[Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique)...
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Je n'ai jamais testé pourtant ça pourrais être une bonne idée pour soulager mon anxiété et mes douleurs,même si je suis pas franchement convaincue,on verra bien
Maintenant je ne nie pas les bénéfices du CBD,mais je trouve qu'on en fais trop,on dirais que c'est la solution a tous les maux j'y vois plus un énième business bien juteux qu'autre chose.m'enfin je testerai quand même au moins une fois,mais en plus c'est cher quoi ils s'embêtent pas
L'organisme d'une personne est plus où moins réceptif a la molécule et les bénéfices sont très inégaux selon les personnes de ce que j'ai pu en observer.
Sur le site où je me fourni en monoï de Tahiti j'en ai vu un au CBD oui oui
Maintenant je ne nie pas les bénéfices du CBD,mais je trouve qu'on en fais trop,on dirais que c'est la solution a tous les maux j'y vois plus un énième business bien juteux qu'autre chose.m'enfin je testerai quand même au moins une fois,mais en plus c'est cher quoi ils s'embêtent pas
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
D’où la nécessité d’avoir une préparation magistrale prescrite dans un cadre hospitalier.
Le reste vendu dans les boutiques à l’avenant est un business florissant profitant de la détresse des gens, à prix élevé et sans garantie des composants.
Le reste vendu dans les boutiques à l’avenant est un business florissant profitant de la détresse des gens, à prix élevé et sans garantie des composants.
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Oui c'est le mieux,surtout que c'est pas garanti de voir une amélioration,
C'est exagéré quand même j'en ai même vu chez les buralistes je vois pas trop d'où une molécule censée soulager les douleurs a sa place chez les buralistes quoi
Y'a un engouement un peu excessif,ça me rappel les gens qui consomment du cannabis (certes c'est pas la même chose le CBD puisque pas de THC où quasiment pas) qui t'en parlent comme la "plante magique incroyable miraculeuse solution a tout" mouais Comme la plante miraculeusement destructrice des neurones surtout
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Même dans la cosmétique c'est florissant,j'ai vu les crèmes hydratantes au CBD,les huiles de massages au CBD, les sérums au CBD,
à quand le rouge à lèvres au CBD,le fond de teint au CBD,le chewing-gum au CBD,les boissons au CBD^^le papier toilette au CBD
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
lemonde.fr
Schizophrénie liée au cannabis : les jeunes hommes sont les plus vulnérables
Pascale Santi
Une vaste étude danoise montre le lien entre une consommation forte et le trouble schizophrénique. La hausse de la teneur en THC, le principe actif du chanvre, dans les produits en circulation inquiète d’autant plus que les usagers débutent tôt.
Le lien entre cannabis et schizophrénie a toujours fait couler beaucoup d’encre. Dès le XIXe siècle, il a été montré que le cannabis pouvait déclencher des épisodes délirants. Le psychiatre Jacques-Joseph Moreau (1804-1884) a même étudié les effets de l’aliénation mentale engendrée par l’absorption de haschisch.
Une étude publiée le 4 mai dans la revue Psychological Medicine confirme que la consommation abusive de cannabis augmente le risque de schizophrénie, surtout chez les jeunes hommes. Pour ce faire, des scientifiques des services de santé mentale du Danemark et de l’institut de recherche américain sur les addictions, le National Institute on Drug Abuse, ont examiné les dossiers médicaux de près de 7 millions de Danois âgés de 16 à 49 ans, de 1972 à 2021.
Très différente d’une personne à l’autre, la schizophrénie, pathologie complexe qui se traduit par une perception perturbée de la réalité, touche environ 1 % de la population. Les symptômes sont très variables – repli sur soi, délires, hallucinations, troubles cognitifs…
Les chercheurs confirment que plus la consommation est précoce et fréquente, plus le risque est grand. Certes, ce travail ne fournit pas la preuve irréfutable du lien entre cannabis et schizophrénie. Mais ils observent que la consommation de cannabis a fortement augmenté au Danemark ainsi que sa teneur en THC (delta-9-tétrahydrocannabinol), principe actif, passée de 13 % en 2006 à 30 % en 2016, de même que le nombre de diagnostics de schizophrénie chez les hommes.
