Zoloft (et Risperdal)

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Someone
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Zoloft (et Risperdal)

Message par Someone »

Bonjour,

Certains d'entre vosu ont-ils ou prennent actuellement du desox?
Mon psychiatre envisage (mais pas sans mon accord) de m'en prescrire dans un premier temps puis selon les resultats, d'y ajouter de faibles dosses de Risperdal.

Il ets d'accord que je ne susi aps en dépression ni dépressif mais pense que cela pourrait m'aider au niveau des <toc et des relations sociales.
<il souhaiterait commencer par le desox puis introduire le risperdal.

Je n'ai pas dis oui, je réfléchis.

m’apporterriez vous vous expériences face à ce molécules?

Effets secondaires/ effets bénéfiques etc.

Merci d'avance.

Bonne journée,
<someone.
Modifié en dernier par Someone le jeudi 23 octobre 2014 à 2:37, modifié 1 fois.
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zad
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Re: Desox et Risperdal

Message par zad »

( je trouve rien sur le "desox" online. tu as pas un autre nom ? )
TSA :mryellow:
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G.O.B.
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Re: Desox et Risperdal

Message par G.O.B. »

Desoxypipradrol peut être ?
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KoaKao
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Re: Desox et Risperdal

Message par KoaKao »

Je connait pas le "desox" mais je connait le Risperdal puisque j'en avait eu enfant... c'est un antipsychotique et c'est très assommant... je n’approuve pas à part peut être pour les dépressif, les psychotique ou schizophrène mais bon (au passage je ne suis pas et n'est jamais été tout cela).
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par Someone »

Bonjour,

Tout d'abord je tiens à m'excuser pour mon premier post (ouverture du fil) , je viens de le relire et les fautes de frappes et d'orthographe y sont très désagréables. Chez moi c'est un signe direct de crise d'angoisse forte. Ca n'empêche que usuellement je relis toujours et tente de minimiser au plus ces fautes.

Ensuite, en effet je ne trouve rien ni dans le vidal ni ailleurs sur le "désox", au temps pour moi, je pense avoir mal noté (mauvais signe chez moi aussi ) le nom du médicament Mon psy est en vacances donc je ne peux pas repréciser tant qu'il ne sera pas rentrer.

Cependant je me souviens du nom de la molécule qui est la sertraline, ce qui m'a permis du coup de retrouver par mémoire auditive en lisant que ce n'est pas Désox mais Zoloft le nom du médicament.

Désolé pour cette erreur de ma part, du coup, mon post ne voulait rien dire.

Pour le risperdal, je sais ce que c'est non pas pour en avoir pris (même si j'ai vu autour de moi en revanche) mais pour le refuser depuis des années de toutes part.
La "proposition" de mon médecin, -parce que vraiment il n'insistera jamais outre mesure pour me médicamenter- s'appuyait surtout sur le Zoloft donc, même si il a tout de même fait allusion au risperdal par la suite.

Il me dit surtout penser au Zoloft par rapport aux tocs , au sommeil, aux angoisses mais me connait très craintif voire carrément réfractaire aux AD principalement et médicamentation en général (1/4 de léxomil c'est déjà poussé pour moi, au jour d'aujourd'hui, ça n'a pas toujours été le cas mais, sans la mesure du possible moins je dépends ou prends de molécule qui agissent sur mon cerveau et mieux je me porte au niveau de ma conscience) , seulement ces temps- ci je dois avouer que je vais mal, vraiment, pas comme "d'habitude", pour plein de raisons que je ne saurais énumérer surtout que c'est pas intéressant, mais le fait est que c'est pas un truc que je me dis souvent "je vais mal".

Je suis plus que paumé et excessivement seul (ce n'est pas une complainte mais un constat, un état de faits).

Bref, je fais trop long, en tous les cas, pour revenir à ma question initiale après correction de mon erreur:

avez vous ou prenez vous du Zoloft et, éventuellement couplé au risperdal?

