Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Pour l'ecran d'ordi, j’ai un logiciel qui reduit la luminosité et rend l'image un peu plus "orange", c'est f.lux et je trouve ca plus agreable .
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Pour l'écran, il y a RedShift avec Ubuntu, Edubuntu et Trisquel (au moins).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Lunettes de soleil, toujours, ça me gêne un peu car il y a un côté qui penche plus que l'autre
Mais c'est récent, je me souviens pas d'il y a 5 ans avoir autant de problème à la lumière. Mais en regardant des photos, à la lumière, j'ai les yeux plissés et une tronche de cake
Souvent je plisse les yeux. Ou met ma main, mais je sors peu alors

Mais c'est récent, je me souviens pas d'il y a 5 ans avoir autant de problème à la lumière. Mais en regardant des photos, à la lumière, j'ai les yeux plissés et une tronche de cake

Souvent je plisse les yeux. Ou met ma main, mais je sors peu alors

Pas de diagnostique fait pour le moment
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Moi c est surtout à l intérieur que je supporte pas, les lumières néon, je ressens clmme une tres grande fatigue dans les salles avec néon
Je n'ai pas de diagnostic /!\
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Lunettes de soleil à monture en plastique , pour éviter les tampons sur le nez,
Verres larges et/ ou courbées pour que je ne vois pas les montures et que le soleil ne puisse pas entrer sur les côtés.
Et il faut qu'elles tiennent sur ma tête mais sans trop serrer pour que je puisse les descendre ou remonter des que le besoin s'en fait ressentir.
Pas de casquettes synonymes de couvercle de cocotte minute
mais .... Je ne sors pas sans mon chapeau de paille à larges bords.
Verres larges et/ ou courbées pour que je ne vois pas les montures et que le soleil ne puisse pas entrer sur les côtés.
Et il faut qu'elles tiennent sur ma tête mais sans trop serrer pour que je puisse les descendre ou remonter des que le besoin s'en fait ressentir.
Pas de casquettes synonymes de couvercle de cocotte minute

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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Un neon qui clignote, c'est une des pires choses qui existeIxy a écrit :Moi c est surtout à l intérieur que je supporte pas, les lumières néon, je ressens clmme une tres grande fatigue dans les salles avec néon

C'est comme les flashs, horrible.
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Quelqu'un peut expliquer à quoi servent les lunettes polarisées ? est ce que ça a un effet positif sur les lumières intérieures par exemple ?
Je n'ai pas de diagnostic /!\
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Les lunettes polarisées arrêtent une direction de polarisation de la lumière. En général, la lumière émise par le soleil ou les sources artificielles n'ont pas de polarisation spécifique (c'est à dire que les rayons de lumière sont tous polarisées, mais chacun dans une orientation aléatoire), donc les lunettes polarisées ne font rien de plus qu'un filtre gris neutre.
Par contre, sur une lumière avec une polarisation, les lunettes polarisantes peuvent tout arrêter. Ce qui se rencontre, dans la vie courante, dans un cas : la lumière réfléchie. D'où l'utilisation de filtres polarisants en photographie pour supprimer les réflexions sur une vitre par exemple. Ou la lumière du soleil qui se réfléchit sur la mer, d'où l'invention des lunettes polarisées pour les bords de mer. Et dans ces cas là, l'orientation du filtre, ou des lunettes, est primordiale pour l'efficacité (un filtre polarisant pour la photo est montée sur un barillet qui permet de l'orienter convenablement).
Donc, pour répondre à ta question, des lunettes polarisées n'ont pas d'avantage spécifique sur les lumières artificielles habituelles.
Par contre, sur une lumière avec une polarisation, les lunettes polarisantes peuvent tout arrêter. Ce qui se rencontre, dans la vie courante, dans un cas : la lumière réfléchie. D'où l'utilisation de filtres polarisants en photographie pour supprimer les réflexions sur une vitre par exemple. Ou la lumière du soleil qui se réfléchit sur la mer, d'où l'invention des lunettes polarisées pour les bords de mer. Et dans ces cas là, l'orientation du filtre, ou des lunettes, est primordiale pour l'efficacité (un filtre polarisant pour la photo est montée sur un barillet qui permet de l'orienter convenablement).
Donc, pour répondre à ta question, des lunettes polarisées n'ont pas d'avantage spécifique sur les lumières artificielles habituelles.
(Diagnostiqué autiste en 2013, à 40 ans)
Papa d'un petit garçon autiste né en 2018
Je sème des cailloux, ils m'échappent des doigts,
Mais je prends bien garde qu'ils ne mènent à moi.
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
merci, c'est tout ce qu'il ya de plus clair 

