Si je veux rajouter ce qui manque à 0,6 pour atteindre 1, je dois lui rajouter 67% de sa valeur.Laura Ingalls a écrit :pourquoi 0.6x 67? il vient d'où le 67 là?0,6% + 0,6 x 67% = 1%
0,6 + 0,6 x 67% = 1
Si je veux rajouter ce qui manque à 0,6 pour atteindre 1, je dois lui rajouter 67% de sa valeur.Laura Ingalls a écrit :pourquoi 0.6x 67? il vient d'où le 67 là?0,6% + 0,6 x 67% = 1%
heu...il doit y avoir un mal entendu là!Benoit a écrit :C'est pourtant indispensable parce que les termes pourcentage et points dans ce genre de phrase font partie de la terminologie des statistiques, c'est comme ça, ce n'est pas moi qui l'ai décidé.
je comprends mieux.Benoît a écrit : Extrait de wikipedia:Quand une donnée statistique passe de la valeur X % à la valeur Y %, on parle d'une variations de (Y-X) points, et non pourcents (comme le font malheureusement parfois les journalistes qui n'ont jamais suivi de cours de statistiques).Usage des pourcentages a écrit :Quand une population partielle est passée de 10 % à 12 %, il est délicat de parler de l'augmentation. Une erreur fréquente est de dire que la population a augmenté de 2 %. En effet, en supposant que la population de référence soit de 100 individus et ne change pas entre la première et la seconde mesure (ce qui est rarement le cas), la population partielle passerait de 10 individus à 12 individus, soit une multiplication par 1,2 c'est-à-dire une augmentation de 20 %. Or pourtant, il est utile de chiffrer cette variation : premier pourcentage 10 %, second 12 %. On parle alors d'une augmentation de 2 points.
Dit autrement, qu'une donnée statistique passe de 1% à 2% ou de 90% à 91%, c'est la même chose en terme de points, +1 point.
Par contre, en terme de pourcentage de progression, ça n'a rien à voir, un pourcentage de progression se calcule par la formule (Y-X)/X.
Ainsi quand on passe de 1% à 2%, on a en pratique le doublement du phénomène, c'est à dire une progression de +100% (+100% = doubler en langage statistiques).
Par contre quand on passe de 90% à 91% on est loin d'un doublement, on a une progression de (91-90)/90 = 0.0111 = 1.11 %
Si on considère que "normal" = dans la norme, alors oui, c'est le type d'accouchement le plus fréquent.La Bluble a écrit :Il faut peut-être revenir sur certaines conceptions avant d'aller plus loin. Les questions qui se posent c'est
-qu'est-ce, au fond, qu'un accouchement normal ?
-est-ce que ce type d'accouchement se produit réellement souvent ?
C'est la première fois que je lis cette théorie et je trouve ça très intéressant.Car à la lecture des travaux de Laborit et de Odent, je pense de plus en plus que la majeure partie de la population n'accouche pas "normalement", quand bien même les accouchements ne sont pas pour autant catastrophiques ou ne nécessitent pas d'interventions spectaculaires.
Ce qu' Odent présente comme non physiologique, c'est, à la base, un accouchement malgré un néocortex maternel en éveil, voire en alerte.
Oui, c'est çaLaura Ingalls a écrit :
Je sais pas si c'est juste ce que je dis, mais, la différence entre 0.6 et 1 c'est 0.4, et 0.4 c'est 66% de 0.6, donc 1% c'est 66% de + que 0.6?
Benoit a écrit :HS: C'était finalement un bon cru ce post n°111111 sur le forum.
Je pense que le caractère très restreint de l'intervalle (si je comprends bien ça correspond à moins de 21 mois entre les deux naissances) rattache l'étude à d'autres du même domaine (= accroissement du risque de fausse couche et de prématurés entre autres).Conformément à un précédent rapport de la Californie , les intervalles inter-gestationnels inférieurs à 1 an ont été associés à un risque accru de troubles autistiques chez le second-né .
Une explication possible est l'épuisement des micronutriments chez les mères ayant des grossesses rapprochées .
il me semble aussi avoir vue une étude qui montre que le risque d'autisme est accrue chez l'ainé de la fratrie mais je me rappel plus de l'explication donnée.Rose a écrit :Jo est l'aîné. Entre lui et son frère il y a 3 ans1/2. Entre son frère et sa soeur seulement 13 mois et pourtant c'est Jo qui est autiste. Ce serait privilégier une cause psychologique, non?