[Index Cinéma] Pour parler de cinéma...
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Ils viennent de passer star wars episode 2 a la tele c est un sacre joli cadeau de noel....et mardi prochain, la suite!...
ca ne m etonnes pas que georges lucas et spielberg soient asperger
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diagnostiquée autiste hpi le 2 dec 2014,après 42 ans de survie et souffrance.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
t'as des sources?rebecca a écrit :.
ca ne m etonnes pas que georges lucas et spielberg soient asperger
jamais entendu cet info
Đī@gnőstįqué TSA
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Ce soir, enfin en ce moment, Le merveilleux magasin de Monsieur Magorium :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 60710.html
Je découvre tout juste, mais ça a l'air sympa
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 60710.html
Je découvre tout juste, mais ça a l'air sympa
TSA.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
J'ai vu White God. La scène d'ouverture est époustouflante (c'est celle qu'on voit dans la bande annonce), mais j'ai été plutôt déçue par le scénario. Je m'attendais à quelque chose de plus profond.
Sinon j'ai vu hier La famille Bélier, et j'ai beaucoup aimé, passé le moment très désagréablement bruyant de la scène du petit déjeuner (effet volontairement recherché).
Sinon j'ai vu hier La famille Bélier, et j'ai beaucoup aimé, passé le moment très désagréablement bruyant de la scène du petit déjeuner (effet volontairement recherché).
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse
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Re: Cinéma : intérêt particulier
A nova:tous les sites sur le sujets sur internet par ex le disent, comme pour bill gates, keenu reeves ecc...
diagnostiquée autiste hpi le 2 dec 2014,après 42 ans de survie et souffrance.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Je viens de voir ça : Occulus
http://www.allocine.fr/video/player_gen ... 26396.html
C'est un excellent film, viscéral, et qui installe une atmosphère angoissante avec une économie de jumpscare et effets gores appréciable...
http://www.allocine.fr/video/player_gen ... 26396.html
C'est un excellent film, viscéral, et qui installe une atmosphère angoissante avec une économie de jumpscare et effets gores appréciable...
"Ils avaient créé leur propre soleil pour combattre la nuit ."
"Simplement, un jour, j'ai pris conscience que, en matière d'humanité, la laideur aussi pouvait être intérieure."
Ayerdhal
Autiste diagnostiquée.
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Ayerdhal
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Pas très fin mais bonSpoiler : SPOILER The Hobbit 3 :
F84.5 | Things go wrong so that you appreciate them when they're right, you believe lies so you eventually learn to trust no one but yourself, and sometimes good things fall apart so better things can fall together.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Il passe toujours dans les salles ? (le hobbit 3) Si oui jusqu'à quand ?
J'ai pas pu y aller personne ne voulais venir avec moi et je ne vais jamais au ciné seul, j'aime pas.
J'ai pas pu y aller personne ne voulais venir avec moi et je ne vais jamais au ciné seul, j'aime pas.
loup autiste
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Tiens, un topic sur le cinéma.
Et une question aux gens qui fréquentent le forum :
il y a des films qui abordent frontalement des personnages ayant des troubles autistiques ou soupçonnés de l'être : on peut penser en vrac à des films comme Rain Man, Mary and Max, ou un extrapolant The Social Network. Ou à des séries, entre les innombrables personnages d'aspies de celle de David E Kelley (dans Ally McBeal, Boston Legal...) ou de séries policières diverses et variées.
Mais vous est il arrivé devant un film qui n'abordait pas explicitement la question du S.A. d'avoir l'impression que le film parlait néanmoins de façon intime de traits atypiques plus ou moins liés.
Si l'on parcourt les différents site du web, on retrouve toutes sortes de réalisateurs qui, par leurs habitudes de vie et surtout ce qui est contenu dans leur fiction ont pu être associé par divers personnes:
on retrouve souvent les noms de Tim Burton, Steven Spielberg notamment.