Je n'ai pas de diagnostic /!\
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Pfff... Je supporte pas, non pluspotato a écrit :Un neon qui clignote, c'est une des pires choses qui existe
C'est comme les flashs, horrible.

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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
ici un article regardant les effets de la lumière bleue:
Sommeil : gare à la lumière bleue le soir
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 24.11.2014 à 16h58 • Mis à jour le 25.11.2014 à 15h39 | Par Pascale Santi
Utiliser des écrans avant de dormir n’est pas forcément bon pour tomber dans les bras de Morphée. « La lumière est le principal synchronisateur de l’horloge circadienne », a rappelé, jeudi 20 novembre, Claude Gronfier, chercheur en chronobiologie à l’Inserm (Bron, Rhône), lors du 29e Congrès du sommeil à Lille. En particulier la lumière bleue des diodes électroluminescentes (LED), émise par les écrans des ordinateurs, téléviseurs, smartphones et autres tablettes, pour le rétroéclairage : elle active cent fois plus les récepteurs photosensibles non visuels de la rétine (cellules ganglionnaires) que la lumière blanche d’une lampe. La lumière solaire est celle qui compte le plus de bleu.
Notre organisme est soumis à un rythme biologique, dont dépendent presque toutes les fonctions biologiques, dont le sommeil. Logée dans le cerveau, dans l’hypothalamus, cette horloge est resynchronisée chaque jour, principalement par la lumière captée par l’œil. Elle transmet l’information à un ensemble de structures, de tissus et d’organes, afin de permettre un bon éveil le jour et un bon sommeil la nuit.
« Si on s’expose à une lumière enrichie en bleu, cela provoque un retard de l’horloge, donc un retard à l’endormissement et le plus souvent une dette de sommeil », explique Claude Gronfier. « Deux cas nous inquiètent : le travail posté et ceux qui s’exposent tard à cette lumière bleue, principalement aux écrans, et les jeunes adultes et les ados », souligne le chercheur. Dans ces deux cas, l’horloge est désynchronisée. « On voit des adolescents qui présentent certains des symptômes des travailleurs de nuit : sommeil perturbé, fatigue, dépression, troubles de la mémoire et de la cognition », pointe le neurobiologiste.
Jet lag social
Une enquête présentée le 21 novembre, menée auprès de 776 préadolescents (âge moyen : 12,4 ans) de quatre collèges de la région parisienne, par Sylvie Royant-Parola, présidente du Réseau Morphée, a montré que 10,6 % d’entre eux se réveillent pour jouer ou discuter en ligne la nuit. Un quart des 11-15 ans présentent un temps de sommeil trop court (moins de sep heures), souligne le professeur Damien Léger, chef du Centre du sommeil et de la vigilance à l’Hôtel-Dieu (Paris), dans PLoS One.
« Les adolescents vont être exposés plus longtemps à la lumière à un moment où ils ne devraient pas l’être, on parle de jet lag social, qui a deux effets, l’heure du coucher plus tardive et un impact biologique, le blocage de la mélatonine », une hormone favorisant l’endormissement, constate le professeur Yvan Touitou, chronobiologiste et membre de l’Académie de médecine. Une étude menée en 2012 par Mariana Figueiro du Lighting Research Center (New York), publiée dans la revue Applied Ergonomics, a montré que l’utilisation prolongée de tablette à écran LED dans la pénombre perturbe sensiblement la sécrétion de mélatonine. Dans un rapport de 2010, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail avait déjà pointé les risques des écrans LED pour les enfants, dont l’œil filtre moins bien la lumière.
La liste des effets négatifs d’une dette de sommeil est longue : problèmes cardio-vasculaires, conséquences sur le système immunitaire, sur la concentration, le métabolisme, les résultats scolaires…
Le fait de traiter le retard de phase, en baissant l’exposition le soir et en l’augmentant le matin, peut toutefois inverser la tendance, a constaté Claude Gonfier sur une population proche de l’Arctique. « De la même façon que l’on parle d’hygiène de vie, il faut réfléchir à une hygiène de lumière », suggère-t-il. Outre les réflexes de bon sens, il est conseillé de réguler l’usage des écrans avant le coucher et de repérer si l’enfant a du mal à se lever le matin.
Sommeil : gare à la lumière bleue le soir
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 24.11.2014 à 16h58 • Mis à jour le 25.11.2014 à 15h39 | Par Pascale Santi
Utiliser des écrans avant de dormir n’est pas forcément bon pour tomber dans les bras de Morphée. « La lumière est le principal synchronisateur de l’horloge circadienne », a rappelé, jeudi 20 novembre, Claude Gronfier, chercheur en chronobiologie à l’Inserm (Bron, Rhône), lors du 29e Congrès du sommeil à Lille. En particulier la lumière bleue des diodes électroluminescentes (LED), émise par les écrans des ordinateurs, téléviseurs, smartphones et autres tablettes, pour le rétroéclairage : elle active cent fois plus les récepteurs photosensibles non visuels de la rétine (cellules ganglionnaires) que la lumière blanche d’une lampe. La lumière solaire est celle qui compte le plus de bleu.