(Je vais voir si je saurais corriger le titre, je n'ai aucune idée de si c'est faisable, peu habitué des endroits comme ici)

Désolé,
Someone.
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meï
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par meï »

mon loulou prend du risperdal depuis son hospi..(petit dosage mais quand même.)et oui...
on a du presque "céder" devant l équipe du centre ado (sans commentaire sur la pédopsy, une caricature qui d'ailleurs était de passage.......) car sinon c'etait "pas bien "et tout le tralala. :roll: ...mais j'espère bcp du bilan au CRA pour changer ce traitement en autre chose (je pense au traitement du Dr L avec qui j'en ai parlé et qui est ok , en fonction de ce qui sera vu au bilan.)
donc on patiente.
en attendant ça va je dirai même que ça va bien mieux pour mon fils qui etait envahi par ses tocs et angoisses et idées noires.(en boucles.) ca n'est jamais simple évidemment mais bon, on patiente en attendant mieux, mais ç'est pas trop fort visiblement (il n'est pas "endormi" etc) et il s'en sort super au collège (l'équipe dit que c'est grâce au traitement, ils sont supers contents bon.....sils veulent, suis pas sure mais pourquoi pas.) il lui reste des tocs legers, des angoisses mais il peut en parler et est moins "envahi". :bravo: le confort est là.
bref il faut que tu vois en fonction de toi c'est vrai.
personne autour ne sait mieux qu toi.et puis on est toujours entouré de gens qui ont de avis sur tout, la vie m'a appris à relativiser et experimenter par moi même.... :wink: en disant juste poliement "ok" aux conseils.(et en faisant le tri .)

bonne chance!
1973 ( TSA, hpi, diag CRA 2012) de 4 enfants (tsa/ hpi, tdah, hpi et autres.)...)
https://cieharmonieautiste.jimdo.com/
cosima
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par cosima »

Il ne faut pas confondre le Lexomil qui est un anxiolytique (benzodiazépine) avec risque d'accoutumance, avec un anti-dépresseur dont les molécules sont différentes et pas vraiment d'accoutumance. Donc oubli le Lexomil et autres...

Pour ma part il suffit que je regarde la boîte de Lexomil pour m'endormir :mrgreen: mais ce n'était pas le cas avec un AD. J'avais pris du Serpolex qui a un effet contre les crises anxieuses (mon problème) et qui n'endort pas. Cela m'a bien aidée.

Donc tu devrais te faire préciser par le médecin le mode de fonctionnement du Zoloft et pourquoi il te le prescrit exactement. Il a peut être un effet très positif contre les TOC et les crises d'angoisse sans pour autant endormir. Tu peux demander à commencer avec la dose minimum et monter progressivement. C'est que mon médecin m'avait proposé avec le Seroplex vu ma réticence et ça s'est mieux passé comme ça.
Neuro pas du tout typique, diagnostiquée hqi, ne souhaite pas faire de diagnostic SA
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par Someone »

cosima a écrit :Il ne faut pas confondre le Lexomil qui est un anxiolytique (benzodiazépine) avec risque d'accoutumance, avec un anti-dépresseur dont les molécules sont différentes et pas vraiment d'accoutumance. Donc oubli le Lexomil et autres...
C'était juste pour illustrer, je ne laissais pas entendre que les deux médicaments ni les deux molécules étaient comparables, du tout.
Juste pour dire que déjà prendre un quart de lexomil (ce qui est plus ou moins courant chez beaucoup) me donne la sensation d'être hyper médicamenté alors que ben non...

(Et il y a des AD qui constituent un risque d'accoutumance en fait , c'est une des facettes de ma méfiance mais loin d'être la seule. Le truc c'est que, sans aucun doute je m'exprime très mal je m'en excuse sincèrement)
cosima a écrit :Pour ma part il suffit que je regarde la boîte de Lexomil pour m'endormir :mrgreen: mais ce n'était pas le cas avec un AD. J'avais pris du Serpolex qui a un effet contre les crises anxieuses (mon problème) et qui n'endort pas. Cela m'a bien aidée.

Donc tu devrais te faire préciser par le médecin le mode de fonctionnement du Zoloft et pourquoi il te le prescrit exactement. Il a peut être un effet très positif contre les TOC et les crises d'angoisse sans pour autant endormir. Tu peux demander à commencer avec la dose minimum et monter progressivement. C'est que mon médecin m'avait proposé avec le Seroplex vu ma réticence et ça s'est mieux passé comme ça.
Merci.

Et merci aussi Meï pour le post à propos du risperdal que prend ton fils, bien que mon questionnement ne se porte pas directement sur le risperdal mais plus sur le zoloft et/ou l'association des deux je te remercie vraiment d'avoir pris le temps de rédiger pour moi et je note précieusement ce que tu en dis. Merci.
FinementCiselé
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par FinementCiselé »

cosima a écrit :Il ne faut pas confondre le Lexomil qui est un anxiolytique (benzodiazépine) avec risque d'accoutumance, avec un anti-dépresseur dont les molécules sont différentes et pas vraiment d'accoutumance. Donc oubli le Lexomil et autres...

