la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est pas
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la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est pas
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Bonsoir Cleo
Je ne suis pas non plus en mesure de "m'imposer" comme tu dis. Ça m'agace profondément quand quelqu'un me conseille de le faire, parce que je n'ai pas la moindre idée de comment je suis supposée m'y prendre... Si je n'ai "préenregistré" un réponse à une moquerie, par exemple, je me contenterai la plupart du temps de rester silencieuse ou de partir.
Oui, moi c'est quelque chose qui m'arrive aussi. Ça peut sembler stupide, mais depuis tout petite, je me dis qu'il n'est "pas possible" que quelqu'un cherche à manipuler volontairement. Comme ça ne me viendrait jamais à l'idée, c'est comme si ce n'était même pas quelque chose d'envisageable. (Manque de théorie de l'esprit ?) De ce fait, je suis souvent bien trop naïve, j'ai moi aussi été manipulée bien de fois.cleo a écrit : On peut vous manipuler pour que vous avouiez un truc, et vous pouvez pas le refuser, pas parce que vous êtes attiré(e) par une personne, mais parce que vous n'avez pas de limites. Enfin vous voyez ce que je veux dire ou pas? Ça vous le fait aussi ou pas?
Comment on pourrait le dire?
Et les gens en quelque sorte font ce qu'ils veulent de vous. Pour vous, "s'imposer" n'est pas naturel.
Je ne suis pas non plus en mesure de "m'imposer" comme tu dis. Ça m'agace profondément quand quelqu'un me conseille de le faire, parce que je n'ai pas la moindre idée de comment je suis supposée m'y prendre... Si je n'ai "préenregistré" un réponse à une moquerie, par exemple, je me contenterai la plupart du temps de rester silencieuse ou de partir.
Il n'y a rien de bizarre à vérifier tes mails plusieurs fois par jours.... Non ? Je connais des personnes non-autistes qui passent leurs journées sur des réseaux sociaux, par exemple. Ou alors qui regardent plusieurs fois par heures si elles ont reçu un sms... Que veux tu dire par "dépendance à des personnes" ?cleo a écrit : J'ai aussi d'autres problèmes, comme la dépendance à des personnes.
Je regarde tous les jours (et plusieurs fois par jour) mes mails (je ne peux pas m'en empêcher).
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Bonjour Cleo et bienvenue.
J'aime bien ton sujet, il me parle beaucoup. J'ai le même ressenti que toi mais je l'exprimerais un peu différemment.
Pour moi ce n'est pas une absence de limites dans ce que je fais (encore que... ) mais une absence de limite dans ce que peuvent me faire les autres. J'en ai pris conscience seulement après un long travail avec les psy. Le jour où ma psy m'a dit "vous vous rendez compte que vous avez été maltraitée pendant votre enfance?", je suis tombée de ma chaise. La maltraitance n'a pas besoin de contacts physique pour exister.
Je ne m'en rendait pas compte, je ne savais pas que je pouvais être respectée, je ne savais pas ce que les autres avaient le droit de me faire ou pas, et de ce fait j'acceptais tout, c'était "normal".
La prise de conscience a été rude. J'ai donc eu une mère manipulatrice (et ça continue) et un mari manipulateur voire pervers.
Encore maintenant, je ne sais pas vraiment ce que j'ai le droit d'accepter des autres ou pas. Avec l'âge et l'expérience, je me suis assignée mes propres limites, mais je n'ai aucune idée si elles sont "bonnes " ou pas, parfois elles sont assez floues et je dois être très attentive (ce n'est pas naturel comme posture). J'ai tout le temps peur d'être manipulée ou plutôt j'ai tout le temps peur de ne pas reconnaître un manipulateur.
Parfois quelqu'un a une attitude ou un comportement qui provoque chez moi une grande souffrance et me fait réagir de façon violente (action/réaction), mais je ne sais pas pourquoi. Je n'ai pas vu le franchissement de limite et ma réaction est trop importante.
C'est une difficulté importante pour moi au quotidien.
J'aime bien ton sujet, il me parle beaucoup. J'ai le même ressenti que toi mais je l'exprimerais un peu différemment.
Pour moi ce n'est pas une absence de limites dans ce que je fais (encore que... ) mais une absence de limite dans ce que peuvent me faire les autres. J'en ai pris conscience seulement après un long travail avec les psy. Le jour où ma psy m'a dit "vous vous rendez compte que vous avez été maltraitée pendant votre enfance?", je suis tombée de ma chaise. La maltraitance n'a pas besoin de contacts physique pour exister.
Je ne m'en rendait pas compte, je ne savais pas que je pouvais être respectée, je ne savais pas ce que les autres avaient le droit de me faire ou pas, et de ce fait j'acceptais tout, c'était "normal".
