orientation sexuelle

[SR7]

Merci de tes encouragements Lilas

Les aspergers ne sont généralement pas trop tactiles ou "sexuel" mais il y a de tout.
Donc il faut que je garde espoir, tu as raison

[Mizton]

Oui c'est vrai qu'être parent n'implique pas forcément une forte libido, mais j'imagine assez pour que ce soit ok..?

Par contre la théorie de la complicité comme augmentant la libido (et le lien avec aspie = difficultés à entrer en relation donc à nouer de la complicité donc à avoir une libido) ça fonctionne dans le cas où la libido est dépendante de sentiments ou de relation déjà intime (complice etc) avec autrui. Or je doute que 100% des aspies soient demisexuels, donc yen a surement pas mal qui doivent avoir une libido indépendamment de la complicité qu'ils ont avec un-e éventuel partenaire ?

[isra]

Ou là là, lorsque je lis ce dernier post j'ai l'impression qu'il y a de la confusion dans l'air...
Tu as raison d'être sceptique car ce n'est pas ce que j'ai voulu faire entendre...

Je suis désolée si mes messages ont sous-entendu cette idée car ce n’est pas du tout ce que je voulais exprimer…
ça me paraît compliqué de démêler tout ça mais je vais tenter de le faire:

Effectivement je faisais allusion à une situation de couple, vu que RS7 faisait référence à ça dans son interrogation.

Evidemment que la *libido (*énergie, pulsion sexuelle) de manière générale ne dépends pas directement de la complicité
mais dès le moment qu'il est question de la mettre en action,
il s'agit bien que l'autre entre dans notre sphère physique et *interne (*de manière générale pour une F.)

Donc si la personne (comme moi) a besoin d'une bonne complicité pour être disposée au partage physique,
il y a forcément des répercussions sur l'activité sexuelle dans le couple lorsque le sentiment de complicité s'en trouve diminué.
C'est un phénomène comme d'autres et ce n'est par une règle générale de fonctionnement...
Donc déjà il faut différencier libido et activité sexuelle...

Par contre la théorie de la complicité comme augmentant la libido

Je n'ai pas eu l'intention d'avancer une "théorie"
mais une réflexion liée à mon fonctionnement qui dans le cadre d'un couple
peut être perçue ou interprétée par l'autre comme une baisse de libido
alors qu'il ne s'agit au fait d'incidences sur les relations intimes ayant un lien avec le sentiment de complicité ambiant.

Ce développement d'idée en réponse à la remarque de RS7 qui aspire à vivre de la complicité avec une aspie
et qui semblait déçu à l'idée qu'elles auraient une faible libido...
Je me disais simplement que s'il aspire à vivre de la complicité, c'est déjà mieux parti,
par rapport à sa crainte de se retrouver dans un couple avec peu de rapports sexuels,
mais ce n'est qu'une réflexion et pas une règle générale....
Ce n'est pas du tout l'idée d'une libido qui s'activerait avec la complicité...

(et le lien avec aspie = difficultés à entrer en relation donc à nouer de la complicité donc à avoir une libido)

Je n'ai pas voulu dire que les aspies ont de la difficulté à nouer de la complicité en général,
mais que vu la complexité du fonctionnement relationnel (hypersensibilité, difficulté à interpréter les interactions...),
la complicité ou le sentiment de complicité s'en retrouve plus atteint aussi...

Lorsqu'on a besoin de complicité pour être disposé à l'intimité physique,
ce qui n'est pas valable pour tous,
il va s'en dire qu'il y a des répercussions à ce niveau-là,
sans penser que cela provient directement de la libido (énergie sexuelle),
l'énergie est sous-jacente mais la personne n'est pas forcément disposée à l'acte sexuel...

Je ne sais pas si cela s'est éclairci avec les explications ci-dessus, j'espère que ce n'est pas encore plus confus
Mais je ne perçois pas la libido de manière générale comme dépendante de la complicité
ou augmentant avec la complicité: comme si on en avait pas et qu'elle viendrait ou augmenterait avec la complicité...

Je précise aussi que je faisais référence à un phénomène existant dans mon fonctionnement,
je n'ai pas fais l'analyse ici du fonctionnement de ma libido de manière générale
(c'est beaucoup plus intéressant )
Ni de la libido des aspies...