Ils ont relevé 45 327 cas de schizophrénie au total. En isolant les consommateurs de cannabis, il ressort que 15 % des cas de schizophrénie auraient pu être évités chez les hommes âgés de 16 à 49 ans, et 4 % chez les femmes de 16 à 49 ans, et jusqu’à 30 % chez les hommes de 21 à 30 ans.
« Période de vulnérabilité de 13 à 16 ans »
« Cette étude danoise est robuste et réalisée par une équipe très solide. Elle montre que les jeunes hommes semblent les plus vulnérables. Elle conforte d’autres travaux qui ont montré une très forte corrélation entre les usages du cannabis et la présence de troubles psychotiques », souligne le psychiatre Jean-Michel Delile, président de Fédération Addiction.
Ainsi, une étude suédoise portant sur 45 000 conscrits, publiée dans The Lancet en 1987, mettait en évidence que plus les jeunes avaient utilisé du cannabis avant d’entrer dans l’armée, plus le risque de développer un trouble psychotique était grand. De même, une étude conduite sur une cohorte de Nouvelle-Zélande en 2002 a montré que les sujets ayant consommé du cannabis en quantité relativement importante et qui, surtout, avaient commencé avant l’âge de 15 ans, présentaient un risque nettement accru de trouble psychotique : multiplié par trois pour les usagers réguliers et par dix pour ceux qui avaient utilisé du cannabis avant 15 ans. La consommation de cannabis précédant l’apparition des symptômes psychotiques et non l’inverse, rappelle Jean-Michel Delile, dans un article publié dans la revue Psychotropes en 2022.
« La poursuite d’un usage de cannabis par une personne ayant un trouble psychotique lui fait courir le risque de présenter plus d’épisodes délirants, de devoir être plus souvent et plus longuement hospitalisée en psychiatrie, et d’idées suicidaires accrues », précise le psychiatre.
« L’étude danoise montre par l’épidémiologie qu’il existe une période à risque, de vulnérabilité, pour les garçons de 13 à 16 ans », observe Jean-Luc Martinot, pédopsychiatre responsable de l’unité de recherche de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) intitulée Trajectoires développementales et psychiatrie (Ecole normale supérieure Paris-Saclay, université Paris-Saclay). « La maturation du cerveau est plus tardive chez le garçon que chez la fille, en termes de structure de la matière grise et de la microstructure de substance blanche », ajoute-t-il. Durant la période de l’adolescence, les circuits du cortex préfrontal – connu pour son implication dans les processus cognitifs complexes, le langage, le raisonnement… – subissent d’importants remaniements, le cerveau est extrêmement plastique et sa vitesse de développement considérable.
Circuits cérébraux altérés
Pour mémoire, le THC du cannabis agit sur les récepteurs cannabinoïdes, qui jouent un rôle important dans la maturation cérébrale. Ce principe actif agirait au niveau des zones du cerveau impliquées dans les pathologies psychiatriques, et particulièrement dans les régions où la plasticité est importante à l’adolescence, indique l’Inserm. Le cannabis peut altérer certains circuits cérébraux importants dans la cognition, la réflexion et la régulation des émotions, d’où des répercussions sur le plan scolaire, des relations, des troubles anxieux. S’il est souvent utilisé initialement en contexte festif, c’est un facteur aggravant d’isolement, de retrait lorsque la consommation devient régulière.
« Le cannabis est l’un des facteurs de risque les plus importants de développer un trouble schizophrénique, les autres facteurs étant une prédisposition génétique ou familiale, l’existence de symptômes atténués », insiste la psychiatre Marie-Odile Krebs (Inserm, université Paris Cité), cheffe de pôle au GHU Paris Sainte-Anne. Elle fait le parallèle avec le tabac et le cancer du poumon.
La consommation de substances n’a pas les mêmes effets pour tous. « Les mauvaises expériences (épisodes paranoïaques, hallucinations auditives ou visuelles, crises d’angoisse, syndromes de dépersonnalisation, désorganisation de la pensée, etc.), lors des premières expérimentations avec le cannabis, peuvent être prédictives d’un risque d’évolution accru vers un trouble psychotique », explique la psychiatre. Dans tous les cas, « il importe donc d’avoir une action de repérage précoce et d’accès aux soins, de mieux informer le grand public, les professionnels de première ligne, soignants ou non », souligne-t-elle.
