Articles divers sur les TSA
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Modération (G.O.B.) : Fil pour les articles portant sur l'autisme mais sans thématique particulière (recherche, etc.)...
Modération (Winston) : Pour les articles sur la recherche, voir ici.
[en anglais]
Controversy over shocking people with autism, behavioral disorders
CBS NEWS | 05/08/2014
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Controversy over shocking people with autism, behavioral disorders
CBS NEWS | 05/08/2014
30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
"Sire, sire, on en a gros!"
En bordure du bout du monde + La manufacture des loups + BANG! + Ouroboros
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The page cannot be found... Mais bon, avec CBS de toute façon...
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Lien rectifié...
En espérant que ça marche.
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Articles divers sur les TSA
Autisme : l’animal de compagnie aiderait au développement social de l’enfant
Une récente étude publiée dans le Journal of Autisme and Developmental Disorders a révélé que la compagnie d’un animal pourrait renforcer l’assurance des enfants atteints d’autisme et les aiderait également à construire du lien social.
Une fillette et son lapin En présence d'un animal, l'enfant parle et s'affirme davantage vis à vis des autres
13/01/2015
Une récente étude publiée dans le Journal of Autisme and Developmental Disorders a révélé que la compagnie d’un animal pourrait renforcer l’assurance des enfants atteints d’autisme et les aiderait également à construire du lien social.
Les chercheurs de l’Université du Missouri-Columbia (Etats-Unis) ont récemment réalisé une étude, publiée dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, afin de mieux comprendre l’impact que les animaux de compagnie peuvent avoir sur le développement de la sociabilité des enfants autistes. Pour ce faire, ils ont interrogé 70 familles dont au moins un enfant (entre 8 et 18 ans) est atteint d’autisme. Parmi ces familles, 70 % d’entre elles possèdent un chien, la moitié un chat, ou d’autres animaux comme des poissons, rongeurs, lapins, reptiles ou encore oiseaux. Les chercheurs ont alors pu analyser et comparer les compétences sociales d’enfants autistes ayant vécu ou non avec un animal. De manière générale, l’étude a révélé que les jeunes autistes possédant un animal de compagnie ont de meilleures capacités sociales que les autres, mais aussi davantage d’assurance et de confiance en eux. Ainsi, ils auraient plus de faciliter à se présenter, poser ou même répondre à des questions. Ces enfants parviendraient à développer des compétences sociales généralement hors de portée des enfants atteints d’autisme. Mais encore faut-il adapter le tempérament de l’animal à celui de l’enfant. Les chercheurs insistent sur ce point : globalement, les enfants autistes ont davantage de liens avec un petit chien plutôt qu’un gros, et un animal moins énergique bénéficiera plus à un enfant très sensible. D’après les chercheurs de l’Université du Missouri, ce phénomène s’explique très simplement. Les animaux, et surtout les chiens, créent des opportunités pour engager une conversation. Les enfants autistes ne vont pas facilement vers les autres, pourtant s’ils s’attachent à un animal de compagnie et qu’un visiteur commence à parler à l’animal, l’enfant aura alors plus de chance de répondre.
Sources : santelog, Journal of Autism and Developmental Disorders
Auteur : Julia Thierry-Mieg
http://www.parents.fr/Actualites/Autism ... nt-2150838
Une récente étude publiée dans le Journal of Autisme and Developmental Disorders a révélé que la compagnie d’un animal pourrait renforcer l’assurance des enfants atteints d’autisme et les aiderait également à construire du lien social.
Une fillette et son lapin En présence d'un animal, l'enfant parle et s'affirme davantage vis à vis des autres
13/01/2015
Une récente étude publiée dans le Journal of Autisme and Developmental Disorders a révélé que la compagnie d’un animal pourrait renforcer l’assurance des enfants atteints d’autisme et les aiderait également à construire du lien social.
