Aucune critique envers le triskell, je disais cela pour dire que les svastikas n'ont rien à voir avec le nazisme, qu'ils se sont approprié, comme la musique de Wagner. (Il était pourtant antisémite, mais sociétal, ce n'est pas du racisme à proprement parler, même si c'est quand-même très grave)
Salon de tatouage ...
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Re: Salon de tatouage ...
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"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: Salon de tatouage ...
oui je savais/présumais que tu ne critiquais pas le triskell, je tenais juste à apporter une précision...Aucune critique envers le triskell,
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Pour discuter de l'art du tatouage
Hello !
Je n'ai pas vu de sujets traitant de la thématique des tatouages sur le forum et je me suis dit : "Pourquoi pas ?!" .
Aimez-vous les tatouages ? Avez-vous déjà eu envie de vous faire tatouer ? Êtes-vous tatoués ? Si oui, quel style de tatouage préférez-vous, avez-vous un style particulier ? Qu'est-ce que l'acte de tatouage représente pour vous ? Comment gérez-vous les séances de tatouages avec vos hyper ou hypo sensibilités ?
Tant de questions sur le sujet...
Modération (Lepton) : Fusion des sujets (message unique).
Je n'ai pas vu de sujets traitant de la thématique des tatouages sur le forum et je me suis dit : "Pourquoi pas ?!" .
Aimez-vous les tatouages ? Avez-vous déjà eu envie de vous faire tatouer ? Êtes-vous tatoués ? Si oui, quel style de tatouage préférez-vous, avez-vous un style particulier ? Qu'est-ce que l'acte de tatouage représente pour vous ? Comment gérez-vous les séances de tatouages avec vos hyper ou hypo sensibilités ?
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TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
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Re: Salon de tatouage ...
Merci Lepton d'avoir fusionné mon sujet avec un sujet déjà existant. Je suis passée sur ce sujet là mais je pensais qu'il n'était consacré qu'à la partie "dessin/choix du motif" et non à l'acte de tatouage en lui-même, ce que je trouvais quand même assez différent.
Me concernant, premier tatouage tout juste quelques mois après la majorité... Et je suis tombée dans la spirale : A peine on est en train de se faire tatouer le premier, on pense déjà au prochain.
Je passe de longues heures à réfléchir aux significations, aux symboles, aux dessins... Je ne suis pas trop du genre à choisir dans les "book" prédestinés à être tatoués directement. J'aime bien réfléchir à un motif, dessiner, noter mes symboliques, trouver un tatoueur d'un style se rapprochant de ce que je voudrais, lui présenter mes réflexions puis à partir de ça, lui laisser carte blanche sur le croquis final. J'aime laisser ma confiance entre les mains d'un tatoueur. Un tatoueur ce n'est pas juste un inconnu qui vous tatoue, c'est un professionnel avec qui on a décidé de partager un peu d'intimité et de son histoire le temps d'un tatouage.
Je me suis pour l'instant arrêtée à deux tatouages (1 en 2018 et 1 en 2019... Puis ce fut la crise sanitaire) : J'ai l'avant bras gauche et l'omoplate droite de tatoués.
Je gère plutôt bien la douleur aux aiguilles et je trouve qu'il n'est pas déplaisant de douiller un peu lors d'un tatouage, surtout lorsque ce dernier a une signification très forte. J'y vois dedans un effet cathartique.
J'ai tendance à penser que les tatouages de manière générale, sont les cicatrices de divers moments de notre vie que l'on a voulu encrer sur notre corps et je n'ai pas de souci avec l'idée de vieillir avec. Je le vois même parfois un peu dans un esprit "Mon corps est une œuvre d'art".
J'ai très envie de partir sur un troisième mais je ne veux pas faire n'importe quoi, donc je prends mon temps.
Me concernant, premier tatouage tout juste quelques mois après la majorité... Et je suis tombée dans la spirale : A peine on est en train de se faire tatouer le premier, on pense déjà au prochain.
