Le club des Gaffeurs!

[Liya]

magnifique!

[Frivole]

Lol!! J'adore ce post!

Allez, pour les gaffes, j'ai un répertoire bien plein! Commençons avec celle-ci:

Un jour, à la formation technique, on avait tous travaillé très fort physiquement et le prof a commandé des pizzas. Je me suis retrouvée en première ligne, parce que je suis dissipée, entourée de mes camarades et tous attendent le service. Je ne sais pas à quoi je sers, dans tout ça, et un ami a capté mon désarroi. Il s'est probablement dit que je ne savais pas quelle quantité de pizza prendre alors que tous croyaient que j'allais la couper et débuter la distribution. Je voulais m'éloigner mais j'était bien prise au centre de tout ce beau monde. Il me dit: Mais allez! sers-toi!'' Du coup, j'ai plongé ma main crasseuse au creux de la pizza, croyant à tort qu'on se foutait pas mal de la propreté de la chose... On m'a sévèrement remis dans le droit chemin...

Une autre:

Je suis avec des amis d'école et on dîne à la maison de l'une d'entre elles. Elle nous sort son nouveau jouet sexuel, un vibrateur minuscule en forme de bâton de rouge à lèvres. Pendant le repas, elle nous raconte comment ça marche, à quoi ça sert, bref, elle nous dit tout. Sauf que moi, je suis en situation de sociabilité difficile (dîner avec des gens que je connais peu) et je ne capte rien de tout ce que la fille dit. Alors, quand j'ai vu le ''bâton de rouge à lèvres'' sur la table, après le dîner, je me suis demandée c'était quoi et j'ai commencé à le faire tourner entre mes doigts, cherchant une réponse à ''qu'est-ce que c'est que cet objet étrange?''

Jusqu'au moment où j'ai réalisé que tout le monde me regardait en silence... et la fille de me demander: ''je peux savoir pourquoi tu joues avec mon vibrateur?'' Shame.

Dans un même ordre d'idées:

Je me fais bronzer, avec des copines de l'école, dans la cour arrière chez l'une d'elle. On me prête un bikini pour l'occasion. Trop grand, trop laid, mais bon. Le chien se sauve. Les copines partent à courir après le chien et je reste plantée là, hésitante: dois-je courir avec elles? Est-ce qu'on s'attend à ce que je les aide à retrouver pitou? Et puis, merde, pas question d'avoir l'air encore perdue! Je pars donc à courir dans la rue, derrière mes amis qui, subitement, s'arrêtent affolées de me voir courir en pleine rue! J'ai pas compris tout de suite: elles m'ont prise par le bras et m'ont ramenée subito presto dans la cour arrière. Je criais: ''et le chien?'' Mais je ne comprenais pas les réponses qu'on me faisait. Jusqu'à ce que l'une d'entre elles, énervée, me dise tout haut: '' c'est pas un bikini que tu portes, c'est un soutient-gorge et des culottes assorties! Tu coures en soutifs en pleine rue et tout le monde te regarde!'' Je le trouvais bizarre aussi, son ''bikini''.

[Mr.Spleen]

Si on organisait une cérémonie de remise de prix. Tu aurais la palme.

Et moi il faut que j'arrête de lire ce topic car je m'imagine trop bien à la place des autres.
Je suis tout crispé maintenant que je me suis vu tripoter un rouge à lèvre tout bizarre...

[Frivole]

Lol! Crois-moi, je crispe encore au doux souvenir de cette bourde mémorable..

Comme a fois où, à la petite école, le prof nous avait dit en classe qu'il ne fallait pas kicker les ballons dans la cour de récré parce que ça les abîmait. Devinez qui a kické le ballon 2 heures plus tard? Eh ouaip. Il a roulé vers moi, j'ai cru que les élèves voulaient que je le leur renvoie d'un grand coup de pied alors j'ai donné un grand coup de pied dans le ballon. Et là, lynchage public de ma personne, ils s'y sont tous mis: profs, surveillants, élèves, ça criait après moi et je ne comprenais pas ce que j'avais fait de mal. Pour le coup, ça s'est mal terminé: je me suis sauvée de l'école et j'ai passé la journée assise dans un banc de neige, dans un petit bois, à chanter des chansons des Beatles (parce que j'étais déjà fan). On me cherchait, j'entendais les voitures de police passer et, même, la voix de mon père crier mon nom. Tout le village me cherchait! J'ai fait la sourde oreille, je suis sortie de mon trou seulement quand j'ai été certaine que plus personne ne serait à l'école. Et j'ai fini au poste de police. Ils ont bien tenté de me faire dire que ça allait mal à la maison mais, que nenni. C'était l'école, le problème. J'ai eu beau le leur répéter, on ne m'a pas crue. Ils m'ont renvoyée à l'école dès le lendemain et, pour faire joli, le prof a décidé qu'on allait faire une ''thérapie de groupe'' pour ''régler mon problème''. Alors, une fois par semaine, on s'asseyait ensemble et je devais écouter mes camarades de classe me dire pourquoi ils ne m'aimaient pas et pourquoi ils me trouvaient bizarre, un à un, jusqu'à ce qu'on ait fait le tour de la question. Ça a duré 3 semaines avant que mon père ne mette un terme à cette thérapie. Il n'était pas au courant de la chose, voyez-vous. Après ça, j'ai tout mis en oeuvre pour être normale et j'ai assez bien réussi (sauf pour l'épisode du rouge à lèvres )

