Lilette, je te comprends tout à fait.
La dernière fois que ça me l'a fait, c'était pour choisir des rideaux, j'étais avec mes parents.
Je devais les choisir et savais qu'ils attendaient, et qui plus est que j'avais un laps de temps assez court pour me décider.
J'ai ressenti une pression énorme : savoir que je devais me décider + savoir qu'ils attendaient.
Du coup je faisais mon possible pour me décider, mais impossible de le faire sachant qu'on m'attendait.
Au lieu de dire "on rentre" directement, je me suis dis que j'allais y arriver et ai donc attendu (tout en ayant cette envie de pleurer, voire de disparaitre).
Au bout de plus d'une heure je n'en pouvais plus et ai donc dit "c'est bon je prends rien, on rentre" (je me suis en prime fait engueuler, avec des "j'en reviens pas, blabla").
Je n'ai à l'heure actuelle toujours pas de rideaux
Est-ce bien de ce genre de choses dont tu parlais ?
Si oui, honnêtement je ne peux te donner aucun conseil, je ressens pleinement ce que tu dis, "se sentir pris en otage", c'est exactement ça.
Je pense que le problème est qu'on se met trop de pression tout seul.
Comment faire autrement ? La réponse m'intéresse aussi.