Heureusement que nous savons qu'il est préférable de développer des relations de coopération et non des relations de compétition voire d'inimitié (d'hostilité) entre personnes autistes et personnes non autistes, et de manière générale entre deux personnes ou entre deux groupes de personnes. Dans des relations de coopérations, nous pourrons développer plus de relations horizontales, d'égal à égal, quelles que soient nos différences et nos similitudes.Benoit a écrit :Malheureusement, des personnes ayant un problème avec l'abstraction peuvent avoir tendance à vouloir faire "incarner" les défauts qu'ils refusent d'associer à leur condition (ici l'autisme) par un "autre camp".
Qu'il existe un autre camp, du moins sous ce terme "les neurotypiques" ou que les autistes ne puissent pas "incarner" ces défauts là, ce sont deux graves illusions, savamment entretenues par le manque de contact entre autistes et non-autistes.
Heureusement que nous pouvons acquérir l'humilité d'accepter de ne pas être parfaits, d'avoir des défauts.
Malheureusement, le manque de confiance et les peurs peuvent aider les personnes à se faire corrompre ou séduire par des considérations peu éthiques (la monnaie, le pouvoir, les relations où au moins une des parties est non consentante). Il manque des cours d'esprit critique, d'épistémologie et de psychologie sociale à l'école obligatoire, je dirais, voire de neurodiversité.
Faudrait s'inspirer de cet exemple de coopérative.