[Index Santé] Discutons ici du Covid-19 !

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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freeshost
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par freeshost »

Ce n'est pas parce que X a reçu un prix nobel que tout ce qu'il dit est exact et qu'il restera irréprochable pour l'éternité.

Attention à l'effet de halo :

Une première impression (très) positive de X ne doit pas nous faire minimiser ou nier ses points négatifs. X n'est pas un intouchable, ne jouit pas de l'immunité, ne jouit pas de blanc-seings à-tout-va !

Une première impression (très) négative de X ne doit pas nous faire minimiser ou nier ses points positifs. X n'est pas coupable de tous les maux.

Ni héros ni boucs émissaires.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

Diagnostiqué autiste en l'été 2014 :)
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olivierfh
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par olivierfh »

Un essai de traitement en cours à Chicago:
Early peek at data on Gilead coronavirus drug suggests patients are responding to treatment

Ajouté: tableau des essais en phase III (étude comparative) sur Wikipédia en anglais
Modifié en dernier par olivierfh le samedi 18 avril 2020 à 8:26, modifié 1 fois.
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Tugdual
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

L'efficacité des kits de test à domicile était non prouvée, et de fait :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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lulamae
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par lulamae »

Merci, je ne savais pas en quoi il était controversé, mais je l'avais lu aussi.
Diagnostic d'autisme juillet 2019.
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olivierfh
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par olivierfh »

olivierfh a écrit : dimanche 5 avril 2020 à 10:18le site Covid Trends, pour voir quand on commence à sortir de l'exponentielle (et la France à ce jour ne semble pas encore en être là :( au contraire de l'Italie par exemple).
On entend dire qu'on atteint le maximum des infections par jour ou semaine, mais à ce jour la France ne semble toujours pas en être là sur la courbe de ce dernier lien (données officielles recueillies par l'université Johns Hopkins de Baltimore, qui changent parfois étrangement d'un jour au lendemain: prise en compte des EHPAD sans régularité?)
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hazufel
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par hazufel »

La Matinale du Monde - Après la réa, le difficile retour à la vie des patients atteints du Covid-19


je suis un rescapé, je respire tout seul
Spoiler : 
Reportage
« Je suis un rescapé, je respire tout seul » : après la réanimation, le difficile retour à la vie des patients atteints du coronavirus

Par Faustine Vincent, Envoyée spéciale à Férolles-Attilly

Certains malades sortant du coma doivent tout réapprendre : respirer sans assistance mécanique, manger, marcher… L’hôpital Forcilles les prend en charge.

Le générique des Feux de l’amour résonne jusque dans le couloir de l’hôpital, avec ses violons grandiloquents. Dans la chambre, sur le plateau-repas, une brique de jus d’orange côtoie la Bible et un livre corné de mots croisés. La kiné demande : « Vous êtes prête, Mme Etienne ? On y va ? » La patiente ferme les yeux et prend sa respiration. Ses longues tresses caressent sa blouse médicale.

Elle se lève doucement, chancelle un peu. Les pas sont hésitants, difficiles. La kiné l’encourage et pousse au fur et à mesure l’appareil à oxygène auquel sa patiente est reliée. Bras dessus, bras dessous, les deux femmes avancent lentement dans le couloir. Un groupe de soignants se retourne pour observer l’exploit. « C’est la première fois qu’elle marche comme ça, se félicite la kiné. Il y a deux semaines, elle ne parvenait pas à tenir assise au bord du lit. »

Marie-Ange Etienne, 62 ans, est une rescapée du coronavirus. Trois semaines plus tôt, cette employée d’un Ehpad était en réanimation dans un hôpital de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). Dix-huit jours de coma. Son mari et ses enfants lui ont rendu visite en rêve. « Je me suis vue mourir. C’est là que je me suis dit : “Ah, je ne suis pas dans la bonne voie”. » Quand elle a rouvert les yeux, une ambulance l’a transférée ici, à l’hôpital de Forcilles, à Férolles-Attilly, en Seine-et-Marne.

