C'est bon, on a fait le chemin d'un bout à l'autre sans avoir vu personne, comme dans du beurre.
Arthur : Non mais c'est pas vrai... !
Perceval : Zone sécurisée, mission accomplie, formation du lézard !
Arthur : Formation du... ?
Perceval : C'est pas ça qu'on dit ?
Arthur : Qu'on dit quand ?
Perceval : Euh jsais pas euh...
Arthur : C'est formation de la tortue, déjà, et puis dans c'cas là ça s'dit pas.
Perceval : Et on dit quoi dans c'cas là ?
Arthur : Dans c'cas là, surtout on dit rien.
Puis, Perceval raconte son aventure à la table ronde.
Perceval : Ils parlaient juste à la table derrière. Enfin, ils parlaient... non, c'est plutôt eux qui viennent, ils viennent, ils s'assoient à ma table, comme j'leur dis "ohohoh, vous virez vos culs d'là on n'est pas cousins hein".. (regarde Arthur, la tête dans son armure)... euh ouais non, c'est dans la forêt en fait. Euhhhh c'est tout comme ça mais dans la forêt. Ils s'asseyent à ma table.. euh non, ben non, non, enfin, ils marchaient sur le... sur le sol, sur les brindilles en fait, mais surtout, j'étais pas en train d'me mettre des boulettes de pain dans les trous de nez.
Perceval : Bah j'étais tranquille, peinard, j'buvais un coup.
Arthur : Oui, vous étiez à la taverne donc.
Perceval : Bah ouais...
Arthur : Super, top classe comme début !
Perceval : Ben j'vous raconte [...] C'était des marchands, ils racontaient qu'il y avait une partie du sentier en forêt où y avait des attaques.
Arthur : D'accord.
Perceval : Alors je sais, c'est pourri, mais jme suis dit que si j'arrive à coincer les bandits, ça pouvait faire un genre de quête.
Arthur : Ah non mais c'est pas pourri, c'est pas pourri du tout, c'est même très bien ! On va jusdte changer quelques bricoles ; déjà, vous étiez pas à la taverne.
Perceval : Ben si.
Arthur : Non mais non, on va dire que non, on va dire que vous étiez en forêt, qque vous vous rendiez ici à Kaamelott pour une réunion de la table ronde, et que les marchands vous ont abordé pour vous demander de l'aide.
Perceval : Mais qu'est ce que ça change ?
Arthur : Ca change que vous étiez pas en train de picoler, déjà, d'un point de vue ethique c est pas pareil et puis c'est mieux quand le héros ne compte pas faire quelque chose au début de l'histoire ; ce qui le pousse dans l'aventure est imprévisible : c'est pas lui qui veut partir à l'aventure, c'est l'aventure qui se met sur sa route. Au début c'est toujours plus intéressant s'il veut rien faire de particulier.
Perceval : Ben du coup la taverne c'est encore mieux, moi j'avais rien demander à personne, j'venais là pour glander.
Arthur : Ouais... en théorie c'est vrai qu'c'est bien... sauf que je préfère éviter de suggérer que les chevaliers sont des alcoolos notoires, de une, et de deux je pense que vous glandouiller bien assez comme ça dans la réalité pour qu'on puisse se permettre d'optimiser le fictionnel.
Perceval : Oula, c'est chaud là... j'ai rien compris.
Arthur : Faites moi confiance.
[...]
Arthur : Les marchands se présentent à vous et vous demandent de leur porter secours car un groupe de bandits de grand chemin leur tend des embuscades.
Perceval : D'accord. Et moi j'leur dis non.
Arthur : Et vous leur dites non. Vous leur dites ? N... vous leur dites non ? Pourquoi non ?
Perceval : Ben qu'est-ce qu'ils viennent me demander ? J'les connais pas moi, j'suis pas leur boniche.
Arthur : Non mais vous acceptez de les aider !
Perceval : Mais pourquoi ? J'comprends que dalle là.
Arthur : Mais enfin parce qu'après vous partez à la poursuite des bandits et ça raccorde avec votre histoire !
Perceval : *siffle* Là c'est hyper balèze.
Arthur : Bon.. Vous vous souviendrez d'tout ou vous allez vous emmêler les pinceaux ?
Perceval : Donc on dit que j'étais pas à la taverne, mais en forêt.
Arthur : Voilà.
Perceval : Les marchands sont venus m'dire qu'il y avait des bandits qui tendaient des embuscades sur le sentier/
Arthur : Très bien.
Perceval : Ils m'ont demandé de les aider, et moi j'ai refusé.
Arthur : Non !!!!!!
Perceval : Ah non non non, j'ai dit oui, j'ai dit oui ! Putain j'arrive pas à le retenir ça.
Arthur : Mais évidemment que vous avez dit oui sinon après y a pas d'aventure !!
Perceval : Ouais ouais, et après c'est fini.
Arthur : Comment c'est fini ? Mais, c'est à peine commencé !