[G.O.B.]

C'est si courant que cela les demisexuels chez les NT ?

Je ne voyais pas le rapport entre libido et difficultés de communication (commentaires d'Isra et Tudgual notamment), maintenant je comprends mieux.

D'autre part, les autistes sont connus pour avoir une imagination débordante, voire de se créer leur propre monde. Cela peut également être le le cas avec les fantasmes.

[SR7]

Ou là là, lorsque je lis ce dernier post j'ai l'impression qu'il y a de la confusion dans l'air...
Tu as raison d'être sceptique car ce n'est pas ce que j'ai voulu faire entendre...

Je suis désolée si mes messages ont sous-entendu cette idée car ce n’est pas du tout ce que je voulais exprimer…
ça me paraît compliqué de démêler tout ça mais je vais tenter de le faire:

Effectivement je faisais allusion à une situation de couple, vu que RS7 faisait référence à ça dans son interrogation.

Evidemment que la *libido (*énergie, pulsion sexuelle) de manière générale ne dépends pas directement de la complicité
mais dès le moment qu'il est question de la mettre en action,
il s'agit bien que l'autre entre dans notre sphère physique et *interne (*de manière générale pour une F.)

Donc si la personne (comme moi) a besoin d'une bonne complicité pour être disposée au partage physique,
il y a forcément des répercussions sur l'activité sexuelle dans le couple lorsque le sentiment de complicité s'en trouve diminué.
C'est un phénomène comme d'autres et ce n'est par une règle générale de fonctionnement...
Donc déjà il faut différencier libido et activité sexuelle...

Par contre la théorie de la complicité comme augmentant la libido

Je n'ai pas eu l'intention d'avancer une "théorie"
mais une réflexion liée à mon fonctionnement qui dans le cadre d'un couple
peut être perçue ou interprétée par l'autre comme une baisse de libido
alors qu'il ne s'agit au fait d'incidences sur les relations intimes ayant un lien avec le sentiment de complicité ambiant.

Ce développement d'idée en réponse à la remarque de RS7 qui aspire à vivre de la complicité avec une aspie
et qui semblait déçu à l'idée qu'elles auraient une faible libido...
Je me disais simplement que s'il aspire à vivre de la complicité, c'est déjà mieux parti,
par rapport à sa crainte de se retrouver dans un couple avec peu de rapports sexuels,
mais ce n'est qu'une réflexion et pas une règle générale....
Ce n'est pas du tout l'idée d'une libido qui s'activerait avec la complicité...

(et le lien avec aspie = difficultés à entrer en relation donc à nouer de la complicité donc à avoir une libido)

Je n'ai pas voulu dire que les aspies ont de la difficulté à nouer de la complicité en général,
mais que vu la complexité du fonctionnement relationnel (hypersensibilité, difficulté à interpréter les interactions...),
la complicité ou le sentiment de complicité s'en retrouve plus atteint aussi...

Lorsqu'on a besoin de complicité pour être disposé à l'intimité physique,
ce qui n'est pas valable pour tous,
il va s'en dire qu'il y a des répercussions à ce niveau-là,
sans penser que cela provient directement de la libido (énergie sexuelle),
l'énergie est sous-jacente mais la personne n'est pas forcément disposée à l'acte sexuel...

Je ne sais pas si cela s'est éclairci avec les explications ci-dessus, j'espère que ce n'est pas encore plus confus
Mais je ne perçois pas la libido de manière générale comme dépendante de la complicité
ou augmentant avec la complicité: comme si on en avait pas et qu'elle viendrait ou augmenterait avec la complicité...

Je précise aussi que je faisais référence à un phénomène existant dans mon fonctionnement,
je n'ai pas fais l'analyse ici du fonctionnement de ma libido de manière générale
(c'est beaucoup plus intéressant )
Ni de la libido des aspies...

Heu... J ai pas tout compris... ^^'

Tu veux dire que la lobido chez les filles aspies n est pas proportionnel a la complicité, mais varie si on lui est proche ou pas?

Désolé, je fatigue vite avec les pavés... -3-

[isra]

Non, ce que je veux précisément dire
c'est que je ne parle pas de la libido des aspies!