Et effectivement, on aurait peu à creuser pour trouver, par exemple, dans le cinéma de Burton des figures qu'on pourrait associer : les personnages solitaires et ayant du mal à communiquer avec leurs semblables (de Pee Wee à ses contes en passant par Edward et le Pingouin, par exemple).
Et on peut aussi faire la remarque que Spielberg, cinéaste "reconnu" de l'enfance, n'a filmé que des gamins très bizarres (Rencontres du troisième type), surdoués ou ayant des problèmes avec leur entourage (ET par exemple) et que comme Burton, c'est un cinéaste obsédé par l'abandon et les problèmes de communication.
On retrouve sur le Web aussi de nombreuses études sur Rencontres du troisième type, ET, aussi Intelligence artificielle faisant le rapprochement.
Est ce qu'il y a d'autres cinéastes ou films qui vous auraient interpellé de cette façon?
Par exemple, moi, j'avoue avoir pas mal réfléchi dans cette optique pour quelques autres personnes
je pense à Brian De Palma, Lars Von Trier notamment.
Pas tant que je les soupçonne d'être autistes, c'est pas tant le sujet, que j'ai été assez étonné de remarquer qu'ils avaient certaines caractéristiques :
- le choix de personnages "innocents" qui vont être pervertis : c'est la structure de quasiment tous leurs films
- des personnages socialement inaptes : que ce soit pour des problèmes d'ordre mentaux explicites (schizophrénie chez De Palma souvent, "déficience" intelectuelle pour Selma) ou chez des personnages présentés comme "lambdas" (le héros de Phantom of Paradise ou Blow Out pour De Palma, tout Lars Von Trier depuis Dogville).
- et dans cette structure de l'innocent socialement inapte qui va se retrouver confronté au monde, il y a un double mouvement : à la fois empathique mais aussi d'une cruauté à toute . épreuve. Comme chez Burton, il y a cette capacité à défendre un personnage en le sabordant totalement. Il y a ce sentiment profond qu'ils aiment autant qu'ils détestent leurs personnages, qui sont paradoxalement parfois des doubles directs d'eux même.
- les personnages ont aussi souvent des obsessions et qui vont suivre cette obsession trop loin. Obsession de la vérité, des principes moraux à faire respecter...
Il y a aussi des aspects techniques, comme une synesthésie certaine chez les deux avec des esthétiques extrêmement marquées (dans les premiers Lars Von Trier, chez tout De Palma), ultra précise.
En tous cas, ça m'a interpellé, et pas parce que j'aime particulièrement les deux cinéastes...
Bon, c'est déjà bien long comme message, donc, et vous? (roulement de tambour)
Et une question aux gens qui fréquentent le forum :
il y a des films qui abordent frontalement des personnages ayant des troubles autistiques ou soupçonnés de l'être : on peut penser en vrac à des films comme Rain Man, Mary and Max, ou un extrapolant The Social Network. Ou à des séries, entre les innombrables personnages d'aspies de celle de David E Kelley (dans Ally McBeal, Boston Legal...) ou de séries policières diverses et variées.
Mais vous est il arrivé devant un film qui n'abordait pas explicitement la question du S.A. d'avoir l'impression que le film parlait néanmoins de façon intime de traits atypiques plus ou moins liés.
Si l'on parcourt les différents site du web, on retrouve toutes sortes de réalisateurs qui, par leurs habitudes de vie et surtout ce qui est contenu dans leur fiction ont pu être associé par divers personnes:
on retrouve souvent les noms de Tim Burton, Steven Spielberg notamment.
Et effectivement, on aurait peu à creuser pour trouver, par exemple, dans le cinéma de Burton des figures qu'on pourrait associer : les personnages solitaires et ayant du mal à communiquer avec leurs semblables (de Pee Wee à ses contes en passant par Edward et le Pingouin, par exemple).