Perceval : Non mais après une chouette intro comme ça, jvais pas leur raconter ce qui m'est vraiment arrivé ! Non là c'est classe, ils m'demandent de l'aide, je dis oui, merci mon cul.
Arthur : ....
Perceval : Mais j'peux pas vous raconter ça, c'est trop pourri !
Arthur : Ca fait rien on changera, d'abord vous me racontez tout comme ça c'est passé.
Perceval : D'accord. Ben d'abord jme suis planté là où y aurait du avoir les bandits.
Arthur :Attendez... vous vous pointez tout seul, comme ça, au milieu du sentier, sans savoir combien ils sont ?
Perceval : Toute façon ils étaient pas là.
Arthur : Mais s'ils avaient été là ?
Perceval : Bah au moins j'aurais été fixé.
Arthur : AH ben j'comprends oui.. non mais vous êtes pas dingue d'avancer à découvert comme ça ? Non mais moi j'vous envoie plus en mission c'est pas possible, à la moindre embuscade vous vous faites déglinguer !
Perceval : Ben il fallait bien qu'j'aille voir.
Arthur : Mais enfin faut étudier le terrain ! Demander des renforts, on fait pas ça comme ça !
Perceval : Bah j'ai été chercher Karadoc quand même.
Arthur : Ah ouais c'est vrai... bon ben allez y, racontez.
Perceval : Qu'est ce qu'il faut que j'raconte ?
Arthur : Mais je n'sais pas moi, vous avez bien préparé un plan, quelque chose...
[...]
Perceval : J'fais quoi tout à l'heure ? J'raconte ça ?
Arthur : Ben l'coup des boulettes de pain dans le nez non, déjà, après votre pote qui prépare pas plus de plan d'attaque que vous mais qui pense quand même à préparer le casse-graine, non plus...
Perceval : J'raconte rien donc...
Arthur : Ben non.. c'est dommage hein, parce que dans une histoire la partie où le héros réuni son équipe, c'est bateau mais ça marche toujours.
Perceval : Puis là une équipe de deux ça fait charlot non ?
Arthur : Bon... et une fois que Karadoc a été dans la course, vous êtes retourné sur le sentier.
Perceval : Voilà.
Arthur :... eeeeeeeet ?
Perceval : Et c'est bon, on a pas été attaqué.
Arthur : Quoi ???
Perceval : C'est bon, on a fait le chemin d'un bout à l'autre sans avoir vu personne, comme dans du beurre.
Arthur : Non mais c'est pas vrai... !
Perceval : Zone sécurisée, mission accomplie, formation du lézard !
Arthur : Formation du... ?
Perceval : C'est pas ça qu'on dit ?
Arthur : Qu'on dit quand ?
Perceval : Euh jsais pas euh...
Arthur : C'est formation de la tortue, déjà, et puis dans c'cas là ça s'dit pas.
Perceval : Et on dit quoi dans c'cas là ?
Arthur : Dans c'cas là, surtout on dit rien.
Puis, Perceval raconte son aventure à la table ronde.
Perceval : Ils parlaient juste à la table derrière. Enfin, ils parlaient... non, c'est plutôt eux qui viennent, ils viennent, ils s'assoient à ma table, comme j'leur dis "ohohoh, vous virez vos culs d'là on n'est pas cousins hein".. (regarde Arthur, la tête dans son armure)... euh ouais non, c'est dans la forêt en fait. Euhhhh c'est tout comme ça mais dans la forêt. Ils s'asseyent à ma table.. euh non, ben non, non, enfin, ils marchaient sur le... sur le sol, sur les brindilles en fait, mais surtout, j'étais pas en train d'me mettre des boulettes de pain dans les trous de nez.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Merci evo pour ces retranscriptions
Bilan du CRA : HPI, trouble anxieux et traits autistiques mais TSA écarté.
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Papa de 3 enfants dont peut-être une fille "neuroatypique" ?
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Papa de 3 enfants dont peut-être une fille "neuroatypique" ?
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Malheureusement, j'ai l'impression d'avoir fait le tour.
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Alors il faut maintenant en inventer ...evolution650HBn°2 a écrit :Malheureusement, j'ai l'impression d'avoir fait le tour.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
-
- Prolifique
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ah ce n'est pas bête, bon ben.. à vos claviers (je ne suis pour ma part pas très forte dans ce genre de choses, mais nul doute que beaucoup d'entre vous le sont). Je chercherai quand même.
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Un nouvel ouvrage : Les répliques d'evolution650HBn°2 !
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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- Prolifique
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Livre 1 tome 1
Heat
Arthur : Vous les voyez vous ?
Perceval : Non !
Arthur : Ah ben tourné vers là bas c'est sur, moi non plus j'vois rien.
Léodagan : Passez la tête.
Perceval : Passer la tête ? Pour me prendre une flèche dedans ? Non merci !
Léodagan : On n'entend plus rien, si ça s'trouve ils ont foutu l'camp.