Je fais référence à un phénomène logique
de cause à effet present chez les femmes en général et
potentiellement accentué chez une aspie
entre la complicité ressentie avec le conjoint
et la disposition au partage sexuel.

J'ai l'impression que ce qui se révèle ou s'interprėte comme une faible libido
dans le cas d'une femme aspie
n'est éventuellement pas lié à l'energie sexuelle (libido)
mais peut être juste le résultat d'une indisponibilité
au partage sexuel lié à la complexité relationnelle.

Pour ce qui est de la libido des aspies,
je n'ai pas fais d'études à ce sujet...

Pour ceux qui ne comprendraient toujours pas,
oubliez ce que j'ai écrit a ce sujet
car je ne peux pas l'expliquer plus clairement.
Désolée

[isra]

Tu veux dire que la lobido chez les filles aspies n est pas proportionnel a la complicité, mais varie si on lui est proche ?

Pour te donner une reponse plus brève après avoir pris un peu de recul:

J'essaie d'expliquer que je ne fais pas de lien direct entre "libido" et complicité
mais que la complicité peut avoir beaucoup d influence sur la disponibilité sexuelle...
Je pense que ce qui varie n'est pas la libido mais la disponibilité sexuelle...
Et c'est une vision personnelle pas une règle valable pour les aspies en général...

[SR7]

Ah!!! Mais oui c est claire!
Merci de tes lumières

Saurait tu ou je pourrai en savoir plus sur la libido des aspies?

[Nova]

Saurait tu ou je pourrai en savoir plus sur la libido des aspies?

en toi si tu es aspi

[SR7]

Je suis aspie mais je ne suis pas les aspies!
Je ne prendrais pas mon cas pour une généralité ^^'

Mais c étai bien dit

[isra]

Ah!!! Mais oui c est claire!

Ouf! Me voilà soulagée

Saurait tu ou je pourrai en savoir plus sur la libido des aspies?

Non, mais je vais regarder dans le livre d'Attwood s'il en fait mention.

[G.O.B.]

Il n'y a pas grand chose à ce sujet, seulement 3 paragraphes abordant le problème du sexe dans le chapitre "Long-term Relationships".

There may be issues associated with sexual intimacy. The person with Asperger’s syndrome may not by nature be a romantic person who understands the value in a relationship of an amorous atmosphere, foreplay and close physical contact. Ron, a man with Asperger’s syndrome, said, ‘Intimacy means for me being invaded or overwhelmed. I experienced none of the proverbial sexual chemistry with anyone.’ There can also be sensory experiences during moments of sexual intimacy that are perceived as unpleasant by the person with Asperger’s syndrome, affecting the enjoyment of both partners.

Knowledge on sexuality may also be limited, or the source material of concern. Men with Asperger’s syndrome may consider pornography as an authoritative guide book for sexual activities, and women with Asperger’s syndrome may have used television ‘soap operas’ as a guide to the script and actions in intimate relationships. Non-Asperger’s syndrome partners may also have difficulty having a romantic and passionate relationship with someone they often have to ‘mother’, and who may have the emotional maturity of an adolescent.

Sexuality can become a special interest in terms of acquiring information and an interest in sexual diversity and activities. The desire for sexual activities and sexual intimacy can be excessive, almost compulsive. However, the partner of a man or woman with Asperger’s syndrome is more likely to be concerned about the lack of sexual desire rather than an excess. The partner with Asperger’s syndrome may become asexual once he or she has children or once the couple have formally committed themselves to the relationship. In a relationship counselling session, the partner of a man with Asperger’s syndrome was visibly distressed when announcing to me that she and her husband had not had sex for over a year. Her husband, who has Asperger’s syndrome, appeared to be confused and said to her, ‘Why would you want sex when we have enough children?’

[Nova]

Je suis aspie mais je ne suis pas les aspies!
Je ne prendrais pas mon cas pour une généralité ^^'

Mais c étai bien dit

oui tu as raison^^ des fois j'ai tendance à croire qu'on est tous pareil (les aspis)

[isra]

Tu vois SR7, en lisant le dernier paragraphe posté par G.O.B.
tu as toujours des chances de tomber sur une aspie compulsive sexuelle

[phi]

Aucun rapport, mais je suis en train d'essayer de mieux classer les sujets dans leur forum respectif.

Donc il est possible que ce sujet bouge un peu