Et on peut aussi faire la remarque que Spielberg, cinéaste "reconnu" de l'enfance, n'a filmé que des gamins très bizarres (Rencontres du troisième type), surdoués ou ayant des problèmes avec leur entourage (ET par exemple) et que comme Burton, c'est un cinéaste obsédé par l'abandon et les problèmes de communication.
On retrouve sur le Web aussi de nombreuses études sur Rencontres du troisième type, ET, aussi Intelligence artificielle faisant le rapprochement.
Est ce qu'il y a d'autres cinéastes ou films qui vous auraient interpellé de cette façon?
Par exemple, moi, j'avoue avoir pas mal réfléchi dans cette optique pour quelques autres personnes
je pense à Brian De Palma, Lars Von Trier notamment.
Pas tant que je les soupçonne d'être autistes, c'est pas tant le sujet, que j'ai été assez étonné de remarquer qu'ils avaient certaines caractéristiques :
- le choix de personnages "innocents" qui vont être pervertis : c'est la structure de quasiment tous leurs films
- des personnages socialement inaptes : que ce soit pour des problèmes d'ordre mentaux explicites (schizophrénie chez De Palma souvent, "déficience" intelectuelle pour Selma) ou chez des personnages présentés comme "lambdas" (le héros de Phantom of Paradise ou Blow Out pour De Palma, tout Lars Von Trier depuis Dogville).
- et dans cette structure de l'innocent socialement inapte qui va se retrouver confronté au monde, il y a un double mouvement : à la fois empathique mais aussi d'une cruauté à toute . épreuve. Comme chez Burton, il y a cette capacité à défendre un personnage en le sabordant totalement. Il y a ce sentiment profond qu'ils aiment autant qu'ils détestent leurs personnages, qui sont paradoxalement parfois des doubles directs d'eux même.
- les personnages ont aussi souvent des obsessions et qui vont suivre cette obsession trop loin. Obsession de la vérité, des principes moraux à faire respecter...
Il y a aussi des aspects techniques, comme une synesthésie certaine chez les deux avec des esthétiques extrêmement marquées (dans les premiers Lars Von Trier, chez tout De Palma), ultra précise.
En tous cas, ça m'a interpellé, et pas parce que j'aime particulièrement les deux cinéastes...
Bon, c'est déjà bien long comme message, donc, et vous? (roulement de tambour)
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Re: Cinéma : intérêt particulier
........
Modifié en dernier par silexable le jeudi 29 janvier 2015 à 14:36, modifié 1 fois.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Du coup la question a disparu mais à la base, on me demandait ce que je posais comme question
silexable a écrit :Est ce qu'il y a d'autres cinéastes ou films qui vous auraient interpellé de cette façon?
Qui ne traitaient pas de façon explicite de S.A. mais qui vous ont interpellé plus ou moins intimement sur des problématiques associées...
Ou qui comporterait des personnages qui ne sont pas définis comme tels (comme dans Rain Man ou Mary and Max) mais qui pourrait s'en rapprocher, ou des parcours ou thématiques propres?
Par exemple, si je tape sur asperger movies sur google
je peux tomber sur des listes de films sur imdb dans lesquels on tombe sur des films ou c'est explicité que des personnages le sont mais aussi
Adaptation ou Max et les maxi monstres de Spike Jonze (on pourrait aussi inclure Her) , Punch Drunk Love, Drive...
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Est-ce que ce n'est pas plutôt parce que tu veux les voir de cette façon ?
TSA.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Deux analyses intéressantes qui pourraient corroborer l'hypothèse du SA chez ces deux cinéastes.Nova a écrit :t'as des sources?rebecca a écrit :.
ca ne m etonnes pas que georges lucas et spielberg soient asperger
jamais entendu cet info
http://kingludo.unblog.fr/2013/04/26/as ... me-partie/
(steven spielberg)
http://kingludo.unblog.fr/category/aspie/page/2/
(article sur george lucas dans le premier tiers de la pagen en dessous de lovecraft).