Arthur : Si ça s'trouve ? Alors pour nous sortir de là va nous falloir du un peu plus solide que du "si ça s'trouvee".
Léodagan : Ils sont encore là ces cons !
Arthur : On va pas rester planter là comme des radis ! Si y a un autre groupe qu'arrive par là on est marrons des deux côtés.
Perceval : Et si on faisait l'coup du bouclier humain ?
Léodagan : Quel coup ?
Perceval : Par exemple sir, Léodagan et moi on fait semblant de vous prendre en otage : on vous mete une dague sous le ccou et on traverse le camp adverse en gueulant "bougez pas ! bougez pas ou on bute le roi !"
[...]
Arthur : Eh, quelles sont nos chances si on fonce ?
Léodagan : Si on fonce où ça ?
Arthur : Droit devant, en plein dans leur tronche, on sait même pas combien ils sont.
Léodagan : Ah oui mais nous on est trois, enfin, deux et demi ! Alors s'ils sont dix, on est cuits.
Perceval : On pourrait balancer d'la caillasse vers là bas, comme ça ils s'disent qu'on y est et nous pendant c'temps là on part dans l'autre sens !
Arthur : Ah non hein, s'il vous plait, laissez tomber les combines à deux ronds.
Perceval : Non non non ! Vous allez voir. (jette la pierre)
Arthur et Léodagan : Mais pas par là ! pas par là !
Perceval : Putain en plein dans sa mouille !
Arthur : Mais vous êtes complètement con !
Léodagan : Vous allez peut être me dire que maintenant ils croient qu'on est là bas !?
Perceval : Non mais maintenant il faut s'tirer dans l'autre sens !
Arthur : Ah ben un peu oui ! Surtout que s'ils ont vu d'où venait la pierre ils sont en train de radiner droit sur nous !
Perceval : Ouais mais nous on change de coin ! Et quand ils arrivent là ils sont piner, y a personne ! Attendze, je vais les attirer ailleurs ! (jette une pierre sur Arthur). Merde, j'ai plus d'pierre, qu'estce qu'on fait ?
Perceval :
Arthur : Ben attendez, j'vais vous rendre la votre !
Léodagan : Hé, mais j'ai failli m'la prendre !
Perceval : On pourrait foutre le feu à la forêt pour les obliger à sortir ! Non ! Il faut faire comme aveec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu ! Il faut faire un feu en forme de cercle autour d'eux, comme ça ils se suicident pendant que nous on fait l'tour et on lance de la caillasse de l'autre côté pour brouiller ! Non ?
[...]
Perceval : C'est pas possible de rester coincer comme ça, j'vais devenir dingue moi, allez on fonce dans le tas, tant pis !
Léodagan : Dans une heure la nuit tombe, là y aura d'autres solutions ; déjà ils seront obligés d'allumer leur torche, on verra enfin où ils sont !
Perceval : Sinon on fait un tunnel jusqu'à notre campement ; Léodagan et moi on creuse pendant que vous leur jeter de la caillasse pour les éloigner du chantier.
Léodagan : Chuuut, ils sont juste à côté ces cons là.
Perceval : Merde ! S'ils ont entendu mon plan c'est foutu.
Arthur : La ferme !
Perceval : Bougez pas ! (siffle fort)
Arthur : Mais arrêtez bon sang !
Léodagan : Là on va s'faire tuer là !
Perceval : Animaux d'la forêt ! Aouh aouh aouh !! wo wo wo ! aou aou ! Attendez ! (jette de la terre et des cailloux sur Arthur) Aouh Aouh aouh ! Wo wo wo wo !
(Arthur se jette sur Perceval):
Léodagan : Oh non mais arrêtez là, on va s'faire repérer là ! Oh putain ! Arrêtez maintenant !!!
Heat
Arthur : Vous les voyez vous ?
Perceval : Non !
Arthur : Ah ben tourné vers là bas c'est sur, moi non plus j'vois rien.
Léodagan : Passez la tête.
Perceval : Passer la tête ? Pour me prendre une flèche dedans ? Non merci !
Léodagan : On n'entend plus rien, si ça s'trouve ils ont foutu l'camp.
Arthur : Si ça s'trouve ? Alors pour nous sortir de là va nous falloir du un peu plus solide que du "si ça s'trouvee".
Léodagan : Ils sont encore là ces cons !
Arthur : On va pas rester planter là comme des radis ! Si y a un autre groupe qu'arrive par là on est marrons des deux côtés.
Perceval : Et si on faisait l'coup du bouclier humain ?
Léodagan : Quel coup ?
Perceval : Par exemple sir, Léodagan et moi on fait semblant de vous prendre en otage : on vous mete une dague sous le ccou et on traverse le camp adverse en gueulant "bougez pas ! bougez pas ou on bute le roi !"
[...]
Arthur : Eh, quelles sont nos chances si on fonce ?
Léodagan : Si on fonce où ça ?
