Comment diriez vous...
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Comment diriez vous...
...
1) A une personne, qu'on perçoit l'aah, sans pour autant dire qu'on est asperger?
2) Qu'on prend des antidprésseurs? ; Une phrase dont la tournure serait positive et non négative.
Merci d'avance pour ces deux questions.
1) A une personne, qu'on perçoit l'aah, sans pour autant dire qu'on est asperger?
2) Qu'on prend des antidprésseurs? ; Une phrase dont la tournure serait positive et non négative.
Merci d'avance pour ces deux questions.
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Re: Comment diriez vous...
ça dépend de la personne.
Est-ce utile à tout prix de le préciser ? Moi je ne le dirais qu'après passé un certain temps "d'acclimatation". Sauf employeur ou administration, pour le reste, méfiance.
Je ne vois pas comment "positiver" la prise d'antidépresseurs.. Ni l'intérêt de l'indiquer à une personne... (pardonne moi hein, sûrement rien compris)
Est-ce utile à tout prix de le préciser ? Moi je ne le dirais qu'après passé un certain temps "d'acclimatation". Sauf employeur ou administration, pour le reste, méfiance.
Je ne vois pas comment "positiver" la prise d'antidépresseurs.. Ni l'intérêt de l'indiquer à une personne... (pardonne moi hein, sûrement rien compris)
Maman d'un enfant TED diagnostiqué au CRA de Reims.
Je ne suis pas très typique, sans avoir pourtant creusé la question d'une façon ou d'une autre.
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Re: Comment diriez vous...
Pour l'AAH, c'est pour le dire à une fille dans une lettre prochainement (amour), pour lui dire que j'ai une situation financière.chawacee a écrit :ça dépend de la personne.
Est-ce utile à tout prix de le préciser ? Moi je ne le dirais qu'après passé un certain temps "d'acclimatation". Sauf employeur ou administration, pour le reste, méfiance.
Je ne vois pas comment "positiver" la prise d'antidépresseurs.. Ni l'intérêt de l'indiquer à une personne... (pardonne moi hein, sûrement rien compris)
Et pour les antidépresseurs, si cela marche avec la fille, et qu'elle me voit prendre des médocs le matin, je serai bien obligé de lui dire. A vrai dire, j'allais lui écrire peut-être dans la lettre ou pas (et dans une suite logique) que je prend des antidépresseurs, mais si c'est tourné positivement ca devrait le faire, or je ne sais pas du tout quoi mettre. Si, je prend mon temps, et que j'opte pour une option B, comme partir amicalement avec elle en vacance, elle le verra que je prend des médocs, et je serai bien obligé de lui dire que ce sont des antidépresseurs.
Bon, je sais que c'est compliqué, désolé.
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Re: Comment diriez vous...
Oui un peu, surtout sans connaître le contexte Connais tu cette fille en vrai, est-ce que tu la fréquentes depuis longtemps, que sait-elle de toi et partage t'elle tes sentiments ?
J'crois que l'amour, parmi tous les sentiments humains, c'est le plus complexe, et le plus chiant...
Tu penses que si tu dis "abruptement" que tu te soignes pour une dépression, elle se barre en courant ?
nan parce que franchement, si c'est le cas.... ce n'est pas une nana pour toi...
J'crois que l'amour, parmi tous les sentiments humains, c'est le plus complexe, et le plus chiant...
Tu penses que si tu dis "abruptement" que tu te soignes pour une dépression, elle se barre en courant ?
nan parce que franchement, si c'est le cas.... ce n'est pas une nana pour toi...
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Re: Comment diriez vous...
Pour l'aah je ne dirais rien.
Pour le revenu, je dirais "Actuellement je ne travaille pas mais je touche une petite rente suite à un problème de santé" (c'est vrai le mot "rente" est un peu bizarre, mais si vous trouvez mieux...)
Pour les antidépresseurs je ne dirais rien
Pour la prise de médicaments je dirais "j'ai besoin de ces médicaments car j'ai un problème de santé"
Le tout assorti d'un grand sourire.
Si elle est bien élevée elle ne te demandera rien, chez les NT ce n'est pas poli de poser ce genre de questions "tu prends quoi comme médicaments?"
Lui parler asperger, aah ou anti-dépresseurs quand tu seras plus "intime" avec elle. Si elle est amoureuse, elle s'intéressera à toi. Si elle part en courant, alors elle ne valait pas la peine que tu t'intéresses à elle.
Mais c'est juste mon avis.
Pour le revenu, je dirais "Actuellement je ne travaille pas mais je touche une petite rente suite à un problème de santé" (c'est vrai le mot "rente" est un peu bizarre, mais si vous trouvez mieux...)
Pour les antidépresseurs je ne dirais rien
Pour la prise de médicaments je dirais "j'ai besoin de ces médicaments car j'ai un problème de santé"
Le tout assorti d'un grand sourire.