Cet établissement privé d’intérêt collectif, planté au milieu des champs, fait partie des trois structures hospitalières d’Ile-de-France à posséder un service de réadaptation post-réanimation (SRPR). Une spécialité encore rare : moins de dix hôpitaux en ont une en France. Elle consiste à sevrer les patients de leurs appareils respiratoires après la « réa », et à les rééduquer à l’effort pour qu’ils puissent rentrer chez eux.

Le long chemin vers la guérison

Plus de 6 200 patients atteints par le Covid-19 sont actuellement en réanimation, selon le dernier bulletin de Santé publique France. Ceux qui en sortent ont passé l’épreuve la plus difficile. Mais, pour une partie de ces survivants, le chemin vers la guérison est encore long. Ils doivent tout réapprendre : respirer sans assistance, bouger la main, se lever, marcher…

Tout ce qui allait de soi avant leur hospitalisation a disparu. Leur long séjour en réa, de deux à trois semaines en moyenne, l’intubation, la ventilation artificielle, le coma, la fonte musculaire liée à leur alitement prolongé et les cocktails de médicaments à hautes doses les ont laissés exsangues. Ils ne retrouvent pas la force de respirer spontanément après leur réveil. L’assistance mécanique est alors maintenue, puis diminuée progressivement pour réentraîner les muscles respiratoires.

Depuis l’épidémie due au coronavirus, le SRPR de Forcilles croule sous les appels des hôpitaux de la région, qui lui envoient leurs patients. A ce jour, le service, qui accueille vingt-quatre personnes, a fait de la place à dix malades du Covid-19. Une vingtaine d’autres sont sur liste d’attente. « On en refuse tous les jours. Parfois, on n’a même pas le temps de prendre les appels », regrette Gérald Choukroun, médecin réanimateur, pneumologue et chef du SRPR. Pour faire face à l’afflux, le service doit doubler ses capacités d’ici quelques jours en armant quinze lits supplémentaires.

« Entre-deux »

« Quand ils arrivent chez nous, ils sont dans un entre-deux, en phase de réveil, plutôt calmes et un peu ralentis », explique M. Choukroun. C’est à cette condition qu’il accepte de les prendre. Car, le plus souvent, les patients infectés par le Covid-19 ont, au contraire, des réveils très agités. « Avec ce virus, c’est quasi systématique et assez sévère, précise le chef de service, qui bénéficie d’une vision panoramique sur la réanimation grâce aux appels de ses confrères. Cela peut être dangereux, certains arrachent leur matériel. » C’est la première fois que, d’un hôpital à l’autre, tout le monde lui raconte toujours la même histoire : « Le patient s’est remis à respirer, ça l’a dégradé, on a dû le remettre dans le coma. »

Ceux qui atterrissent dans son service ne sont pas tirés d’affaire pour autant. Sur treize patients, deux ont succombé : un pasteur évangélique dont la fille avait assisté en février au rassemblement à Mulhouse, qui a accéléré l’épidémie en France, et une femme qui était déjà suivie à l’hôpital pour un cancer. Les autres progressent peu à peu, à leur rythme.

Beaucoup sont traumatisés par ce qu’ils ont vécu lorsqu’ils étaient plongés dans le coma. Certains patients évoquent la fameuse « lumière blanche » de l’expérience de mort imminente, d’autres disent avoir « revu des proches décédés », ou décrivent un « délire peuplé de spirales colorées et kaléidoscopiques », explique Mégane Guillemeau, la psychologue du service. Plus singulier, « un patient s’est imaginé en tortionnaire de la seconde guerre mondiale exterminant tout le service de réa, raconte-t-elle. Leur vécu est si étrange que cela laisse des traces quand ils émergent. J’en parle souvent avec eux pour tenter de dédramatiser ».

« Lumière blanche »

Le service a été réaménagé pour éviter les risques de contamination : à gauche, les patients encore contagieux, à droite, au fond du couloir, ceux qui ne sont plus considérés comme tels après avoir été testés négatifs à plusieurs reprises. Les premiers sont encore sous respirateur la plupart du temps, incapables de parler et de se mouvoir seuls. Les seconds retrouvent peu à peu leur souffle, l’usage de la parole et la force de remarcher.