Arthur : Droit devant, en plein dans leur tronche, on sait même pas combien ils sont.
Léodagan : Ah oui mais nous on est trois, enfin, deux et demi ! Alors s'ils sont dix, on est cuits.
Perceval : On pourrait balancer d'la caillasse vers là bas, comme ça ils s'disent qu'on y est et nous pendant c'temps là on part dans l'autre sens !
Arthur : Ah non hein, s'il vous plait, laissez tomber les combines à deux ronds.
Perceval : Non non non ! Vous allez voir. (jette la pierre)
Arthur et Léodagan : Mais pas par là ! pas par là !
Perceval : Putain en plein dans sa mouille !
Arthur : Mais vous êtes complètement con !
Léodagan : Vous allez peut être me dire que maintenant ils croient qu'on est là bas !?
Perceval : Non mais maintenant il faut s'tirer dans l'autre sens !
Arthur : Ah ben un peu oui ! Surtout que s'ils ont vu d'où venait la pierre ils sont en train de radiner droit sur nous !
Perceval : Ouais mais nous on change de coin ! Et quand ils arrivent là ils sont piner, y a personne ! Attendze, je vais les attirer ailleurs ! (jette une pierre sur Arthur). Merde, j'ai plus d'pierre, qu'estce qu'on fait ?
Perceval :
Arthur : Ben attendez, j'vais vous rendre la votre !
Léodagan : Hé, mais j'ai failli m'la prendre !
Perceval : On pourrait foutre le feu à la forêt pour les obliger à sortir ! Non ! Il faut faire comme aveec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu ! Il faut faire un feu en forme de cercle autour d'eux, comme ça ils se suicident pendant que nous on fait l'tour et on lance de la caillasse de l'autre côté pour brouiller ! Non ?
[...]
Perceval : C'est pas possible de rester coincer comme ça, j'vais devenir dingue moi, allez on fonce dans le tas, tant pis !
Léodagan : Dans une heure la nuit tombe, là y aura d'autres solutions ; déjà ils seront obligés d'allumer leur torche, on verra enfin où ils sont !
Perceval : Sinon on fait un tunnel jusqu'à notre campement ; Léodagan et moi on creuse pendant que vous leur jeter de la caillasse pour les éloigner du chantier.
Léodagan : Chuuut, ils sont juste à côté ces cons là.
Perceval : Merde ! S'ils ont entendu mon plan c'est foutu.
Arthur : La ferme !
Perceval : Bougez pas ! (siffle fort)
Arthur : Mais arrêtez bon sang !
Léodagan : Là on va s'faire tuer là !
Perceval : Animaux d'la forêt ! Aouh aouh aouh !! wo wo wo ! aou aou ! Attendez ! (jette de la terre et des cailloux sur Arthur) Aouh Aouh aouh ! Wo wo wo wo !
(Arthur se jette sur Perceval):
Léodagan : Oh non mais arrêtez là, on va s'faire repérer là ! Oh putain ! Arrêtez maintenant !!!
Non-diag.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Les tartes aux myrtilles
Arthur : Bon allez beau-père, on s'remet au travail ?
Dame Séli : Aujourd'hui y a du dessert.
Arthur : Euh non, non moi ça va, merci.
Dame Séli : Y a des gens qui ont pris la peine de faire un dessert, la moindre des choses c'est de rester pour le manger ; y en a marre de se comporter comme des sagouins avec tout le monde sous prétexte qu'on a des responsabilités !
Arthur : Proposé si gentiment...
[...]
Arthur : Qu'est-ce que c'est c'machin ?
Dame Séli : C'est une tarte aux myrtilles ! Pourquoi ? Elle vous revient pas ??
Arthur : Mais ça va !!! Pourquoi vous m'agressez ?
Dame Séli : Parce que vous regardez ça comme si c'était du purin !
Arthur : Mais qu'est-ce que ça peut vous foutre de toute façon, c'est pas vous qui l'avez faite, si ?
Dame Séli : Ben si, justement c'est moi.
Arthur : Ah bon...
Guenièvre : Elle y a passé la matinée.
Léodagan: Vous faites des tartes vous maintenant.
Dame Séli : Et alors ? C'est pas permis ?
Arthur : La vache, ça vous rend pas aimable en tout cas hein !
Léodagan: Doit y avoir 80 larbins au château et c'est vous qui tapez la tambouille ?
Dame Séli : Ca m'détend ! Bon et ben qu'est ce que vous attendez pour la couper ? Qu'il fasse nuit ?
[...]
Dame Séli : Vous dites rien.
Léodagan: Faudrait pouvoir hein.
Guenièvre : Non le fruit est bon.
Dame Séli : C'est pas la peine de faire des ronds de jambe, si c'est pas bon vous n'avez qu'à l'dire.
Arthur : C'est pas bon.
Dame Séli : Merci bien !
Arthur : Vous posez la question !
Dame Séli : Eh ben j'la pose pas à vous !