Je passe de longues heures à réfléchir aux significations, aux symboles, aux dessins... Je ne suis pas trop du genre à choisir dans les "book" prédestinés à être tatoués directement. J'aime bien réfléchir à un motif, dessiner, noter mes symboliques, trouver un tatoueur d'un style se rapprochant de ce que je voudrais, lui présenter mes réflexions puis à partir de ça, lui laisser carte blanche sur le croquis final. J'aime laisser ma confiance entre les mains d'un tatoueur. Un tatoueur ce n'est pas juste un inconnu qui vous tatoue, c'est un professionnel avec qui on a décidé de partager un peu d'intimité et de son histoire le temps d'un tatouage.
Je me suis pour l'instant arrêtée à deux tatouages (1 en 2018 et 1 en 2019... Puis ce fut la crise sanitaire) : J'ai l'avant bras gauche et l'omoplate droite de tatoués.
Je gère plutôt bien la douleur aux aiguilles et je trouve qu'il n'est pas déplaisant de douiller un peu lors d'un tatouage, surtout lorsque ce dernier a une signification très forte. J'y vois dedans un effet cathartique.
J'ai tendance à penser que les tatouages de manière générale, sont les cicatrices de divers moments de notre vie que l'on a voulu encrer sur notre corps et je n'ai pas de souci avec l'idée de vieillir avec. Je le vois même parfois un peu dans un esprit "Mon corps est une œuvre d'art".
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Re: Salon de tatouage ...
soit j'adore soit je déteste - il y a des tatouages que je trouve très beaux - dernièrement j'ai bloqué sur les tatouages d'une éduc de mon fils - des motifs maoris - je me suis dit "je veux les mêmes !!" - d'autres je les trouve très moches et vulgaires même -Aimez-vous les tatouages ? Avez-vous déjà eu envie de vous faire tatouer ? Êtes-vous tatoués ? Si oui, quel style de tatouage préférez-vous, avez-vous un style particulier ? Qu'est-ce que l'acte de tatouage représente pour vous ? Comment gérez-vous les séances de tatouages avec vos hyper ou hypo sensibilités ?
alors étant très réactive au niveau épidermique (allergies etc.), j'ai toujours eu peur de passer à l'acte - je suis donc intéressée par les retours d'expérience -
mais pendant un moment j'ai tellement eu le besoin de me faire souffrir physiquement pr libérer la souffrance psychique, que je me suis dit : "autant en faire quelque chose, en laisser une trace, en faire quelque chose de beau, de marquant" au sens littéral du terme
ça me parle l'effet cathartique, c'est exactement ce que je recherche + la signification forte.Je gère plutôt bien la douleur aux aiguilles et je trouve qu'il n'est pas déplaisant de douiller un peu lors d'un tatouage, surtout lorsque ce dernier a une signification très forte. J'y vois dedans un effet cathartique.
J'ai tendance à penser que les tatouages de manière générale, sont les cicatrices de divers moments de notre vie que l'on a voulu encrer sur notre corps et je n'ai pas de souci avec l'idée de vieillir avec. Je le vois même parfois un peu dans un esprit "Mon corps est une œuvre d'art".
Je m'inscris souvent des trucs au stylo noir sur la peau, soit comme un bloc note, soit des dessins aussi
Je pensais à une inscription un peu calligraphiée sur un poignet et sur l'autre un dessin, je pensais à une sorte de liane fleurie qui s'enroulerait, quelque chose de symbolique en tout cas (les motifs maoris j'adore mais ça ne me correspond pas au fond).
Pour ceux qui se sont fait tatouer : sensations, gestion de la douleur, l'après -quand je vois la peau rougie je flippe, je m'enflamme tellement vite...prendre quelque chose pour apaiser ?
TSA (diagnostic en 2019 par psychiatre spécialisé) - troubles anxio-dépressifs
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Re: Salon de tatouage ...
Bon, réservé aux adultes et très discutable.
Quand je serai grand, je me ferai tatouer la svastika nazi sur le pubis rasé de près.
Mais attention, tournée à 45 degrés s'il vous plait!
C'est décidé, je vais me faire tatouer le symbole SS sur la fesse droite, dès demain.
J'aurais aimé aller plus en avant dans les détails, mais je me serais fait bannir.
Et j'aurai des problèmes avec la police.
(Je déconne)
Quand je serai grand, je me ferai tatouer la svastika nazi sur le pubis rasé de près.
