[Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

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olivierfh
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[Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par olivierfh »

Une mini-série documentaire/télé-réalité de Australian Broadcasting Corporation (ABC): de jeunes autistes ont ou évoquent leurs premiers rendez-vous, avec les conseils de psys spécialisés.
D'après certaines critiques, ce serait moins voyeur et plus informatif pour comprendre la psychologie des jeunes autistes que ça en a l'air:
Love On The Spectrum is the only Australian dating show that matters right now.
dans le lien précédent, citation du réalisateur Cian O’Clery a écrit :Looking into what help and support there is in Australia for people on the spectrum when it comes to dating and relationships, we found there is almost nothing.
The vast majority of autism resources are devoted to early intervention and childhood programs, and the services for young adults are mostly focused on developing work skills and trying to find employment.
Spoiler : Traduction DeepL : 
En examinant l'aide et le soutien qu'il y a en Australie pour les personnes sur le spectre lorsqu'il s'agit de rencontres et de relations, nous avons constaté qu'il n'y a presque rien.
La grande majorité des ressources en matière d'autisme sont consacrées à l'intervention précoce et aux programmes pour l'enfance, et les services destinés aux jeunes adultes sont principalement axés sur le développement des compétences professionnelles et la recherche d'emploi.
Le titre français est Histoires d'amour et d'autisme sur Netflix.

Un aperçu des acteurs en train de résumer les règles à suivre selon eux pour un rendez-vous: (d'autres aperçus via ce mot-clé)
TSA de type syndrome d'Asperger (03/2017) + HQI (11/2016).
4 enfants adultes avec quelques traits me ressemblant, dont 1 avec diagnostic TSA et 1 au début du parcours de diagnostic.
Anja-louise
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par Anja-louise »

J'ai regardé hier soir une partie de l'épisode 1 (seulement). Pour le moment ça me plaît bien et me donne envie de continuer la suite! :)
Je confirme olivierfh, ce que disent les critiques: l'autisme des personnes est très peu visible d'ailleurs pour Chloe si cela n'avait pas été marqué en dessous, je ne me serais pas rendu compte (enfin tout de suite) je pense. Pour le mari/petit ami de Ruth (désolée mais je n'ai pas saisi si c'est l'un ou l'autre sachant que il me semble qu'au début c'est son petit ami alors que 18 mois plus tôt, il lui fait la proposition avec une bague dans le bus où il est conducteur)... bref bref disons l'entre deux: fiancé :D ! Lol , il n'est pas dit à la première séquence qu'il est TSA, du coup c'est que quand il a commencé à jouer au train miniature que j'ai eu un doute.
Michael, je le trouve très amusant: sa manière de décrire "l'amour" qui est sans filtre mais extrêmement vrai. Aussi lorsque il a une discussion avec la jeune fille qui a une entreprise (au dîner de l'association de personnes avec handicap), on voit tout de suite que il n'est pas intéressé par ce qu'elle dit mais en clair j'ai eu l'impression que son visage en disait plus que si il l'aurait clairement verbalisé!
Bon je pense que je vais poursuivre mais pour les 30 premières minutes (déjà), je recommande! :bravo:
TSA+ nombreuses comorbidités
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Jean
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par Jean »

Revue de "Love on the Spectrum "- une émission de rencontres qui célèbre l'autisme

Une critique de la série "Love in the Spectrum" qui passe sur Netflix.

theguardian.com Traduction de "Love on the Spectrum review – a dating show that celebrates autism" par Rebecca Nicholson - 22 juillet 2020

À première vue, "Love on the Spectrum" (Netflix) semble être une version australienne de "The Undateables" [Les Indatables], sans le nom grossier, et propre à suivre la vie amoureuse des personnes du spectre autistique. Mais si la richesse des séries de rencontres nous a appris quelque chose, c'est que les premières impressions peuvent être trompeuses et que, souvent, on ne voit pas venir les rebondissements. Bien que je continue d'aimer "The Undateables", ce nouveau venu en cinq parties ressent davantage son époque, prenant le temps d'explorer plus en profondeur la vie de ses participants, ce qui donne lieu à un programme rempli de joie, de chaleur et de perspicacité.

