symptômes autistiques mais pas autiste...
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symptômes autistiques mais pas autiste...
Je viens à nouveau d'avoir une reponsable du centre de diag qui a vu mon fils et qui m'explique que mon fils a des signes autistiques mais qu'il n'est pas autiste.
Je ne comprends rien.
De quoi , alors, souffre un enfant qui a des signes autistiques sans être autiste?
Des idées de diag différentiels?
Je ne comprends rien.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
tedns??
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
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PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Un psy, très spécialisé m'a dit la même chose, et que j'avais des troubles de l'attachement, faut dire que je n'avais pas pris toute la mesure de mes difficultés et que je n'ai pas insisté à-dessus. C'était juste un entretien, il était pédopsy et j'avais 49 ans.
S'il y avait un autre diagnostique il vous l'aurait probablement donné.
Peut-être aussi qu'il pense que votre fils peut s'en sortir sans prise en charge lourde et qu'il a les moyens de compenser.
Un diagnostique d'autisme, ça peut être bien dans certains cas assez graves et ça peut être un handicap en soi aussi.
A vous de voir si le diagnostique peut être une aide réelle à des difficultés invalidantes.
Le psy m'avait dit que si je voulais vraiment un diagnostique je trouverait bien bien quelqu'un qui me le donnerait
Pour savoir ce qui cloche le mieux c'est peut-être des bilans de neuropsychologue, orthophoniste, etc. Plein de problèmes peuvent mener à des troubles autistiques.
S'il y avait un autre diagnostique il vous l'aurait probablement donné.
Peut-être aussi qu'il pense que votre fils peut s'en sortir sans prise en charge lourde et qu'il a les moyens de compenser.
Un diagnostique d'autisme, ça peut être bien dans certains cas assez graves et ça peut être un handicap en soi aussi.
A vous de voir si le diagnostique peut être une aide réelle à des difficultés invalidantes.
Le psy m'avait dit que si je voulais vraiment un diagnostique je trouverait bien bien quelqu'un qui me le donnerait
Pour savoir ce qui cloche le mieux c'est peut-être des bilans de neuropsychologue, orthophoniste, etc. Plein de problèmes peuvent mener à des troubles autistiques.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Derrière les TSA, il y a toute une famille de conditions dont l'autisme n'en ai qu'une.papillane a écrit :Je viens à nouveau d'avoir une reponsable du centre de diag qui a vu mon fils et qui m'explique que mon fils a des signes autistiques mais qu'il n'est pas autiste.
Je ne comprends rien.
De quoi , alors, souffre un enfant qui a des signes autistiques sans être autiste?
Des idées de diag différentiels?
Les autres sont TED-NS, syndrome d'Asperger, ...
Il ne faut pas ramener tous les TSA à l'autisme (de Kanner).
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Hmm, oui, c'est vrais que le terme autisme est problématique.
Je crois que vous et le médecin parlez deux langues différentes.
Vous dites autisme pour dire TSA, trouble du spectre autistique, et lui répond pas autiste pour dire pas autiste infantile.
L'inertie du milieux médicale fait que, comme le dit bernard, on lie le mot autisme seul à la définition de kanner, appelé aussi l'autisme infantile, qui a été la seule en vigueur jusque dans les années 80 (pas mal de psychiatre encore en exercice ont fait leurs études avant, et même s'il se tiennent au courant autisme ça reste 9 fois sur 10 synonyme des effets les plus lourd constaté par kanner (a son époque un autiste qui vas a l'école c'est juste incompatible dans la définition)
Depuis les années 80 et la réintroduction par lorna wing des conclusions de hans asperger, les évidences cliché ont un peut volé en éclat, et on est passé petit a petit a une notion de spectre autistique, on a vue une tendance a parler d'autisme et d'autiste dans toute la gamme du spectre autistique. C'est vrais que scrupuleusement aussi seul la notion de spectre autistique est accepté dans ce cadre.
