rentrée des classes
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Sur la nécessité pour l'école d'adapter l'organisation du temps scolaire à tous les enfants, y compris l'enfant autiste, voir le récit par Aphykit de la classe de mer.
Par ailleurs, j'ai donné une réponse technique plutôt sèche sur le rôle de l'AVS.
Mais il faut aller plus loin sur la cantine. Au-delà de la présence possible de l'VS - mais pourquoi pas du perosnnel municipal en plus - , la question de l'aménagement de la cantine se pose objectivement. Il faut réduire les troubles liés à la surcharge (notamment auditive). Des idées pour l'adjointe aux écoles ?
Par ailleurs, j'ai donné une réponse technique plutôt sèche sur le rôle de l'AVS.
Mais il faut aller plus loin sur la cantine. Au-delà de la présence possible de l'VS - mais pourquoi pas du perosnnel municipal en plus - , la question de l'aménagement de la cantine se pose objectivement. Il faut réduire les troubles liés à la surcharge (notamment auditive). Des idées pour l'adjointe aux écoles ?
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Hier, j'ai eu au téléphone une maman de Mayenne (qui a suivit le périple de Gwen via l'article de Brigitte.!) et elle me confiait qu'elle aussi s'était trouvée dans cette situation....
En fait, si j'ai bien compris, une secrétaire de l'école utilise 6 heures de son temps pour être auprès de l'enfant durant le temps de cantine.! Avec l'aval du directeur et de la mairie....
A voir aussi si ce n'est pas une possibilité?
En fait, si j'ai bien compris, une secrétaire de l'école utilise 6 heures de son temps pour être auprès de l'enfant durant le temps de cantine.! Avec l'aval du directeur et de la mairie....
A voir aussi si ce n'est pas une possibilité?
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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scolarité
Ca y est, l'école a recommencé. A peine quinze jours de passer et déjà deux appels de l'institutrice et une rencontre à l'école.
Elle n'en peut plus du comportement de Nikola et demande une réunion avec l'enseignant référent au plus vite. C'est un enfant qui est dans un refus de travailler (alors qu'il me dit le contraire) surtout l'après-midi, qui, pour elle, empêche les autres de progresser. Apparemment, cette année, il ne lui ai pas possible de l'isoler quand la pression semble monter (faute de place).
Je sens que l'année va être difficile et Nikola le ressent également. Je pense qu'il a du mal à faire la part des choses de ce qui est bien et de ce qui est mal (car il dit toujours qu'il a travaillé et qu'il a été sage, ce qui est probablement vrai à un moment de la journée -et c'est cela qu'il retient-).
Aujourd'hui, j'ai appris par la "nounou" qu'il ne fallait pas qu'elle dépose Nikola trop tôt car les agents municipaux ne sont pas là pour le surveiller. Il faut qu'elle attende que l'institutrice ou le directeur ou l'AVS soit présent dans l'enceinte de l'école pour pouvoir le "lâcher". Le problème est que Nikola a besoin d'un temps de récréation pour ensuite pouvoir se concentrer sur l'apprentissage.
Elle n'en peut plus du comportement de Nikola et demande une réunion avec l'enseignant référent au plus vite. C'est un enfant qui est dans un refus de travailler (alors qu'il me dit le contraire) surtout l'après-midi, qui, pour elle, empêche les autres de progresser. Apparemment, cette année, il ne lui ai pas possible de l'isoler quand la pression semble monter (faute de place).
Je sens que l'année va être difficile et Nikola le ressent également. Je pense qu'il a du mal à faire la part des choses de ce qui est bien et de ce qui est mal (car il dit toujours qu'il a travaillé et qu'il a été sage, ce qui est probablement vrai à un moment de la journée -et c'est cela qu'il retient-).
Aujourd'hui, j'ai appris par la "nounou" qu'il ne fallait pas qu'elle dépose Nikola trop tôt car les agents municipaux ne sont pas là pour le surveiller. Il faut qu'elle attende que l'institutrice ou le directeur ou l'AVS soit présent dans l'enceinte de l'école pour pouvoir le "lâcher". Le problème est que Nikola a besoin d'un temps de récréation pour ensuite pouvoir se concentrer sur l'apprentissage.
Joyce, mère de trois enfants dont un diagnostiqué ASA
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Oui, Nikola a une AVS ; le problème est que celà fait la troisième année qu'il l'a et la connait parfaitement bien. Son souci est qu'avec les personnes qu'il commence à connaître, il les teste jusqu'au maximum.
J'ai également appelé l'hôpital de jour ce matin ; celà est très difficile depuis la rentrée. Son dossier va être vu en réunion d'équipe.
