Impact administratif du diagnostic
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Re: Impact administratif du diagnostic
Si on vous a reconnu une affection psy longue durée, c'est sur la Carte Vitale. Mais la Carte ne dit pas la chose à votre médecin généraliste. Seulement chez le psychiatre (chez aucun autre spécialiste) et celui-ci ne sait même pas de quelle affection il s'agit si il n'a pas participé au diagnostic.
Je suis dans ce cas. Et je suppose qu'il s'agit de dépression puisque j'avais vu un médecin de la sécu à ce propos, il y a 12 ans. Je l'ai su parce que j'ai du me faire accompagner d'un psychiatre pour le diagnostic au CRA. Sinon, je n'en avais jamais vu pour moi.
Je ne suis plus déprimée. Mais bof !
Quant au diagnostic, il nous reste à décider ce qu'on en fait. Se faire reconnaître handicapé, ça doit être possible. C'est pas très enthousiasmant.
Point n'est besoin de dire les choses au banquier. Aucune gêne à ne pas dire. Ils savent déjà beaucoup de chose sur nous. Le banquier vous fera confiance si vous gérez bien vos comptes.
Je viens de faire un achat d'appartement et la banque a tiqué pour mon âge. De là à rajouter un handicap par là dessus. Point trop (de vérité) n'en faut.
Ce serait aberrant de faire reconnaître comme maladie longue durée. Ce serait se pénaliser soi-même.
Par exemple, si vous dites qu'une personne âgée est démente sénile. Il y a de grande chance pour qu'elle le devienne dans les 6 mois qui suivent.
Il vaut mieux garder espoir d'aller mieux. C'est possible.
J'en suis un exemple ! Pas très exemplaire aux yeux de certains, mais quand même !
Jacline
Je suis dans ce cas. Et je suppose qu'il s'agit de dépression puisque j'avais vu un médecin de la sécu à ce propos, il y a 12 ans. Je l'ai su parce que j'ai du me faire accompagner d'un psychiatre pour le diagnostic au CRA. Sinon, je n'en avais jamais vu pour moi.
Je ne suis plus déprimée. Mais bof !
Quant au diagnostic, il nous reste à décider ce qu'on en fait. Se faire reconnaître handicapé, ça doit être possible. C'est pas très enthousiasmant.
Point n'est besoin de dire les choses au banquier. Aucune gêne à ne pas dire. Ils savent déjà beaucoup de chose sur nous. Le banquier vous fera confiance si vous gérez bien vos comptes.
Je viens de faire un achat d'appartement et la banque a tiqué pour mon âge. De là à rajouter un handicap par là dessus. Point trop (de vérité) n'en faut.
Ce serait aberrant de faire reconnaître comme maladie longue durée. Ce serait se pénaliser soi-même.
Par exemple, si vous dites qu'une personne âgée est démente sénile. Il y a de grande chance pour qu'elle le devienne dans les 6 mois qui suivent.
Il vaut mieux garder espoir d'aller mieux. C'est possible.
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Jacline
"autisme très marqué" Professeur Sizaret en 1953 / "trouble envahissant du développement" CRA Nantes 2012
Psycholoque clinicienne à la retraite. Oui, oui !
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Re: Impact administratif du diagnostic
Il me semble qu'administrativement, une ALD reconnue donne certains droits (sous réserve d'avoir fait les démarches), comme par exemple la prise en charge à 100% de tout le protocole lié à la prise en charge de la dite affection.Astragale a écrit :C'est bien ce que je craignais...
Et d'après ma recherche, l'autisme rentre dans "Affections psychiatriques de longue durée." !
Si quelqu'un peut me prouver le contraire j'en serais heureuse !
Et histoire de continuer à couper les cheveux en quatre, des études cherchent à démontrer que le SA n'est pas de l'autisme, sans parler de consensus établi sur le fait qu'il ne s'agit pas d'un problème psy.
Il me semble que la justification "théorique" des déclarations de handicap (ou maladie, ou d'age) consiste à se prémunir contre un risque statistique.
Y a t'il un risque statistique associé au fait d'avoir le SA? Ca me surprendrait beaucoup.
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: Impact administratif du diagnostic
Le risque de ne pas pouvoir trouver d'emploi en cas de chômage... et d'être incapable de rembourser un prêt par exemple.Benoit a écrit :Il me semble que la justification "théorique" des déclarations de handicap (ou maladie, ou d'age) consiste à se prémunir contre un risque statistique.