Mais attention, tournée à 45 degrés s'il vous plait!
C'est décidé, je vais me faire tatouer le symbole SS sur la fesse droite, dès demain.
J'aurais aimé aller plus en avant dans les détails, mais je me serais fait bannir.
Et j'aurai des problèmes avec la police.
(Je déconne)
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
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Re: Salon de tatouage ...
J'ai pour ma part un grand tatouage représentant l'univers avec galaxie spirale,planètes,astéroïdes,étoiles,et lunes,de mon épaule jusqu'au coude,et je compte recouvrir mon bras en entier jusqu'au poignet.j'ai également pas mal de piercings.
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Ma page perso fragrantica: https://www.fragrantica.fr/members/58816
Savoir,Vouloir,Oser,
Se taire.
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Re: Salon de tatouage ...
J'ai deux tatouages, non visible, il faudrait que je me déshabille pour les montrer. Je préfère qu'ils soient pour moi.
Le premier c'est moi qui l'ai dessiné, il est situé sur la zone du pubis. L'autre, je n'avais pas les compétences alors je lui ai expliqué et il a parfaitement compris et magnifiquement dessiné. Il commence au dessus du sein gauche et descend jusqu'à entre jambe.
La douleur sur le premier à été tolérable. Sur le second plus difficile surtout au niveau des parties génitales, j'avais l'impression de prendre des décharges électriques.
J'ai déjà pensé à en avoir un autre, sur la cuisse droite, j'ai une grosse idée du motif même s'il me faudrait de l'aide pour réajuster mon dessin, mais il y a eu le covid et maintenant l'inflation, je ne vais pas avoir les moyens.
Le premier c'est moi qui l'ai dessiné, il est situé sur la zone du pubis. L'autre, je n'avais pas les compétences alors je lui ai expliqué et il a parfaitement compris et magnifiquement dessiné. Il commence au dessus du sein gauche et descend jusqu'à entre jambe.
La douleur sur le premier à été tolérable. Sur le second plus difficile surtout au niveau des parties génitales, j'avais l'impression de prendre des décharges électriques.
J'ai déjà pensé à en avoir un autre, sur la cuisse droite, j'ai une grosse idée du motif même s'il me faudrait de l'aide pour réajuster mon dessin, mais il y a eu le covid et maintenant l'inflation, je ne vais pas avoir les moyens.
TSA diagnostiqué au CRA le 1/09/2022
Trouble anxieux généralisé aggravé par un stress post traumatique
Trouble anxieux généralisé aggravé par un stress post traumatique
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Re: Salon de tatouage ...
Oui ces zones la sont sensibles ça a dû être désagréable,moi c'est la Galaxie spirale sur le coude qui m'as fais le plus mal le reste du bras je sentais a peine le dermographe^^
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Re: Salon de tatouage ...
Ça sert à quoi les tatouages ? Par Psykocouac.
Pour mettre fin aux préjugés...
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Spoiler :
Diagnostiqué. CRA, 2016.
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Re: Salon de tatouage ...
[Je préfère préciser pour contextualiser le message qui va suivre que je suis une personne qui quand elle aime quelque chose, c'est du sûr. Je me connais assez pour savoir que je peux prendre le risque de me faire tatouer, mais j'encourage quiconque lirait mes propos à bien se questionner sur sa propre approche de la chose et à bien prendre en compte son aspect définitif (ou hautement contraignant à corriger). Attendre plusieurs mois voire plusieurs années avant de concrétiser un projet, par exemple, ça peut permettre d'être plus sûr·e de son coup. ]
Hello,
Je m'invite sur ce fil car le tatouage est un de mes intérêts les plus intenses. Pour ma part, c'est une collection. Mon but est d'en avoir partout, sauf : tête, pieds, paumes, doigts (hormis peut-être les phalanges près de la main), aisselles, parties intimes, l'intérieur de la bouche ou la langue, les yeux évidemment [oui oui le tatouage du blanc de l'œil existe et peut rendre aveugle], et autres zones pas pratiques/"inutiles".
Je vais compléter ma jambe, puis je passerai à mon autre bras.
Pour le buste, le ventre, le dos, je ne sais pas encore. Je vais d'abord faire les membres.