Si elle est bien élevée elle ne te demandera rien, chez les NT ce n'est pas poli de poser ce genre de questions "tu prends quoi comme médicaments?"
Lui parler asperger, aah ou anti-dépresseurs quand tu seras plus "intime" avec elle. Si elle est amoureuse, elle s'intéressera à toi. Si elle part en courant, alors elle ne valait pas la peine que tu t'intéresses à elle.
Mais c'est juste mon avis.
Neuro pas du tout typique, diagnostiquée hqi, ne souhaite pas faire de diagnostic SA
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Re: Comment diriez vous...
... ...
Modifié en dernier par Felixia le mercredi 4 juin 2014 à 9:25, modifié 1 fois.
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Re: Comment diriez vous...
Pour ma part, je trouverais assez maladroit qu’un garçon me parle de sa situation financière dans une lettre (d’amour)… mais elle t’a peut-être posé la question ?
Si elle t’a demandé ce que tu fais dans la vie, ce n’est pas pour savoir si tu es « solvable », mais parce que ça fait partie des questions que l’on pose (quand on est NT, et je le suis) pour connaître la personne. Si c’est le cas, tu pourrais lui parler de ce que tu aimes faire.
Sinon, je rejoins Cosima et Felixia.
Si elle t’a demandé ce que tu fais dans la vie, ce n’est pas pour savoir si tu es « solvable », mais parce que ça fait partie des questions que l’on pose (quand on est NT, et je le suis) pour connaître la personne. Si c’est le cas, tu pourrais lui parler de ce que tu aimes faire.
Sinon, je rejoins Cosima et Felixia.
Maman NT d'un garçon autiste atypique né en 2005
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Re: Comment diriez vous...
Nan lui en parle pas.Joue l'homme mystere sur ce point....
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Re: Comment diriez vous...
Comme les autres, je lui dirais en face.
Si tu envisages une intimité (physique et/ou sentimentale) avec cette personne, tu peux lui parler des antidépresseurs, des tas de personnes en prennent, tu n'es pas obligé de lui dire préciser la durée de ton traitement. Ou alors, tu peux simplement dire que ce sont des médocs dont tu as besoin, sans préciser que ce sont des AD.
Pour la situation financière, je ne vois pas l'intérêt de lui en parler, sauf si elle te l'a demandé. Auquel cas tu peux parler peut être d'indemnité, plutôt que de rente, en rapport avec un état de santé, voilà sans préciser.
Au bout d'un moment, il serait préférable de lui parler d'Asperger ^^ peut être.
Si tu envisages une intimité (physique et/ou sentimentale) avec cette personne, tu peux lui parler des antidépresseurs, des tas de personnes en prennent, tu n'es pas obligé de lui dire préciser la durée de ton traitement. Ou alors, tu peux simplement dire que ce sont des médocs dont tu as besoin, sans préciser que ce sont des AD.
Pour la situation financière, je ne vois pas l'intérêt de lui en parler, sauf si elle te l'a demandé. Auquel cas tu peux parler peut être d'indemnité, plutôt que de rente, en rapport avec un état de santé, voilà sans préciser.
Au bout d'un moment, il serait préférable de lui parler d'Asperger ^^ peut être.
Aspie, 36 ans, diagnostiquée le 10/09/14 au centre expert FondaMental de Créteil, Hôpital Chennevier-Montdor, rattaché au CRAIF
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Re: Comment diriez vous...
@newvie, c'est pas la 1ere fois que tu nous demandes si ça vaut le coup de mentir / omettre.
pour moi c'est clair : c'est trop compliqué à gérer "apres". donc, tjs dire clairement la réalité, la vérité. tu risques encore de te prendre la tête et de pas savoir comment te dépatouiller avec tes mensonges (et donc générer des situations insupportables pour toi)
si la fille t'aimes, elle acceptera évidemment que tu ai l'aah et que tu prennes des médocs. concernant les AD et autres, il y a tellement de gens à en prendre sans pathologies aussi costaud que l'autisme, que c'est ultra banal.
pour moi c'est clair : c'est trop compliqué à gérer "apres". donc, tjs dire clairement la réalité, la vérité. tu risques encore de te prendre la tête et de pas savoir comment te dépatouiller avec tes mensonges (et donc générer des situations insupportables pour toi)
si la fille t'aimes, elle acceptera évidemment que tu ai l'aah et que tu prennes des médocs. concernant les AD et autres, il y a tellement de gens à en prendre sans pathologies aussi costaud que l'autisme, que c'est ultra banal.
TSA
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Re: Comment diriez vous...
J'aurais pu poser les mêmes questions ... Je me reconnais complètement dans ces questions ...newvie492 a écrit :...
1) A une personne, qu'on perçoit l'aah, sans pour autant dire qu'on est asperger?
2) Qu'on prend des antidprésseurs? ; Une phrase dont la tournure serait positive et non négative.
Merci d'avance pour ces deux questions.
Si cette personne t'aime, elle ne tiendra pas compte des tes revenus (AAH), que tu sois Asperger, ou du fait que tu ais à prendre des médicaments.
