Comment, tui ne connais pas ? C'est la plus petite commune du Finistère, entre Landerneau et Plounéventer.laura a écrit :c'est où lanneufret ?
3I - ou "Quarante bénévoles autour d'un petit autiste&q
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A l'époque, la famille de Xavier a pratiqué la méthode Doman pendant 4/5 ans, avec des bénévoles. Cette méthode américaine n'était pas spécifique à l'autisme.jakesbian a écrit :- je me rappelle que la famille avait lancé un appel, il y a une 10aine d'années... je ne sais pas si, à l'époque, ils avaient eu des bénévoles...
Article du Télégramme du 7 juin 2008
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dans le nord finistére... à mi chemin entre
# brest et morlaix;
# entre chez jean, chris et lila et chez moi;
la plus petite commune du finistére .
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# entre chez jean, chris et lila et chez moi;
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"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
"en chacun de nous sommeille un dragon... il faut y croire." (devise "bat-toi florent")
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merci pour l'article, jean,
il date du mois de juin; je ne l'avais pas vu à l'époque; l'appel dans le bulletin municipal n'est que de ce mois ci; il n'y a peux être pas suffisament de bénévoles...
... j'appellerai dés que je serai suffisament disponible.
il date du mois de juin; je ne l'avais pas vu à l'époque; l'appel dans le bulletin municipal n'est que de ce mois ci; il n'y a peux être pas suffisament de bénévoles...
... j'appellerai dés que je serai suffisament disponible.
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
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Dans le Nord-Pas-de-Calais, information organisée par le CRA et le Pr Delion sur la méthode des 3I le 5 mai avec Mme de la Presle
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Heu.....est-ce le Pr Delion du "packing?" si c'est oui, le lien entre les 2 ne me plait guère.!!!!
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Le Foeil - Autisme Espoir. Marian a besoin de plus de bénévoles
20 juillet 2009 - Le Télégramme
Depuis dix mois maintenant, une équipe de bénévoles, formés par l'association Autisme espoir vers l'école (Aeve) se relaye auprès deMarian, un jeune Foeillais de13ans «qui n'a pas encore trouvé le chemin du langage».
Besoin d'une dizaine de personnes
Mais, pour qu'il ne reste pas enfermé dans ce mur de silence, et pour que les progrès accomplis grâce à la méthode des trois «i» (intensive, individuelle, interactive) soient encore plus importants, il faudrait qu'une dizaine de personnes (étudiants, salariés, retraités, etc.) rejoignent le groupe. C'est l'appel que la maman de Marian, Laurence, a lancé vendredi soir, aux Petits Clos, lors d'une réunion de bilan animée par Éric de Labarthe, responsable régional de l'Aeve. L'échange a été riche et de nombreux motifs de satisfaction encouragent les bénévoles à persévérer. Le chemin est long puisqu'il faut prévoir environ deux ans de méthode, à raison de quatre séances d'une heure et demie par jour. «L'évolution est tout à fait normale», explique Éric de Labarthe, qui suit seize enfants dans l'Ouest, avec l'aide de psychologues. Autotal, Aeve, basée à Boulogne(92), aide 120 autistes.
Le jeu, l'imitation et l'imaginaire pour stimuler
Alors que les bénévoles expriment tour à tous leurs ressentis, Éric de Labarthe donne encore quelques conseils. «Il faut nourrir le jeu, introduire de petits changements», indique-t-il. Car c'est par les jeux que l'enfant autiste est sollicité. L'imitation, le faire-semblant, l'imaginaire sont également importants. Pour l'entourage de Marian, l'action de l'Aeve est prometteuse et ne doit pas s'arrêter à ce stade. Une équipe d'environ 30 personnes serait nécessaire au bon fonctionnement du programme. «Aidez-moi à rejoindre votre monde... un jour je vous dirai merci»: c'est le message que Marian adresse, par la voix de sa maman.
Contact Tél.02.96.58.12.80.
20 juillet 2009 - Le Télégramme
Depuis dix mois maintenant, une équipe de bénévoles, formés par l'association Autisme espoir vers l'école (Aeve) se relaye auprès deMarian, un jeune Foeillais de13ans «qui n'a pas encore trouvé le chemin du langage».
Besoin d'une dizaine de personnes
Mais, pour qu'il ne reste pas enfermé dans ce mur de silence, et pour que les progrès accomplis grâce à la méthode des trois «i» (intensive, individuelle, interactive) soient encore plus importants, il faudrait qu'une dizaine de personnes (étudiants, salariés, retraités, etc.) rejoignent le groupe. C'est l'appel que la maman de Marian, Laurence, a lancé vendredi soir, aux Petits Clos, lors d'une réunion de bilan animée par Éric de Labarthe, responsable régional de l'Aeve. L'échange a été riche et de nombreux motifs de satisfaction encouragent les bénévoles à persévérer. Le chemin est long puisqu'il faut prévoir environ deux ans de méthode, à raison de quatre séances d'une heure et demie par jour. «L'évolution est tout à fait normale», explique Éric de Labarthe, qui suit seize enfants dans l'Ouest, avec l'aide de psychologues. Autotal, Aeve, basée à Boulogne(92), aide 120 autistes.