Pour autant, je ne suis pas forcément hyper-rigide, ma collec' est même plutôt un bordel organisé [serait-ce là la définition du double diag' TDAH/TSA ? /humour]
J'aimerais aussi me faire tatouer plus de flashs, c'est-à-dire des motifs uniques proposés directement par l'artiste, que la clientèle n'a plus qu'à choisir.
Je suis assez dure au mal. Plutôt en hyposensibilité pour les douleurs (comme pour le froid d'ailleurs ; hier j'étais en débardeur et un gars en polaire m'a demandé si j'avais froid [pas du tout] parce que lui si. )
C'est surtout le contact physique qui me déplaît (et de devoir sortir de ma caverne pour aller chercher le précieux tattoo)... mais bon, le résultat justifie de se forcer un peu.
Sur l'ensemble de mes tattoos, j'ai vraiment été en détresse 2 fois : intérieur du coude et au-dessus (un autre tatoueur me confirmera plus tard que celui qui m'avait tatouée était un gros bourrin), et remplissage d'un grand tattoo qui prenait des heures. Sinon, ça allait de aucune douleur (des vibrations au pire) à douloureux mais supportable.
Après, je suis pas une warrior non plus ; si je passe une journée à me faire tatouer aplats sur aplats, y'a moyen que je finisse par pleurer comme un bébé.
Et puis, pour moi, il n'y a pas de "mérite" à souffrir. Si je pouvais me faire tatouer sans douleur (voire instantanément), je le ferais. C'est le résultat qui compte pour moi, la pose n'est finalement qu'une étape obligatoire. Je sais qu'il y a des gens qui accordent de l'importance à la pose du tattoo, au rituel leur permettant de l'obtenir... plus j'en fais, plus je constate que ce n'est pas mon cas. C'est surtout synonyme de contacts physiques, d'échanges verbaux (quoique pas toujours), de "bzzzzzz" pendant des heures... et de contraintes pendant les premières semaines de cicatrisation.
Pour ma part, j'ai toujours trouvé le traçage plus désagréable que le remplissage (aiguilles, méthodes différentes). Selon les témoignages, j'ai pu entendre l'inverse...
Je suis satisfaite du résultat [bien que je voie très bien la différence de qualité entre mes tattoos amateurs et mes tattoos faits par des pros] et j'ai eu des compliments dessus. Mais nuance : j'ai eu de la chance dans ma bêtise (voir les innombrables carnages sur Internet).
Je ne le regrette pas, j'ai eu plaisir à les faire (c'était différent de ceux faits par d'autres), mais ce fut malgré tout une connerie qui aurait pu tourner au drame : éventuel foirage et donc éventuel risque pour la santé psychique suite à cela, éventuel danger pour la santé physique potentiellement très grave...
Ne jamais se tatouer soi-même, à moins d'être tatoueur·euse ou alors vraiment apprenti·e bien formé·e (l'auto-tatouage étant une pratique relativement courante chez les personnes qui apprennent le métier).
Sinon, c'est un non catégorique. Le risque d'infection n'est pas à prendre à la légère, le matériel ne peut pas s'acheter n'importe où... L'acte de tatouage est dangereux si mal maîtrisé et un tattoo reste à vie. Si des méthodes de détatouage existent, celles-ci restent coûteuses, douloureuses, et partiellement inefficaces sur les tatouages très denses/pigmentés.
D'ailleurs, gare aux pièges de pensée du style "oh mais c'est bon, j'ai jamais eu de souci jusque là" : le dernier que j'ai fait moi-même (donc normalement à un stade où j'étais censée mieux gérer que pour tous les autres) est justement celui que j'ai raté. Il a cicatrisé comme une blessure et n'a presque pas pris. Donc à moins d'avoir reçu une vraie formation (par d'authentiques pros), on ne peut jamais savoir ce qu'on fait, peu importe qu'on en ait faits plein avant et qu'on fasse très attention.
J'ai bien évidemment arrêté mes conneries, ça fait un moment.
Dorénavant, tous mes tattoos seront faits par des pros.