S'il y a intimité tu peux lui en parler librement à mon avis. Mais perso, je n'en parlerais qu'à cette condition.
S'il s'agissait de devoir se justifier, je prendrais ça comme un échec relationnel.
J'aime à croire que l'Amour est au dessus de ces considérations, après je ne suis pas très expérimenté et peux me tromper ...
Concentre-toi sur elle (ou lui), ne te focalise pas sur toi mais sur elle (ou lui), et les choses viendront naturellement ...
Bon courage
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: Comment diriez vous...
Merci pour vos réponses.
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Re: Comment diriez vous...
Je remonte ce topic!
En effet l'une de mes questions, c'était comment diriez-vous qu'on prend des antidépresseurs à quelqu'un?
Comme vous le savez, si vous avez lu mes autres posts, je viens de passer mes vacances avec une amie.
Et au final, je ne sais pas si elle a vu que je prenais des antidépresseurs, ou pas, car je prenais mon semainier en toute discrétion, et me cachait pour prendre mes antidépresseurs.
Comme quoi, ce n'est pas facile à le dire, même s'il existes divers et divers réponses à cette question.
En effet l'une de mes questions, c'était comment diriez-vous qu'on prend des antidépresseurs à quelqu'un?
Comme vous le savez, si vous avez lu mes autres posts, je viens de passer mes vacances avec une amie.
Et au final, je ne sais pas si elle a vu que je prenais des antidépresseurs, ou pas, car je prenais mon semainier en toute discrétion, et me cachait pour prendre mes antidépresseurs.
Comme quoi, ce n'est pas facile à le dire, même s'il existes divers et divers réponses à cette question.
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Re: Comment diriez vous...
Ce week end, j'ai été chez mon oncle (qui est mon parrain) avec sa femme et sa belle mère, avec mes parents, ma soeur + son copain (donc mon beau frère). Je suis arrivé samedi midi, et reparti dimanche en fin d'après-midi.
Bon, j'arrive au sujet, de ce que je voudrais parler, mais comme avec mon post ci-dessus.
Le dimanche matin, c'était le petit déjeuner. Avant et pendant, je me suis dis, comment les prendres, sans que mon beau frère soit au courant (pour éviter des embrouilles entre ma soeur et son copain, pour éviter qu'il se pose des questions, car pour ma soeur, le SA est un sujet taboo pour l'instant), il dormait quand j'ai pris mon petit déjeuner et mes médicaments.
Cependant, il y avait dans la cuisine à ce moment là mes parents (donc qui savent que je prend des antidépresseurs), et mon oncle. Juste avant de boire mon bol de lait, je suis allé chercher mes médicaments, et j'ai fais comme si de rien n'était pour les prendre, mais j'ai bien vu que mon parrain, m'a regardé un peu à ce moment là. Il n'a rien dis, mais il n'en a pas moins pensé. Difficile même avec la famille!!!
Voilà. Merci de m'avoir lu!
Bon, j'arrive au sujet, de ce que je voudrais parler, mais comme avec mon post ci-dessus.
Le dimanche matin, c'était le petit déjeuner. Avant et pendant, je me suis dis, comment les prendres, sans que mon beau frère soit au courant (pour éviter des embrouilles entre ma soeur et son copain, pour éviter qu'il se pose des questions, car pour ma soeur, le SA est un sujet taboo pour l'instant), il dormait quand j'ai pris mon petit déjeuner et mes médicaments.
Cependant, il y avait dans la cuisine à ce moment là mes parents (donc qui savent que je prend des antidépresseurs), et mon oncle. Juste avant de boire mon bol de lait, je suis allé chercher mes médicaments, et j'ai fais comme si de rien n'était pour les prendre, mais j'ai bien vu que mon parrain, m'a regardé un peu à ce moment là. Il n'a rien dis, mais il n'en a pas moins pensé. Difficile même avec la famille!!!
Voilà. Merci de m'avoir lu!
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Re: Comment diriez vous...
c'est sans aucun doute la meilleur façon : les prendre, un point c'est tout, au moment où toi tu le souhaite/doit. et ce que les autres en pensent, on s'en fou, ou au moins, il faut faire l'effort de s'en foutre
prendre des antidepresseurs (AD) c'est banal. d'ailleurs, ils sont prescrit majoritairement par des généralistes ; pcq les gens ont honte d'aller voir un psy
et sinon, là où les gens ne te connaissent pas, ils ne peuvent pas savoir si tu prends des produits 'psy', ou des medicaments contre la grippe ou je ne sais quoi.
prendre des antidepresseurs (AD) c'est banal. d'ailleurs, ils sont prescrit majoritairement par des généralistes ; pcq les gens ont honte d'aller voir un psy
et sinon, là où les gens ne te connaissent pas, ils ne peuvent pas savoir si tu prends des produits 'psy', ou des medicaments contre la grippe ou je ne sais quoi.
TSA