« Faire de la prévention adaptée »
« Dès qu’un jeune qui consomme commence à avoir des symptômes, à changer de comportement, il faut agir sur ses consommations », plaide Marie-Odile Krebs. D’autant plus que, lorsqu’ils réduisent la consommation de cannabis, ils vont plutôt mieux. C’est un cercle vertueux. « Dans certaines situations, la prise en charge précoce va vraiment limiter le handicap et les effets collatéraux sur la scolarité, les autres prises de risques… », ajoute-t-elle. Certaines pratiques, comme le sport, l’alimentation équilibrée, un bon sommeil ou la gestion du stress, protègent de la survenue de troubles psychiatriques. C’est la psychoéducation.
« Il faut faire de la prévention adaptée, prenant en compte les périodes physiologiques, en particulier chez les jeunes garçons, et les facteurs de risque individuels », précise Jean-Luc Martinot. Selon lui, « les messages de prévention universels ne fonctionnent pas bien ».
« Alors que le mouvement actuel tend vers une dépénalisation, le trouble de l’usage du cannabis chez des jeunes, notamment des très jeunes, ne doit surtout pas être banalisé », prévient Jean-Michel Delile. Il faudrait, selon lui, être ferme sur l’interdiction aux mineurs et le plafonnement des teneurs en THC. Point positif, la consommation de cannabis chez les jeunes diminue en France depuis une bonne dizaine d’années, selon la dernière enquête Escapad de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives. Il n’est jamais trop tard pour arrêter.
Pascale Santi
Schizophrénie liée au cannabis : les jeunes hommes sont les plus vulnérables
Pascale Santi
Une vaste étude danoise montre le lien entre une consommation forte et le trouble schizophrénique. La hausse de la teneur en THC, le principe actif du chanvre, dans les produits en circulation inquiète d’autant plus que les usagers débutent tôt.
Le lien entre cannabis et schizophrénie a toujours fait couler beaucoup d’encre. Dès le XIXe siècle, il a été montré que le cannabis pouvait déclencher des épisodes délirants. Le psychiatre Jacques-Joseph Moreau (1804-1884) a même étudié les effets de l’aliénation mentale engendrée par l’absorption de haschisch.
Une étude publiée le 4 mai dans la revue Psychological Medicine confirme que la consommation abusive de cannabis augmente le risque de schizophrénie, surtout chez les jeunes hommes. Pour ce faire, des scientifiques des services de santé mentale du Danemark et de l’institut de recherche américain sur les addictions, le National Institute on Drug Abuse, ont examiné les dossiers médicaux de près de 7 millions de Danois âgés de 16 à 49 ans, de 1972 à 2021.
Très différente d’une personne à l’autre, la schizophrénie, pathologie complexe qui se traduit par une perception perturbée de la réalité, touche environ 1 % de la population. Les symptômes sont très variables – repli sur soi, délires, hallucinations, troubles cognitifs…
Les chercheurs confirment que plus la consommation est précoce et fréquente, plus le risque est grand. Certes, ce travail ne fournit pas la preuve irréfutable du lien entre cannabis et schizophrénie. Mais ils observent que la consommation de cannabis a fortement augmenté au Danemark ainsi que sa teneur en THC (delta-9-tétrahydrocannabinol), principe actif, passée de 13 % en 2006 à 30 % en 2016, de même que le nombre de diagnostics de schizophrénie chez les hommes.
Ils ont relevé 45 327 cas de schizophrénie au total. En isolant les consommateurs de cannabis, il ressort que 15 % des cas de schizophrénie auraient pu être évités chez les hommes âgés de 16 à 49 ans, et 4 % chez les femmes de 16 à 49 ans, et jusqu’à 30 % chez les hommes de 21 à 30 ans.
« Période de vulnérabilité de 13 à 16 ans »
« Cette étude danoise est robuste et réalisée par une équipe très solide. Elle montre que les jeunes hommes semblent les plus vulnérables. Elle conforte d’autres travaux qui ont montré une très forte corrélation entre les usages du cannabis et la présence de troubles psychotiques », souligne le psychiatre Jean-Michel Delile, président de Fédération Addiction.
