Je ne comprends pas les gens qui disent ou pensent ça, je trouve ça tellement cruel...parce-que même si la personne n'avait pas vraiment voulu mourir et juste appeler à l'aide, faut quand-même aller sacrément mal faire un truc comme ça! Quelqu'un qui va bien et qui veut juste de l'attention, il ne fait pas ça! Et en plus, dire ça, c'est un peu comme dire à l'autre qu'il n'a aucune raison d'aller mal, que sa souffrance n'est pas légitime et qu'il doit la fermer et arrêter de faire chier avec ses jérémiades! Je trouve ça tellement salaud...Disturbed a écrit :J'aimerai bien avoir des chiffres là dessus. (edit : sur les tentatives de suicide pour attirer l'attention, pas sur les NT vs Aspie). Ca me semble tellement mal vu, et les gens critiquent et jugent tellement au lieu d'aider que je ne vois pas trop quelle attention on peut espérer.G.O.B. a écrit :D'après la discussion que j'ai eu avec la fameuse psy ce week end, les autistes ont rarement tendance à se louper lorsqu'il y a tentative de suicide contrairement aux NT qui essaient souvent de faire "exprès" de se manquer pour appeler à l'aide.
Attention aussi : c'est la base d'une des idées reçues les plus destructrices, qui voudrait que les gens qui ratent leur suicide cherchaient juste de l'attention, et pas à mourir. Je l'ai déjà entendu à propos d'autres personnes, mais aussi pris de plein fouet après une tentative ("non, laissez là, elle voulait juste attirer l'attention donc il ne faut surtout pas lui en apporter, évitez là pendant quelques temps").
La dépression
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Re: La dépression
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Re: La dépression
A quel moment ai-je écrit que quelqu'un qui fait "exprès" de se manquer pour appeler à l'aide n'allait pas mal ?
Je trouve simplement l'hypothèse intéressante, je n'ai pas envie de développer car c'est un peu glauque, et aucun chiffre pour étayer mes propos.
Je trouve simplement l'hypothèse intéressante, je n'ai pas envie de développer car c'est un peu glauque, et aucun chiffre pour étayer mes propos.
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Re: La dépression
A aucun moment, Gob. Excuse-moi, je ne te visais pas. Je disais ça parce que malheureusement, il y a des gens qui croient ça, mais je n'ai pas pensé que toi tu pensais ça! dsl!
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Re: La dépression
Il n'y a pas de mal, ce n'est pas la 1ère fois qu'on a du mal à se comprendre, j'en suis responsable à au moins 50%
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Re: La dépression
Message supprimé
Modifié en dernier par Cryptobiose le jeudi 25 février 2016 à 17:14, modifié 1 fois.
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Re: La dépression
"comment gérer la peur que ça revienne": Hummm bonne question, je ne sais pas. Là justement je m'interroge me concernant. J'attends de voir ce que cela donnera à la rentrée, quand je reprendrai le boulot (chui prof de svt). Là je me demande si je ne suis pas en train de rechuter un peu, ou d'être au début d'une rechute de dépression.
En me même temps, c'est peut être dû au stress/anxiété, depuis plusieurs 2/3 mois surtout lié à mon diagnostic en cours. Je suis presque sûre que c'est ça. Et puis ma psychothérapeute (que j'ai vu y'a un mois) me dit que j'ai pas l'air d'être en dépression.
Le signe qui m'a alerté auparavant au cours des rechutes (2 bonnes grosses rechutes en 10 ans), c'est le ralentissement de mes activités, le "ramolissement/ralentissement" de mon cerveau, les pb de concentrations, et surtout le fait que les activités que j'aime bien d'habitude, ne me motivent pas plus que ça, voir ne m'intéressent plus. Je m'ennuie, je suis "constipée du cerveau", chui bloquée.
Actuellement c'est limite, mais je pense que ce n'est pas de la dépression. J'ai pas envie de me rouler en boule dans un coin en attendant que "ça passe" (le ça? chai pas ce qu'il représente, la vie?). Enfin pas complètement envie.
Bon, en même temps, je culpabilise pas mal en continu de préférer rester chez moi au lieu de "sortir, voir du monde", et ce sentiment de culpabilité est ultime en cas de dépression. Là il est présent, mais j'arrive encore à me dire "Merde, c'est bon t'as 34 ans, t'as rien à prouver à qui que ce soit, enfin presque".