Tous traversent la même épreuve en même temps. Mais, avec les restrictions liées au risque de contagion, chaque patient est condamné à la surmonter dans le plus grand isolement, loin de ses proches. C’est l’une des cruautés de cette épidémie. Ici comme ailleurs, les visites des familles sont limitées au maximum et strictement encadrées. Or, d’habitude, le soutien des proches est capital pour vaincre la peur des patients après le traumatisme de la réa et les aider à participer aux exercices de rééducation. A défaut, le personnel soignant fait au mieux pour les rassurer, mais cela ne suffit pas. « Les patients pleurent beaucoup », constatent les infirmières, désarmées. Et plus le temps passe, plus l’éloignement d’avec les proches leur est insupportable.

Pour tenter d’y remédier, l’hôpital fait appel à un robot. L’objet, une sorte de bras articulé de 1,60 m surmonté d’un écran, est un prototype dont l’usage initial – faire de la téléconsultation – a été détourné depuis le coronavirus pour permettre aux familles de passer des appels vidéo. A l’heure du rendez-vous, Noëlle Bozec, la secrétaire du service, appelle les proches et vérifie que l’image est bonne. Un soignant en tenue de cosmonaute dépose ensuite l’engin dans la chambre puis repart aussitôt. Les patients sont laissés seuls avec lui pour plus d’intimité.

L’effet est troublant. A travers la porte vitrée des chambres, le robot avance maladroitement autour du lit. Il incline sa drôle de tête à droite, à gauche, cherche le bon angle. Les familles le déplacent et l’orientent à distance. Sur l’écran, des fronts et des yeux mal cadrés apparaissent en gros plan et tentent de s’approcher au plus près de ce visage qu’ils ne peuvent embrasser.

« Il faut vraiment que tu t’accroches »

« Coucou maman, tu m’entends ? » La vieille dame ne répond pas. Elle garde les yeux mi-clos, le corps inerte. « Maman, c’est moi, reprend la voix claire. Tout le monde te fait des bisous. Il faut vraiment que tu t’accroches. Je suis là, maman, ne t’inquiète pas. » Un silence. « Mathis m’a dit de te dire qu’il a eu son brevet. Il m’a dit : dis-le à mamie, comme ça, elle sera fière de moi. » Silence. « Oh, ma petite mère, s’étrangle la voix. Tu veux bien bouger ta main comme la dernière fois, que je sache que tu m’entends ? » La main ne bouge pas, les yeux cherchent à grand-peine d’où vient la voix sans la trouver, puis se referment. « Tu es fatiguée, je te laisse te reposer. Bisous maman, je t’aime. » Détresse à l’écran, détresse sur le lit d’hôpital. Etrange vision d’un monde dystopique et déshumanisé.

« Le robot est surtout utilisé à la demande des familles, mais elles se retrouvent souvent en situation d’impuissance, relève Mégane Guillemeau, la psychologue. Si elles étaient là, ce seraient des moments où elles auraient juste à tenir la main de leur proche. Le robot ne peut pas combler ce besoin de contact humain. » Quand les soignants constatent que ces échanges vidéo font plus de mal que de bien, ils repassent à la méthode classique, sans image : un téléphone en mode haut parleur, coincé près de l’oreille du patient.

Parmi les malades que l’hôpital a accueillis depuis le début de l’épidémie, il y a aussi Mohamed. Cet homme de 36 ans, en tunique brodée et claquettes en plastique, achève sa troisième semaine ici, après quinze jours de réanimation et de coma. A l’hôpital Bichat, c’était l’un des patients les plus graves. Les médecins ont vraiment cru qu’ils allaient le perdre. Puis, miracle, son état s’est peu à peu amélioré, au point qu’il a pu être transféré à Forcilles.

« Allez, maintenant, je rentre chez moi »

Et le voilà guéri. C’est le premier du service. Le jeune homme a retrouvé sa jovialité, son humour, et trépigne d’impatience à l’idée de rentrer chez lui et de retrouver sa femme. « C’est elle qui m’a sauvé la vie, en appelant les urgences au bon moment », dit-il, ému. Il ne l’a pas revue depuis, sauf le week-end dernier, « un petit coucou à travers la fenêtre de ma chambre, de loin ».