Notre organisme est soumis à un rythme biologique, dont dépendent presque toutes les fonctions biologiques, dont le sommeil. Logée dans le cerveau, dans l’hypothalamus, cette horloge est resynchronisée chaque jour, principalement par la lumière captée par l’œil. Elle transmet l’information à un ensemble de structures, de tissus et d’organes, afin de permettre un bon éveil le jour et un bon sommeil la nuit.
« Si on s’expose à une lumière enrichie en bleu, cela provoque un retard de l’horloge, donc un retard à l’endormissement et le plus souvent une dette de sommeil », explique Claude Gronfier. « Deux cas nous inquiètent : le travail posté et ceux qui s’exposent tard à cette lumière bleue, principalement aux écrans, et les jeunes adultes et les ados », souligne le chercheur. Dans ces deux cas, l’horloge est désynchronisée. « On voit des adolescents qui présentent certains des symptômes des travailleurs de nuit : sommeil perturbé, fatigue, dépression, troubles de la mémoire et de la cognition », pointe le neurobiologiste.
Jet lag social
Une enquête présentée le 21 novembre, menée auprès de 776 préadolescents (âge moyen : 12,4 ans) de quatre collèges de la région parisienne, par Sylvie Royant-Parola, présidente du Réseau Morphée, a montré que 10,6 % d’entre eux se réveillent pour jouer ou discuter en ligne la nuit. Un quart des 11-15 ans présentent un temps de sommeil trop court (moins de sep heures), souligne le professeur Damien Léger, chef du Centre du sommeil et de la vigilance à l’Hôtel-Dieu (Paris), dans PLoS One.
« Les adolescents vont être exposés plus longtemps à la lumière à un moment où ils ne devraient pas l’être, on parle de jet lag social, qui a deux effets, l’heure du coucher plus tardive et un impact biologique, le blocage de la mélatonine », une hormone favorisant l’endormissement, constate le professeur Yvan Touitou, chronobiologiste et membre de l’Académie de médecine. Une étude menée en 2012 par Mariana Figueiro du Lighting Research Center (New York), publiée dans la revue Applied Ergonomics, a montré que l’utilisation prolongée de tablette à écran LED dans la pénombre perturbe sensiblement la sécrétion de mélatonine. Dans un rapport de 2010, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail avait déjà pointé les risques des écrans LED pour les enfants, dont l’œil filtre moins bien la lumière.
La liste des effets négatifs d’une dette de sommeil est longue : problèmes cardio-vasculaires, conséquences sur le système immunitaire, sur la concentration, le métabolisme, les résultats scolaires…
Le fait de traiter le retard de phase, en baissant l’exposition le soir et en l’augmentant le matin, peut toutefois inverser la tendance, a constaté Claude Gonfier sur une population proche de l’Arctique. « De la même façon que l’on parle d’hygiène de vie, il faut réfléchir à une hygiène de lumière », suggère-t-il. Outre les réflexes de bon sens, il est conseillé de réguler l’usage des écrans avant le coucher et de repérer si l’enfant a du mal à se lever le matin.
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 25.11.2014 à 15h39 • Mis à jour le 25.11.2014 à 15h39 | Par Pascale Santi.
Nécessaire à la vision, la lumière remplit aussi des fonctions non visuelles chez l’homme : la mise à l’heure de son horloge biologique, la sécrétion de certaines hormones (mélatonine, cortisol), l’activation des structures de l’éveil, de l’humeur, de la vigilance…
Et ce, même chez certains aveugles. En effet, en plus d’être perçue par les cônes et les bâtonnets des cellules de la rétine, la lumière y est captée par un groupe de cellules photoréceptrices particulières, les cellules ganglionnaires à mélanopsine, qui sont reliées aux noyaux supra-chiasmatiques. « La lumière bleue est plus efficace pour stimuler l’activité cérébrale avec la mélanopsine comme médiateur principal », a souligné Gilles Vandewalle, du Centre de recherches du Cyclotron de l’université de Liège (Belgique), jeudi 20 novembre, lors du congrès du sommeil. Il vient de publier un article sur ces expériences de neuro-imagerie dans la revue Médecine/Science.
Ces données montrent que « la lumière exerce une large influence sur le fonctionnement cérébral, qu’il s’agisse de régions sous-corticales régulant le niveau d’éveil ou de régions corticales qui jouent des rôles centraux dans la régulation de l’attention, des émotions et des fonctions exécutives supérieures », explique Gilles Vandewalle.
Effets stimulants