C'est souvent très drôle, mais surtout, cela ne se fait jamais au détriment de quiconque devant la caméra. La recherche de l'amour peut être compliquée et absurde pour n'importe qui, et le programme met en évidence certains des pièges. Michael, 25 ans, qui s'habille élégamment, cherche désespérément l'amour et insiste sur le fait qu'"un partenaire A+ me ressemble". Il amuse souvent sa famille à cause de son franc-parler. Au cours d'un repas avec ses parents et ses frères et sœurs, il révèle qu'il croit que certaines personnes ne sont "intéressées que par les rapports sexuels". Son père laisse tomber sa nourriture pendant qu'il mange. "Je pense que chaque famille a besoin d'un Michael", dit sa mère, heureuse. "Ça ajoute juste quelque chose de différent."

Tout au long de Love on the Spectrum, les parents sont merveilleux, d'un grand soutien et compatissants, en particulier lorsqu'il s'agit de donner des conseils sur les rencontres. Chloé, qui est partiellement sourde, parle d'être terriblement harcelée à l'école. Lorsqu'elle va à un rendez-vous, son père avide essaie de la calmer, en lui disant que si elle a besoin d'un peu de temps pendant le rendez-vous, elle devrait lui dire qu'elle va se repoudrer le nez. "Je n'ai pas de poudre pour le nez", répond-elle, confuse. Finalement, il s'avère que Chloé cherchait peut-être un partenaire au mauvais endroit.

Ce qui est beau dans cette série, par rapport à d'autres séries de rencontres, c'est qu'elle donne à tous ceux qu'elle suit le temps de développer leurs histoires en détail. J'ai toujours hâte de savoir "ce qui s'est passé ensuite" à la fin de chaque épisode de, disons, "First Dates". Il y a suffisamment de temps et d'espace pour qu'il y ait moins d'intrusion en surface. Nous découvrons ce qui se passe ensuite dans le tout prochain épisode.

Les émissions de rencontres peuvent parfois manquer curieusement d'amour ; la poursuite de l'amour n'est pas toujours égale à sa réussite. Mais "Love on the Spectrum" est rempli d'amour, pas seulement du genre sentimental, mais aussi de la part de la famille, des amis et de la communauté. Il y a des soirées communautaires, des rencontres, un bal de super-héros où des personnes ayant des intérêts similaires peuvent se rencontrer. Deux experts sont présents pour aider certains des participants, et tous deux font un travail formidable. Jodi Rodgers travaille avec les personnes du spectre et les aide à résoudre les problèmes ou les difficultés qu'elles peuvent rencontrer dans les complexités de la vie amoureuse, en leur parlant de scénarios de rendez-vous potentiels, en essayant de leur faire comprendre qu'une personne a besoin de poser des questions et de donner de longues réponses, par exemple.

Plus tard dans la série, un autre expert, le Dr Elizabeth Laugeson, anime un "camp d'entraînement aux rencontres". Parmi les participants figurent Kelvin, qui a un choc lorsqu'un de ses compagnons sort son Nintendo Switch avant l'arrivée du repas, et Mark, qui est implacablement solaire et optimiste, mais peut monopoliser une conversation, en particulier lorsqu'il s'agit de dinosaures. ("Et si elle détestait les dinosaures ?" demande un producteur, hors caméra, à propos d'un partenaire potentiel. "Pas d'accord", insiste Mark en agitant les bras avec insistance).

Selon Laugeson, l'idée que les gens du spectre sont heureux de ne pas sortir ensemble, de ne pas être sociables, est une idée fausse très répandue. Ce programme met fin à ce mythe, et à bien d'autres encore. La fierté avec laquelle beaucoup de ces personnes parlent de l'autisme et de la façon dont il façonne leur personnalité est importante, tout comme le fait qu'il n'y a pas de "type d'autiste" ici. Pour certains, il est triste de constater que les fréquentations ont été si difficiles. Pour d'autres, ils savent qu'ils attendent simplement une personne qui les comprend. Prenez Maddi, 24 ans, qui veut un homme "riche, musclé et grand". "Tu dois baisser tes critères", plaisante sa sœur, mais elle ne le fait pas. Elle a juste besoin d'un homme riche, musclé et grand, qui est aussi passionné de jeux vidéo qu'elle.