Ainsi, une étude suédoise portant sur 45 000 conscrits, publiée dans The Lancet en 1987, mettait en évidence que plus les jeunes avaient utilisé du cannabis avant d’entrer dans l’armée, plus le risque de développer un trouble psychotique était grand. De même, une étude conduite sur une cohorte de Nouvelle-Zélande en 2002 a montré que les sujets ayant consommé du cannabis en quantité relativement importante et qui, surtout, avaient commencé avant l’âge de 15 ans, présentaient un risque nettement accru de trouble psychotique : multiplié par trois pour les usagers réguliers et par dix pour ceux qui avaient utilisé du cannabis avant 15 ans. La consommation de cannabis précédant l’apparition des symptômes psychotiques et non l’inverse, rappelle Jean-Michel Delile, dans un article publié dans la revue Psychotropes en 2022.
« La poursuite d’un usage de cannabis par une personne ayant un trouble psychotique lui fait courir le risque de présenter plus d’épisodes délirants, de devoir être plus souvent et plus longuement hospitalisée en psychiatrie, et d’idées suicidaires accrues », précise le psychiatre.
« L’étude danoise montre par l’épidémiologie qu’il existe une période à risque, de vulnérabilité, pour les garçons de 13 à 16 ans », observe Jean-Luc Martinot, pédopsychiatre responsable de l’unité de recherche de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) intitulée Trajectoires développementales et psychiatrie (Ecole normale supérieure Paris-Saclay, université Paris-Saclay). « La maturation du cerveau est plus tardive chez le garçon que chez la fille, en termes de structure de la matière grise et de la microstructure de substance blanche », ajoute-t-il. Durant la période de l’adolescence, les circuits du cortex préfrontal – connu pour son implication dans les processus cognitifs complexes, le langage, le raisonnement… – subissent d’importants remaniements, le cerveau est extrêmement plastique et sa vitesse de développement considérable.
Circuits cérébraux altérés
Pour mémoire, le THC du cannabis agit sur les récepteurs cannabinoïdes, qui jouent un rôle important dans la maturation cérébrale. Ce principe actif agirait au niveau des zones du cerveau impliquées dans les pathologies psychiatriques, et particulièrement dans les régions où la plasticité est importante à l’adolescence, indique l’Inserm. Le cannabis peut altérer certains circuits cérébraux importants dans la cognition, la réflexion et la régulation des émotions, d’où des répercussions sur le plan scolaire, des relations, des troubles anxieux. S’il est souvent utilisé initialement en contexte festif, c’est un facteur aggravant d’isolement, de retrait lorsque la consommation devient régulière.
« Le cannabis est l’un des facteurs de risque les plus importants de développer un trouble schizophrénique, les autres facteurs étant une prédisposition génétique ou familiale, l’existence de symptômes atténués », insiste la psychiatre Marie-Odile Krebs (Inserm, université Paris Cité), cheffe de pôle au GHU Paris Sainte-Anne. Elle fait le parallèle avec le tabac et le cancer du poumon.
La consommation de substances n’a pas les mêmes effets pour tous. « Les mauvaises expériences (épisodes paranoïaques, hallucinations auditives ou visuelles, crises d’angoisse, syndromes de dépersonnalisation, désorganisation de la pensée, etc.), lors des premières expérimentations avec le cannabis, peuvent être prédictives d’un risque d’évolution accru vers un trouble psychotique », explique la psychiatre. Dans tous les cas, « il importe donc d’avoir une action de repérage précoce et d’accès aux soins, de mieux informer le grand public, les professionnels de première ligne, soignants ou non », souligne-t-elle.
« Faire de la prévention adaptée »
« Dès qu’un jeune qui consomme commence à avoir des symptômes, à changer de comportement, il faut agir sur ses consommations », plaide Marie-Odile Krebs. D’autant plus que, lorsqu’ils réduisent la consommation de cannabis, ils vont plutôt mieux. C’est un cercle vertueux. « Dans certaines situations, la prise en charge précoce va vraiment limiter le handicap et les effets collatéraux sur la scolarité, les autres prises de risques… », ajoute-t-elle. Certaines pratiques, comme le sport, l’alimentation équilibrée, un bon sommeil ou la gestion du stress, protègent de la survenue de troubles psychiatriques. C’est la psychoéducation.