Les chercheurs de l’Université du Missouri-Columbia (Etats-Unis) ont récemment réalisé une étude, publiée dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, afin de mieux comprendre l’impact que les animaux de compagnie peuvent avoir sur le développement de la sociabilité des enfants autistes. Pour ce faire, ils ont interrogé 70 familles dont au moins un enfant (entre 8 et 18 ans) est atteint d’autisme. Parmi ces familles, 70 % d’entre elles possèdent un chien, la moitié un chat, ou d’autres animaux comme des poissons, rongeurs, lapins, reptiles ou encore oiseaux. Les chercheurs ont alors pu analyser et comparer les compétences sociales d’enfants autistes ayant vécu ou non avec un animal. De manière générale, l’étude a révélé que les jeunes autistes possédant un animal de compagnie ont de meilleures capacités sociales que les autres, mais aussi davantage d’assurance et de confiance en eux. Ainsi, ils auraient plus de faciliter à se présenter, poser ou même répondre à des questions. Ces enfants parviendraient à développer des compétences sociales généralement hors de portée des enfants atteints d’autisme. Mais encore faut-il adapter le tempérament de l’animal à celui de l’enfant. Les chercheurs insistent sur ce point : globalement, les enfants autistes ont davantage de liens avec un petit chien plutôt qu’un gros, et un animal moins énergique bénéficiera plus à un enfant très sensible. D’après les chercheurs de l’Université du Missouri, ce phénomène s’explique très simplement. Les animaux, et surtout les chiens, créent des opportunités pour engager une conversation. Les enfants autistes ne vont pas facilement vers les autres, pourtant s’ils s’attachent à un animal de compagnie et qu’un visiteur commence à parler à l’animal, l’enfant aura alors plus de chance de répondre.
Sources : santelog, Journal of Autism and Developmental Disorders
Auteur : Julia Thierry-Mieg
http://www.parents.fr/Actualites/Autism ... nt-2150838
TSA.
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Re: Articles divers sur les TSA
Modération (G.O.B.) : Fil pour les articles portant sur l'autisme mais sans thématique particulière (recherche, etc.)...
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Spoiler : :
(◕^^◕)Non-Diagnostiquée2016 début de ma démarche auprès de pro/structures spécialisées TSA en vue d'éliminer ou pas cette auto suspicion de TSA-et être informée et/ou orientée vers des solutions, soutiens pour évoluer/avancer-orientation en secteur privé(◕^^◕)
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Articles divers sur les TSA
"Et cetera" jutana, n'hésitez pas si vous avez des idées de thématiques comme le fil sur la recherche.
Ce fil sera plutôt fourre-tout pour ne pas être obligé d'en créer un par article, sur le même principe que ce fil dans la section "De tout et de rien".
Ce fil sera plutôt fourre-tout pour ne pas être obligé d'en créer un par article, sur le même principe que ce fil dans la section "De tout et de rien".
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Re: Articles divers sur les TSA
... oui je savais pour et cetera ... ce que je voulais dire c'est que je ne comprenais pas le fil du coup
... la recherche est une "thématique particulière", le etc représente les quelles autres ?G.O.B. a écrit :Modération (G.O.B.) : Fil pour les articles portant sur l'autisme mais sans thématique particulière (recherche, etc.)...
(◕^^◕)Non-Diagnostiquée2016 début de ma démarche auprès de pro/structures spécialisées TSA en vue d'éliminer ou pas cette auto suspicion de TSA-et être informée et/ou orientée vers des solutions, soutiens pour évoluer/avancer-orientation en secteur privé(◕^^◕)
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Re: Articles divers sur les TSA
http://www.metronews.fr/info/autisme-sy ... IsQS1Mc6Q/
rien que le titre du lien, c est pas drôle, mais c est drôle quand même
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Non-diag.
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Re: Articles divers sur les TSA
... pdf plutôt "agé" ... même "très" agé (2008) mais je pense qu'il peut être "toujours d'actualité" : l'estime de soi
(◕^^◕)Non-Diagnostiquée2016 début de ma démarche auprès de pro/structures spécialisées TSA en vue d'éliminer ou pas cette auto suspicion de TSA-et être informée et/ou orientée vers des solutions, soutiens pour évoluer/avancer-orientation en secteur privé(◕^^◕)
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Re: Articles divers sur les TSA
Une prise en charge précoce de l'autisme donne des résultats.
Unique en Suisse, le Centre cantonal de l’autisme ouvre à la rentrée. Il doit combler de graves lacunes. Rencontre avec sa directrice, Nadia Chabane.