Il y a peut-être une chose que je n'aurai pas dû faire : c'est d'arrêter son traitement (Risperdal ou son générique Rispéridone). Au départ, ce traitement fonctionnait relativement bien mais le médecin trouvait qu'il n'y avait pas d'amélioration et nous a demandé d'augmenter le dosage, ce que j'ai fait : résultat : Nikola n'était plus dans "son assiette", avait perdu le sourire et grossissait à vu d'oeil. Il m'a fait même très peur avant Noël dernier car il était très essoufflé pour un rien. Nous avons donc diminué le dosage et Nikola a pu retrouvé son sourire. Pour ce qui est du générique, c'est le pharmacien qui me l'a donné ; cependant, celà n'avait aucun effet sur l'enfant. De plus, mon mari ayant entendu qu'un des effets secondaires de ce médicament était le diabète, il n'a plus voulu que je lui donne (en effet, ses parents sont diabétique). Je pense que je redonnerai à faible dose sur avis médical bien sur.
J'ai également appelé l'hôpital de jour ce matin ; celà est très difficile depuis la rentrée. Son dossier va être vu en réunion d'équipe.
Il y a peut-être une chose que je n'aurai pas dû faire : c'est d'arrêter son traitement (Risperdal ou son générique Rispéridone). Au départ, ce traitement fonctionnait relativement bien mais le médecin trouvait qu'il n'y avait pas d'amélioration et nous a demandé d'augmenter le dosage, ce que j'ai fait : résultat : Nikola n'était plus dans "son assiette", avait perdu le sourire et grossissait à vu d'oeil. Il m'a fait même très peur avant Noël dernier car il était très essoufflé pour un rien. Nous avons donc diminué le dosage et Nikola a pu retrouvé son sourire. Pour ce qui est du générique, c'est le pharmacien qui me l'a donné ; cependant, celà n'avait aucun effet sur l'enfant. De plus, mon mari ayant entendu qu'un des effets secondaires de ce médicament était le diabète, il n'a plus voulu que je lui donne (en effet, ses parents sont diabétique). Je pense que je redonnerai à faible dose sur avis médical bien sur.
Joyce, mère de trois enfants dont un diagnostiqué ASA
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Nouvelle convocation à l'école, en présence du directeur cette fois-ci.
J'ai bien peur que, compte tenu du comportement de Nikola, cela finisse par une exclusion de l'école.
Existe-t-il des écoles spécialisées pour nos enfants atteints de ce trouble du comportement ?
J'avoue franchement que je suis complètement larguée.
J'ai bien peur que, compte tenu du comportement de Nikola, cela finisse par une exclusion de l'école.
Existe-t-il des écoles spécialisées pour nos enfants atteints de ce trouble du comportement ?
J'avoue franchement que je suis complètement larguée.
Joyce, mère de trois enfants dont un diagnostiqué ASA
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Quand il y a exclusion, l'école doit en trouver une autre.Joyce a écrit :J'ai bien peur que, compte tenu du comportement de Nikola, cela finisse par une exclusion de l'école.
Existe-t-il des écoles spécialisées pour nos enfants atteints de ce trouble du comportement ?
Et il n'y a pas d'écoles spécialisées.
L'exclusion ne sert à rien :
Sans même parler du reste, il y a défaut d'adaptation de l'école.Apparemment, cette année, il ne lui ai pas possible de l'isoler quand la pression semble monter (faute de place).
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Combien d"élèves y a t-il dans la classe de Nikola ?
Notre fils ne dispose pas d'avs et nous sentons également que l'instit perd pied....
Ton fils a un diag n'est ce pas?
Sa place est donc à l'école "en milieu ordinaire" ne craque pas avec des écoles spécialisées ou ton fils ne sera pas en contact avec des NT et n'aura plus l'occasion de progresser....(si j'ai bien tout compris)
Aussi cherche plutôt des solutions complémentaires à l'accompagnement AVS ...je n'en sais pas plus que toi, mais ne cède pas !!! ...Même si je te comprend, la pression des directeurs et autres enseignants est difficile a supporter ...alors fais comme nous "accroche toi à la législation coute que coute"
Courage
Notre fils ne dispose pas d'avs et nous sentons également que l'instit perd pied....
Ton fils a un diag n'est ce pas?
Sa place est donc à l'école "en milieu ordinaire" ne craque pas avec des écoles spécialisées ou ton fils ne sera pas en contact avec des NT et n'aura plus l'occasion de progresser....(si j'ai bien tout compris)
Aussi cherche plutôt des solutions complémentaires à l'accompagnement AVS ...je n'en sais pas plus que toi, mais ne cède pas !!! ...Même si je te comprend, la pression des directeurs et autres enseignants est difficile a supporter ...alors fais comme nous "accroche toi à la législation coute que coute"
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Rien n'est plus important pour moi que d'entendre mon fils rire tous les jours
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Ce n'est pas grave Florence.