Pour ma part il suffit que je regarde la boîte de Lexomil pour m'endormir :mrgreen: mais ce n'était pas le cas avec un AD. J'avais pris du Serpolex qui a un effet contre les crises anxieuses (mon problème) et qui n'endort pas. Cela m'a bien aidée.

Donc tu devrais te faire préciser par le médecin le mode de fonctionnement du Zoloft et pourquoi il te le prescrit exactement. Il a peut être un effet très positif contre les TOC et les crises d'angoisse sans pour autant endormir. Tu peux demander à commencer avec la dose minimum et monter progressivement. C'est que mon médecin m'avait proposé avec le Seroplex vu ma réticence et ça s'est mieux passé comme ça.
99% ISRS (=AD) ont des modes de fonctionnement très aléatoires sur les personnes autistes, tout comme les benzo, donc l'un dans l'autre ... C'est choisir le moindre mal. Le seul soucis, c'est que d'un individu a l'autre on ne peut pas prévoir le fonctionnement de telle ou telle molécule.
Alors autant un benzo, c'est relativement simple a mesurer l'impact (= n'agit que sur 1 ou 2 paramètres) autant sur un ISRS, c'est plus tendu, surtout dans les atypiques comme le zoloft dans une moindre mesure le seroplex qui a un historique un peu plus important)
De plus, tout les ISRS provoquent une accoutumance, et sont susceptible de provoquer un syndrome de sevrage.

Pour ma part, que ça soit n'importe quelle molécule AD, neuro, anxio ou autre, je me méfie grandement de leurs effets suite a des expériences malheureuses et mon traitant commence a 1/10e de la dose minimum et ce systématiquement depuis quelques années déjà (sans diagnostic posé donc, maintenant il va faire encore plus attention)
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Jean
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par Jean »

Il me semble qu'il faut distinguer les benzodiazépines et les anti-dépresseurs.

Les benzodiazépines ne devraient être pris que sur quelques semaines, la dépendance intervenant très vite.

La dépendance envers les anti-dépresseurs me semble très discutable : les effets secondaires sur le long terme sont inexistants ou faibles chez les adultes (précautions pour les enfants).
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FinementCiselé
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par FinementCiselé »

Jean a écrit :Il me semble qu'il faut distinguer les benzodiazépines et les anti-dépresseurs.

Les benzodiazépines ne devraient être pris que sur quelques semaines, la dépendance intervenant très vite.

La dépendance envers les anti-dépresseurs me semble très discutable : les effets secondaires sur le long terme sont inexistants ou faibles chez les adultes (précautions pour les enfants).
Justement je fait le distinguo entre les ISRS et les benzo. Les benzo ont une action anxiolytique et agissent sur GABA, les ISRS agissent sur la recapture de la sérotonine au niveau du neurone, soit deux modes d'actions totalement différents.
Et pour les effets secondaire/dépendance des ISRS, on a réellement commencé a sourcer ceux-ci qu'a partir des années 1990 alors niveau retour ... C'pas top.
Aspie "cru 2014".
cosima
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par cosima »

FinementCiselé a écrit :
cosima a écrit :Il ne faut pas confondre le Lexomil qui est un anxiolytique (benzodiazépine) avec risque d'accoutumance, avec un anti-dépresseur dont les molécules sont différentes et pas vraiment d'accoutumance. Donc oubli le Lexomil et autres...

Pour ma part il suffit que je regarde la boîte de Lexomil pour m'endormir :mrgreen: mais ce n'était pas le cas avec un AD. J'avais pris du Serpolex qui a un effet contre les crises anxieuses (mon problème) et qui n'endort pas. Cela m'a bien aidée.

Donc tu devrais te faire préciser par le médecin le mode de fonctionnement du Zoloft et pourquoi il te le prescrit exactement. Il a peut être un effet très positif contre les TOC et les crises d'angoisse sans pour autant endormir. Tu peux demander à commencer avec la dose minimum et monter progressivement. C'est que mon médecin m'avait proposé avec le Seroplex vu ma réticence et ça s'est mieux passé comme ça.
99% ISRS (=AD) ont des modes de fonctionnement très aléatoires sur les personnes autistes, tout comme les benzo, donc l'un dans l'autre ... C'est choisir le moindre mal. Le seul soucis, c'est que d'un individu a l'autre on ne peut pas prévoir le fonctionnement de telle ou telle molécule.
Alors autant un benzo, c'est relativement simple a mesurer l'impact (= n'agit que sur 1 ou 2 paramètres) autant sur un ISRS, c'est plus tendu, surtout dans les atypiques comme le zoloft dans une moindre mesure le seroplex qui a un historique un peu plus important)
De plus, tout les ISRS provoquent une accoutumance, et sont susceptible de provoquer un syndrome de sevrage.