Ok, elle est pas marrante mon anecdote mais reste que c'est du vécu.

[jutana]

... Sacrés moments de solitude...

[Liya]

Encore une situation ubuesque ce midi: des collègues étaient persuadés que j'étais enceinte... mais genre de 6 mois

L'une d'elle s'est enfin décidé à aborder le sujet de façon gênée, trouvant cette histoire bizarre.
La raison du quiproquo?
Il y a quelques mois, j'ai dû m'absenter le midi pour aider une de mes chèvres à mettre bas. J'ai fait ce que j'avais à faire et suis revenue au boulot, en retard et échevelée, forcément.
Sauf que j'ai croisé un collègue, qui a dû me demander ce que je faisais, et j'ai dû lui marmonner "je jouais à la sage-femme" tout en me dépêchant de retourner à mon poste de travail.
Le collègue a compris "j'étais chez la sage-femme", et l'a répété (sans mauvaise intention) à d'autres avec qui je suis proche.

Je déteste ce type de situation: je saisis parfaitement le comique de la chose, car on se retrouve avec une histoire partie d'une incompréhension bénigne.
Sauf que ça ne me fait pas rire pour autant (je ris rarement), du coup tout le monde rigole et moi je me sens juste tarte au milieu et je ne sais quoi dire ou quoi faire.

[Mr.Spleen]

Moi à 10 ans dans la rue du village :

- MAMAAAN ! JE VAIS CHEZ FABIEN FAIRE UNE PARTOUZE !!
- Quoi ? Une partouze ?!!
- Bah oui ! Une partouze de Gameboy !
[...]

(Quand on ne connait pas la signification des mots que l'on croit inventer, c'est vrai qu'on a un peu l'air con... )

[Pupuce]

[Lilette]

Mouhaha génial

[Loup]

Je crois que mon bras gauche a un amour inavoué pour les poteaux de la ville. Je pense même qu'il essaye de détourner mon chemin pour faire exprès de rentrer dedans et les draguer.
Aujourd'hui, il a flirté avec deux poteaux. J'ai beau ne pas être d'accord, il essaye quand même le bougre!

[meï]

alors..je ne connaissais pas ce topic, et j'avoue, je viens de pleurer de rire en vous lisant....

en ce qui me concerne j'en ai aussi mais pas de tps pour les raconter, je reviendrai.

mais le coup de dire pardon aux objets par ex est un classique chez moi.
et celui de dire "merci" quand il faut dire "bonjour" ou "au revoir" etc par ex...très régulier.(et en particulier aux caisses de grands magasins...)

allez comme je suis là, un moment de solitude..
au boulot, (à la *af..) quand je commençais, au service courrier.
un jour une chef passe par là, et cherche un truc (des élastiques , je ne sais plus trop..à) et tout le monde cherche (ben oui si la chef cherche faut faire aussi..pour bien montrer son allégance. bref.) et moi en rigolant, je dis, (grand souvenir de mon prof de physique du collège), "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"!... bien fort.(ben ça me semblait de circonstance.)

et là j'ai senti un gros silence, et des regards étonnés....mais qu'est ce qu'elle raconte?. moi ca me venait tout seul ce genre de citation..(.et chef ou pas chef!...) sauf que là visiblement ca ne parlait qu'à moi....

[Lilette]

Bah en même temps ...
Je suis d'accord avec toi
Je crois que j'aurais pu la faire aussi, celle-ci.

[Loup]

Joli Meï!

[jutana]

.....

[Cathy]

Bon c'est la grosse honte mais cette semaine, gros speed en salle de petits déjeuners. Je ne voulais pas partir en laissant mon collègue dans la mouise. Je lui dit de ne pas s'en faire, qu'à nous deux, sa salle sera faite en vitesse et qu'il sera dans les temps.

J'avais trois cendriers dans les mains quand je lui ai dit ça, et comme je regarde les gens quand je leurs parle, je me suis mangé la porte vitrée pleine face.

Ma montre, mon poigné et mon genou sont morts mais j'ai sauvé les cendriers

Cette histoire a déjà fait le tour de tous les étages, quelle bande d'ingrats !