¹ Se tatouer la main est une décision à réfléchir très sérieusement (stigmatisation encore très présente dans le monde du travail). Un·e bon·ne pro ne tatouera une telle zone que si la personne est déjà bien tatouée. Pour ma part, je l'ai fait à la toute fin de ma manchette. Toujours faire les parties masquables d'abord, les parties problématiques (mains, cou...) ne doivent venir qu'en complément, et les répercussions sociales n'en valent pas la peine à moins de vraiment "vivre tatouage".
² J'essaie (et je recommande) tout de même, pour les petits tattoos, d'économiser plus longtemps pour en faire plusieurs lors d'une même séance — ça revient un peu moins cher.
Hello,
Je m'invite sur ce fil car le tatouage est un de mes intérêts les plus intenses. Pour ma part, c'est une collection. Mon but est d'en avoir partout, sauf : tête, pieds, paumes, doigts (hormis peut-être les phalanges près de la main), aisselles, parties intimes, l'intérieur de la bouche ou la langue, les yeux évidemment [oui oui le tatouage du blanc de l'œil existe et peut rendre aveugle], et autres zones pas pratiques/"inutiles".
- J'en ai 35 actuellement, allant de tout petit à la moitié d'un bras en longueur.
- Je fonctionne par zone.
Je vais compléter ma jambe, puis je passerai à mon autre bras.
- Mes tattoos sont tous en patchwork.
- J'aime aussi que ce soit codifié.
Pour le buste, le ventre, le dos, je ne sais pas encore. Je vais d'abord faire les membres.
Pour autant, je ne suis pas forcément hyper-rigide, ma collec' est même plutôt un bordel organisé [serait-ce là la définition du double diag' TDAH/TSA ? /humour]
- Niveau motifs :
- J'ai déjà des idées pour le futur.
J'aimerais aussi me faire tatouer plus de flashs, c'est-à-dire des motifs uniques proposés directement par l'artiste, que la clientèle n'a plus qu'à choisir.
- Évidemment, je vais parler un peu de douleur...
Je suis assez dure au mal. Plutôt en hyposensibilité pour les douleurs (comme pour le froid d'ailleurs ; hier j'étais en débardeur et un gars en polaire m'a demandé si j'avais froid [pas du tout] parce que lui si. )
C'est surtout le contact physique qui me déplaît (et de devoir sortir de ma caverne pour aller chercher le précieux tattoo)... mais bon, le résultat justifie de se forcer un peu.
Sur l'ensemble de mes tattoos, j'ai vraiment été en détresse 2 fois : intérieur du coude et au-dessus (un autre tatoueur me confirmera plus tard que celui qui m'avait tatouée était un gros bourrin), et remplissage d'un grand tattoo qui prenait des heures. Sinon, ça allait de aucune douleur (des vibrations au pire) à douloureux mais supportable.
Après, je suis pas une warrior non plus ; si je passe une journée à me faire tatouer aplats sur aplats, y'a moyen que je finisse par pleurer comme un bébé.
Et puis, pour moi, il n'y a pas de "mérite" à souffrir. Si je pouvais me faire tatouer sans douleur (voire instantanément), je le ferais. C'est le résultat qui compte pour moi, la pose n'est finalement qu'une étape obligatoire. Je sais qu'il y a des gens qui accordent de l'importance à la pose du tattoo, au rituel leur permettant de l'obtenir... plus j'en fais, plus je constate que ce n'est pas mon cas. C'est surtout synonyme de contacts physiques, d'échanges verbaux (quoique pas toujours), de "bzzzzzz" pendant des heures... et de contraintes pendant les premières semaines de cicatrisation.
Pour ma part, j'ai toujours trouvé le traçage plus désagréable que le remplissage (aiguilles, méthodes différentes). Selon les témoignages, j'ai pu entendre l'inverse...
- Une faute à confesser peut-être ?
Je suis satisfaite du résultat [bien que je voie très bien la différence de qualité entre mes tattoos amateurs et mes tattoos faits par des pros] et j'ai eu des compliments dessus. Mais nuance : j'ai eu de la chance dans ma bêtise (voir les innombrables carnages sur Internet).
Je ne le regrette pas, j'ai eu plaisir à les faire (c'était différent de ceux faits par d'autres), mais ce fut malgré tout une connerie qui aurait pu tourner au drame : éventuel foirage et donc éventuel risque pour la santé psychique suite à cela, éventuel danger pour la santé physique potentiellement très grave...