Aspie.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
Il y a probablement une part de ça, comme dans toute analyse,
c'est d'ailleurs un argument qui peut être décrété pour tout comme contre argument d'analyse (c'est ton point de vue)
Toute oeuvre accepte de toutes façons une multitude de points de vue, d'où l'intérêt d'en discuter, non?
mais je comprends ta question et c'est pourquoi je faisais référence à de nombreux éléments qui ne viennent pas de moi : les remarques sur Spielberg, Burton, et sur les films cités dans le dernier message ne sont pas des remarques personnelles, mais qu'on peut retrouver sur de nombreux lieux sur la toile.
Donc, plusieurs personnes se sont posées la question. Après était ce légitime?
Je pense qu'on peut avoir quand même au delà du point de vue une certaine exigence, vérifier certaines choses, voire si les hypothèses sont autres que purement subjectives. Même si ça ne les rendrait pas moins intéressantes.
En l'occurrence, il est probable que ce ne soient que des vues de ma part ce que je disais sur De Palma et Lars Von Trier. Je pourrais aussi appuyer en disant que l'on a des éléments biographiques qui peuvent interroger sur les deux: De Palma s'est lui même mis en scène dans quelques films plus ou moins explicitement, la représentation qu'il a dit la plus explicite étant le gamin surdoué non socialisé passant sa journée à fabriquer et démonter des mécaniques seul chez lui dans Dressed To Kill (inspiré par lui adolescent). Lars Von Trier est tellement atypique que la question de savoir s'il était à la limite de l'autisme ou pas a été évoqué, notamment lors des scandales cannois. De la même façon que les gens qui l'ont évoqué pour Burton se sont aussi appuyé sur sa femme qui disait qu'elle pensait que son mari l'était.
Après, on retrouve des représentations de tout type de personnages et d'émotions dans les oeuvres d'art. Combien d'oeuvres sans personnages ayant explicitement des troubles ont néanmoins transposé des émotions qu'on pourrait rattacher à des troubles? Si Lynch n'a pas voulu faire un film sur la schizophrénie avec Lost Highway, pourtant ça transpose clairement des choses qui sont de ce côté là dans une matière fictionnelle. Et l'on peut arriver à cela sans forcément dire "ce n'est qu'un point de vue" Et ça que Lynch soit schizo ou non d'ailleurs.
Après, vu que le cinéma est aussi pour pas mal de gens un domaine d'intérêt particulier assez courant, serait il possible, que comme dans d'autres domaines, il y ait aussi des gens qui aient soit fréquenté des gens autistes soit qui le serait?
sur ce site (pas de moi ) http://kingludo.unblog.fr/category/aspie/
on fait un recensement des gens pour qui la question a été évoqué par exemple :
- des cinéastes, comme, peut-être, James Cameron, Francis Ford Coppola, David Cronenberg, Brian DePalma, David Fincher, John Ford, Michel Gondry, David Lean, Terrence Malick, Christopher Nolan, Nick Park (créateur de WALLACE ET GROMIT), Ridley Scott, Lars Von Trier, Orson Welles, Wim Wenders, Nicolas Winding Refn, Robert Zemeckis…
PS/ Le site a déjà été évoqué au dessus par Vad pendant que j'écrivais
Qui d'ailleurs considère que pour Spielberg et pour Burton, c'est certain, alors qu'à priori, rien d'autres que des supputations.
A mon avis, par exemple, tous les films écrits (en partie ou totalement) par Spielberg soulignent de façon assez étrange des choses que l'on peut y associer : je pense donc à son court métrage Amblin ou un homme avec une attitude autistique lâche toute sa vie quotidienne pour errer sur les routes, Rencontres du troisième type, ET et Poltergesit (dont il a rédigé pour les deux l'histoire originale) et Intelligence Artificielle et son enfant-robot qui rit à contretemps, qui ne ressent pas la douleur physique, qui intéragit difficilement avec ses pairs, qui est à la fois très naif et très compétent sur d'autres domaines, qui croit tout ce qu'on lui dit quitte à se faire avoir par des gens, qui a une posture particulière, rigide, un regard dans le vide.