« Il faut faire de la prévention adaptée, prenant en compte les périodes physiologiques, en particulier chez les jeunes garçons, et les facteurs de risque individuels », précise Jean-Luc Martinot. Selon lui, « les messages de prévention universels ne fonctionnent pas bien ».
« Alors que le mouvement actuel tend vers une dépénalisation, le trouble de l’usage du cannabis chez des jeunes, notamment des très jeunes, ne doit surtout pas être banalisé », prévient Jean-Michel Delile. Il faudrait, selon lui, être ferme sur l’interdiction aux mineurs et le plafonnement des teneurs en THC. Point positif, la consommation de cannabis chez les jeunes diminue en France depuis une bonne dizaine d’années, selon la dernière enquête Escapad de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives. Il n’est jamais trop tard pour arrêter.
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Ça marche chez beaucoup (tout comme le cannabis pour l'effet relaxant). Comme c'est maintenant réellement légal, je pense que c'est aussi bien contrôlé (?)Ostara a écrit : ↑mercredi 22 février 2023 à 8:55 Je n'ai jamais testé pourtant ça pourrais être une bonne idée pour soulager mon anxiété et mes douleurs,même si je suis pas franchement convaincue,on verra bien
Maintenant je ne nie pas les bénéfices du CBD,mais je trouve qu'on en fais trop,on dirais que c'est la solution a tous les maux j'y vois plus un énième business bien juteux qu'autre chose.m'enfin je testerai quand même au moins une fois,mais en plus c'est cher quoi ils s'embêtent pas
L'organisme d'une personne est plus où moins réceptif a la molécule et les bénéfices sont très inégaux selon les personnes de ce que j'ai pu en observer.
Sur le site où je me fourni en monoï de Tahiti j'en ai vu un au CBD oui oui
C'est cher mais si en periodes vraiment compliquées ça peut te soulager.. Il n'y a pas trop de risques.
J'ai testé chez moi ça marche pas.
Déjà, le cannabis amplifie les douleurs, les angoisses, me coupe la faim, etc
Le cbd parfois m'a fait ressentir ce genre de choses. Mais pour avoir discuté à l'époque avec un revendeur de CBD... Pour verifier le taux de thc ils fumaient quelques echantillons de leir CBD.. Donc jamais bien sûr de la quasi absence du Thc.
J'hallucine ces derniers temps car en pharmacie ils mettent des produits en" tête de gondole" À base de CBD, à des prix incroyables.
Et oui par contre ça sent comme le cannabis et ça reste longtemps dans le sang.
Avec mon ancien compagnon un mignon Labrador nous a arrêtés aux douanes d'un aéroport
En cours de diagnostic TSA
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
J'ai dû fumer du cannabis, de mes 18 à 33 ans. Ça m'apaisait. Je n'en fume plus depuis. Je vapote depuis ce temps.
Chacun réagit à sa manière, moi ça me détendait et me donnait faim. Le CBD est légal aujourd'hui, et je trouve que le cannabis avec THC devrait pouvoir être vendu chez les tabacs, les buralistes aux majeurs.
J'ai pu arrêter du jour au lendemain, sur un coup de tête, le cannabis. J'étais nerveux pendant le sevrage, mais rien de méchant. L'alcool c'est pire. Il faut être suivi voire hospitalisé. Avec un traitement palliatif comme des benzodiazépines. Un alcoolique en manque peut faire un delirium tremens, qui peut être mortel.
Chacun réagit à sa manière, moi ça me détendait et me donnait faim. Le CBD est légal aujourd'hui, et je trouve que le cannabis avec THC devrait pouvoir être vendu chez les tabacs, les buralistes aux majeurs.