L'institutrice a 25 élèves à gérer et en ce moment elle ne s'occupe que d'un seul élève. Le directeur m'a dit qu'à l'heure actuelle, toute la classe part sur un échec scolaire car l'institutrice ne peut pas avancer dans son programme.
Il est vrai que c'est une classe chargée, avec en plus une jeune institutrice (dans l'âge) ; de plus, une femme. En effet, Nikola semble plus craindre les hommes.
Le diagnostic n'a pas encore été fait officiellement (il a été avancé par un des médecins responsable de l'hôpital de jour ou va Nikola). J'ai bien trouvé les coordonnées du CRA de Bohars, mais pas celle du Dr C** à CAMARET (pour prendre la date la plus proche, ce qui m'a été conseillé).
Note d'un modérateur : ne pas citer de nom de professionnel (Jean le 18.9)
L'institutrice a 25 élèves à gérer et en ce moment elle ne s'occupe que d'un seul élève. Le directeur m'a dit qu'à l'heure actuelle, toute la classe part sur un échec scolaire car l'institutrice ne peut pas avancer dans son programme.
Il est vrai que c'est une classe chargée, avec en plus une jeune institutrice (dans l'âge) ; de plus, une femme. En effet, Nikola semble plus craindre les hommes.
Le diagnostic n'a pas encore été fait officiellement (il a été avancé par un des médecins responsable de l'hôpital de jour ou va Nikola). J'ai bien trouvé les coordonnées du CRA de Bohars, mais pas celle du Dr C** à CAMARET (pour prendre la date la plus proche, ce qui m'a été conseillé).
Note d'un modérateur : ne pas citer de nom de professionnel (Jean le 18.9)
Joyce, mère de trois enfants dont un diagnostiqué ASA
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Pour Murielle et Jean (cantine) : j'ai eu l'adjointe aux affaires scolaires hier soir par téléphone. Pour elle, il n'est pas question de mettre Nikola à la cantine pour l'instant. Le personnel municipal a déjà des enfants atteints de diabète à gérer, alors il n'est pas envisageable de leur confier en plus un enfant ayant un trouble envahissant du comportement.
Concernant la scolarisation de Nikola, quand je suis allée à l'école la semaine dernière, j'ai vu qu'il avait choisi une bonne place (pas trop loin de l'entrée, le dos à la vue extérieure).
Pour ce qui est l'apprentissage, l'institutrice dit qu'il n'en est pas là pour l'instant. Il faut qu'il accepte les règles. Ces deux dernières semaines, il n'avait que très peu de devoirs. Et pour cause, elle ne donne des devoirs à faire que le mardi et le vendredi. Hors ces deux jours là, Nikola quitte l'école à 11 heures 30 pour se rendre à l'hôpital de jour. De plus, dès que Nikola refusait de faire le travail, elle lui disait de se reposer, qu'il était fatigué (il s'en est bien servi). Résultat : il refuse de travailler. J'ai donc demandé à l'institutrice d'avoir les exercices qu'il refusait de faire pour reprendre ça avec lui à la maison. C'est mis en place depuis ce soir.
Concernant la scolarisation de Nikola, quand je suis allée à l'école la semaine dernière, j'ai vu qu'il avait choisi une bonne place (pas trop loin de l'entrée, le dos à la vue extérieure).
Pour ce qui est l'apprentissage, l'institutrice dit qu'il n'en est pas là pour l'instant. Il faut qu'il accepte les règles. Ces deux dernières semaines, il n'avait que très peu de devoirs. Et pour cause, elle ne donne des devoirs à faire que le mardi et le vendredi. Hors ces deux jours là, Nikola quitte l'école à 11 heures 30 pour se rendre à l'hôpital de jour. De plus, dès que Nikola refusait de faire le travail, elle lui disait de se reposer, qu'il était fatigué (il s'en est bien servi). Résultat : il refuse de travailler. J'ai donc demandé à l'institutrice d'avoir les exercices qu'il refusait de faire pour reprendre ça avec lui à la maison. C'est mis en place depuis ce soir.
Joyce, mère de trois enfants dont un diagnostiqué ASA
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Bonsoir Joyce,
Pardon de m' immiscer dans la conversation. Je voulais juste témoigner du fait que la déscolarisation pour un enfant est le pire qui puisse lui arriver... Ne surtout pas céder à l'équipe enseignante qui se montre débordée ! C'est à elle de faire l'effort d'intégrer nos enfants dans les classes ordinaires. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais en aucun cas, ce sont à nos enfants à assumer les conséquences de l'incompétence des adultes, quelques soient les problèmes ( sureffectif, manque de place, etc... )
Je voulais ajouter que le fait qu'il y ait des enfants diabétiques n'a rien à voir avec la présence d'un enfant autiste. ( mon fils est diabétique et autiste ). Les enfants diabétiques doivent suivre un régime particulier, et le seul souci des personnes qui les encadrent est de surveiller qu'ils mangent bien ce qu'il y a dans leur assiette ( sinon, il y a risque d'hypoglycémie ). Normalement, en primaire, les enfants n'ont pas d'injection d'insuline le midi et si c'était le cas, l'injection doit se faire en dehors de la cantine et juste avant le repas. Je parle en connaissance de causes, donc cet argument est obsolète.