La prise de conscience a été rude. J'ai donc eu une mère manipulatrice (et ça continue) et un mari manipulateur voire pervers.
Encore maintenant, je ne sais pas vraiment ce que j'ai le droit d'accepter des autres ou pas. Avec l'âge et l'expérience, je me suis assignée mes propres limites, mais je n'ai aucune idée si elles sont "bonnes " ou pas, parfois elles sont assez floues et je dois être très attentive (ce n'est pas naturel comme posture). J'ai tout le temps peur d'être manipulée ou plutôt j'ai tout le temps peur de ne pas reconnaître un manipulateur.
Parfois quelqu'un a une attitude ou un comportement qui provoque chez moi une grande souffrance et me fait réagir de façon violente (action/réaction), mais je ne sais pas pourquoi. Je n'ai pas vu le franchissement de limite et ma réaction est trop importante.
C'est une difficulté importante pour moi au quotidien.
Neuro pas du tout typique, diagnostiquée hqi, ne souhaite pas faire de diagnostic SA
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Je n'aime pas m'imposer dans la vie réelle. Ici j'ai l'impression parfois de le faire.
Je lis aussi mes mails souvent, tablette, iPhone, en espérant un mail inattendu mais de qui ? Je n'ai que des spams !
La manipulation, je connais trop. Et ma réaction est violente, je fais même tout le contraire dans ce cas. On m'a menacé de procès pour diffamation et bien j'ai redoublé d'activité ... non mais, faut pas me faire ch...
Je lis aussi mes mails souvent, tablette, iPhone, en espérant un mail inattendu mais de qui ? Je n'ai que des spams !
La manipulation, je connais trop. Et ma réaction est violente, je fais même tout le contraire dans ce cas. On m'a menacé de procès pour diffamation et bien j'ai redoublé d'activité ... non mais, faut pas me faire ch...
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Taz depuis 2 ans se fait manipuler.
La goutte d'eau qui a fait qu'il a accepté de cesser de fréquenter cet autre enfant, c'est qu'avant les vacances, ce gamin, aidé de deux autres (les trois étant plutôt costauds et Taz valant physiquement un enfant d'un an de moins) l'a attrapé avec une corde à sauter pour lui prendre des cartes pokemon (les cartes je te dirais que je m'en moque, mais Taz non). En gros il s'est fait racketter.
Du coup mail à la maitresse (son père se joignant à moi) et réponse de la maitresse : c'est inadmissible.
Du coup, après explication de la notion de racket, des conséquences à l'age adulte de ce genre de comportement (plus parlant que ce qui peut se passer à l'école) et lecture par lui-même du mail et de la réponse, il a compris.
Mais avant cette histoire, il l'a fait tomber un nombre incalculable de fois dans la cour, bousculé (ce qui lui a valut entre autre un morceau de dent), pris des cartes bref un comportement tout à fait discutable que Taz n'a jamais voulu reconnaitre comme étant un problème (il ne l'a pas fait exprès et après il a dit pardon).
La goutte d'eau qui a fait qu'il a accepté de cesser de fréquenter cet autre enfant, c'est qu'avant les vacances, ce gamin, aidé de deux autres (les trois étant plutôt costauds et Taz valant physiquement un enfant d'un an de moins) l'a attrapé avec une corde à sauter pour lui prendre des cartes pokemon (les cartes je te dirais que je m'en moque, mais Taz non). En gros il s'est fait racketter.
Du coup mail à la maitresse (son père se joignant à moi) et réponse de la maitresse : c'est inadmissible.
Du coup, après explication de la notion de racket, des conséquences à l'age adulte de ce genre de comportement (plus parlant que ce qui peut se passer à l'école) et lecture par lui-même du mail et de la réponse, il a compris.
Mais avant cette histoire, il l'a fait tomber un nombre incalculable de fois dans la cour, bousculé (ce qui lui a valut entre autre un morceau de dent), pris des cartes bref un comportement tout à fait discutable que Taz n'a jamais voulu reconnaitre comme étant un problème (il ne l'a pas fait exprès et après il a dit pardon).
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Cleo, ton post me parle à un point "terrible". Je n'ai pas le temps de préparer ma réponse car en préparatifs de départ pour 2 jours, je t'y réponds à mon retour.
C'est quelque chose qui m'a suivie toute ma vie, cette limite mal placée et ça semble déjà bien commencer pour ma fille
C'est quelque chose qui m'a suivie toute ma vie, cette limite mal placée et ça semble déjà bien commencer pour ma fille
Mère absolument atypique (mais à quel niveau ?) d'une petite atypique de 5 ans dont le diagnostic est enfin en route..