J'ai pu arrêter du jour au lendemain, sur un coup de tête, le cannabis. J'étais nerveux pendant le sevrage, mais rien de méchant. L'alcool c'est pire. Il faut être suivi voire hospitalisé. Avec un traitement palliatif comme des benzodiazépines. Un alcoolique en manque peut faire un delirium tremens, qui peut être mortel.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Oui,Bubu a écrit : ↑mercredi 24 mai 2023 à 19:32 J'ai dû fumer du cannabis, de mes 18 à 33 ans. Ça m'apaisait. Je n'en fume plus depuis. Je vapote depuis ce temps.
Chacun réagit à sa manière, moi ça me détendait et me donnait faim. Le CBD est légal aujourd'hui, et je trouve que le cannabis avec THC devrait pouvoir être vendu chez les tabacs, les buralistes aux majeurs.
J'ai pu arrêter du jour au lendemain, sur un coup de tête, le cannabis. J'étais nerveux pendant le sevrage, mais rien de méchant. L'alcool c'est pire. Il faut être suivi voire hospitalisé. Avec un traitement palliatif comme des benzodiazépines. Un alcoolique en manque peut faire un delirium tremens, qui peut être mortel.
D'accord avec ce que tu dis
(notamment la dangerosité de l'alcool, des benzo..le cannabis devrait être sur "pied d'egalité avec eux. Dangereux aussi cependant en fonction des profils et utilisations. Même s'il n'a pas les mêmes effets de dependance physique d'ailleurs)
En Allemagne apparemment il sera légalisé en 2024
Du coup j'ai mal compris ton message précédent
J'avoure que je n'ai plus le courage de remonter le fil
Je croyais que tu disais ne pas "oser" tester le CBD
Tout en te disant que ça pourrait éventuellement t'aider à calmer tes douleurs?
ou c'etait quelqu'un d'autre, ou j'ai mal compris..desolée!!
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Bonjour, tu dois me confondre avec un autre intervenant.
J'ai testé le CBD en fiole pour vapoter. Avant, j'avais testé le THC de synthèse en fiole. Illégal, ça n'existe plus. Le Bouddha Blues.
En plus d'être très cher, ça n'a pas eu d'effet sur moi.
Je ne consomme plus de cannabis depuis longtemps, et ça ne me manque pas.
J'ai testé le CBD en fiole pour vapoter. Avant, j'avais testé le THC de synthèse en fiole. Illégal, ça n'existe plus. Le Bouddha Blues.
En plus d'être très cher, ça n'a pas eu d'effet sur moi.
Je ne consomme plus de cannabis depuis longtemps, et ça ne me manque pas.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
En replay à partir de ce soir jusqu'au 09/10/2024 :
Présentation :
Présentation :
Dans de nombreux pays, la législation sur le cannabis s'assouplit, que ce soit pour des motifs thérapeutiques ou pour contrer le trafic illégal. En France, pays qui compte le plus grand nombre de consommateurs de cannabis en Europe, cette question suscite encore des débats. Pour comprendre pourquoi certains le légalisent et comment ils en encadrent l'usage, Mathieu Kassovitz a enquêté pendant un an avec Antoine Robin. Dans dix pays différents, il a exploré à la fois l'organisation, les réussites mais aussi les échecs et questionner l'adaptabilité de ces modèles à la France.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
L’Allemagne devient le plus grand pays de l’UE :
Extrait :
Extrait :
Depuis lundi 1ᵉʳ avril à minuit, la consommation de cannabis est autorisée pour les adultes outre-Rhin du fait d’une réforme qui suscite autant d’attentes que de craintes. Une approche diamétralement opposée à celle de la France.
[...]
Selon le gouvernement, la nouvelle législation, ardemment voulue par les écologistes et les libéraux de la coalition du chancelier social-démocrate, Olaf Scholz, devrait permettre de lutter plus efficacement contre les trafics. Estimant que la politique d’interdiction a échoué, le ministre de la santé, Karl Lauterbach, fait régulièrement valoir que des pays comme le Canada, qui ont mis en œuvre la légalisation, ont pu réduire le marché noir.
Mais nombre d’associations médicales craignent une augmentation de la consommation, particulièrement chez les jeunes. Jusqu’à 25 ans, la consommation de cannabis comporte des risques accrus pour le cerveau encore en formation, selon les experts, qui pointent notamment le danger de développer des troubles psychotiques comme la schizophrénie. Pour Katja Seidel, spécialisée dans la prévention des addictions au Centre Tannenhof à Berlin, la nouvelle loi est « une catastrophe ».