Il ressort aussi que la mélanopsine est plus sensible au bleu. Les cellules ganglionnaires de la rétine sont photosensibles parce qu’elles expriment de la mélanopsine, un photopigment plus sensible au bleu. Une étude (université de Montréal et Brigham and Women’s Hospital de Boston) a ainsi montré qu’une lumière bleue intense augmente fortement les réponses cérébrales mises en place pour la réalisation d’une tâche de mémoire de travail chez des personnes totalement aveugles. Incapable de dire si la lumière est allumée ou pas, le cerveau de ces trois personnes totalement aveugles a pu « détecter » la lumière au moyen de ce photorécepteur différent des cônes et des bâtonnets qui servent à la formation et à la détection des images, souligne ce travail publié fin 2013 dans le Journal of cognitive neuroscience. « Cependant, ces aveugles sensibles à la lumière sont très rares dans le monde », tempère Gilles Vandewalle.
Au final, ces études montrent les effets stimulants de la lumière, sans être un plaidoyer pour la lumière bleue, qui a des effets négatifs sur le sommeil lorsqu’elle est excessive en soirée. Cela étant, cela pourrait donner de nouvelles perspectives de traitements lumineux sur les troubles de l’humeur, la démence des personnes âgées.
Nécessaire à la vision, la lumière remplit aussi des fonctions non visuelles chez l’homme : la mise à l’heure de son horloge biologique, la sécrétion de certaines hormones (mélatonine, cortisol), l’activation des structures de l’éveil, de l’humeur, de la vigilance…
Et ce, même chez certains aveugles. En effet, en plus d’être perçue par les cônes et les bâtonnets des cellules de la rétine, la lumière y est captée par un groupe de cellules photoréceptrices particulières, les cellules ganglionnaires à mélanopsine, qui sont reliées aux noyaux supra-chiasmatiques. « La lumière bleue est plus efficace pour stimuler l’activité cérébrale avec la mélanopsine comme médiateur principal », a souligné Gilles Vandewalle, du Centre de recherches du Cyclotron de l’université de Liège (Belgique), jeudi 20 novembre, lors du congrès du sommeil. Il vient de publier un article sur ces expériences de neuro-imagerie dans la revue Médecine/Science.
Ces données montrent que « la lumière exerce une large influence sur le fonctionnement cérébral, qu’il s’agisse de régions sous-corticales régulant le niveau d’éveil ou de régions corticales qui jouent des rôles centraux dans la régulation de l’attention, des émotions et des fonctions exécutives supérieures », explique Gilles Vandewalle.
Effets stimulants
Il ressort aussi que la mélanopsine est plus sensible au bleu. Les cellules ganglionnaires de la rétine sont photosensibles parce qu’elles expriment de la mélanopsine, un photopigment plus sensible au bleu. Une étude (université de Montréal et Brigham and Women’s Hospital de Boston) a ainsi montré qu’une lumière bleue intense augmente fortement les réponses cérébrales mises en place pour la réalisation d’une tâche de mémoire de travail chez des personnes totalement aveugles. Incapable de dire si la lumière est allumée ou pas, le cerveau de ces trois personnes totalement aveugles a pu « détecter » la lumière au moyen de ce photorécepteur différent des cônes et des bâtonnets qui servent à la formation et à la détection des images, souligne ce travail publié fin 2013 dans le Journal of cognitive neuroscience. « Cependant, ces aveugles sensibles à la lumière sont très rares dans le monde », tempère Gilles Vandewalle.
Au final, ces études montrent les effets stimulants de la lumière, sans être un plaidoyer pour la lumière bleue, qui a des effets négatifs sur le sommeil lorsqu’elle est excessive en soirée. Cela étant, cela pourrait donner de nouvelles perspectives de traitements lumineux sur les troubles de l’humeur, la démence des personnes âgées.
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
merci pour les articles, c'est interessant
juste un mot sur les ado : un des elements qui provoquent aussi chez eux un manque de sommeil, c'est que l'on les convoques à l'école trop tôt le matin, alors que justement, ils sont en dette de sommeil et qu'à leurs ages, ils ont besoin de bcp de sommeil ^^ les adultes sont pas sympa avec eux sur ce coup là, et ce n'est pas que de la faute des écrans
j'avais une emission où, en allemagne, des scientifiques avaient comparer les résultats scolaires d'une classe 'classique' (néon) et une classe avec de la lumière bleu (LED, lumière d'apparence blanche). évidemment, la classe équipé de lampes reproduisant la lumière bleu du ciel avait eu de bien meilleurs résultats scolaire
juste un mot sur les ado : un des elements qui provoquent aussi chez eux un manque de sommeil, c'est que l'on les convoques à l'école trop tôt le matin, alors que justement, ils sont en dette de sommeil et qu'à leurs ages, ils ont besoin de bcp de sommeil ^^ les adultes sont pas sympa avec eux sur ce coup là, et ce n'est pas que de la faute des écrans