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Je ne sais jamais trop, moi non plus, à quoi m'en tenir
avec les autres. Je passe beaucoup de temps à me
poser des questions à ce sujet, et il m'est arrivé aussi
de me faire manipuler (je m'en aperçois après coup).
J'ai l'impression que la plupart des gens communiquent :
différents qu'il est finalement logique que ce soit
compliqué de se comprendre d'un groupe à l'autre.
Quant au second degré, il me semble utilisé
comme un jeu qui permet de raconter tout et son
contraire, et à l'occasion de rire de n'importe quoi.
Mais quand on creuse, je ne suis pas sûr qu'il y ait
tant de monde que ça à en saisir les subtilités ...
avec les autres. Je passe beaucoup de temps à me
poser des questions à ce sujet, et il m'est arrivé aussi
de me faire manipuler (je m'en aperçois après coup).
Je vois ça comme le nœud du problème.cleo a écrit :Et c'est aussi lié au fait que les relations sociales ne soient pas instinctives?
J'ai l'impression que la plupart des gens communiquent :
- par le non-verbal : beaucoup de gestes, attitudes, expressions du visage ...
- par des infos non cohérentes, c'est à dire qu'une grande partie
de ce qu'ils disent ne reflète pas ce qu'ils pensent (par jeu ?) ; - par des infos sans importance : météo, people, fringues ...
on dirait qu'ils "meublent" par peur du silence ...
- m'exprimer uniquement si j'ai une info utile ;
- rester cohérent en exprimant ce que je pense ;
- rester silencieux si je n'ai rien à dire.
différents qu'il est finalement logique que ce soit
compliqué de se comprendre d'un groupe à l'autre.
Quant au second degré, il me semble utilisé
comme un jeu qui permet de raconter tout et son
contraire, et à l'occasion de rire de n'importe quoi.
Mais quand on creuse, je ne suis pas sûr qu'il y ait
tant de monde que ça à en saisir les subtilités ...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Moi aussi, je ne savais poser aucune limite aux gens. C'est certainement une des raisons pour lesquelles j'évite de fréquenter les gens. J'ai lu beaucoup de livres pour essayer de comprendre et de déterminer ce qui est acceptable ou pas, où est la bonne limite. J'ai toujours peur qu'on est une mauvaise opinion de moi parce que je fixe une limite trop sévère ou au contraire qu'on pense que je suis quelqu'un qu'on peut facilement manipuler par manque de limite. C'est encore compliqué pour moi aujourd'hui. Je me dis que si je me sens mal vis à vis de quelqu'un ou d'une situation, c'est que je n'ai pas du faire respecter mes limites et qui faut que je le fasse à l'avenir.
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
En ce qui concerne Taz, son ... bourreau est un garçon assez charismatique je pense, et Taz est petit et faible (je l'appelle "mon p'tit poulet", c'est dire si il est épais ce pitou), et puis il est effectivement incapable de savoir quand ca ne va pas.
Il me parle de sa journée, de ses cartes et c'est là qu'il me dit que truc s'est allié avec machin et bidule pour lui prendre ses deux cartes les plus fortes. Il ne m'en a pas parlé pour se plaindre de son "copain" mais pour me dire qu'il était contrarié de ne plus avoir ces deux cartes là (au final il s'en est fait piqué 4).
On a la chance qu'il parle volontiers avec nous de ce qu'il a fait dans la journée, donc je sais que Truc lui a ENCORE fait un croche pied, l'a ENCORE taclé etc etc "mais c'est pas grave, après il lui a dit pardon" (texto !) *blasée*
Pareil pour lui les limites ne sont pas claires entre un vrai copain et des contacts. Je connais aussi ce souci. Ajouté pour lui à la peur d'être tout seul, je pense qu'il prefere etre avec des "méchants-mesquins" plutot que seul. (Ce que je peux comprendre aussi, malheureusement *triste* )
Il me parle de sa journée, de ses cartes et c'est là qu'il me dit que truc s'est allié avec machin et bidule pour lui prendre ses deux cartes les plus fortes. Il ne m'en a pas parlé pour se plaindre de son "copain" mais pour me dire qu'il était contrarié de ne plus avoir ces deux cartes là (au final il s'en est fait piqué 4).
On a la chance qu'il parle volontiers avec nous de ce qu'il a fait dans la journée, donc je sais que Truc lui a ENCORE fait un croche pied, l'a ENCORE taclé etc etc "mais c'est pas grave, après il lui a dit pardon" (texto !) *blasée*
Pareil pour lui les limites ne sont pas claires entre un vrai copain et des contacts. Je connais aussi ce souci. Ajouté pour lui à la peur d'être tout seul, je pense qu'il prefere etre avec des "méchants-mesquins" plutot que seul. (Ce que je peux comprendre aussi, malheureusement *triste* )
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Ayant à peu près le même parcours que Cosima, je rencontre aussi quasi les mêmes difficultés.cosima a écrit :J'aime bien ton sujet, il me parle beaucoup.