Je me dis toutefois que HEUREUSEMENT que j'ai rencontré S. que j'aime et qui m'aime, et qui me soutient au quotidien, bien que je culpabilise beaucoup à propos de ça. C'est mon assistante sociale, S, il gère la bouffe et l'administratif(banque, garagiste etc). J'ai eu trop de bol de le rencontrer y'a 12ans ^^Je ne sais pas ce que je serai devenue sans lui. (Ou même si je serais encore en vie. Je pense que oui, car je ne peux pas me tuer, je ne peux pas faire ça à ma soeur et à mon père).
Voili, voilou, ce n'est que mon ressenti, je ne sais pas si je suis experte en dépression ou quoi.
En me même temps, c'est peut être dû au stress/anxiété, depuis plusieurs 2/3 mois surtout lié à mon diagnostic en cours. Je suis presque sûre que c'est ça. Et puis ma psychothérapeute (que j'ai vu y'a un mois) me dit que j'ai pas l'air d'être en dépression.
Le signe qui m'a alerté auparavant au cours des rechutes (2 bonnes grosses rechutes en 10 ans), c'est le ralentissement de mes activités, le "ramolissement/ralentissement" de mon cerveau, les pb de concentrations, et surtout le fait que les activités que j'aime bien d'habitude, ne me motivent pas plus que ça, voir ne m'intéressent plus. Je m'ennuie, je suis "constipée du cerveau", chui bloquée.
Actuellement c'est limite, mais je pense que ce n'est pas de la dépression. J'ai pas envie de me rouler en boule dans un coin en attendant que "ça passe" (le ça? chai pas ce qu'il représente, la vie?). Enfin pas complètement envie.
Bon, en même temps, je culpabilise pas mal en continu de préférer rester chez moi au lieu de "sortir, voir du monde", et ce sentiment de culpabilité est ultime en cas de dépression. Là il est présent, mais j'arrive encore à me dire "Merde, c'est bon t'as 34 ans, t'as rien à prouver à qui que ce soit, enfin presque".
Je me dis toutefois que HEUREUSEMENT que j'ai rencontré S. que j'aime et qui m'aime, et qui me soutient au quotidien, bien que je culpabilise beaucoup à propos de ça. C'est mon assistante sociale, S, il gère la bouffe et l'administratif(banque, garagiste etc). J'ai eu trop de bol de le rencontrer y'a 12ans ^^Je ne sais pas ce que je serai devenue sans lui. (Ou même si je serais encore en vie. Je pense que oui, car je ne peux pas me tuer, je ne peux pas faire ça à ma soeur et à mon père).
Voili, voilou, ce n'est que mon ressenti, je ne sais pas si je suis experte en dépression ou quoi.
Aspie, 36 ans, diagnostiquée le 10/09/14 au centre expert FondaMental de Créteil, Hôpital Chennevier-Montdor, rattaché au CRAIF
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Re: La dépression
Oui, c'est une chance de vivre une relation réciproque. Quand j'avais une 20aine d''année, j'avais un compagnon étudiant qui a aussi fait tout cela à ma place(assistante sociale, l'administratif(banque, garagiste etc), mais j'avais du mal à assumer de ne pas y arriver moi-même. Et puis je n'étais pas amoureuse, donc au bout d'un moment, par honnêteté, j'ai dû le quitter. Mais il est resté près de moi pendant les années les plus noires de ma vie, je lui en suis très reconnaissante et le mot me paraît bien faible en regard de ce qu'il a supporté.ChatNoir a écrit :Je me dis toutefois que HEUREUSEMENT que j'ai rencontré S. que j'aime et qui m'aime, et qui me soutient au quotidien, bien que je culpabilise beaucoup à propos de ça. C'est mon assistante sociale, S, il gère la bouffe et l'administratif(banque, garagiste etc). J'ai eu trop de bol de le rencontrer y'a 12ans ^^Je ne sais pas ce que je serai devenue sans lui.
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"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
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Re: La dépression
=) je comprends.
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Re: La dépression
À quel moment consulter...?
C'est difficile à dire, ça dépend de chacun.
