[Index Humour] Blagues, Devinettes, Histoires drôles...

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- Quelle folie que le nombre d'heures supplémentaires que fait Müller...
- Pourquoi (fait-il cela) ?
- Pour convaincre le service de faire enfin moins d'heures supplémentaires !

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Je l'avais déjà mis dans une autre discussion, mais il a aussi sa place dans les drôleries :


Hmmm... I think I will use Schrödinger's cat's strategy : to play dead.
Hmmm... je pense que je vais utiliser la stratégie du chat de Schrödinger : faire le mort.

[Jean]

Pas bon le bisou sur le bobo de bébé ?
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 25.01.2016 à 16h47 | Par Pierre Barthélémy

Pan, la gamelle  ! Votre jeune enfant a voulu effectuer ses premiers pas, ce qui lui a valu de faire connaissance avec la loi de la gravitation et le coin du radiateur. Vite, vite, on se précipite vers la bobosse ou le bobo de bébé. Vite un bisou de maman ou papa, et voilà, cela va mieux, c’est guéri, et les voisins acariâtres ne vont pas appeler les services sociaux – en tout cas pas cette fois.


Mais gare  ! Que sait-on vraiment des vertus antalgiques de ce fameux baiser  ? Sont-elles documentées par des études scientifiques  ? N’est-on pas en pleine pensée magique  ? Comme l’explique une étude parue le 29 décembre  2015 dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice, aucun travail rigoureux n’est jamais venu confirmer les bienfaits du bisou. Les rares articles qui évoquent cette pratique ancestrale n’ont pas de groupe témoin ni de répartition au hasard des «  cobayes  ». Bref, tout reste à faire, méthodiquement, dans ce qu’en termes techniques on nomme «  un essai randomisé contrôlé à l’aveugle  ».

Les auteurs de cette étude ont donc recruté, à Ottawa, près d’un millier d’enfants âgés de 18 à 36 mois, avec leurs mères – à condition qu’elles soient majeures et qu’elles aient deux lèvres saines et en état de marche (véridique). Venait ensuite la meilleure partie de l’expérience  : faire mal aux bambins au nom de la science. Deux méthodes sont décrites dans l’article. Pour la première, «  un morceau de chocolat était placé sous le bord d’une table basse et l’enfant était autorisé à ramper jusqu’à la friandise, précise le protocole de l’étude. Invariablement, l’enfant se ­relevait pour manger le chocolat et se cognait la tête contre le bord de la ­table  ». Un bord dont on nous dit ­cependant qu’il a été arrondi pour éviter tout saignement. Voilà pour la tête. Pour la main, on installait le doudou du petit derrière une bobine chauffée à 50 °C afin de provoquer une légère brûlure.

Un «  moratoire »

Quand l’enfant se mettait à braire, trois possibilités se présentaient  : soit la mère déposait un baiser sur la zone endolorie, soit une tierce ­personne s’en chargeait – dans les deux cas le braillard ne voyait pas qui l’embrassait –, soit on laissait l’enfant se calmer seul. Un observateur estimait sa réaction grâce à la précise «  échelle de l’inconfort du tout-petit  », notant le nombre de décibels émis par le hurleur, le délai d’apparition des ­premiers spasmes, la durée totale des pleurs, etc.

L’expérience détruit le mythe  : les petits se calmaient plus vite quand on ne leur faisait rien. Estimant que les parents pourraient utiliser le temps de cette consolation inutile à des activités plus enrichissantes pour l’enfant comme, je cite, «  l’introduction aux fonctions algébriques et l’apprentissage du chinois  », l’étude en appelle en conclusion à «  un moratoire  » sur la pratique du bisou guérisseur.

Tout cela est évidemment une ­blague que la revue en question a ­publiée à dessein afin d’illustrer les limites des essais randomisés contrôlés qui, consacrés à tout et n’importe quoi, pullulent dans la littérature médicale. On n’a donc martyrisé aucun enfant au nom de la science. L’article était parsemé d’indices qui montraient clairement son but satirique. Mais quelques médias anglo-saxons l’ont pris pour argent comptant, mettant dans l’embarras les responsables du Journal of Evaluation in Clinical Practice, auxquels on a reproché de ne pas avoir annoncé la couleur. Mais pouvaient-ils prévoir que des journalistes seraient capables d’écrire un article sur une étude scientifique sans l’avoir lue  ?

http://www.lemonde.fr/sciences/article/ ... 50684.html

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Que dire à une personne qui voit du danger partout ? Par exemple à une personne qui voit le virus Zika dans les sushis.

- Je vois que la peinture est votre violon d'Ingres.
- Ben... je...
- Ben oui, vous, au moins, vous savez peindre le diable sur la muraille.

[misty]

[evolution650HBn°2]

ça me fait penser au film "le pari", quand Campan et Bourdon se font arrêter parce qu'ils ont tenté de prendre des médocss dans l'ex pharmacie de Bourdon.

Le gendarme : C"était la première fois ?
Bourdon : Oh non, non non, déjà la semaine dernière on avait braqué celle du drugstore...
Campan : Oui, oui oui.
Bourdon : Et là, comme le type il résistait et ben on l'a agressé.
Campan : Ouais, puis même, y avait aussi une dame qui venait acheter des boules quies, et puis euuh, on l'a violée.
Bourdon : Ah non !
Campan : Si ! Si si !
Bourdon : Non, on l'a frappée d'abord !
Campan : Ah on l'a frappée oui !
Bourdon : Puis comme elle est tombée en se cognant la tete elle est morte, et c'est là qu'on l'a violée.
Campan : Ouais, voilà. Enfin on a fait attention, on a mis des préservatifs.
Bourdon : Vous voyez ce que c'est, le préservatif ? Ca sert à protéger.
Campan : Pas comme la police.

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(À titre explicatif : en Suisse, les panneaux des autoroutes sont écrits blanc sur fond bleu pour les routes nationales et blanc sur fond vert pour les autoroutes ; en France, c'est le contraire.)

[À la base, il ne s'agit pas d'une histoire de vitesse, mais de ça.]

[Autiste ou surdoué ?]

Entendu sur la radio suisse romande ( )

Jacques Chirac s'est un jour fait aborder par un inconnu qui lui a dit
"- Connard !
Que répondre d'intelligent et de définitif ? :
- Ravi de vous rencontrer.
Moi, c'est Jacques Chirac !"

Je trouve ça génial dans l'art de retourner la situation par l'humour...

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[neg55]

Un soir à Moscou du temps de l URSS, les amis me font un festival de blagues
Comment chasse t on l éléphant sauvage en URSS ?
je réponds qu' il n y en a pas
Siiiii ! On attrape un ours et on le torture jusqu'à qu' il avoue qu' il est un éléphant
Désolée!