La Suisse doit absolument améliorer sa prise en charge des troubles du spectre autistique (TSA), qui touchent une personne sur cent. C’est la conclusion d’un rapport commandé par le Conseil fédéral, rendu public la semaine dernière («24 heures» du 27 juin). «Un excellent point pour mettre en avant les changements nécessaires à initier dans l’accompagnement des personnes autistes», relève la professeure Nadia Chabane. Cette pédopsychiatre parisienne nommée l’an dernier à la tête de la chaire autisme CHUV-UNIL a participé à la mise en œuvre du 3e Plan autisme en France. Elle milite depuis plus de vingt ans pour une détection précoce et un suivi intensif; deux aspects défendus par le rapport. Dès la fin du mois de septembre, le Centre cantonal de l’autisme prendra en charge enfants et adultes avec des stratégies thérapeutiques alignées sur les standards internationaux.
Vous défendez une approche comportementale de l’autisme. Ici, comme en France, c’est l’approche psychanalytique qui a longtemps prévalu.
Il n’y a plus de raison de débattre aujourd’hui. Il a été reconnu que l’autisme est un trouble du développement cérébral et non un trouble de la relation entre la mère et l’enfant. Vous pouvez être le meilleur parent du monde et avoir un enfant autiste. C’est parfois difficile à faire admettre sur le terrain. Il y a dix ans, c’était la guerre ouverte en France. Il n’était pas question d’envisager le recours à une vision plus neurobiologique de l’origine du trouble. Aujourd’hui, les professionnels sont plutôt demandeurs de pratiques plus modernes. J’ai le même sentiment en Suisse romande.
Il y a encore du travail, à en croire les familles qui dénoncent une psychiatrisation de l’autisme et des diagnostics tardifs.
La réalité est très hétérogène. Des choses excellentes se font mais il y a encore un manque de formation. Le défi est de créer un réseau formé: pédiatres en premier lieu, pédopsychiatres, psychiatres, neuropédiatres, généticiens, généralistes, mais aussi éducateurs, personnel de crèche, enseignants en enfantine, maîtres professionnels…
Les causes sont-elles exclusivement génétiques ?
Il y a un terrain de vulnérabilité génétique, oui. Entre 30 et 100 gènes interviennent dans l’autisme, ce qui explique que l’on ait des cas si différents.
Qu’en est-il des facteurs environnementaux, souvent pointés du doigt ?
Pour l’instant, rien n’est scientifiquement prouvé, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas. Il faut encore étudier l’impact environnemental. Seules la grande prénatalité, les infections virales ou la prise d’antiépileptiques pendant la grossesse ont été clairement identifiées comme risques environnementaux. L’âge du père à la conception est également une variable importante. Il a été démontré que plus il est âgé, plus il y a de risques pour l’enfant d’avoir un TSA.
Encouragez-vous la scolarisation de ces enfants ?
Oui, et j’ai découvert ici une réelle volonté de les intégrer dans le milieu scolaire. Maintenant, il faut faire en sorte que les très jeunes enfants qui vont entrer à l’école aient le maximum d’outils pour affronter la situation. Pour cela, il faut qu’ils soient clairement accompagnés dans leur socialisation et que l’enseignant ait un minimum de compétences dans ce domaine. Tous les enfants autistes ne pourront pas faire une scolarité complète, mais nous souhaitons qu’ils acquièrent un savoir pratique leur permettant d’accéder à l’autonomie: compter la monnaie, lire un plan de métro…
Comment ?
Grâce à une détection très précoce. Il faut démarrer la prise en charge entre 1 an et demi et 4 ans, quand la plasticité du cerveau est maximum. Si on stimule l’enfant pendant cette période cruciale, il y a alors une chance de diminuer le handicap et de maximiser les capacités de socialisation et d’apprentissage.
Quel traitement fonctionne le mieux ?