Moi je dirais que le terme autisme est a éviter autant que possible si on veux arriver a se comprendre, par ce qu'avec ce terme on peut très facilement dire une chose et son contraire sans jamais risquer de ce tromper suivant l'acceptation qu'on choisit de lui faire porter.
Je crois que vous et le médecin parlez deux langues différentes.
Vous dites autisme pour dire TSA, trouble du spectre autistique, et lui répond pas autiste pour dire pas autiste infantile.
L'inertie du milieux médicale fait que, comme le dit bernard, on lie le mot autisme seul à la définition de kanner, appelé aussi l'autisme infantile, qui a été la seule en vigueur jusque dans les années 80 (pas mal de psychiatre encore en exercice ont fait leurs études avant, et même s'il se tiennent au courant autisme ça reste 9 fois sur 10 synonyme des effets les plus lourd constaté par kanner (a son époque un autiste qui vas a l'école c'est juste incompatible dans la définition)
Depuis les années 80 et la réintroduction par lorna wing des conclusions de hans asperger, les évidences cliché ont un peut volé en éclat, et on est passé petit a petit a une notion de spectre autistique, on a vue une tendance a parler d'autisme et d'autiste dans toute la gamme du spectre autistique. C'est vrais que scrupuleusement aussi seul la notion de spectre autistique est accepté dans ce cadre.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Les autistes analysés par Kanner étaient presque tous de haut niveau, ils ont eu une vie professionnelle ...manu a écrit :ça reste 9 fois sur 10 synonyme des effets les plus lourd constaté par kanner (a son époque un autiste qui vas a l'école c'est juste incompatible dans la définition)
C'est une mauvaise habitude en France d'utiliser le terme d'autisme de Kanner pour dire "autisme sévère" ou "autisme avec déficience intellectuelle".
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Les enfants n'étaient pas "de haut niveau" petit, puisque la définition a justement été faite sur leurs niveau de fonctionnement a eux!
Il était décrit comme représentatif de l'autisme infantile (précoce), ce qui ne les a pas empêcher, plus tard, de ne plus l'être, représentatif.
Tout ces enfants sont donc passés de signe cliniques lourds a un fonctionnement suffisant pour avoir une vie professionnel.
Peut être que s'il avait été observé dans leurs période de transition il aurait été dit la même chose que pour le fils de papillane.
Haut potentiel, vous pouvez toujours en faire des définitions d'état très précise, il n'en reste pas moins qu'a la base c'est juste pour dire moins de déficiences que celles décrite pour l'autisme infantile observé au préalable.
Il était décrit comme représentatif de l'autisme infantile (précoce), ce qui ne les a pas empêcher, plus tard, de ne plus l'être, représentatif.
Tout ces enfants sont donc passés de signe cliniques lourds a un fonctionnement suffisant pour avoir une vie professionnel.
Peut être que s'il avait été observé dans leurs période de transition il aurait été dit la même chose que pour le fils de papillane.
Haut potentiel, vous pouvez toujours en faire des définitions d'état très précise, il n'en reste pas moins qu'a la base c'est juste pour dire moins de déficiences que celles décrite pour l'autisme infantile observé au préalable.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
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Modifié en dernier par samoju le mardi 11 mai 2010 à 11:45, modifié 1 fois.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
par Asperger, oui. Certains sont même devenus professeurs, comme le petit Fritz V.Jean a écrit :Les autistes analysés par Kanner étaient presque tous de haut niveau, ils ont eu une vie professionnelle ...
Les 11 cités en détail par Kanner ne sont pas sortis de l'hôpital, ou en milieu très protégés, sauf rares exceptions.
Lire la fin du document pointé par Samoju juste au-dessus, pour avoir le détail..
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Merci pour ce lien, il manquait cruellement a wikipédia .
Si on prend les mots, il décrit ici un « trouble autistique du contact affectif », de la a dire un signe autistique, qu'il s'agit là de mettre en avant une structure de l'autisme (sous entendu parmi d'autre), celle liée au contact affectif, il n'y a pas loin, mais je ne sais pas si on peut franchir ce caps interprétatif.