Le jeu, l'imitation et l'imaginaire pour stimuler
Alors que les bénévoles expriment tour à tous leurs ressentis, Éric de Labarthe donne encore quelques conseils. «Il faut nourrir le jeu, introduire de petits changements», indique-t-il. Car c'est par les jeux que l'enfant autiste est sollicité. L'imitation, le faire-semblant, l'imaginaire sont également importants. Pour l'entourage de Marian, l'action de l'Aeve est prometteuse et ne doit pas s'arrêter à ce stade. Une équipe d'environ 30 personnes serait nécessaire au bon fonctionnement du programme. «Aidez-moi à rejoindre votre monde... un jour je vous dirai merci»: c'est le message que Marian adresse, par la voix de sa maman.
Contact Tél.02.96.58.12.80.
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Autisme. Déborah a besoin de bénévoles
Le Télégramme - 2 septembre 2009
Déborah est une fillette autiste, elle habite Quévert. Ses parents lancent un appel aux bénévoles, pour l'accompagner pendant un an, à domicile, selon une méthode basée sur le jeu.
Alors que de nombreux enfants préparent leur cartable, Déborah n'ira pas à l'école cette année. Ses parents ont choisi de développer avec elle la méthode de stimulation individualisée, intensive et interactive, dite méthode «3i». Basée sur le jeu, l'affection et l'enthousiasme, cette méthode nécessite une équipe de bénévoles, qui se relaieront auprès de l'enfant, tout au long de l'année.
Le contact, une priorité
Contrairement à la méthode Aba (Applied behavioral analysis), la méthode 3i ne se fonde pas sur l'apprentissage, mais sur le jeu. «L'une des priorités de cette méthode est avant tout le contact, note le papa de Déborah. Le but est d'interagir avec l'enfant, sans le forcer». Le travail sur le regard est ainsi primordial, tout comme la valorisation des émotions.
Une trentaine d'interlocuteurs
Afin de mener à bien la méthode 3i, qui se déroule sur un an, la présence d'une trentaine d'interlocuteurs bénévoles est indispensable. À raison de deux heures le matin et trois heures l'après-midi, y compris pendant les vacances scolaires, les intervenants accompagneront à tour de rôle la petite Déborah. «Aucune qualification particulière n'est requise, tient à préciser la maman de la fillette. L'idéal est d'avoir des profils variés». Une formation aura lieu à Quévert, le 15septembre, en présence du Dr de la Barthe, responsable régional de l'association Autisme espoir vers l'école.
Objectif: la rescolarisation
Inscrite l'année dernière en petite section maternelle, Déborah devrait réintégrer le milieu scolaire, à l'issue de l'application de la méthode 3i. «Il s'agit d'une méthode américaine, au départ empirique, qui permettrait la réintégration de l'enfant au sein de l'école, sans intervention d'auxiliaire de vie scolaire», concluent les parents, qui vont prochainement réaliser un blog, afin de rendre compte des résultats obtenus. Contact Tél.06.47.52.36.34.
* Corentin Le Doujet
PS : M. de la Barthe n'est pas docteur ... mais ancien militaire. Je ne vais pas me mettre à l'appeler "mon Général" pour autant, il y a assez d'un "mon colonel" sur ce site - et çà ne l'empêche pas d'avoir des qualités. Cf sujet Milkil
Autisme. Déborah a besoin de bénévoles
Le Télégramme - 2 septembre 2009
Déborah est une fillette autiste, elle habite Quévert. Ses parents lancent un appel aux bénévoles, pour l'accompagner pendant un an, à domicile, selon une méthode basée sur le jeu.
Alors que de nombreux enfants préparent leur cartable, Déborah n'ira pas à l'école cette année. Ses parents ont choisi de développer avec elle la méthode de stimulation individualisée, intensive et interactive, dite méthode «3i». Basée sur le jeu, l'affection et l'enthousiasme, cette méthode nécessite une équipe de bénévoles, qui se relaieront auprès de l'enfant, tout au long de l'année.
Le contact, une priorité
Contrairement à la méthode Aba (Applied behavioral analysis), la méthode 3i ne se fonde pas sur l'apprentissage, mais sur le jeu. «L'une des priorités de cette méthode est avant tout le contact, note le papa de Déborah. Le but est d'interagir avec l'enfant, sans le forcer». Le travail sur le regard est ainsi primordial, tout comme la valorisation des émotions.