Tout le monde n'est pas à la recherche de l'amour. Certains l'ont déjà trouvé. Nous voyons Sharnae et Jimmy qui font le grand pas de s'installer ensemble, et ils parlent franchement de la façon dont l'intimité fonctionne pour eux, en particulier lorsqu'il s'agit de s'embrasser et de se tenir la main. Ruth et Thomas se sont fiancés lorsque Thomas, un chauffeur de bus (à l'origine, il préférait les trains et pensait que les bus étaient " banals ", mais maintenant il les aime tellement qu'il a un T-shirt qui se lit : "Living Life in the Bus Lane"), a fait une déviation de son itinéraire habituel pour faire sa demande en mariage. Ils vivent maintenant en harmonie avec le serpent de compagnie de Ruth, Cléopâtre, qui calme toute surcharge sensorielle. Une fois de plus, cela souligne le fait que chacun est différent et, dans le meilleur des cas, ce spectacle est une célébration humaine et compatissante de la différence et de l'amour.
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comptasp
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par comptasp »

J'ai vu 3 épisodes sur 5.

Effectivement, beaucoup de bienveillance, peu de caricatures et ca ne fait pas voyeur non plus. On comprend que l'équipe de tournage est à l'écoute de ceux qu'ils filment et les mettent à l'aise. Il est vrai que pour la plupart leur handicap/spécificité est bien visible et pas subtil pour un sou (contrairement à des formes légères pour lesquelles ce sont des "petits signaux" qui s'accumulent qui créent un éventuel malaise du côté des interlocuteurs des personnes ayant un TSA), mais pour quelques autres, notamment Chloe, ca se "voit" notamment à ses réponses, donc pas vraiment "au premier coup d'oeil".

Un élément intéressant est que lors d'une session "d'entraînement" en groupe, les participants aspies arrivent à voir ce qui cloche chez ceux qui font l'exercice devant eux. Alors qu'il est probable qu'ils feraient quelque chose de similaire s'ils étaient à leur place.

Cependant, je vois quand même trois gros défauts à cette série:
  • D'abord, tous les parents sont bienveillants. Sans exception. Les frères et soeurs sont compréhensifs et acceptent sans problème la "différence" de la personne. Ca montre, je crois, une image faussée de ce que peuvent vivre les Aspies avec leurs familles respectives. C'est parfois évoqué, mais (trop) vite évacué
  • Je ne crois pas qu'il faille "célébrer" l'autisme. De même qu'il me semble stupide de "célébrer" l'homosexualité, la transidentité ou une religion minoritaire dans un pays. Ca me semble être pire pour l'autisme parce qu'on peut vraiment parler de handicap, dans beaucoup de situations. Pourquoi ne pas célébrer demain les tétraplégiques en disant comment c'est cool d'être tétraplégique? :roll:
  • Enfin, et c'est le point le plus problématique, il n'y a que des couples de neuroatypiques. Aucun couple "mixte" neuroatypique/neurotypique. Toutes les activités faites sont des activités pour des "people with disabilities" (et pas que autistes, si j'ai compris, ce qui peut poser d'autres "problèmes"). Comme si les NA étaient nécessairement destinés à rester ensemble sans pouvoir trouver quelqu'un de NT. Je trouve ca super triste comme message que ça véhiculte.
HPI (octobre 2018) - Diag Asperger en libéral (mars 2019)
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par IrwenRed »

Love on the spectrum mon avis (écrit au fil de l'eau et avec le moins de spoiler possible mais ça en contient)
Je trouve cool l'idée de vouloir faire en sorte que des autistes rencontrent d'autres autistes pour éventuellement se mettre ensemble.
Cependant il y a des choses qui me dérrangent
1 on n'évoque pas le cas des personnes qui sont seules et veulent le rester
2 Lorsq'uune jeune femme dit ne pas vouloir d'enfant on lui fait comprendre que ce n'est pas la "bonne" réponse
3 Les interview euhm fausses lors du bootcamp sont vraiment obious je veux dire ok on est autiste on n'est pas débiles pour autant
rares sont les autistes qui vont demander en troisième question "quand 'est-ce qu'on fait nôtre lune de miel?"
4 Je crois qu'ils vivent tous chez leurs parents sauf le couple de l'épisode 1 (ok correction ils ne vivent pas tous chez leur parents)