C'est une base de l'article de l'année suivante ou il définit l'autisme infantile précoce, qui je crois est plus la base de l'allusion a léo kanner, même si on fait toujours bien remonter son travail a cette première parution.
Pour ces 11 cas il est donc précisé à la fin de ce texte (en 1971 par léo kanner lui même si je comprend bien, donc bien après avoir formalisé l'autisme infantile) : « il invite à de sérieuses interrogations sur l'éventail des évolutions qui vont de la détérioration complète à une adaptation professionnelle associée à une adaptation sociale limitée mais superficiellement bonne. »
A priori plutôt des résultat représentatif d'un niveau de fonctionnement peut être potentiellement "moins haut" d'où peut être cette espèce de stigmatisation de l'autisme dit de kanner.
Ce qui fait noircir des pages est toujours : est-ce que c'est pareil que ce qui est décrit par hans asperger, est-ce qu'on peut trancher ou pas, sous entendu toujours est-ce que le problème est différent à la base.
Pour ma part je pense que la notion d'autisme reste le siège de combat actif et parfois violent pour faire dire au mot autisme un état de la personne en incluant ou en excluant des cas.
Je pense que le travail entamé par lorna wing sur le base des travaux de hans asperger est précisément de faire tomber les frontières entre les états clinique décrit, pour mettre en évidences aux moins des passerelle qui peuvent être franchies, et que d'autre n'étant pas d'accord en on fait un case bien distincte et définie.
On ne peut pas parler d'autisme en occultant cette lutte perpétuelle entre les spécialistes, car quoi qu'on dise et ou qu'on aille on tombe forcement dans un camps, en ignorant qu'on est au milieu d'un champ de bataille. je dis ça toujours en réponse au problème de papillane, car les personnes touchés par un trouble associé et leurs familles en sont les otages (otage d'une guerre à laquelle certains participe volontiers dans un camps ou dans l'autre).
Temple grendin, par exemple, a été diagnostiqué d'abord autiste selon la définition de kanner, puis autiste dit de haut niveau, et enfin asperger. C'est un fait.
Puis-je le dire sans passer pour un activiste anti définition ... j'en suis pas sur.
Si on prend les mots, il décrit ici un « trouble autistique du contact affectif », de la a dire un signe autistique, qu'il s'agit là de mettre en avant une structure de l'autisme (sous entendu parmi d'autre), celle liée au contact affectif, il n'y a pas loin, mais je ne sais pas si on peut franchir ce caps interprétatif.
C'est une base de l'article de l'année suivante ou il définit l'autisme infantile précoce, qui je crois est plus la base de l'allusion a léo kanner, même si on fait toujours bien remonter son travail a cette première parution.
Pour ces 11 cas il est donc précisé à la fin de ce texte (en 1971 par léo kanner lui même si je comprend bien, donc bien après avoir formalisé l'autisme infantile) : « il invite à de sérieuses interrogations sur l'éventail des évolutions qui vont de la détérioration complète à une adaptation professionnelle associée à une adaptation sociale limitée mais superficiellement bonne. »
A priori plutôt des résultat représentatif d'un niveau de fonctionnement peut être potentiellement "moins haut" d'où peut être cette espèce de stigmatisation de l'autisme dit de kanner.
Ce qui fait noircir des pages est toujours : est-ce que c'est pareil que ce qui est décrit par hans asperger, est-ce qu'on peut trancher ou pas, sous entendu toujours est-ce que le problème est différent à la base.
Pour ma part je pense que la notion d'autisme reste le siège de combat actif et parfois violent pour faire dire au mot autisme un état de la personne en incluant ou en excluant des cas.
Je pense que le travail entamé par lorna wing sur le base des travaux de hans asperger est précisément de faire tomber les frontières entre les états clinique décrit, pour mettre en évidences aux moins des passerelle qui peuvent être franchies, et que d'autre n'étant pas d'accord en on fait un case bien distincte et définie.