Une trentaine d'interlocuteurs
Afin de mener à bien la méthode 3i, qui se déroule sur un an, la présence d'une trentaine d'interlocuteurs bénévoles est indispensable. À raison de deux heures le matin et trois heures l'après-midi, y compris pendant les vacances scolaires, les intervenants accompagneront à tour de rôle la petite Déborah. «Aucune qualification particulière n'est requise, tient à préciser la maman de la fillette. L'idéal est d'avoir des profils variés». Une formation aura lieu à Quévert, le 15septembre, en présence du Dr de la Barthe, responsable régional de l'association Autisme espoir vers l'école.
Objectif: la rescolarisation
Inscrite l'année dernière en petite section maternelle, Déborah devrait réintégrer le milieu scolaire, à l'issue de l'application de la méthode 3i. «Il s'agit d'une méthode américaine, au départ empirique, qui permettrait la réintégration de l'enfant au sein de l'école, sans intervention d'auxiliaire de vie scolaire», concluent les parents, qui vont prochainement réaliser un blog, afin de rendre compte des résultats obtenus. Contact Tél.06.47.52.36.34.
* Corentin Le Doujet
PS : M. de la Barthe n'est pas docteur ... mais ancien militaire. Je ne vais pas me mettre à l'appeler "mon Général" pour autant, il y a assez d'un "mon colonel" sur ce site - et çà ne l'empêche pas d'avoir des qualités. Cf sujet Milkil
Modifié en dernier par Jean le samedi 5 septembre 2009 à 12:45, modifié 1 fois.
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Autisme. Il attend des bénévoles pour progresser
Le Telegramme - 5 septembre 2009 - Landerneau
avec une belle photo de Xavier
Xavier a maintenant 15 ans. Depuis sa petite enfance, ses parents utilisent des méthodes de stimulation pour le sortir de sa bulle.
Pour aider son fils autiste à sortir de sa bulle, Catherine de Rodellec cherche des bénévoles pour appliquer la méthode de stimulation qu'elle a choisie. «Xavier commence à...
Le Telegramme - 5 septembre 2009 - Landerneau
avec une belle photo de Xavier
Xavier a maintenant 15 ans. Depuis sa petite enfance, ses parents utilisent des méthodes de stimulation pour le sortir de sa bulle.
Pour aider son fils autiste à sortir de sa bulle, Catherine de Rodellec cherche des bénévoles pour appliquer la méthode de stimulation qu'elle a choisie. «Xavier commence à...
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Journal Ouest-France du 09/09/2009
Edition : Brest - Rubriques : Vie en ville
Qui veut aider Xavier à progresser encore ?
Xavier, 15 ans, cherche une dizaine de bénévoles prêts à l'aider.
Xavier vient d'avoir 15 ans mais n'a pas fait sa rentrée. Autiste, il a énormément de difficultés à s'exprimer et n'est pas scolarisé. « Mais grâce à la méthode de stimulation dite « 3 i», il a fait beaucoup de progrès en un an : il essaie de parler tous les jours, cela lui a donné le désir de communiquer », se réjouit sa maman, Catherine de Rodellec.
Cette évolution a été possible grâce à l'engagement d'une trentaine de bénévoles qui se sont relayés durant un an, passant chacun une heure et demie par semaine à jouer avec Xavier. Une vingtaine d'entre eux vont continuer cette année, « mais il nous manque une dizaine de bénévoles pour compléter le planning hebdomadaire », explique Catherine de Rodellec.
Elle précise : « Aucune compétence particulière n'est demandée, il suffit d'être souriant et enthousiaste ! » Une réunion d'information sera organisée mardi 22 septembre à 18 h 30, à la salle communale de Lanneufret, où résident Xavier et sa famille.
Contact : Catherine de Rodellec, tél. 02 98 20 81 31 ou cdrodellec@gmail.com
Edition : Brest - Rubriques : Vie en ville
Qui veut aider Xavier à progresser encore ?
Xavier, 15 ans, cherche une dizaine de bénévoles prêts à l'aider.
Xavier vient d'avoir 15 ans mais n'a pas fait sa rentrée. Autiste, il a énormément de difficultés à s'exprimer et n'est pas scolarisé. « Mais grâce à la méthode de stimulation dite « 3 i», il a fait beaucoup de progrès en un an : il essaie de parler tous les jours, cela lui a donné le désir de communiquer », se réjouit sa maman, Catherine de Rodellec.
Cette évolution a été possible grâce à l'engagement d'une trentaine de bénévoles qui se sont relayés durant un an, passant chacun une heure et demie par semaine à jouer avec Xavier. Une vingtaine d'entre eux vont continuer cette année, « mais il nous manque une dizaine de bénévoles pour compléter le planning hebdomadaire », explique Catherine de Rodellec.
Elle précise : « Aucune compétence particulière n'est demandée, il suffit d'être souriant et enthousiaste ! » Une réunion d'information sera organisée mardi 22 septembre à 18 h 30, à la salle communale de Lanneufret, où résident Xavier et sa famille.
Contact : Catherine de Rodellec, tél. 02 98 20 81 31 ou cdrodellec@gmail.com