Y a til un risque statistique associé au fait d'avoir le SA? Ca me surprendrait beaucoup.
Si je comprends bien rien n'est reporté sur le dossier médical sans qu'on en fasse la démarche ?
Maintenant je pense que Stef a raison quand il dit parle des déclarations à l'assurance et à la banque. Dans ce cas nous faisons de déclarations sur l'honneur" dans lesquelles nous ne sommes pas sensés cacher quoi que soit. Après chacun fait comme il veut.
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Re: Impact administratif du diagnostic
Il y a aussi un risque plus élevé de chômage pour les personnes d'un certain âge, ainsi que les jeunes, et personne ne vient leur demander de compte, si ?
Pour la question du "sur l'honneur", sans justification valable c'est pour moi une clause excessive sinon abusive.
Et je pense qu'une institution financière ferait bien de mettre en balance l'impact de (tenter de faire) appliquer ce genre de clause à une personne Asperger avec le déficit d'image occasionné sur les 2% de sa clientèle qui connaissent l'autisme, ainsi que le coût de la campagne de pub' qu'il lui faudrait faire pour remonter la pente...
Le texte applicable me semble être :
Pour la question du "sur l'honneur", sans justification valable c'est pour moi une clause excessive sinon abusive.
Et je pense qu'une institution financière ferait bien de mettre en balance l'impact de (tenter de faire) appliquer ce genre de clause à une personne Asperger avec le déficit d'image occasionné sur les 2% de sa clientèle qui connaissent l'autisme, ainsi que le coût de la campagne de pub' qu'il lui faudrait faire pour remonter la pente...
Le texte applicable me semble être :
Donc je reste sur ma position qu'il n'y a pas de risque à avoir le même cerveau qu'Albert Einstein.Article L113-2, code des assurances a écrit : L'assuré est obligé :[...] (d)e répondre exactement aux questions posées par l'assureur, notamment dans le formulaire de déclaration du risque par lequel l'assureur l'interroge lors de la conclusion du contrat, sur les circonstances qui sont de nature à faire apprécier par l'assureur les risques qu'il prend en charge.
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Re: Impact administratif du diagnostic
Entièrement d'accord avec toi Benoit.Benoit a écrit :Et je pense qu'une institution financière ferait bien de mettre en balance l'impact de (tenter de faire) appliquer ce genre de clause à une personne Asperger avec le déficit d'image occasionné sur les 2% de sa clientèle qui connaissent l'autisme, ainsi que le coût de la campagne de pub' qu'il lui faudrait faire pour remonter la pente...
Étant donné que cette information n'aidera en aucun cas l'assureur à mieux apprécier les risques, je note !Benoit a écrit :Le texte applicable me semble être :
Article L113-2, code des assurances a écrit:
L'assuré est obligé :[...] (d)e répondre exactement aux questions posées par l'assureur, notamment dans le formulaire de déclaration du risque par lequel l'assureur l'interroge lors de la conclusion du contrat, sur les circonstances qui sont de nature à faire apprécier par l'assureur les risques qu'il prend en charge.
C'est sûr ! Voilà qui remonte le moral dès le matin ! Merci Benoit !!Benoit a écrit :Donc je reste sur ma position qu'il n'y a pas de risque à avoir le même cerveau qu'Albert Einstein.
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Re: Impact administratif du diagnostic
J'avais aussi dans l'idée qu'au mieux, on repart du CRABenoit a écrit :TLDR: le SA ne donne droit à rien de base, il ne manquerait plus que ça que faire une démarche occasionne des problèmes supplémentaires!
avec un diagnostic clair, dont on fait ce qu'on veut ...
Ce serait intéressant si quelqu'un pouvaitstef_asper a écrit :il y a de tres fortes chances (mais à verifier) que la ligne :
Affections psychiatriques de longue durée
comprendre le syndrome d'asperger.
nous en dire plus sur ce point ...
Globalement quelque chose m'interpellehad a écrit :d'ailleurs, ne pas déclarer un handicap (ou son état de santé) à un organisme (assurance, mutuelle, banque ...), c'est mentir. c'est même d'ailleurs surement illégal ? (c'est une fausse déclaration par omission ?)
et va dans le sens d'une sorte de discrimination.
S'il est obligatoire d'informer un handicap
aux assurances et aux banques, Ad vitam æternam
à partir du moment où un diagnostic est posé,
cela voudrait dire qu'on doit subir les conséquences
potentiellement négatives d'un handicap automatiquement.