On ne peut pas parler d'autisme en occultant cette lutte perpétuelle entre les spécialistes, car quoi qu'on dise et ou qu'on aille on tombe forcement dans un camps, en ignorant qu'on est au milieu d'un champ de bataille. je dis ça toujours en réponse au problème de papillane, car les personnes touchés par un trouble associé et leurs familles en sont les otages (otage d'une guerre à laquelle certains participe volontiers dans un camps ou dans l'autre).
Temple grendin, par exemple, a été diagnostiqué d'abord autiste selon la définition de kanner, puis autiste dit de haut niveau, et enfin asperger. C'est un fait.
Puis-je le dire sans passer pour un activiste anti définition ... j'en suis pas sur.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Effectivement, j'avais tort, j'ai fait une confusion. Cela n'empêche qu'il me semble qu'ils sont plutôt de haut niveau - et que le problème a été l'accompagnement.bernard a écrit :par Asperger, oui. Certains sont même devenus professeurs, comme le petit Fritz V.Jean a écrit :Les autistes analysés par Kanner étaient presque tous de haut niveau, ils ont eu une vie professionnelle ...
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Lire la fin du document pointé par Samoju juste au-dessus, pour avoir le détail..
Extrait de l'article :
En ce qui concerne Temple Grandin, je crois avoir lu dans un article (de Michelle Dawson ?) qu'elle n'a pas eu de diagnostic de syndrome d'Asperger officiellement. Mais à vrai dire, peu m'importe.Huit de ces onze enfants ont acquis la capacité de parler à l'âge normal ou avec un certain retard.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
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Modifié en dernier par samoju le mardi 11 mai 2010 à 11:42, modifié 1 fois.
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Re: symptômes autistiques mais pas autiste...
Oui, mais en même temps tu trouve injuste de ne pas avoir des aides associés a cette définition ... alors quoi?
Le milieux médicale définit de troubles observés, ce qui apparait de déficience.
Le lien avec un état est hautement présomptueux, même pour toi qui dit connaitre chacune des batailles de ton fils.
Oui les parents sont infiniment plus au fait de ce que vie leurs enfants que ceux a qui on demande de les aider (est-ce qu'il s'agit d'autre chose?); mais non les parent ne sont pas omniscient et omnipotent concernant les problèmes de leurs enfants, jamais, et pour certaines choses ça peut être les derniers a pouvoir savoir et comprendre certaines choses, précisément par le fait de la proximité.
La distance et le regard froid de celui qui compare est certainement salvateur dans bien des cas, pourquoi est-ce une réglé médicale de ne pas soigner ces proches et de faire toujours appelle a un regard extérieur?
Mais en même temps tu dit qu'il faut une étiquette pour arriver a faire ce qu'il demande a savoir avoir « le droit et la possibilité de montrer qu il souhaite apprendre et avancer ».
J'ai beau me contorsionner les neurones, je n'arrive pas a te comprendre.
Le milieux médicale définit de troubles observés, ce qui apparait de déficience.
Le lien avec un état est hautement présomptueux, même pour toi qui dit connaitre chacune des batailles de ton fils.
Oui les parents sont infiniment plus au fait de ce que vie leurs enfants que ceux a qui on demande de les aider (est-ce qu'il s'agit d'autre chose?); mais non les parent ne sont pas omniscient et omnipotent concernant les problèmes de leurs enfants, jamais, et pour certaines choses ça peut être les derniers a pouvoir savoir et comprendre certaines choses, précisément par le fait de la proximité.
La distance et le regard froid de celui qui compare est certainement salvateur dans bien des cas, pourquoi est-ce une réglé médicale de ne pas soigner ces proches et de faire toujours appelle a un regard extérieur?
Mais en même temps tu dit qu'il faut une étiquette pour arriver a faire ce qu'il demande a savoir avoir « le droit et la possibilité de montrer qu il souhaite apprendre et avancer ».
J'ai beau me contorsionner les neurones, je n'arrive pas a te comprendre.
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