Ne jamais se tatouer soi-même, à moins d'être tatoueur·euse ou alors vraiment apprenti·e bien formé·e (l'auto-tatouage étant une pratique relativement courante chez les personnes qui apprennent le métier).
Sinon, c'est un non catégorique. Le risque d'infection n'est pas à prendre à la légère, le matériel ne peut pas s'acheter n'importe où... L'acte de tatouage est dangereux si mal maîtrisé et un tattoo reste à vie. Si des méthodes de détatouage existent, celles-ci restent coûteuses, douloureuses, et partiellement inefficaces sur les tatouages très denses/pigmentés.
D'ailleurs, gare aux pièges de pensée du style "oh mais c'est bon, j'ai jamais eu de souci jusque là" : le dernier que j'ai fait moi-même (donc normalement à un stade où j'étais censée mieux gérer que pour tous les autres) est justement celui que j'ai raté. Il a cicatrisé comme une blessure et n'a presque pas pris. Donc à moins d'avoir reçu une vraie formation (par d'authentiques pros), on ne peut jamais savoir ce qu'on fait, peu importe qu'on en ait faits plein avant et qu'on fasse très attention.
J'ai bien évidemment arrêté mes conneries, ça fait un moment.
Dorénavant, tous mes tattoos seront faits par des pros.
¹ Se tatouer la main est une décision à réfléchir très sérieusement (stigmatisation encore très présente dans le monde du travail). Un·e bon·ne pro ne tatouera une telle zone que si la personne est déjà bien tatouée. Pour ma part, je l'ai fait à la toute fin de ma manchette. Toujours faire les parties masquables d'abord, les parties problématiques (mains, cou...) ne doivent venir qu'en complément, et les répercussions sociales n'en valent pas la peine à moins de vraiment "vivre tatouage".
² J'essaie (et je recommande) tout de même, pour les petits tattoos, d'économiser plus longtemps pour en faire plusieurs lors d'une même séance — ça revient un peu moins cher.
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Re: Salon de tatouage ...
Le tatouage est de mieux en mieux accepté en entreprise :
Extrait :
Extrait :
En conclusion, si le tatouage est désormais bien mieux accepté socialement, il reste encore un sujet très sensible dans le milieu professionnel et mériterait d’être davantage abordé en entreprise.
Côté candidat, si le tatouage est un élément fort de votre identité, on peut ainsi vous conseiller d’en parler dès l’étape du recrutement afin de rejoindre une entreprise où vous pourrez vous épanouir. À l’inverse, si vous considérez le tatouage comme un choix personnel, il est sans doute préférable d’en parler avec votre manager une fois recruté afin d’éviter toute forme de discrimination et mieux comprendre quand vous pouvez le dévoiler dans le contexte professionnel.
Côté recruteur, attention, toute discrimination liée à l’apparence physique reste interdite par la loi. Néanmoins, si vous voyez un tatouage chez un candidat et que vous ne savez pas comment réagir, parlez-en afin de lever vos biais et vos stéréotypes. Nous en avons tous nécessairement. Si l’apparence physique est un élément clé du poste, il est sans doute souhaitable d’évoquer directement la question du tatouage avec le candidat et voir si celui-ci ou celle-ci peut être en phase avec la culture d’entreprise.
Enfin, parce que lutter contre les discriminations est un travail qui s’inscrit dans la durée, nous menons actuellement une seconde étude sur le tatouage au travail en France. Si vous êtes tatoué·e et travaillez dans une entreprise en France, n’hésitez pas à répondre à notre questionnaire. Merci d’avance !
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Salon de tatouage ...
Il me reprend l'envie de me faire tatouer.
Je sais quoi. Je sais où.
J'ai déjà deux tatouages.
Ce qui me fait hésiter c'est que je ne suis plus toute jeune et je sais que la peau se prête moins bien au tatouage en vieillissant.
Je sais quoi. Je sais où.
J'ai déjà deux tatouages.
Ce qui me fait hésiter c'est que je ne suis plus toute jeune et je sais que la peau se prête moins bien au tatouage en vieillissant.
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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