[Index Communication] Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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freeshost
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par freeshost »

Ah ! j'allais me demander si tu ne tirais pas vers l'arôme Asperger. :lol:
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Diagnostiqué autiste en l'été 2014 :)
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freeshost
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par freeshost »

Et avez-vous besoin de recevoir ou donner des compliments sur autrui et/ou les appartenances d'autrui ?

Souvent, quand une personne non autiste visite pour la première fois l'appartement d'une autre personne non autiste, elle fait des compliments sur l'appartement. "C'est beau !" "C'est espacé." "Quel beau tableau !" "...

Ou des compliments sur la nouvelle chevelure après le passage chez la coiffeuse. [Bon, les hommes non autistes me semblent moins bavarder sur leur chevelure.]
Modifié en dernier par freeshost le jeudi 19 février 2015 à 14:44, modifié 1 fois.
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Pupuce
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Pupuce »

freeshost a écrit :Et avez-vous besoin de recevoir ou donner des compliments sur autrui et/ou les appartenances d'autrui ?
Je n'ai pas besoin de recevoir des compliments(ça me met très mal à l'aise). Par contre, j'aime complimenter les autres quand je trouve que c'est justifié car je sais que pour la plupart, ça leur fait plaisir et j'aime bien être positive.

Sur les appartenances d'autrui, là, je me force car je sais que si je ne dis rien, ça va être mal interpréter, mais au secours :sick: . Souvent, je prie intérieurement pour que la chose qu'on me montre fièrement me plaise pour éviter de baragouiner un compliment qui me fera mal à la bouche :lol:
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"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
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Vad
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Vad »

Les compliments me mettent mal à l'aise aussi, et je ne sais pas trop comment y réagir. Et je ne pense pas forcément à en faire, c'est assez rare en général.
Aspie.
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Aneliz
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Aneliz »

Si vraiment je trouve qu'un vêtement ou une nouvelle coiffure est bien, je le dis.
Mais la plupart du temps, je ne dis rien. :innocent:
Et souvent, je ne remarque pas quand une amie ou une connaissance a perdu du poids (sauf si pas vue depuis 3 ans et 30 kgs en moins) ! :oops: :oops:

Idem quand je vais chez quelqu'un pour la 1ère fois : je ne fais jamais de commentaire (positif ou négatif). Ce n'est pas chez moi, donc à moins d'un gros gros malaise, je n'ai pas besoin de m'y sentir bien puisque je n'y vis pas. Et à chacun ses goûts et ses possibilités financières pour s'aménager...
Maman de 2 petits bonhommes, Loulou1 probable tsa. Février 2015 : début de la démarche diagnostic
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Liya
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Liya »

freeshost a écrit :Et avez-vous besoin de recevoir ou donner des compliments sur autrui et/ou les appartenances d'autrui ?

Souvent, quand une personne non autiste visite pour la première fois l'appartement d'une autre personne non autiste, elle fait des compliments sur l'appartement. "C'est beau !" "C'est espacé." "Quel beau tableau !" "...

Ou des compliments sur la nouvelle chevelure après le passage chez la coiffeuse. [Bon, les hommes non autistes me semblent moins bavarder sur leur chevelure.]
je trouve ces coutumes assez étranges, en tout cas en ce qui concerne leur aspect systématique/obligatoire.
Le pire étant pour les bébés/enfants d'autrui :mryellow:

Pour ma part, si je vais chez quelqu'un dont l'habitation présente des caractéristiques exceptionnelles, je vais certainement réagir... même si ce sont des caractéristiques que je juge non plaisantes :lol:
Idem si la personne me pose explicitement une question sur son intérieur, je vais répondre, mais ça peut être long et pas flatteur :lol:
Sinon, une maison est une maison, un appart est appart, dans la majorité des cas il y a 4 murs, un toit et pas de raisons de s'étendre sur le sujet, de plus n'étant pas chez moi, ça ne me regarde pas. :innocent:

En ce qui concerne les coiffures, vêtements et compagnie:
- soit je ne remarque pas
- soit je vais remarquer mais je ne vois pas l'intérêt d'en discuter: la personne est au courant qu'elle a été chez le coiffeur, il n'y a pas d'info pertinente à échanger en plus, sauf si je souhaite avoir la même coiffure (idem pour les vêtements)
Et si j'en parle, c'est très bref, genre "j'aime bien ton pull, tu l'as eu où?".
Mais il faut faire attention, parfois le destinataire de la question peut se lancer dans un long monologue sur le pourquoi du comment du machin, sans répondre exactement :crazy:
"Neuro-atypique en attente de définition"
Dyspraxique - QI très hétérogène - Diag SA en libéral (à approfondir / confirmer)
Ma présentation ici
praydatum
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par praydatum »