Guenièvre : La pâte est probablement un peu sèche.
Léodagan: Euh probablement oui. Ca doit jouer.
Dame Séli : J'ai envie d'faire des tartes, voilà ! Vous n'allez pas m'obliger à m'justifier !
Léodagan: Ah ben non, tant qu'vous nous obligez pas à les manger !
Dame Séli : J'ai toujours rêver de faire des tartes pour mes ptits enfants, seulement des ptits enfants y en a pas ! ils arrivent jamais ! J'attends, j'attends, rien !
Arthur : Si vous les accueillez avec ça ils sont pas prêts d'arriver.
Guenièvre : On aime toujours les tartes de sa mamie.
Dame Séli : Exactement ! C'est comme d'aller à la pêche avec son papi, c'est dans les gênes ça !
Léodagan: Quoi ??
Dame Séli : Mais oui mon ptit père, faudra bien vous y coller, à moins qu'vous préfériez vous taper les tartes.
Léodagan: Non mais c'est dingue cette histoire ! C'est pas parce que vous faites des tartes pour des ptits enfants qu'existent pas que j'dois les emmener à la pêche non !
Dame Séli : C'est pourtant comme ça qu'on leur fait des souvenirs aux ptits, la pêche, les tartes, c'est du patrimoine.
Arthur, montrant la tarte : C'est du patrimoine ça.. ?
Guenièvre : Enfin moi j'sais pas si j'leur laisserai manger ça à mes enfants.
Dame Séli : Oui bah vous occupez vous d'les faire ça s'ra déjà pas mal !
Arthur : Y a pas à dire, sitôt qu'y a du dessert le repas est tout d'suite beaucoup plus chaleureux.
[...]
Léodagan: Vous savez c est quand même pas bien grave de pas savoir faire des tartes.
Guenièvre : Non vous en faites pas.
Dame Séli : Oh mais j'm'en fais pas, j'vais m'entrainer jusqu'à c'que ça marche.
Arthur : Vous voulez dire que vous allez en refaire ?
Dame Séli : Tous les jours.
Léodagan : Tous les jours ??
Dame Séli : Non mais j'vais varier les fruits vous inquiétez pas.
Arthur : Et vous allez varier la pâte aussi ?
Dame Séli : Non mais n'exagérez pas non plus, j'vous d'mande quand même pas de manger des briques !
Léodagan : Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques c est que vous appelez ça des tartes hein.
Guenièvre : Et si vous faisiez des confitures mère ? Les enfants ils adorent ça !
Arthur : Oui puis ils pourraient en manger tout d'suite au moins, tandis que ça avant un an ils ont pas assez de chicots toute façon.
Léodagan : Ah puis attention, faut pas se risquer à attaquer ça avec des dents de lait hein.
[...]
Dame Séli : Attendez, au cas où vous auriez un creux dans l'après midi.
Léodagan : Ouais ou une fissure à colmater dans un muret
Arthur : Ca va on plaisante !
Léodagan : On plaisante, on plaisante...
Arthur : Bon allez beau-père, on s'remet au travail ?
Dame Séli : Aujourd'hui y a du dessert.
Arthur : Euh non, non moi ça va, merci.
Dame Séli : Y a des gens qui ont pris la peine de faire un dessert, la moindre des choses c'est de rester pour le manger ; y en a marre de se comporter comme des sagouins avec tout le monde sous prétexte qu'on a des responsabilités !
Arthur : Proposé si gentiment...
[...]
Arthur : Qu'est-ce que c'est c'machin ?
Dame Séli : C'est une tarte aux myrtilles ! Pourquoi ? Elle vous revient pas ??
Arthur : Mais ça va !!! Pourquoi vous m'agressez ?
Dame Séli : Parce que vous regardez ça comme si c'était du purin !
Arthur : Mais qu'est-ce que ça peut vous foutre de toute façon, c'est pas vous qui l'avez faite, si ?
Dame Séli : Ben si, justement c'est moi.
Arthur : Ah bon...
Guenièvre : Elle y a passé la matinée.
Léodagan: Vous faites des tartes vous maintenant.
Dame Séli : Et alors ? C'est pas permis ?
Arthur : La vache, ça vous rend pas aimable en tout cas hein !
Léodagan: Doit y avoir 80 larbins au château et c'est vous qui tapez la tambouille ?
Dame Séli : Ca m'détend ! Bon et ben qu'est ce que vous attendez pour la couper ? Qu'il fasse nuit ?
[...]
Dame Séli : Vous dites rien.
Léodagan: Faudrait pouvoir hein.
Guenièvre : Non le fruit est bon.
Dame Séli : C'est pas la peine de faire des ronds de jambe, si c'est pas bon vous n'avez qu'à l'dire.
Arthur : C'est pas bon.
Dame Séli : Merci bien !
Arthur : Vous posez la question !
Dame Séli : Eh ben j'la pose pas à vous !