Si ton quotidien s'en trouve affecté? Baisse de plaisir, fatigue, idées noires, suicidaires plus marquées...
C'est difficile à dire, ça dépend de chacun.
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30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
"Sire, sire, on en a gros!"
En bordure du bout du monde + La manufacture des loups + BANG! + Ouroboros
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Re: La dépression
J'avais déjà vue cette bd, avec quelques autres : http://www.buzzfeed.com/hnigatu/comics- ... depression
Diagnostiquée Autiste Asperger et TDA.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
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Re: La dépression
Conseil Conjugal
« Chaque jeudi, je vois une conseillère conjugale, avec mon compagnon : la dépression.
Il me chuchote à l’oreille de rester au lit un jour de plus. Il presse sa main sur ma poitrine, fébrile à l’idée que je puisse m’évader des couvertures.
Après m’être extrait de la douche, son odeur me colle toujours à la peau. Comme les crises d’angoisses à minuit, comme tutoyer le pharmacien, comme l’appétit que je n’ai pas, mais ça va, j’ai déjà mangé une barre de céréales aujourd’hui.
Nos sessions chez la conseillère conjugale durent 50 minutes. Nous avons passé ce temps à ressasser les mêmes problèmes devant lui. On a eu des hauts et des bas, depuis le lycée, mais cette fois-ci, on a tenu une bonne année. Ça doit vouloir dire qu’entre nous, ça devient sérieux.
Elle me demande si j’ai de l’appétit. Non, je ne mange pas, mais il me préfère maigre, c’est plus facile pour lui d’être la grande cuillère, c’est comme si je disparaissais en lui, comme si son corps avalait le mien.
Elle me demande si j’ai vu mes amis récemment. Non, pas depuis un bout de temps, on reste souvent à la maison. Mes amis sont un peu la troisième roue du carrosse quand nous sortons ensemble. C’est ce qui arrive quand on est en couple avec la même personne depuis longtemps.
Elle me demande s’il y a eu du changement entre nous, depuis que j’ai commencé le Zoloft. Il plante ses ongles dans l’accoudoir, grince des dents, elle me repose la question. Il en devient jaloux, mais Zoloft me fait du bien. Il m’emmène petit-déjeuner le matin, me fait manger du pain perdu.
Il a perdu son sang-froid, m’a accusé de lui être infidèle, a menacé de sortir les ciseaux, alors j’ai menacé de prendre plus de Zoloft — tout le Zoloft. D’un seul coup. J’ai failli le faire.
Elle me demande si c’est le soir où un ami m’a emmené aux urgences. « Oui, mais c’était juste cette fois-ci ». Et l’infirmier a interdit les visites, m’a coupé du Zoloft ; ça nous a rapprochés, de passer du temps en tête-à-tête, comme un couple.
Notre conseillère pense que je reste avec lui uniquement parce que mon père traitait ma mère de pute, ou parce que parfois, il m’arrive encore de souhaiter d’être hétéro, ou parce que je n’ai jamais eu de relation sérieuse. Elle ne comprend pas que cette relation est la plus sérieuse que j’ai eue.
Elle nous dit que le temps est écoulé, revenez la semaine prochaine. Il murmure « d’accord », à travers mes lèvres, claque la porte derrière nous. Notre conseillère dit qu’il y a eu des progrès ces dernières semaines. Que lui et moi resteront probablement toujours ensemble, mais que j’aurai un peu plus d’indépendance, bientôt.
Dernièrement, j’ai commencé à réfléchir à cela. Aux matins où je me réveille, et j’ai faim. Mon corps se souvient comment se lever de lui-même, comment laisser ses bras s’éloigner de sa taille pour quelques heures, pour que je puisse finir un poème.
Regarder Parks and Recreation.
Manger un sandwich.
Faire le lit sans y ramper à nouveau, même lorsqu’il me dit que sans lui, je serais une coquille vide, grinçante, une ruine à l’abandon.
Parfois, je pense encore qu’il a raison, mais la semaine dernière, je suis monté sur la balance, et j’ai pris un kilo.
Ce n’est qu’un kilo, mais c’est le mien. C’est entièrement moi. »
« Chaque jeudi, je vois une conseillère conjugale, avec mon compagnon : la dépression.