Alors que dans le même temps, les conséquences
positives d'un handicap, ne sont, elles, pas du tout
automatiques, et soumises à des demandes administratives
plus ou moins régulières. J'en sais quelque chose avec
mon frère X-Fragile, quand je vois tous les dossiers
que ma mère doit régulièrement remplir. Et pourtant,
X-Fragile c'est purement génétique, on est donc sûr
et certain (malheureusement) que l'état de la personne
ne va guère évoluer avec le temps ...
En ce qui concerne les prêts bancaires, j'identifie trois points.
Premier point : demander et obtenir le prêt.
Garder le diagnostic au fond de sa poche
à cette étape ne me semble pas pouvoir
avoir la moindre conséquence ...
Second point : l'assurance chomage.
Je n'ai jamais trop creusé cette assurance,
effaré que j'étais devant le nombre de cas
où elle ne s'applique pas. Mais les sommes
en jeu sont minimes finalement, je ne vois
donc pas de difficulté à taire quelque chose.
Troisième point : l'assurance décès.
Cette assurance n'a d'intérêt (en terme
de conséquence) que si on a quelqu'un
a qui transmettre le bien en cas de décès.
Là, pour un prêt immobilier, les sommes
sont conséquentes, et je verrais bien
une assurance chercher la petite bête
pour éviter de payer, et la banque
se tournerait alors vers l'hypothèque.
Ce point mérite vraiment d'être étudié ...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Impact administratif du diagnostic
Ce n'est pas juste mais c'est comme ça que ça fonctionne pour les maladies "physiques" (même si le SA en est vraisemblablement une). Les assurances, que ce soit pour un prêt ou pour une mutuelle, demande de déclarer TOUS les facteurs de santé, et bien entendu ce qui est compris dans Affections de Longue Durée.Tugdual a écrit :Globalement quelque chose m'interpelle
et va dans le sens d'une sorte de discrimination.
S'il est obligatoire d'informer un handicap
aux assurances et aux banques, Ad vitam æternam
à partir du moment où un diagnostic est posé,
cela voudrait dire qu'on doit subir les conséquences
potentiellement négatives d'un handicap automatiquement.
Ensuite ils refusent le client ou ils augmentent les primes en fonction de ce qu'ils ont compris de la chose et il ne faut pas s'imaginer qu'ils sont souples et accommodants !
C'est aussi ce qui me chiffonne.Tugdual a écrit :Troisième point : l'assurance décès.
Cette assurance n'a d'intérêt (en terme
de conséquence) que si on a quelqu'un
a qui transmettre le bien en cas de décès.
Là, pour un prêt immobilier, les sommes
sont conséquentes, et je verrais bien
une assurance chercher la petite bête
pour éviter de payer, et la banque
se tournerait alors vers l'hypothèque.
Ce point mérite vraiment d'être étudié ...
Il faudrait savoir si quoi que ce soit est écrit dans le fameux Dossier Médical qui est sensé nous garantir un meilleur suivi !
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Re: Impact administratif du diagnostic
Pour les adultes, c'est vous qui décidez ce que vous faites du diagnostic du CRA. Et s'ils font un véritable diagnostic (pas une simple étiquette) ils doivent accompagner au minimum jusqu'au point où vous décidez ce que vous en faites.
Pour les banques et assurances vous vous faites des inquiétudes pour rien.
Pour mon prêt, j'ai du répondre verbalement à des questions qui sont des questions de santé. En gros, ils veulent savoir si on a une maladie mortelle, pour ne pas avoir à rembourser le prêt. Or, l'autisme ce n'est pas mortel (Mon père est décédé à 98 ans. Il avait travaillé dans une banque ). Je n'ai pas eu à mentir, même pas par omission. Par exemple aussi, j'ai une mutation génétique pour le sang qui pourrait représenter des risques sérieux (j'ai au moins une sœur qui a failli en mourir) mais je n'ai pas la maladie. Du moins jusqu'à présent.
Plus jeune, ils vont vous demander si c'est quelque chose qui risque de vous priver de votre travail (de vos ressources). Vous pouvez donner mon exemple. Je ne témoigne pas anonymement ici. J'ai fait toute ma carrière, jusqu'à la retraite. Jamais aucune invalidité.
Jacline
Pour les banques et assurances vous vous faites des inquiétudes pour rien.