Guenièvre : La pâte est probablement un peu sèche.
Léodagan: Euh probablement oui. Ca doit jouer.
Dame Séli : J'ai envie d'faire des tartes, voilà ! Vous n'allez pas m'obliger à m'justifier !
Léodagan: Ah ben non, tant qu'vous nous obligez pas à les manger !
Dame Séli : J'ai toujours rêver de faire des tartes pour mes ptits enfants, seulement des ptits enfants y en a pas ! ils arrivent jamais ! J'attends, j'attends, rien !
Arthur : Si vous les accueillez avec ça ils sont pas prêts d'arriver.
Guenièvre : On aime toujours les tartes de sa mamie.
Dame Séli : Exactement ! C'est comme d'aller à la pêche avec son papi, c'est dans les gênes ça !
Léodagan: Quoi ??
Dame Séli : Mais oui mon ptit père, faudra bien vous y coller, à moins qu'vous préfériez vous taper les tartes.
Léodagan: Non mais c'est dingue cette histoire ! C'est pas parce que vous faites des tartes pour des ptits enfants qu'existent pas que j'dois les emmener à la pêche non !
Dame Séli : C'est pourtant comme ça qu'on leur fait des souvenirs aux ptits, la pêche, les tartes, c'est du patrimoine.
Arthur, montrant la tarte : C'est du patrimoine ça.. ?
Guenièvre : Enfin moi j'sais pas si j'leur laisserai manger ça à mes enfants.
Dame Séli : Oui bah vous occupez vous d'les faire ça s'ra déjà pas mal !
Arthur : Y a pas à dire, sitôt qu'y a du dessert le repas est tout d'suite beaucoup plus chaleureux.
[...]
Léodagan: Vous savez c est quand même pas bien grave de pas savoir faire des tartes.
Guenièvre : Non vous en faites pas.
Dame Séli : Oh mais j'm'en fais pas, j'vais m'entrainer jusqu'à c'que ça marche.
Arthur : Vous voulez dire que vous allez en refaire ?
Dame Séli : Tous les jours.
Léodagan : Tous les jours ??
Dame Séli : Non mais j'vais varier les fruits vous inquiétez pas.
Arthur : Et vous allez varier la pâte aussi ?
Dame Séli : Non mais n'exagérez pas non plus, j'vous d'mande quand même pas de manger des briques !
Léodagan : Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques c est que vous appelez ça des tartes hein.
Guenièvre : Et si vous faisiez des confitures mère ? Les enfants ils adorent ça !
Arthur : Oui puis ils pourraient en manger tout d'suite au moins, tandis que ça avant un an ils ont pas assez de chicots toute façon.
Léodagan : Ah puis attention, faut pas se risquer à attaquer ça avec des dents de lait hein.
[...]
Dame Séli : Attendez, au cas où vous auriez un creux dans l'après midi.
Léodagan : Ouais ou une fissure à colmater dans un muret
Arthur : Ca va on plaisante !
Léodagan : On plaisante, on plaisante...
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Le chevalier mystère.
Père Blaise: Aujourd'hui il est question de tenter d'éclaircir le mystère du chevalier de provence.
Léodagan : Le chevalier d'provence ? C'est qui celui là ?
Père Blaise : Personne n'est au courant ?
Arthur : Si si. Si si j'en ai entendu parler moi.
Bohort : Mais vous croyez que c est vrai cette histoire ? Franchement ça m'a tout l'air d'être un bruit qui court.
Lancelot : Alors là permettez moi de vous dire ; le coup du mystérieux chevalier gaulois solitaire à la rescousse de l'opprimé euh...ça fait vraiment bidon comme légende !
Hervé de Rinel : ca vous agace ça hein ?
Lancelot : Quoi donc ?
Karadoc : Un chevalier solitaire dont tout le monde parle et qui s'appelle pas Lancelot du La...
Lancelot : Dont tout le monde parle ? Non, non, s'il vous plait...
Bohort : C'est vrai qu'on commence effectivement à beaucoup en entendre parler.
Lancelot : Mais on en entend parler dans les tavernes à ivrognes ! Voilà !
Perceval : Ah bon ? Moi j'passe pas mal de temps à la taverne, j'ai jamais entendu parler de celui là hein.
Arthur : Le problème c est que si c'type commence à vraiment faire parler de lui, va falloir qu'on lui fasse une place à la table ronde.
Léodagan : Encore ? Bah y a que 8 places, on est déjà une douzaine !
Lancelot : Mais arrêtez avec votre chevalier gaulois, j'vous dis qu'c'est des conneries !
Galessin : Il faudrait sérieusement penser à agrandir la table.
Bohort : Sir, c'est vrai que si les chevaliers se multiplient il va falloir fabriquer une table en conséquence.
Arthur : Bah la table encore ça va, seulement j'ai pas de pièce plus grande que celle là.
Bohort : De toute façon, le chevalier d'provence, il faudrait déjà mettre la main dessus !