Et franchement, au delà de la question de savoir si Spielberg est autiste ou pas, par exemple, Intelligence Artificielle, je pense que l'on peut être touché par le rapprochement que l'on peut faire avec le S.A. , que celui ci soit voulu ou que ce soit de la pure interprétation subjective. Ca marche en tous cas du tonnerre dans cette perspective, et je pense que le malaise profond distillé par le début du métrage tient dans le fait que David évoque "de vrais enfants" beaucoup plus qu'un robot.
c'est d'ailleurs un argument qui peut être décrété pour tout comme contre argument d'analyse (c'est ton point de vue)
Toute oeuvre accepte de toutes façons une multitude de points de vue, d'où l'intérêt d'en discuter, non?
mais je comprends ta question et c'est pourquoi je faisais référence à de nombreux éléments qui ne viennent pas de moi : les remarques sur Spielberg, Burton, et sur les films cités dans le dernier message ne sont pas des remarques personnelles, mais qu'on peut retrouver sur de nombreux lieux sur la toile.
Donc, plusieurs personnes se sont posées la question. Après était ce légitime?
Je pense qu'on peut avoir quand même au delà du point de vue une certaine exigence, vérifier certaines choses, voire si les hypothèses sont autres que purement subjectives. Même si ça ne les rendrait pas moins intéressantes.
En l'occurrence, il est probable que ce ne soient que des vues de ma part ce que je disais sur De Palma et Lars Von Trier. Je pourrais aussi appuyer en disant que l'on a des éléments biographiques qui peuvent interroger sur les deux: De Palma s'est lui même mis en scène dans quelques films plus ou moins explicitement, la représentation qu'il a dit la plus explicite étant le gamin surdoué non socialisé passant sa journée à fabriquer et démonter des mécaniques seul chez lui dans Dressed To Kill (inspiré par lui adolescent). Lars Von Trier est tellement atypique que la question de savoir s'il était à la limite de l'autisme ou pas a été évoqué, notamment lors des scandales cannois. De la même façon que les gens qui l'ont évoqué pour Burton se sont aussi appuyé sur sa femme qui disait qu'elle pensait que son mari l'était.
Après, on retrouve des représentations de tout type de personnages et d'émotions dans les oeuvres d'art. Combien d'oeuvres sans personnages ayant explicitement des troubles ont néanmoins transposé des émotions qu'on pourrait rattacher à des troubles? Si Lynch n'a pas voulu faire un film sur la schizophrénie avec Lost Highway, pourtant ça transpose clairement des choses qui sont de ce côté là dans une matière fictionnelle. Et l'on peut arriver à cela sans forcément dire "ce n'est qu'un point de vue" Et ça que Lynch soit schizo ou non d'ailleurs.
Après, vu que le cinéma est aussi pour pas mal de gens un domaine d'intérêt particulier assez courant, serait il possible, que comme dans d'autres domaines, il y ait aussi des gens qui aient soit fréquenté des gens autistes soit qui le serait?
sur ce site (pas de moi ) http://kingludo.unblog.fr/category/aspie/
on fait un recensement des gens pour qui la question a été évoqué par exemple :
- des cinéastes, comme, peut-être, James Cameron, Francis Ford Coppola, David Cronenberg, Brian DePalma, David Fincher, John Ford, Michel Gondry, David Lean, Terrence Malick, Christopher Nolan, Nick Park (créateur de WALLACE ET GROMIT), Ridley Scott, Lars Von Trier, Orson Welles, Wim Wenders, Nicolas Winding Refn, Robert Zemeckis…
PS/ Le site a déjà été évoqué au dessus par Vad pendant que j'écrivais
Qui d'ailleurs considère que pour Spielberg et pour Burton, c'est certain, alors qu'à priori, rien d'autres que des supputations.