Tu dis que l'institutrice ne peut avancer avec sa classe à cause du comportement de ton fils. Mais que fait l' AVS ? Il me semble que c'est à elle de trouver des solutions ( avec concertation entre l'institutrice, toi et elle ) pour trouver des solutions pour que Nikola accepte de travailler ou de rester calme... 25 élèves serait une classe chargée ? A mon avis, cela va faire sourire beaucoup de parents et d'enseignants....
L'institutrice dit qu'il doit d'abord accepter les règles avant qu'il ne se mette aux apprentissages... Et si l'apprentissage lui permettait de se soumettre aux règles ? Tu as dit dans un précédent post que ton fils s'ennuyait au CP.... ( ce qui a été le cas aussi pour le mien ). C'est peut-être une piste pour qu'il se calme : l' occuper à des choses qui l'intéresse... Faire travailler un enfant qui refuse de le faire, c'est son boulot ! ( en l'occurrence, avec l'aide de l' AVS ). Si il est vraiment agité, ne peut-elle pas le mettre dans le bureau de la secrétaire, de la directrice, etc... Il y a toujours une solution. N'y a-t-il pas une salle où il pourrait aller avec son AVS ?
Pour le Risperdal ou générique, il ne provoque absolument pas le diabète ! Simplement, pour une personne diabétique, il faut rester vigilent, car il peut effectivement provoquer des hyper-glycémies ( il suffit alors d'adapter les doses d'insuline ).
Je te souhaite bon courage, mais c'est aux adultes de trouver des solutions pour que nos enfants restent scolarisés... Une déscolarisation a des conséquences vraiment trop néfastes pour eux.
Pardon de m' immiscer dans la conversation. Je voulais juste témoigner du fait que la déscolarisation pour un enfant est le pire qui puisse lui arriver... Ne surtout pas céder à l'équipe enseignante qui se montre débordée ! C'est à elle de faire l'effort d'intégrer nos enfants dans les classes ordinaires. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais en aucun cas, ce sont à nos enfants à assumer les conséquences de l'incompétence des adultes, quelques soient les problèmes ( sureffectif, manque de place, etc... )
Je voulais ajouter que le fait qu'il y ait des enfants diabétiques n'a rien à voir avec la présence d'un enfant autiste. ( mon fils est diabétique et autiste ). Les enfants diabétiques doivent suivre un régime particulier, et le seul souci des personnes qui les encadrent est de surveiller qu'ils mangent bien ce qu'il y a dans leur assiette ( sinon, il y a risque d'hypoglycémie ). Normalement, en primaire, les enfants n'ont pas d'injection d'insuline le midi et si c'était le cas, l'injection doit se faire en dehors de la cantine et juste avant le repas. Je parle en connaissance de causes, donc cet argument est obsolète.
Tu dis que l'institutrice ne peut avancer avec sa classe à cause du comportement de ton fils. Mais que fait l' AVS ? Il me semble que c'est à elle de trouver des solutions ( avec concertation entre l'institutrice, toi et elle ) pour trouver des solutions pour que Nikola accepte de travailler ou de rester calme... 25 élèves serait une classe chargée ? A mon avis, cela va faire sourire beaucoup de parents et d'enseignants....
L'institutrice dit qu'il doit d'abord accepter les règles avant qu'il ne se mette aux apprentissages... Et si l'apprentissage lui permettait de se soumettre aux règles ? Tu as dit dans un précédent post que ton fils s'ennuyait au CP.... ( ce qui a été le cas aussi pour le mien ). C'est peut-être une piste pour qu'il se calme : l' occuper à des choses qui l'intéresse... Faire travailler un enfant qui refuse de le faire, c'est son boulot ! ( en l'occurrence, avec l'aide de l' AVS ). Si il est vraiment agité, ne peut-elle pas le mettre dans le bureau de la secrétaire, de la directrice, etc... Il y a toujours une solution. N'y a-t-il pas une salle où il pourrait aller avec son AVS ?
Pour le Risperdal ou générique, il ne provoque absolument pas le diabète ! Simplement, pour une personne diabétique, il faut rester vigilent, car il peut effectivement provoquer des hyper-glycémies ( il suffit alors d'adapter les doses d'insuline ).
Je te souhaite bon courage, mais c'est aux adultes de trouver des solutions pour que nos enfants restent scolarisés... Une déscolarisation a des conséquences vraiment trop néfastes pour eux.