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
contre (Cannabis, etc.)
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Attention à ne pas faire d’amalgame dans le « etc. »
Le CBD en prescription hospitalière, sous forme de préparation magistrale est réalisée à base de matière première synthétisée totalement exempte de THC, substance addictive et présentant nombre d’effets secondaires, contrairement au CBD, qui n’a pas de propriétés psychoactives, et n’est par conséquent pas un stupéfiant.
Il est utilisé dans le cas de :
- Douleurs neuropathiques sévères
- Douleurs des patients cancéreux
- Inflammations systémiques / chroniques réfractaires aux médications habituelles, ou en cas de réactions à ces mêmes médications.
- Épilepsie non stabilisée, malheureusement pas disponible partout pour ces pathologies.
- D’autres en cours, malgré les difficultés à le faire accepter par certains protocoles de remboursement.
Voir :
Cannabidiol - national library of medicine.
Pour l’épilepsie :
CBD traitement épilepsie.
TSA
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Oui mais comme aujourd'hui dérives... et n'importe qui... et contrôle bof et que même ça, comme tout médicament, ça finit par nécessité des doses +... et certains finissent par vouloir avec THC...hazufel a écrit : ↑dimanche 12 mai 2024 à 11:21Attention à ne pas faire d’amalgame dans le « etc. »
Le CBD en prescription hospitalière, sous forme de préparation magistrale est réalisée à base de matière première synthétisée totalement exempte de THC, substance addictive et présentant nombre d’effets secondaires, contrairement au CBD, qui n’a pas de propriétés psychoactives, et n’est par conséquent pas un stupéfiant.
Il est utilisé dans le cas de :
- Douleurs neuropathiques sévères
- Douleurs des patients cancéreux
- Inflammations systémiques / chroniques réfractaires aux médications habituelles, ou en cas de réactions à ces mêmes médications.
- Épilepsie non stabilisée, malheureusement pas disponible partout pour ces pathologies.
- D’autres en cours, malgré les difficultés à le faire accepter par certains protocoles de remboursement.
Voir :
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Pour l’épilepsie :
CBD traitement épilepsie.
Pas très pour!
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Re: [Index Santé] Cannabis : pour parler cannabis et cannabidiol (CBD), légalisation, usages (récréatif, thérapeutique).
Dans les exemples que je mentionne, il ne peut y avoir de dérives en pratiques hospitalières encadrées par des protocoles, des validations des organisations de santé, de pratiques de remboursement de la Cpam et des mutuelles. Étant donné le prix du médicament, ces prescriptions sont très surveillées.Escherischieuse a écrit : ↑dimanche 12 mai 2024 à 13:15Oui mais comme aujourd'hui dérives... et n'importe qui... et contrôle bof et que même ça, comme tout médicament, ça finit par nécessité des doses +... et certains finissent par vouloir avec THC...hazufel a écrit : ↑dimanche 12 mai 2024 à 11:21Attention à ne pas faire d’amalgame dans le « etc. »
Le CBD en prescription hospitalière, sous forme de préparation magistrale est réalisée à base de matière première synthétisée totalement exempte de THC, substance addictive et présentant nombre d’effets secondaires, contrairement au CBD, qui n’a pas de propriétés psychoactives, et n’est par conséquent pas un stupéfiant.
Il est utilisé dans le cas de :
- Douleurs neuropathiques sévères
- Douleurs des patients cancéreux
- Inflammations systémiques / chroniques réfractaires aux médications habituelles, ou en cas de réactions à ces mêmes médications.
- Épilepsie non stabilisée, malheureusement pas disponible partout pour ces pathologies.
- D’autres en cours, malgré les difficultés à le faire accepter par certains protocoles de remboursement.
Voir :
Cannabidiol - national library of medicine.
Pour l’épilepsie :
CBD traitement épilepsie.
Pas très pour!
Je ne vous souhaite pas de souffrir d’une de ces pathologies sans possibilités d’autres solutions thérapeutiques, dans ce « contre » non argumenté.
TSA