Brrrrr le "polystyrène" (correction automatiquemim a écrit :Quentin lui ne supporte pas la vue le toucher ou le bruit du polistyrene ( un méchant doute sur l'otograf)
)... Et aussi les cailloux secs, la craie, l'ardoise, la lime à ongle, les marqueurs... j'en ai des frissons!Une "bizarrerie" selon les autres, c'est le fait que je me couvre, même quand il y a une grosse chaleur:
Je ne peux pas dormir sans couverture ni rien, impossible. Et je ne supporte pas les drap (du dessus), trop rêches, donc, je dors systématiquement avec une couverture dans laquelle je m'emmitoufle (je n'aime pas avoir des espaces).
Je ne supporte pas non plus mettre des shorts ou des pantacourts (le contraste peau nue/peau couverte trop importante), donc, je mets systématiquement un pantalon, avec des chaussettes.
Je n'aime pas ne pas avoir de chaussettes ou de pantoufle au sol, sinon, je sens le froid, ou bien les "miettes" sur le sol. D'ailleurs, quand je m'assois, je suis systématiquement les pieds sur ma chaise (en genre de lotus), ce qui a valu une longue "rééducation" par mes parents pour m'adapter aux repas conventionnels
.Je n'aime pas non plus dormir nue dans mon lit (contact avec les draps et la couverture brrr, ce qui est en contradiction avec le fait d'être en contact avec mes vêtements mais bon... moins de sensation désagréable) donc, je mets systématiquement aussi de grands vêtements qui couvre tout mon corps.
Quand je suis avec ma copine, et quand on se couche, je me sens obligée de me coller contre elle très fort, et j'aime être entièrement contenue très fort, pas de façon légère, même s'il fait chaud.
Et finalement, si je vais à la plage, je n'aime pas rester peau nue longtemps en contact avec le soleil, donc, je me couvre avec une serviette, et les gens ne font pas le lien entre: mettre une serviette = avoir moins chaud, ils zappent donc l'information et pensent que je n'aime juste pas qu'on voit mon corps.
Du coup, les gens ne comprennent pas que je suis capable d'étouffer sous la chaleur comme ça. Moi, j'aime bien certain type chaleur (mais pas humides, ni celle d'un soleil qui tape).
En fait, là où les gens crèvent de chaud, je me sens bien, et là où les gens se sentent bien, je crève de chaud
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de mes tours de table 