freeshost a écrit :D'où te vient le mot "allistique" pour "non autiste" ? :mrgreen:
Je ne sais pas trop, je pensais que tout le monde connaissait ce mot.
freeshost a écrit :Seraient-elles plus touchées par le maudit biais de confirmation ? (lequel tendrait à fixer leurs représentations, au lieu de les faire évoluer)
Oui je crois que c'est ça. Mais ce que j'avais en tête ce n'était pas (juste?) un biais. Je pensais à ces personnes qui évaluaient la légitimité de ce que la personne ressentait (en se basant sur son comportement pour deviner), pour ensuite porter un jugement sur le comportement, tout en ne voulant pas en tant que telle que ce soit le comportement qui soit discuté, mais bien la motivation qui a conduit au comportement, et faisant un double usage du jugement pour inciter la personne jugé à renoncer à une décision (ici je veux dire, que même juste communiquer quelque chose, c'est une décision) qui n'est pas directement affirmée, qui semble le précurseur du comportement, pour adopter un autre comportement, un comportement qui l'aurait amené à faire ce que la personne qui juge s'attendait à ce que la personne fasse si elle n'avait pas décidé autrement (le autrement étant quelque chose qui irrite la personne qui juge). Mais ça c'est possible si la personne jugée est soumise au biais de confirmation, et la personne qui juge elle sait très bien ce qu'elle fait, ou bien elle ne le sait pas et c'est inconscient. Mais que ce soit inconscient ou conscient, la personne qui dit par exemple, qu'elle est désolée d'exister, fait un calcul avec les émotions de l'autre personne. Il y a un jeu avec la culpabilité, qui fait qu'on peut facilement douter de la sincérité de la personne. Alors on peut se dire que si une personne tente de faire ressentir de la culpabilité à une autre personne, il y a là de la manipulation, et c'est clair qu'il y a du faux dans la relation. Mais ça du faux dans une relation, c'est trop fréquent. Mais si on se sent coupable par ce qu'une autre personne nous dit, pour ne pas tomber dans le biais de confirmation, il faut douter de la plausibilité même de la tentative de manipulation. Parce que la personne qui manipule s'attend à ce que la personne manipulé soit influencé par ses émotions et non pas par sa logique. Mais c'est peut-être plus probable que la personne qui dit, par exemple qu'elle n'est rien pour elle, ne fait que réagir à comment elle-même se sent jugée par l'autre, et tente la même chose à son tour. Ça fait une sorte de « feedback loop » où on ne sait pas trop ce qui est vrai ou faux, on ne fait que surfer sur la vague, et l'important c'est juste l'harmonie. Et alors briser temporairement l'harmonie pour retrouver sa paix intérieure, en transférant sur l'autre une souffrance imaginée (parce que ces gens-là s'inventent toutes sortes d'histoires) (une sorte de règle d'or incohérente) la permet de se dégager de l'inconfort de la situation. Mais là c'est plus nécessaire pour l'autre personne de changer de comportement puisque la personne qui juge ne se sent plus lésée. Mais puisque l'autre personne se sent désormais coupable, elle va adopter le comportement voulu, pour ne plus se sentir coupable. Autrement dit, c'est la personne qui amène la discorde qui doit rétablir la paix. Ce n'est pas logique, ce ne sont pas les faits qui sont évalués. Ils veulent rester dans la prévisibilité pour eux-mêmes et les autres, alors les émotions deviennent eux-mêmes des éléments de discussion, un environnement qu'il faut modifier pour maintenir une sorte de trame narrative psychique où tout est déjà joué d'avance. Ils jouent avec la souffrance pour produire de la dynamique sociale, parce que la vraie souffrance ils ne connaissent pas cela. Alternativement, ils ont besoin de leur dose de souffrance, mais puisqu'ils n'en n'ont pas du fait de leur environnement ouaté, ils se trouvent de moyens pour se la procurer.
freeshost a écrit :Offrir en attendant de la reconnaissance ?
Il peut y avoir de cela. Mais c'est aussi un moyen de lutter contre la dissonance. Ils veulent faire plaisir, et quand ça ne marche pas, ils sont déçus. Mais ils ne savent pas quoi faire avec, et décident de lancer la balle dans l'autre camp. Mais pourquoi ils sont déçus de ne pas avoir réussi à faire plaisir à l'autre? Je ne pense pas que cela fasse partie, ou le plus souvent partie, d'une stratégie pour vivre des émotions positives (explicitement). C'est comme si c'était la dissonance en tant que telle, qu'elles voulaient redonner. Elles ne peuvent pas en vouloir à l'autre, mais lui en veulent quand même. Les émotions ce n'est pas rationnel, mais elles les instrumentalisent parce que c'est la stratégie qu'elles connaissent pour régler des inconforts internes. Alors elles les promeuvent au rang d'acteurs dans leur trame narrative (cohésion) et c'est l'autre qui doit se démêler avec cela.
freeshost a écrit :L'impartialité n'est pas partie intégrante de leur éducation ?
Je ne sais pas. C'est peut-être relatif pour eux.
freeshost a écrit :... mais, pour réduire les effets de l'asymétrie de l'information, il est nécessaire de partager les informations, les connaissances, dans les deux sens.
Je suis d'accord, même si je trouve que je ne le pratique pas assez moi-même.
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freeshost
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par freeshost »

Intéressant ! à approfondir ! :mrgreen:
praydatum a écrit :(...)