A mon avis, par exemple, tous les films écrits (en partie ou totalement) par Spielberg soulignent de façon assez étrange des choses que l'on peut y associer : je pense donc à son court métrage Amblin ou un homme avec une attitude autistique lâche toute sa vie quotidienne pour errer sur les routes, Rencontres du troisième type, ET et Poltergesit (dont il a rédigé pour les deux l'histoire originale) et Intelligence Artificielle et son enfant-robot qui rit à contretemps, qui ne ressent pas la douleur physique, qui intéragit difficilement avec ses pairs, qui est à la fois très naif et très compétent sur d'autres domaines, qui croit tout ce qu'on lui dit quitte à se faire avoir par des gens, qui a une posture particulière, rigide, un regard dans le vide.
Et franchement, au delà de la question de savoir si Spielberg est autiste ou pas, par exemple, Intelligence Artificielle, je pense que l'on peut être touché par le rapprochement que l'on peut faire avec le S.A. , que celui ci soit voulu ou que ce soit de la pure interprétation subjective. Ca marche en tous cas du tonnerre dans cette perspective, et je pense que le malaise profond distillé par le début du métrage tient dans le fait que David évoque "de vrais enfants" beaucoup plus qu'un robot.
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Re: Cinéma : intérêt particulier
jane austeen ,ecrivaine hiper connue est aussi dite asperger, je viens de voir le film "jane":sur sa vie;
ils n en parlent bien sur pas du tout comme pour keenu reeves ou spielberg ou bill gates ecc car c est du domaine privé et ce n est pas diagnostiqué officielement;mais sachant qu elle l est: la lecture de son film ,de ses parloes, comportements et choix de vie est totalement en correlation et evidente avec son autisme(pour nous qui le connaissons)(tout aute dirait qu elle est effrontée, independante, moderne, mal elevée, sans gene, solitaire...bref toutes les critiques que l on fait a tout aspi avant son diagnostic)
sinon ben x et mozart and the whale le figurent bien, eux directement
je viens de voir charlie et j ai bien aimé :film tres tres leger bien sur,mais tres bien joué par la panopli de super acteurs;personelement je lai preferé au film francais la famille belier:belle utopie familiale qui fait pleurer...moi j prefere rire
jai vu la merveilleuse histoire du temps, ca ne parle que de sa vie privée, son handicap et sa femme geniale sans qui il n aurait rien pu faire;
j ai preferé social network car je m identifiat plus au mec:tres tres seul, sans ami et speed(il est aspi quoi)....
alors que l autre a une femme, des enfants ....
je n ai pas encore vu imitation game
ils n en parlent bien sur pas du tout comme pour keenu reeves ou spielberg ou bill gates ecc car c est du domaine privé et ce n est pas diagnostiqué officielement;mais sachant qu elle l est: la lecture de son film ,de ses parloes, comportements et choix de vie est totalement en correlation et evidente avec son autisme(pour nous qui le connaissons)(tout aute dirait qu elle est effrontée, independante, moderne, mal elevée, sans gene, solitaire...bref toutes les critiques que l on fait a tout aspi avant son diagnostic)
sinon ben x et mozart and the whale le figurent bien, eux directement
je viens de voir charlie et j ai bien aimé :film tres tres leger bien sur,mais tres bien joué par la panopli de super acteurs;personelement je lai preferé au film francais la famille belier:belle utopie familiale qui fait pleurer...moi j prefere rire
jai vu la merveilleuse histoire du temps, ca ne parle que de sa vie privée, son handicap et sa femme geniale sans qui il n aurait rien pu faire;
j ai preferé social network car je m identifiat plus au mec:tres tres seul, sans ami et speed(il est aspi quoi)....
alors que l autre a une femme, des enfants ....
je n ai pas encore vu imitation game
diagnostiquée autiste hpi le 2 dec 2014,après 42 ans de survie et souffrance.