Je suis autiste ou Asperger, j'aimerais partager mon expérience. Je ne suis ni autiste ni Asperger, mais j'aimerais comprendre comment ils fonctionnent en le leur demandant.
En fait, c'était une blague. Le gars qui se vante d'être modeste. [Comme Achille Talon qui se vante d'avoir gagné le concours d'homme le plus modeste. ]
En fait, pour ma part, j'ai plutôt l'habitude d'être modeste car c'est une stratégie pour être moins sollicité. Quand tu fais le fier, ben le monde te regarde. Ostie, j'aime pas trop ça. Alors, pour être tranquille, je minimise tant mes actions positives que mes actions négatives. La gloriole ne me dit rien qui vaille.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
freeshost a écrit :En fait, c'était une blague. Le gars qui se vante d'être modeste. [Comme Achille Talon qui se vante d'avoir gagné le concours d'homme le plus modeste. ]
Dans le même genre, le grand classique :
"La modestie est une de mes nombreuses qualités ..."
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Une dernière : Once you get past my charm, good looks, intelligence and my sense of humor, I think it’s my modesty that stands out.
F84.5 | Things go wrong so that you appreciate them when they're right, you believe lies so you eventually learn to trust no one but yourself, and sometimes good things fall apart so better things can fall together.
Je n'ai pas l'impression que la modestie réelle soit une convention sociale mais plutôt la fausse modestie.
Moi on me reproche souvent d'être trop modeste et de ne pas assez me "mettre en avant". pff.
Diagnostiquée TSA sévérité 1 / syndrome d'Asperger par le CRA de Brest en 2017
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Les jeunes (dont ma sœur par exemple, qui va avoir 16 ans dans quelques jours) s'appellent "ma femme" (certains lorsqu'ils sont en couple, d'autres appellent juste un/une ami(e) comme ça), "mon homme", "mon amour" ou autre, et je ne comprends pas ça. Je me demande toujours à quel "degré" ils sont proches. Ma sœur a une amie qu'elle appelle "ma femme", et pour moi ce surnom est réservé à une personne dont on est amoureux (et encore, je ne crois pas que j'utiliserais de surnoms si j'étais en couple avec quelqu'un). Je trouve que cela rends encore plus compliqué la compréhension des relations entre les gens.
Diagnostiquée en février 2015 (psychiatre libéral) puis confirmation au CRA en novembre 2016
On peut revenir de tout, sans être parti très loin, on peut revenir de loin, sans être parti du tout ! - Bazar et bémols
Pour le fun, on peut aussi se traiter de mononc' ou de matante.
Ben, quand ma sœur a eu son premier tit-cul, chus dev'nu mononc'. Mon autre sœur est dev'nue matante. "Tu te rends compte ? chus matante !" (Je suis tante, maintenant !)
Bon, matante peut être péjoratif. Exemple sur cette page d'un blog.
Quid des belles-soeurs et du beauf ? ou de l'expression "homme à marier" ?
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Je ne connaissais pas le coup des oncles et tantes mais j'ai remarqué il y a un moment que certaines personnes (que des filles si ma mémoire est bonne) s'inventent des liens de parenté (père/mère enfants et frères/sœur principalement).
Ça leur passe généralement après le lycée.
Je pense que c'est une marque d'affection.