Encore quelques examens à passer, et ce sera bon. Les orthophonistes l’emmènent en fauteuil roulant jusqu’en radiologie pour vérifier qu’il déglutit correctement. L’intubation a fait quelques dégâts et lui a laissé une voix rauque. Mohamed avale en grimaçant le yaourt rosâtre qu’on lui demande d’ingurgiter. « La vie de ma mère, c’est dégueulasse, on dirait du savon ! » Les soignantes rient et le taquinent. Sur l’écran en noir et blanc de radiologie, le squelette de Mohamed déglutit en même temps que lui. Zoom avant sur la gorge. Pas de fausse route, c’est parfait.

« Je suis un rescapé, constate le jeune homme, encore incrédule. J’ai retrouvé ma mobilité, je respire tout seul, je mange tout seul, je peux me lever, je peux marcher… C’est des petites choses, mais le coronavirus, c’est une saloperie qui vous prend tout. » Il interpelle les soignants qu’il croise sur son passage : « Allez, maintenant, je rentre chez moi ! » Il rit. Il n’en revient pas d’être vivant.
Quand on lit ça ou le journal des soignants, on comprend combien il est indispensable de rester chez soi, au maximum... Ce virus est une horreur.
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Tugdual
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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hazufel
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par hazufel »

TSA
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

Rien ne prouve que le coronavirus a été créé en laboratoire :
Également sur Le Monde :
Modifications :
  • 18/04/2020 : Ajout d'un lien.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Siobhan
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Siobhan »

hazufel a écrit : samedi 18 avril 2020 à 10:26
Tugdual a écrit : vendredi 17 avril 2020 à 13:11 Coronavirus :
Un autre article sur le même sujet :
Immunité collective : conclusions pessimistes d’une étude dans un hôpital de Wuhan

Enfin bon, les news chinoises, ça me semble de plus en plus raisonnable de prendre ça vace des pincettes de 2 mètre de long : exemple via les données des gouvernements locaux de quelques pays, avec notamment le nombre de cas de covid-19 déclarés rapporté à 100 000 habitants (source et carte : https://www.nytimes.com/interactive/202 ... -maps.html, chiffres de la mise à jour du 18 avril 2020 ) :

États-Unis : 213,9 cas déclarés pour 100 000 habitants
France : 163,1 cas déclarés pour 100 000 habitants
Chine (considérée comme le pays de départ de l'épidémie) : 6,3 (!) cas déclarés pour 100 000 habitants. En étant hyper caricatural, avec une règle de trois, le gouvernement chinois serait au moins 25 fois (25*6 = 150) plus efficace pour gérer l'épidémie que la moyenne des pays Européens (grosso merdo entre 150 et 400 cas pour 100 000 habitants) et que les États-unis...

La Chine, cette lumière pour le 21ème siècle ! (ironie+++) :mrgreen: :mrgreen: :crazy: :hotcry: Hurrah pour le pays-Voldemort !

Rendez-nous l'URSS ! :( :mrgreen:


Par ailleurs, je serais (tristement) curieux de savoir ce qui se passe à Hong Kong en ce moment...
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

Jean a écrit : jeudi 16 avril 2020 à 12:23 interview de JF Delfraissy au journal italien La Repubblica https://www.repubblica.it/cronaca/2020/ ... 253823225/
Pour info, également traduit en français ici.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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olivierfh
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par olivierfh »

Siobhan a écrit : samedi 18 avril 2020 à 11:11Par ailleurs, je serais (tristement) curieux de savoir ce qui se passe à Hong Kong en ce moment...
Les pays de la zone ont réellement réduit considérablement la propagation, mais dans un système de contrôle technologique par l'État peu compatible avec la démocratie.
TSA de type syndrome d'Asperger (03/2017) + HQI (11/2016).
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

Siobhan a écrit : samedi 18 avril 2020 à 11:11 Enfin bon, les news chinoises, ça me semble de plus en plus raisonnable de prendre ça vace des pincettes de 2 mètre de long [...]
Rejeter toute information venant de Chine n'est pas pertinent.

Si le nombre de décès en Chine a très probablement été beaucoup important que les chiffres officiels (*), les infos ci-dessus, à l'inverse, ne peuvent pas "arranger" les autorités...


(*) Un article du 30/03/2020 :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Discutons ici du Covid-19 !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).