Léodagan : Mais c'est le chevalier de provence ou le chevalier gaulois ? Faudrait savoir !
Lancelot : Mais c'est rien, c'est rien du tout, voilà ! Il n'existe pas.
Galessin : Ca dépend des sources mais j'crois bien que c est un chevalier de provence.
Père Blaise : Très exactement, c'est Provencal le Gaulois.
Perceval : Ben non, c'est moi ça.
Arthur : Comment ça c'est vous ?
Perceval : Ben j'suis pas mystérieux moi, j'suis même pas solitaire alors...
Arthur : Qu'est ce que vous nous chanter, vous êtes pas gaulois qu'je sache ?
Perceval : Bah j'sais pas c'qu'il vous faut, j'suis d'Caerdid !
Bohort : Mais c'est au pays de galles Caerdid. Vous êtes gallois.
Perceval : Ben c'est bien c'que j'ai dit ! Provencal le Gaulois. Le Gallois. Ouais... j'vois c'que vous voulez dire...
Bohort : Vous n'êtes pas gaulois !
Perceval : Ouais ouais jme suis gourré.
Arthur : Sans vouloir abuser ; il m'semble pas qu'vous soyez provencal non plus.
Perceval : Non, Provencal c'est mon nom.
Bohort : Perceval.
Perceval : Perceval ouais, qu'est ce que j'ai dit ?
Bohort : Provencal.
Perceval : Non non, Perceval, jme suis gourré. Ben quoi, c'est pas si grave que ça.
Arthur : Pas foutu d'savoir son nom !!?
Léodagan : Et on peut savoir depuis quand vous arpentez la bretagne en racontant à tout l'monde que vous vous appelez Provencal le Gaulois ?
Perceval : J'en sais rien moi !
Lancelot : Et si ça s'trouve il dit jamais la même chose !
Perceval : N'empêche que tout l'monde parle de moi, c'est quand même un signe.
Arthur : Perceval le Gallois en revanche tout l'monde s'accorde à dire que c est une tanche et ça c'est pas une légende.
Bohort : Oui mais Provençal le Gaulois a une excellente réputation sire.
Arthur : Alors j'voudrais bien qu'on m'explique pourquoi !
Karadoc : A cause des faits d'armes.
Arthur : Les faits d'armes de celui là ? Ah première nouvelle !
Léodagan : C'est quand même pas d'bol pour lui, parce que les rares fois où il arrive à faire quelque chose de ses dix doigts, il s'plante quand on lui demande son nom...
[...]
Père Blaise : Bon h bien voilà, le mystère du chevalier de provence est éclairci.
Perceval : Il suffisait de demander.
Léodagan : En provence à l'heure qu'il est, ils doivent être drôlement fiers de l'enfant du pays.
Arthur : Jpense bien surtout qu'les enfants d'provence qui sont de Caerdid ça doit pas courir les rues.
Perceval : N'empêche que j'suis une légende !
Père Blaise: Aujourd'hui il est question de tenter d'éclaircir le mystère du chevalier de provence.
Léodagan : Le chevalier d'provence ? C'est qui celui là ?
Père Blaise : Personne n'est au courant ?
Arthur : Si si. Si si j'en ai entendu parler moi.
Bohort : Mais vous croyez que c est vrai cette histoire ? Franchement ça m'a tout l'air d'être un bruit qui court.
Lancelot : Alors là permettez moi de vous dire ; le coup du mystérieux chevalier gaulois solitaire à la rescousse de l'opprimé euh...ça fait vraiment bidon comme légende !
Hervé de Rinel : ca vous agace ça hein ?
Lancelot : Quoi donc ?
Karadoc : Un chevalier solitaire dont tout le monde parle et qui s'appelle pas Lancelot du La...
Lancelot : Dont tout le monde parle ? Non, non, s'il vous plait...
Bohort : C'est vrai qu'on commence effectivement à beaucoup en entendre parler.
Lancelot : Mais on en entend parler dans les tavernes à ivrognes ! Voilà !
Perceval : Ah bon ? Moi j'passe pas mal de temps à la taverne, j'ai jamais entendu parler de celui là hein.
Arthur : Le problème c est que si c'type commence à vraiment faire parler de lui, va falloir qu'on lui fasse une place à la table ronde.
Léodagan : Encore ? Bah y a que 8 places, on est déjà une douzaine !
Lancelot : Mais arrêtez avec votre chevalier gaulois, j'vous dis qu'c'est des conneries !
Galessin : Il faudrait sérieusement penser à agrandir la table.
Bohort : Sir, c'est vrai que si les chevaliers se multiplient il va falloir fabriquer une table en conséquence.
Arthur : Bah la table encore ça va, seulement j'ai pas de pièce plus grande que celle là.
Bohort : De toute façon, le chevalier d'provence, il faudrait déjà mettre la main dessus !
Léodagan : Mais c'est le chevalier de provence ou le chevalier gaulois ? Faudrait savoir !
