[Index Fiction] Kaamelott : Les répliques de Kaamelott, et autres...

[evolution650HBn°2]

Assez marrant aussi mais dur à décrire.

Arthur joue du ud.
Perceval, quelques secondes plus tard, l'accompagne en percussions.
Plus tard, Karadoc commence à chantonner par dessus : Comme la neige dans le vent ...
Arthur : Non ! Non mais, non, ça m'énerve là. Barrez vous.
Perceval et Karadoc partent sans demander leur reste.
Arthur :.. Toujours qu'on s"fasse emmerder...

[evolution650HBn°2]

Bohort : C'est à propos du Graal [...] dernier mes dernieres informations il semblerait qu'il ne s'agisse ni d'un vase ni d'une coupe mais... d'un récipient.
Arthur : Ca fait plaisir de voir que ça avance...
Bohort : J'ai l'impression que vous ne saisissez pas bien la nuance [...]
Karadoc : Du coup, ça serait un genre de saladier.
Léodagan : Oh non mais c'est pas vrai....
Arthur : Ecoutez Bohort, sans vouloir être blessant, êtes vous sur que ça change qque chose ?
Bohort : il me semble que pour trouver, il faut savoir ce que l'on cherche, non, je pense que nous avons là un début de piste.
Léodagan : Un début de piste ? Alors maintenant des qu'un clodo vient nous donner un renseignement, on tient un début de piste...
[...]
Lancelot : Le problème c'est qu'y en a pas un qui dit la même chose.
Perceval : Et ouais c'est pour ça, moi j'ai arrêté le Graal.
Arthur : Comment ça, "j'ai arrêté le Graal" !?
Perceval : Mais c'est un truc à se casser les dents ! Non, moi j'm'occupe de mon cas c'est déjà pas mal..
Arthur : J'vais m'occuper d'votre cas moi aussi.

[Lilette]

Le stock de pain

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Lancelot : Le Graal est un objet dont Joseph d'Arimatie s'est servi pour recueillir le sang de Jésus
Bohort : Donc, un récipient.
Arthur : Un récipient.. Un vase ou une coupe, on peut bien s'en servir pour mettre du sang dedans non ?
Léodagan : la question c'est "dans quoi d'autre peut on recueillir le sang de Jésus ?"
Bohort : Dans un récipient.
Perceval : C'est pas compliqué, comment ils font les mecs avec les porcs pour le boudin ?
Bohort : Avec un récipient !

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mdr oui, trop drôle.

[Tugdual]

Je croyais que le Graal
était un bocal à anchois ...

[evolution650HBn°2]

(pas mot pour mot)

Perceval : Ce matin y avait les gars qui parlaient et qui disaient que quand même, malgré tout ce qu'on fait, vous continuez à nous aimer et que ça c'était admirable.
Arthur : Moui, enfin ça dépend quand...
Perceval : Moi je dirais plutôt : ça dépend qui. Parce que moi, vous m'aimez pas.
Arthur : Hein ?
Perceval : Non mais c'est pas grave, l'amour c'est un truc, ça se commande pas.
Arthur : Non c'est pas ça, mais c'est complètement con ce que vous dites.
Perceval : Ah bon ? Alors vous m'aimez ?
Arthur : Mais je vous aime...
Perceval : Bah si vous savez pas c'est que vous m'aimez pas. C'est pas compliqué comme question.
Arthur : Non, mais c'est compliqué comme réponse !

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(toujours pas mot pour mot)

Arthur et Perceval sont dans une grotte à la poursuite d'un dragon qu'ils ne pourront tuer qu'en récitant un sort écrit sur un parchemin.

Perceval : Quand vous parlez de parchemin, vous ne parlez pas de celui que vous m'avez donné ?
Arthur : Ben si, pourquoi ?
Perceval : Non parce que je l'ai oublié à la taverne.
Regard dépité d'Arthur.
Perceval retourne à la taverne.
Le tavernier : Je vous l'avais mis de côté, vous pouviez pas faire sans ?
Perceval : Non, soit disant que y a un sort écrit dessus, mais toute façon moi jmen fous jsais pas lire.
Perceval retourne dans la grotte.
Arthur : Allez, donnez le moi.
Perceval : Euh je l'ai encore oublié à la taverne.
Perceval retourne à la taverne.
Perceval : Bon allez, servez moi une ptite coupette et après j'filoche, sinon on va encore dire que je lambine.

[evolution650HBn°2]

Pas drôle, mais j'aime bien ce passage.

Arthur : Oh mais merde avec Pandragon ! Fallait pas lui parler comme ci, il aurait jamais accepter ça, quand on lui marchait sur le pied il vous crevait un oeil... ! Moi quand on me marche sur l'pied, ben on m'dit pardon, et puis j'réponds "c'est pas grave", j'suis pas une espèce de gros taré à qui on peut jamais rien dire ! Alors foutez moi la paix avec ce con et finissez c'qu'on vous a mis dans votre assiette !

[evolution650HBn°2]

Arthur, Léodagan, Karadoc et Perceval sont incognito à la taverne, capuches mises pour ne pas qu'on puisse les reconnaitre.
Le tavernier : Ben dites donc qu'est ce qu'ils font tout couverts les voyageurs, ils ont froid ?
Perceval : On peut pas montrer nos visages parce qu'on a la lèpre.
Arthur : O_o



Perceval (à propos d'un dragon à proximité) : On dirait qu'il se rapproche. Ou alors qu'il s'éloigne.
Arthur : Heureusement que vous êtes là hein.