Pour ma part, que ça soit n'importe quelle molécule AD, neuro, anxio ou autre, je me méfie grandement de leurs effets suite a des expériences malheureuses et mon traitant commence a 1/10e de la dose minimum et ce systématiquement depuis quelques années déjà (sans diagnostic posé donc, maintenant il va faire encore plus attention)
Tu as tout à fait raison Finement Ciselé. Mais je ne savait pas que les ISRS avaient des fonctionnement aléatoire sur les autistes.
Perso je potentialise tous ces médicaments (benzo, AD, même la codéine...) :? . Alors je n'accepte d'en prendre que quand je pense que c'est indispensable.
Pour le syndrome de sevrage, je pense aussi que c'est très individuel. J'ai eu 3 semaines de forts maux de tête à l'arrêt du Seroplex et puis plus rien...
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par FinementCiselé »

cosima a écrit : Tu as tout à fait raison Finement Ciselé. Mais je ne savait pas que les ISRS avaient des fonctionnement aléatoire sur les autistes.
Perso je potentialise tous ces médicaments (benzo, AD, même la codéine...) :? . Alors je n'accepte d'en prendre que quand je pense que c'est indispensable.
Pour le syndrome de sevrage, je pense aussi que c'est très individuel. J'ai eu 3 semaines de forts maux de tête à l'arrêt du Seroplex et puis plus rien...
Ben le soucis, c'est que ça agit sur la sérotonine qui agit elle même sur la régulation de l'humeur, entre autres, et donc comment veux-tu mesurer l'état d'humeur d'un autiste sachant qu'il ne peut exprimer se qu'il ne connait pas de lui même ? Prescrire un ISRS a un autiste c'est comme vouloir régler un niveau sans point zéro, sans appui et dans l'eau : t'agis mais tu maîtrise pas.
Alors soit tu as quelqu'un en face de toi qui va être pragmatique, et toi conciliant a bien vouloir tester des molécules a dose réduite pour voir l'état, soit en face de toi t'as un apprentis sorcier qui y va pleine dose directement. Potentialiser, c'est bien mais ça rajoute de l'anxiété a ton état et fausse un peu le tableau. C'est aussi une histoire de confiance.
Après, c'est une autre approche, quand tu sais que la personne qui te suis est quelqu'un de sérieux qui accepte de se remettre a jour, tu potentialise moins et tu fait plus confiance a cette personne (censée être plus a même en étant au courant de ton état d'origine du mode d'action potentiel ou recherché par tel ou tel médicaments) pour te prescrire quelque chose qui va pas te stone, ou te faire partir en plein délire etc ...
Après pour le sevrage, oui c'est très individuel le ressentit, mais tout changement d'état doit de toutes façon être signalé (maux de tête inclus), d'autant plus dans les problèmes type désordres autistiques (ça permet aussi de faire avancer les choses auprès des médecins pour leurs informations a savoir qu'une personne sur X dans le cadre de diagnostic autiste posé peut avoir tel ou tel effet particulier et améliorer les statistiques et le suivi global, plutôt que bêtement prescrire des produits psychotropes et/ou neurotropes et jouer aux apprentis sorcier).
Aspie "cru 2014".
bidouille
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Re: Zoloft (et Risperdal)

Message par bidouille »

J'ai pris du Zoloft il y'a une dizaine d'année, je subissait un harcèlement au travail et je craquais. Donc je n’était pas dépressive. Les premier jours l'impression était vraiment étrange, je ne percevais pas l'environnement comme habituellement, les couleurs était plus vives, l'impression que ma tête tournait, les sons était plus doux... Mais cette sensation n'a duré qu'un jour ou deux. Par la suite ça m'a aidé a passer cette mauvaise période, mais mes émotions était atténuées, je ne ressentais plus la tristesse (ce qui me permettait d'encaisser les méchancetés au boulot) mais je ne ressentais plus la joie non plus.
Ça m'a aidé a passer cette mauvaise période, des que j'ai été virée, j'ai tranquillement pu arrêter ce traitement en baissant les doses progressivement.
Maman bizarroïde d'un grand ado de 16 ans (EIP TDA) et d'un ado de 14 ans Asperger TDAH.

Tous différents , tous humains!