Il me chuchote à l’oreille de rester au lit un jour de plus. Il presse sa main sur ma poitrine, fébrile à l’idée que je puisse m’évader des couvertures.
Après m’être extrait de la douche, son odeur me colle toujours à la peau. Comme les crises d’angoisses à minuit, comme tutoyer le pharmacien, comme l’appétit que je n’ai pas, mais ça va, j’ai déjà mangé une barre de céréales aujourd’hui.
Nos sessions chez la conseillère conjugale durent 50 minutes. Nous avons passé ce temps à ressasser les mêmes problèmes devant lui. On a eu des hauts et des bas, depuis le lycée, mais cette fois-ci, on a tenu une bonne année. Ça doit vouloir dire qu’entre nous, ça devient sérieux.
Elle me demande si j’ai de l’appétit. Non, je ne mange pas, mais il me préfère maigre, c’est plus facile pour lui d’être la grande cuillère, c’est comme si je disparaissais en lui, comme si son corps avalait le mien.
Elle me demande si j’ai vu mes amis récemment. Non, pas depuis un bout de temps, on reste souvent à la maison. Mes amis sont un peu la troisième roue du carrosse quand nous sortons ensemble. C’est ce qui arrive quand on est en couple avec la même personne depuis longtemps.
Elle me demande s’il y a eu du changement entre nous, depuis que j’ai commencé le Zoloft. Il plante ses ongles dans l’accoudoir, grince des dents, elle me repose la question. Il en devient jaloux, mais Zoloft me fait du bien. Il m’emmène petit-déjeuner le matin, me fait manger du pain perdu.
Il a perdu son sang-froid, m’a accusé de lui être infidèle, a menacé de sortir les ciseaux, alors j’ai menacé de prendre plus de Zoloft — tout le Zoloft. D’un seul coup. J’ai failli le faire.
Elle me demande si c’est le soir où un ami m’a emmené aux urgences. « Oui, mais c’était juste cette fois-ci ». Et l’infirmier a interdit les visites, m’a coupé du Zoloft ; ça nous a rapprochés, de passer du temps en tête-à-tête, comme un couple.
Notre conseillère pense que je reste avec lui uniquement parce que mon père traitait ma mère de pute, ou parce que parfois, il m’arrive encore de souhaiter d’être hétéro, ou parce que je n’ai jamais eu de relation sérieuse. Elle ne comprend pas que cette relation est la plus sérieuse que j’ai eue.
Elle nous dit que le temps est écoulé, revenez la semaine prochaine. Il murmure « d’accord », à travers mes lèvres, claque la porte derrière nous. Notre conseillère dit qu’il y a eu des progrès ces dernières semaines. Que lui et moi resteront probablement toujours ensemble, mais que j’aurai un peu plus d’indépendance, bientôt.
Dernièrement, j’ai commencé à réfléchir à cela. Aux matins où je me réveille, et j’ai faim. Mon corps se souvient comment se lever de lui-même, comment laisser ses bras s’éloigner de sa taille pour quelques heures, pour que je puisse finir un poème.
Regarder Parks and Recreation.
Manger un sandwich.
Faire le lit sans y ramper à nouveau, même lorsqu’il me dit que sans lui, je serais une coquille vide, grinçante, une ruine à l’abandon.
Parfois, je pense encore qu’il a raison, mais la semaine dernière, je suis monté sur la balance, et j’ai pris un kilo.
Ce n’est qu’un kilo, mais c’est le mien. C’est entièrement moi. »
30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
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Re: La dépression
Je passe ici poster deux liens.
Un article en anglais :
21 Things Nobody Tells You About Depression
Une conférence très touchante sur le sujet :
Confessions d'un Comique Dépressif
Voilà !
Un article en anglais :
21 Things Nobody Tells You About Depression
Une conférence très touchante sur le sujet :
Confessions d'un Comique Dépressif
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Diagnostic juin(?) 2015: TSA ni infirmé ni confirmé.
Ne souhaite pas poursuivre de démarches par manque d'énergie/temps/argent et volonté.
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Re: La dépression
Très bien cette vidéo.Skadi a écrit : Une conférence très touchante sur le sujet :
Confessions d'un Comique Dépressif
TSA.
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Re: La dépression
Le passage avec la comparaison bras cassé vs. dépression est particulièrement poignant...
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