Les approches dites comportementales et développementales sont aujourd’hui mises en avant dans les bonnes pratiques cliniques. C’est-à-dire travailler sur le comportement de l’enfant pour améliorer son autonomie, sa socialisation et sa communication. Le modèle d’excellence chez les très jeunes enfants est celui de Denver. Il intègre vingt à vingt-cinq heures de stimulation par semaine. Nous travaillons avec les enfants les premiers éléments de la communication et de l’interaction, par exemple regarder quelqu’un dans les yeux ou savoir faire une demande.
Quels sont les résultats ?
Les travaux scientifiques menés sur ce modèle montrent son efficacité. Il y a une réelle amélioration sur la communication, les fonctions intellectuelles et la capacité d’apprentissage. A condition, bien sûr, d’avoir l’adhésion des parents, qui sont de véritables partenaires. Ce sont eux qui vont «travailler» à la maison avec l’enfant à l’aide de ces outils. Il faut donc les former à les utiliser.
Peut-on espérer des médicaments ?
C’est une piste d’avenir. Aujourd’hui, les médicaments sur le marché atténuent les symptômes liés aux troubles du comportement: agitation, agressivité, automutilation… On peut imaginer des médicaments qui travaillent sur les zones impliquées dans la socialisation et l’interaction. Mais la pharmacologie ne fera jamais tout. Une démarche d’accompagnement globale est nécessaire.
Les familles attendent beaucoup de vous.
Quand il y a beaucoup d’attente, il peut y avoir beaucoup de déception. Soyons clair: je n’ai pas de baguette magique. Nous parlons d’un travail de longue haleine, sur cinq à dix ans, pour modifier notre regard sur ces troubles et favoriser toute démarche scientifiquement prouvée améliorant le parcours de vie de ces personnes.
___________________
Un vent nouveau qui fait vaciller les psychiatres
Associée à la création de la Chaire d’excellence Hoffmann dans le domaine des troubles du spectre de l’autisme (UNIL-CHUV), l’association Autisme Suisse romande salue l’arrivée de la professeure Chabane.
«On est enchanté de la voir arriver et de pouvoir bientôt diriger les parents vers le Centre cantonal de l’autisme, réagit Yves Crausaz, président de l’association. Bien sûr, nous aimerions qu’il soit déjà opérationnel. Un an et demi s’est déjà écoulé depuis la création de la chaire.»
L’association a fait entendre sa voix lors du recrutement de la responsable de cette chaire pour écarter une candidate qui défendait des thèses de nature psychiatrique. «Longtemps, la prise en charge de l’autisme était la chasse gardée des psychiatres, rappelle Yves Crausaz. Ils disaient qu’il ne fallait pas intervenir trop tôt, attendre que le désir de socialisation émerge… Un médecin m’a même dit que l’autisme de mon fils était de notre faute à nous, ses parents! Aujourd’hui, le verrou a sauté, les choses sont en train d’évoluer. Les psychiatres qui font de la résistance osent moins critiquer les approches comportementales, puisque de plus en plus d’études scientifiques disent le contraire.»
Les attentes suscitées par l’ouverture d’un centre cantonal sont aussi grandes que le désarroi des familles. «Neuf fois sur dix, elles arrivaient devant un pédopsychiatre qui n’avait pas vraiment de solutions, raconte Yves Crausaz. Il leur proposait deux heures de soutien par semaine. Les parents se retrouvaient seuls avec une question: que faire avec cet enfant toute la journée?»
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Articles divers sur les TSA
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Re: Articles divers sur les TSA
Ce que mon autisme m’a appris sur Wikipédia, Spock et les ordis | Le Nouvel Obs | 03/08/2015
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Re: Articles divers sur les TSA
C'est indiqué en haut de l'article; le texte intégral avec plus d'illustrations est sur cette adresse.
Ca permet aussi d'éviter les enfilades de commentaire de
Ca permet aussi d'éviter les enfilades de commentaire de
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: Articles divers sur les TSA
En tout cas c'est un très bon article... On se sent moins seul à lire ça et je trouve qu'il exprime très bien les "décalages". Cette citation que je ne connaissais pas (j'ai zéro pointé en réseaux sociaux...) m'a bien plu aussi: « Vous avez rencontré un autiste, vous avez rencontré un autiste. »
Bref, merci à vous 2
Bref, merci à vous 2
*Diag TSA*
***Nullius in verba***
***Nullius in verba***