Lancelot : Mais c'est rien, c'est rien du tout, voilà ! Il n'existe pas.
Galessin : Ca dépend des sources mais j'crois bien que c est un chevalier de provence.
Père Blaise : Très exactement, c'est Provencal le Gaulois.
Perceval : Ben non, c'est moi ça.
Arthur : Comment ça c'est vous ?
Perceval : Ben j'suis pas mystérieux moi, j'suis même pas solitaire alors...
Arthur : Qu'est ce que vous nous chanter, vous êtes pas gaulois qu'je sache ?
Perceval : Bah j'sais pas c'qu'il vous faut, j'suis d'Caerdid !
Bohort : Mais c'est au pays de galles Caerdid. Vous êtes gallois.
Perceval : Ben c'est bien c'que j'ai dit ! Provencal le Gaulois. Le Gallois. Ouais... j'vois c'que vous voulez dire...
Bohort : Vous n'êtes pas gaulois !
Perceval : Ouais ouais jme suis gourré.
Arthur : Sans vouloir abuser ; il m'semble pas qu'vous soyez provencal non plus.
Perceval : Non, Provencal c'est mon nom.
Bohort : Perceval.
Perceval : Perceval ouais, qu'est ce que j'ai dit ?
Bohort : Provencal.
Perceval : Non non, Perceval, jme suis gourré. Ben quoi, c'est pas si grave que ça.
Arthur : Pas foutu d'savoir son nom !!?
Léodagan : Et on peut savoir depuis quand vous arpentez la bretagne en racontant à tout l'monde que vous vous appelez Provencal le Gaulois ?
Perceval : J'en sais rien moi !
Lancelot : Et si ça s'trouve il dit jamais la même chose !
Perceval : N'empêche que tout l'monde parle de moi, c'est quand même un signe.
Arthur : Perceval le Gallois en revanche tout l'monde s'accorde à dire que c est une tanche et ça c'est pas une légende.
Bohort : Oui mais Provençal le Gaulois a une excellente réputation sire.
Arthur : Alors j'voudrais bien qu'on m'explique pourquoi !
Karadoc : A cause des faits d'armes.
Arthur : Les faits d'armes de celui là ? Ah première nouvelle !
Léodagan : C'est quand même pas d'bol pour lui, parce que les rares fois où il arrive à faire quelque chose de ses dix doigts, il s'plante quand on lui demande son nom...
[...]
Père Blaise : Bon h bien voilà, le mystère du chevalier de provence est éclairci.
Perceval : Il suffisait de demander.
Léodagan : En provence à l'heure qu'il est, ils doivent être drôlement fiers de l'enfant du pays.
Arthur : Jpense bien surtout qu'les enfants d'provence qui sont de Caerdid ça doit pas courir les rues.
Perceval : N'empêche que j'suis une légende !
Non-diag.
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- Enregistré le : samedi 12 décembre 2015 à 16:38
Re: Les répliques de Kaamelott.
Je kiffe ce Perceval (dès fois l'impression de penser comme lui mdr)
Perceval : Et si on faisait l'coup du bouclier humain ?
Perceval : Zone sécurisée, mission accomplie, formation du lézard !
Perceval : Et on dit quoi dans c'cas là ?
Perceval : Ben j'suis pas mystérieux moi, j'suis même pas solitaire alors...
Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
CIM10 F84
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Les répliques de Kaamelott.
Père Blaise : Aujourd'hui nous devons inaugurer une nouvelle cérémonie.
Arthur : Ecoutez bien ça, c'est important.
Père Blaise : A partir de ce jour, nous adresserons une prière hebdomadaire à la mémoire de nos regrettés camarades tombés au combat.
Arthur : Voilà.
Bohort : Noble initiative sire.
Lancelot : Excellente idée.
Léodagan : En même temps.. des camarades tombés au combat, ça se bouscule pas au portillon.
Galessin : Si y a l'autre là...
Léodagan : Lequel ?
Galessin : Celui avec une tête de con, toujours en train de bouffer.
Karadoc : Ben non, j'suis là moi. J'suis pas mort au combat.
Arthur : Ecoutez bien ça, c'est important.
Père Blaise : A partir de ce jour, nous adresserons une prière hebdomadaire à la mémoire de nos regrettés camarades tombés au combat.
Arthur : Voilà.
Bohort : Noble initiative sire.
Lancelot : Excellente idée.
Léodagan : En même temps.. des camarades tombés au combat, ça se bouscule pas au portillon.
Galessin : Si y a l'autre là...
Léodagan : Lequel ?
Galessin : Celui avec une tête de con, toujours en train de bouffer.
Karadoc : Ben non, j'suis là moi. J'suis pas mort au combat.
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Re: Les répliques de Kaamelott.
Ca manque encore de quiches dans la tete, je crois bien.evolution650HBn°2 a écrit :Malheureusement, j'ai l'impression d'avoir fait le tour.
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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