La prise de conscience a été rude. J'ai donc eu une mère manipulatrice (et ça continue) et un mari manipulateur voire pervers.
Encore maintenant, je ne sais pas vraiment ce que j'ai le droit d'accepter des autres ou pas. Avec l'âge et l'expérience, je me suis assignée mes propres limites, mais je n'ai aucune idée si elles sont "bonnes " ou pas, parfois elles sont assez floues et je dois être très attentive (ce n'est pas naturel comme posture).
Parfois quelqu'un a une attitude ou un comportement qui provoque chez moi une grande souffrance et me fait réagir de façon violente (action/réaction), mais je ne sais pas pourquoi.
C'est une difficulté importante pour moi au quotidien.
Beaucoup de réflexion sur mon développement personnel m aide à évoluer pour savoir reconnaître
Et parfois dépasser ce type de difficultés. C est le travail d une vie et encore je ne sais pas
Si une vie pourrait y suffire vu le point de départ et le point d arrivée que je me suis choisi
Édit: cela n aide pas beaucoup ce que j ai écrit, concrètement comme je suis bilingue
Je lis et relis les livres de kauffman, la personne qui a écrit sonrise et qui est aussi à l origine de la démarche option qui permet de se poser des questions tout seul, sans faire intervenir un psy, pour comprendre soi même comment et pourquoi on fonctionne de telle ou telle manière.
exemple. Pourquoi est ce que je me suis mariée à un pervers?
Donc je fais de l auto analyse, je détermine si j aime ou j aime pas ce en quoi je crois profondément.
Si j aime pas alors il faut que je me travaille pour changer ma croyance puis mon comportement.
Comme je suis en évolution, j essaie de travailler un aspect déterminé à chaque fois.
Désolée si c est un peu saoulant comme paragraphe.
Maman d'un seul petit gars né en 2005, autiste.
"By giving away what we want most (love, money, gratitude), we create a greater abundance of the very commodity we seek. What goes around comes around." ~ Barry Neil Kaufman
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
Cela m'intéresse ce que tu racontes Madu. Pourrais-tu m'en dire plus sur ces livres. Ici ou en MP?Madu a écrit :Ayant à peu près le même parcours que Cosima, je rencontre aussi quasi les mêmes difficultés.cosima a écrit :J'aime bien ton sujet, il me parle beaucoup.
La prise de conscience a été rude. J'ai donc eu une mère manipulatrice (et ça continue) et un mari manipulateur voire pervers.
Encore maintenant, je ne sais pas vraiment ce que j'ai le droit d'accepter des autres ou pas. Avec l'âge et l'expérience, je me suis assignée mes propres limites, mais je n'ai aucune idée si elles sont "bonnes " ou pas, parfois elles sont assez floues et je dois être très attentive (ce n'est pas naturel comme posture).
Parfois quelqu'un a une attitude ou un comportement qui provoque chez moi une grande souffrance et me fait réagir de façon violente (action/réaction), mais je ne sais pas pourquoi.
C'est une difficulté importante pour moi au quotidien.
Beaucoup de réflexion sur mon développement personnel m aide à évoluer pour savoir reconnaître
Et parfois dépasser ce type de difficultés. C est le travail d une vie et encore je ne sais pas
Si une vie pourrait y suffire vu le point de départ et le point d arrivée que je me suis choisi
Édit: cela n aide pas beaucoup ce que j ai écrit, concrètement comme je suis bilingue
Je lis et relis les livres de kauffman, la personne qui a écrit sonrise et qui est aussi à l origine de la démarche option qui permet de se poser des questions tout seul, sans faire intervenir un psy, pour comprendre soi même comment et pourquoi on fonctionne de telle ou telle manière.
exemple. Pourquoi est ce que je me suis mariée à un pervers?
Donc je fais de l auto analyse, je détermine si j aime ou j aime pas ce en quoi je crois profondément.
Si j aime pas alors il faut que je me travaille pour changer ma croyance puis mon comportement.
Comme je suis en évolution, j essaie de travailler un aspect déterminé à chaque fois.
Désolée si c est un peu saoulant comme paragraphe.
Neuro pas du tout typique, diagnostiquée hqi, ne souhaite pas faire de diagnostic SA
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Re: la limite de ce qui est acceptable et de ce qui ne l'est
............
Modifié en dernier par Pupuce le lundi 20 novembre 2017 à 13:15, modifié 1 fois.
Officiellement non-autiste
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
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