Les bons points
On voit differents autistes qui sont tous differents dans leurs manières de se comporter
On répète que le fait d'être dans le spectre autistique signifie bien qu'aucun n'autiste n'est pareil
On voit le point de vue des papas ce qui est assez rare dans le monde du handicap où souvent on interroge les mamans
On voit PLEINS d'ateliers pour personnes handicapées (rencontes, bals costumés etc) que personnelement j'aimerais bien voir arriver en France
Pn voit deux couples heureux ça donne de l'espoir

Ma conclusion personnelle c'est mignon mais en 5 épisodes on n'a pas le temps de voir vraiment des choses se passer en fait quand on est "in the spectrum" ben on apprends rien. On voit deux couples être heureux et le rester.
On voit des célibataires le rester. Et au final le visionnage de la série ne change rien qu'on l'ai vu ou non les personnes qu'on voit on certes eu un premier rancard mais ça s'arrête là.
On entends dans la série que (probablement) 95% des autistes ne trouvent pas l'amour et ben en fait j'ai pas fait les stats sur les deux couples vs le restes des célibataires mais globalement ça donne pas une vision d'avenir particulièrement glorieuse ou changeante.
En fait il aurait fallu en voir plus passer plus de temps avec eux, voir leur quotidien un peu plus.
Je trouve la série décevante dans son ensemble parce que comme je l'ai dit ben elle n'apporte rien, vraiment.
Elle peut être interressante pour les NT qui apprendront des bases sur les relations humaines NT/SA mais voilà quoi.

Diagnostique par psychiatre : TSA avec HPI et trouble anxio-depressif chronique
Le 15/04/2019
Pré diagnostiquée TSA sans HPI le 24/05/2018
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Jean
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par Jean »

Critique : "Love on the Spectrum" est sympathique, mais non représentatif

Une nouvelle critique de la série "Love on the Spectrum" diffusée sur Netflix.

spectrumnews.org Traduction de "Review: ‘Love on the Spectrum’ is kind, but unrepresentative" par Sara Luterman / 18 août 2020
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... resentatif
LON 1.png
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par margotton91 »

Love on the spectrum": l'amour avec autisme sur Netflix

De l'amour et du rire, c'est ce que promet la série "Love on the spectrum". La production Netflix signe une 2e saison américaine avec de nouveaux candidats à l'amour, tous autistes... Diffusée depuis le 19 janvier 2024.
22 janvier 2024 • Par Clotilde Costil / Handicap.fr

https://informations.handicap.fr/a-love ... -32935.php
Pré-diagnostic TSA asperger, de niveau faible à modéré, par psychologue clinicien en 03/2019
Confirmation par psychiatre en 04/2019, à 51 ans
Juin 2020 : tests du bilan diagnostic réalisés dans le privé - QI hétérogène
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Fluxus
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Re: [Série] Love On The Spectrum / Histoires d'amour et d'autisme (ABC)

Message par Fluxus »

J'ai commencé à regarder la série "Histoires d'amour et d'autisme" sur Netflix.

Au début, j'ai pas trop accroché parce que j'ai du mal avec les contenus anglophones. Dans le sens où ils ont très souvent des façons de faire, des manières de s'exprimer que je trouve parfois très exagérées, presque niaises, qui ne me parlent pas et me font presque ressentir de la gêne et du malaise.

Finalement, j'ai continué de regarder et au fil du temps, il y a eu des passages qui me parlaient un peu plus. Surtout chez les garçons en fait. J'ai plus réussi à m'identifier à eux et à leurs ressentis. Aux hommes TSA qui cherchaient l'amour. Tout me parle quand ils décrivent leur parcours de vie. Probablement parce qu'ils parlent de manière plus posée et qu'il y a un aspect un peu plus "réservé" et "silencieux". Bon après c'est personnel.

Spoiler : 
Ça rejoint un peu mes ressentis quand je dis que je ne me reconnais pas dans ce que les gens appellent "l'autisme au féminin". Je m'identifie toujours beaucoup plus aux personnes dont l'autisme est plus "apparent" et souvent, ce sont les garçons. C'est comme ça. Et puis l'autisme, c'est l'autisme quoi.


Donc là, je vais terminer la saison 1 de la version Américaine. J'ai pas encore regardé la saison 2 mais j'ai cru voir, si je me trompe pas, qu'on revoit des personnes de la saison 1 qui continuent sûrement à chercher l'amour.

J'aimerais bien me pencher sur la version Australienne aussi.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)

Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks