L'excellent FLASH-INFORMATIONS handicap n°36 du 09 octobre 2009 du CTNEHRI (menacé de disparition : voir post de Lila) signale cet article :
Je suis "impatient" de connaître ces hypothèses suffisamment narcissisantes pour les parents d'enfants de ce type ... Mais je suis tenté de dire - pour une fois -comme César :Dyslexie, dysphasie, hyperactivité banalisent la vision et les hypothèses de neuropédiatrie auprès des parents, enseignants et médecins. Loin d'être neutre et scientifique, cette approche est en fait idéologique, entraînant des conséquences dénarcissisantes fort préoccupantes chez les enfants. Le trouble cérébral est partout convoqué, l'enfant reste seul porteur de son trouble, l'entourage est "innocenté". D'autres hypothèses cliniques sont ici proposées, pour chacun de ces symptômes, incluant des aléas du sens, du jeu, du plaisir de vie, de la qualité du cadre de la rencontre parentale et pédagogique...
La dénazification est encore à faire. C'est une tâche de tous les jours. Avant de décider de passer le lance-flammes, je suis curieux (quand même) de connaître ces "hypothèses cliniques".