Arthur : De toute façon, vous vouliez pas y aller vous ?
Perceval : Comment ça ?
Arthur : Vous même, vous teniez pas absolument à y aller ?
Perceval : Ben, c'est pas que j'y tiens pas mais...
Arthur : Vous voulez y aller ?
Perceval : Ah non.

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Perceval : Dès que je pars en retraite, je vous laisse tous mes chevaux.
Karadoc : Ca c'est drôlement gentil !
Perceval : Voilà. J'en ai deux, ils sont à vous.
Karadoc : Vous en aviez pas trois ?
Perceval : Si mais l'autre je l'ai tué sans faire exprès. Bon et puis sur les deux y a le mien, alors je pars avec. Il vous en reste un. Vous ferez gaffe hein, il a au moins 25 ans ce bourrin, il peut crever d'un jour à l'autre.

[evolution650HBn°2]

Arthur, Perceval et Karadoc, dans une caverne, àà la file indienne.

Karadoc (à Arthur) : Vous qui avez l'habitude, ça vous dirait pas de fermer la marche ? Rien qu'à l'idée qu'on puisse me foncer dans le dos j'suis pas rassuré.
Arthur : Vous préférez ouvrir la marche ?
Karadoc : Euh... ben jvais me mettre entre vous deux alors.
Perceval : Non j'aime autant pas.
Karadoc : Ben pourquoi pas ?
Perceval : Parce que du coup j'suis derrière.
Karadoc : Derrière ou devant, c'est comme vous voulez.
Perceval : Non mais devant non plus, non j'aime pas, j'suis bien là.
Karadoc : On peut faire un peu chacun son tour.
Perceval : Non plus non, jveux rester là, jvoudrais que vous arrêtiez de proposer des trucs.

[evolution650HBn°2]

Perceval demande à Arthur à quel âge il peut partir en retraite.

Arthur : Mais arrêtez avec ça, c'est pas une question d'âge ! Sur le princip, la table ronde, c'est pas obligatoire
Perceval : Donc on peut partir quand on veut ?
Arthur : Sur le principe, oui.
Perceval : Sur le principe ?
Arthur : Sur le principe vous pouvez partir.
Perceval : Non mais en vrai ?
Arthur : Ben en vrai si vous partez jvous casse la gueule, déjà. Je trouve intolérable d'avoir une chance pareille et de vouloir aller bêcher un carré de potager. Et puis si vous partez maintnant, je vous raconte pas la réputation de péteux que vous allez vous taper.
Perceval : Pour l'moment jsuis pas encore parti, j'ai quand même une réputation de péteux.
Arthur : ... c'est pas faux...

[evolution650HBn°2]

Perceval : Vous y connaissez quelque chose vous aux choses de l'amour ?
Karadoc : Oula non, je suis une vraie bille.
Perceval : Parce qu'on est venu me parler d'amour cette nuit, ben j'ai rien compris.
Karadoc : Vous savez, jpense que c'est comme pour tout : on l'a ou on l'a pas. Moi par exemple, ben, j'l'ai pas.

[evolution650HBn°2]

Arthur : Il parait qu'aujourd'hui vous étiez à deux doigts d'un indice capital sur l'emplacement du Graal.
Perceval : Ouais c'est vrai.
Arthur : Et il parait aussi que vous avez tout foiré, et qu'on n'peut plus rien y faire.
Perceval : Ouais ouais, c'est vrai.
Arthur : .... Vous voulez m'en parler un peu... ?
[...]
Perceval : Moi je veux bien faire tout ce qu'on veut, mais à un moment faut être un minimum précis. Le vieux m'a dit "tu feras 20 lieues vers le Nord pour rejoindre les plaines de la perdition."
Arthur : Pourtant moi ça me parait clair !
Perceval : Non mais parce que là je vous le fais à ma sauce, déjà il m'a tout mis en désordre ce vieux con ! Il m'a dit "gnagna les plaines de la perdition, 20 lieues vers le Nord tu feras."
Arthur : J'suis désolé mais ça change pas tellement le sens !
Perceval : Ben si c'est ce que j'vous dis, ça m'a changé le sens !
Arthur : Non mais ça change pas le sens de la phrase !
Perceval : Ben si, il a fait la phrase, mais c'était pas dans l'bon sens.
Arthur : Bref !! La seule chose que je vois, c'est que vous vous êtes encore débrouillé pour passer à côté d'une belle occasion d'en savoir plus sur le Graal ! Vous êtes un naze ! Allez vous couchez, je veux plus vous voir !

Quelque temps plus tard, Arthur et sa conscience discutent, cette dernière lui expliquant que si Perceval est "nul", c'est pour être conforme à l'image qu'Arthur a de lui, et ainsi être sûr d'être aimé.
Puis, Perceval revient.

Perceval : Mais je l'ai toujours dit : faut arrêter avec ces conneries de Nord et de Sud. Une fois pour toutes : le Nord, selon comment on est tourné, ça change tout ! Toute façon le vieux, si je retombe dessus, il mange un marron, c'est obligé.
Arthur : Non mais c'est bien déjà, vous aviez une piste.
Perceval : Qu'est ce que vous dite Sire ?
Arthur : Vous aviez une piste.
Perceval : Mais Sire, j'ai quand même tout foiré !
Arthur : Non mais c'est parce que vous êtes tombé sur une personne peu précise [...], bref, vous êtes un grand chevalier.
Perceval s'évanouit. Arthur essaie de le réveiller.
Arthur : Eh, vous êtes un gros nul, un vrai gros naze ! ça va mieux ?
Perceval : Jsais pas ce qui s'est passé ! j'ai vu tout blanc, après tout noir et après deux fois tout blanc.
Arthur : Respirez, respirez.