Pour mon prêt, j'ai du répondre verbalement à des questions qui sont des questions de santé. En gros, ils veulent savoir si on a une maladie mortelle, pour ne pas avoir à rembourser le prêt. Or, l'autisme ce n'est pas mortel (Mon père est décédé à 98 ans. Il avait travaillé dans une banque ). Je n'ai pas eu à mentir, même pas par omission. Par exemple aussi, j'ai une mutation génétique pour le sang qui pourrait représenter des risques sérieux (j'ai au moins une sœur qui a failli en mourir) mais je n'ai pas la maladie. Du moins jusqu'à présent.
Plus jeune, ils vont vous demander si c'est quelque chose qui risque de vous priver de votre travail (de vos ressources). Vous pouvez donner mon exemple. Je ne témoigne pas anonymement ici. J'ai fait toute ma carrière, jusqu'à la retraite. Jamais aucune invalidité.
Jacline
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Re: Impact administratif du diagnostic
concernant la carte vitale il est evident que le SA n'y figure pas. et que je ne ferai jamais en sorte que ça m'ennuie lors d'un emprunt par exemple. cest ce que je fais de ma vie qui compte, coment je gère, et parler du SA oui si al personne en, face est capable d'entendre/concevoir de quoi on parle. sinon., non...(marre de l'ignorance béante qui oblige a tenter de se faire entendre et d'avoir le droit d'exister en tant qu'etre humain au milieu des autres, sous pretexte d'une "norme" etablie par une majorité ignare.)
il n'y a que la CRA, la mdph (et encore pas encore je n'ai pas encore fait passer mon diag mais je le ferai a l'occasion de mon renouv de rqth), et point barre. mon médecin peut etre bientot, si jen sens l'utilité a long terme.
tant que dans ce pays il faudra mettre le SA dans "affection psychiatrique longue durée" je refuse tout simplement de cocher la case, où qu'elle soit.
il n'y a que la CRA, la mdph (et encore pas encore je n'ai pas encore fait passer mon diag mais je le ferai a l'occasion de mon renouv de rqth), et point barre. mon médecin peut etre bientot, si jen sens l'utilité a long terme.
tant que dans ce pays il faudra mettre le SA dans "affection psychiatrique longue durée" je refuse tout simplement de cocher la case, où qu'elle soit.
1973 ( TSA, hpi, diag CRA 2012) de 4 enfants (tsa/ hpi, tdah, hpi et autres.)...)
https://cieharmonieautiste.jimdo.com/
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Re: Impact administratif du diagnostic
Merci Meï, tes infos sont claires et précises.
Il me semble que la phrase du formulaire des assureurs est quelque chose comme : "Êtes-vous ou avez-vous été traité pour une affection psychiatrique durant ces cinq dernières années ?". En l'absence d'un traitement spécialement délivré la réponse est simplement Non.
Il me semble que la phrase du formulaire des assureurs est quelque chose comme : "Êtes-vous ou avez-vous été traité pour une affection psychiatrique durant ces cinq dernières années ?". En l'absence d'un traitement spécialement délivré la réponse est simplement Non.
Cet argument me convient parfaitement !meï a écrit :tant que dans ce pays il faudra mettre le SA dans "affection psychiatrique longue durée" je refuse tout simplement de cocher la case, où qu'elle soit.
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Re: Impact administratif du diagnostic
Pour essayer de "clarifier" le débat, j'ai déplacé les messages sans rapport direct dans un sujet baptisé "Hors sujet" dans le "Salon d'accueil"
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Impact administratif du diagnostic
Je crois me souvenir que tu risques quelque chose à ne pas déclarer une maladie en cas de prêt si par malheur tu meurs des suites de cette maladie, dans ce cas, ils peuvent faire des histoires à tes héritiers ou ton conjoint pour faire marcher l'assurance.
Mais à ce que je sache, on ne meurt pas d'autisme.
Je rejoins Tugdual sur les autres points, surtout sur celui à propos du chômage, dans une quantité de contrat immobiliers, l'assurance chômage est tellement drastique ou intervient tellement peu de temps qu'il ne faut pas compter dessus en cas de coup dur.
Mais à ce que je sache, on ne meurt pas d'autisme.
Je rejoins Tugdual sur les autres points, surtout sur celui à propos du chômage, dans une quantité de contrat immobiliers, l'assurance chômage est tellement drastique ou intervient tellement peu de temps qu'il ne faut pas compter dessus en cas de coup dur.
Mère absolument atypique (mais à quel niveau ?) d'une petite atypique de 5 ans dont le diagnostic est enfin en route..