j'avais une emission où, en allemagne, des scientifiques avaient comparer les résultats scolaires d'une classe 'classique' (néon) et une classe avec de la lumière bleu (LED, lumière d'apparence blanche). évidemment, la classe équipé de lampes reproduisant la lumière bleu du ciel avait eu de bien meilleurs résultats scolaire
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
Oula je vous plainds OO
Moi j ai une allergie a la lumiere electrique, je ne supporte plus aucune lumiere, ca me donne envie de vomir, une migraine attroce, mal au ventre et la tete qui tourne en y voyant flou ...
Ca me le fait que depuis une dizaine d annees je comprends pas pk OO
Moi j ai une allergie a la lumiere electrique, je ne supporte plus aucune lumiere, ca me donne envie de vomir, une migraine attroce, mal au ventre et la tete qui tourne en y voyant flou ...
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Re: Comment gérez vous la sensibilité à la lumière ?
J'ai eu une expérience drôle ces dernières nuits.
Mon hypersensibilité à la lumière c'est également ... en dormant !!!
J'ai rêvé que subitement je passais d'un lieu très sombre à un lieu extrêmement éblouissant en un éclair et ... aïe mes yeux !
Et j'étais réellement dans le noir absolu , bref , les yeux fermés !
Bref , mon cerveau et ses sens réagissent dans mes rêves , que ce soit le bruit , la douleur , le toucher , le goût , et l'odorat aussi !
Et vous , vos expériences ?
Mon hypersensibilité à la lumière c'est également ... en dormant !!!

J'ai rêvé que subitement je passais d'un lieu très sombre à un lieu extrêmement éblouissant en un éclair et ... aïe mes yeux !


Bref , mon cerveau et ses sens réagissent dans mes rêves , que ce soit le bruit , la douleur , le toucher , le goût , et l'odorat aussi !


Et vous , vos expériences ?
Aspi.
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