Ils jouent avec la souffrance pour produire de la dynamique sociale,

(...)
Ça me fait penser à certaines personnes non autistes qui me donnent l'impression de créer des problèmes pour entretenir la relation d'interdépendance. :o

[Bon, les politiciens qui entretiennent les problèmes pour se donner un rôle de "héros", on connaît aussi. Bon, le but n'est pas exactement le même...]

Il me semble que tout un chacun, autiste comme non autiste, a tendance à voir l'autre comme soi, notamment à penser, de prime abord, que l'autre a les mêmes besoins. Par exemple : une personne (non autiste notamment) A qui a besoin de beaucoup d'attention (de se faire remarquer...) peut penser que l'autre personne B en a autant besoin ; inversement, une personne B qui n'a pas besoin de beaucoup d'attention (mais préfère la tranquillité, l'isolement) peut penser que l'autre personne A n'en pas beaucoup besoin non plus. A risque de trop en faire, tandis que B risque ne pas en faire assez. :)
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

Diagnostiqué autiste en l'été 2014 :)
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par praydatum »

freeshost a écrit :Intéressant ! à approfondir ! :mrgreen:
:D
freeshost a écrit :Il me semble que tout un chacun, autiste comme non autiste, a tendance à voir l'autre comme soi, notamment à penser, de prime abord, que l'autre a les mêmes besoins. Par exemple : une personne (non autiste notamment) A qui a besoin de beaucoup d'attention (de se faire remarquer...) peut penser que l'autre personne B en a autant besoin ; inversement, une personne B qui n'a pas besoin de beaucoup d'attention (mais préfère la tranquillité, l'isolement) peut penser que l'autre personne A n'en pas beaucoup besoin non plus. A risque de trop en faire, tandis que B risque ne pas en faire assez. :)
Les gens estiment les besoins des autres d'après ce qu'ils connaissent, ou ce qu'ils perçoivent d'après ce qu'ils connaissent. Le contraire serait inquiétant. Et s'ils connaissaient tout et percevaient tout, ils n'estimeraient rien du tout. Je pense que A risque plus que B sur le long terme. Mais sur le court terme c'est moins clair d'après moi.
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par pimpoline »

Très intéressant même si ça ne fait qu'effleurer le sujet.
En tout cas ça me rappelle des expériences analogues, par exemple au Canada où les gens venaient spontanément vers moi mais ça n'allait jamais plus loin.
Le savoir avant m'aurait sûrement aidée car au début je me disais qu'enfin je n'étais pas vue comme la fille bizarre et j'en étais soulagée. Puis au final j'avais l'impression d'être doublement maudite car je m'étais illusionnée sur les suites possibles de ces relations cordiales mais superficielles.
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Re: Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Bubu »

Peut-être, ils ont besoin de Facebook, Instagram, Twitter, Youtube !

Enfin moi j'ai bien besoin d'Asperansa ! :kiss:
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: [Index Communication] Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Tugdual »

Doit-on craindre de déranger les amis :
Extrait :
Dans toutes les expériences, les personnes à l'origine de la communication ont nettement sous-estimé la mesure dans laquelle les destinataires apprécieraient l'acte de communication.

« "Nous avons constaté que les personnes qui recevaient la communication mettaient davantage l'accent sur l'élément de surprise que les personnes à l'origine de la communication, et que cette importance accrue de la surprise était associée à une plus grande appréciation" », rapporte Liu. « "Nous avons également constaté que les personnes sous-estimaient davantage l'appréciation des autres lorsque la communication était plus surprenante, par opposition à celle qui faisait partie d'un schéma de communication régulier, ou lorsque les liens sociaux entre les deux participants étaient faibles." »
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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freeshost
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Re: [Index Communication] Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par freeshost »

Pas facile pour les personnes autistes qui, en général, préfèrent les routines aux imprévus. :lol:
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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Zia .
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Re: [Index Communication] Les non autistes ont besoin de plus de communication ?

Message par Zia . »

Tugdual a écrit : mardi 19 juillet 2022 à 9:25 Doit-on craindre de déranger les amis :
Extrait :
Dans toutes les expériences, les personnes à l'origine de la communication ont nettement sous-estimé la mesure dans laquelle les destinataires apprécieraient l'acte de communication.

« "Nous avons constaté que les personnes qui recevaient la communication mettaient davantage l'accent sur l'élément de surprise que les personnes à l'origine de la communication, et que cette importance accrue de la surprise était associée à une plus grande appréciation" », rapporte Liu. « "Nous avons également constaté que les personnes sous-estimaient davantage l'appréciation des autres lorsque la communication était plus surprenante, par opposition à celle qui faisait partie d'un schéma de communication régulier, ou lorsque les liens sociaux entre les deux participants étaient faibles." »
Oh dear! Je ne sais toujours pas si je suis autiste, mais je ne suis clairement pas comme les gens de cette étude :lol:
Mais... On est d'accord qu'ils utilisent "apprécier" dans le sens "aimer" plutôt que dans le sens de "juger"?
Sur le long et périlleux chemin du diagnostic