Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Personnellement, de mon avis à moi tout seul, non argumenté "scientifiquement" et non sourcé (du gros n'importe quoi, passez votre chemin si vous vous sentez trop exigeant pour lire mes âneries) :
1/ Je pense que cette histoire de prétendus faux-autistes est une légende urbaine qui est alimentée par le manque de culture des gens qui la relaient.
Dans le même genre, on trouve des articles sur les faux-surdoués (cf l'âne Ramus) ou les faux-français (CF l'extrême droite française), les faux-travailleurs (cf gilets jaunes). Avec toujours le même type d'argumentaire : des nouveaux venus qui usurperaient notre identité pour mieux tout nous prendre et profiter de nos privilèges durement acquis. La bêtise des gens, leur manque de culture et leur manque de compassion (par égoïsme ou égocentrisme) comme étant à l'origine de ces phénomènes est plutôt bien documentée dans la littérature, la presse, la sociologie, la psychologie, l'Histoire.
Rejeter un diagnostic d'autisme sous prétexte que la personne n'est pas fauchée, (l'argument "maison, travail, voiture, famille") va tout à fait dans ce sens.
2/ De nombreux contenus sur internet sont rédigés par des personnes novices qui quelques heures seulement après avoir découvert le poteau rose de l'autisme foncent tête baissée dans la création de blogs sur l'autisme (il y a les mêmes en versions surdoué). Ces derniers sont évidemment bourrés de maladresses vu que le sujet n'est pas encore bien maîtrisé. Ce qui amène à avoir des soupçons sur leur statut réel d'autistes. Mais cela ne veut pas forcément dire que leur auteurs ne sont pas autistes. Juste qu'ils feraient bien d'être plus prudents avant de s'épancher sur le web pour mieux le regretter plusieurs années après quand ils ne seront plus dépressifs.
De mon expérience personnelle, il m'est arrivé de croiser certains de ces auteurs de blog en réel (y compris quelques simples contributeurs de ce forum). Contre toutes mes attentes, je suis toujours, sans exception, repartis de ces rencontres même celles très courtes, convaincu qu'au final ils étaient bien autistes (autisme souvent franc). Du coup maintenant j'essaie d'être plus compréhensif sur la détresse des gens. Et quand j'ai un doute, je me force à laisser le bénéfice du doute.
Finalement ce qui me gêne le plus chez ces novices un peu "fou-fou-idiots" parfois c'est de me dire que je leur ressemble peut-être, ou du moins que j'avais l'air à l'ouest comme eux quand moi-même j'étais jeune et con, ou qu'aujourd'hui je paraisse méprisant comme d'autres expérimentés depuis que je suis vieux et aigri. C'est que c'est souvent vexant de se regarder avec lucidité dans le miroir des autres andouilles supposées comme nous, mais qui semblent ne pas faire le moindre effort alors que nous on a l'impression d'en faire pleins.
3/ Concernant le vol de crédits financiers dédiés aux autistes. Si on regarde l'évolution du DSM 5, les aides ne sont plus directement attribuées en fonction du statut autiste (ou bipolaire, anorexique, dépressif, etc), mais en fonction du degré de sévérité d'impact sur la vie courante, le niveau de dépendance aux aides matérielles et humaines (les 3 niveaux dans l'autisme version DSM5, le % d'invalidité de la MDPH). Donc quand une personne usurpe le TSA elle n'obtient pas pour autant plus de droits financiers et aides que ceux obtenus pour un même niveau de dépendance dans un autre trouble. Du moins en théorie car, c'est je pense assez récent, mais ça devrait s'amplifier encore plus dans ce sens dans le futur.
4/ Concernant Mottron, il est dans une situation différente. Il n'est pas autiste et ne cherche pas à défendre l'intégrité de son statut. Je pense juste qu'il aimerait bien que les futures DSM et autres finissent par adopter sa nouvelle classification qu'il mets au point. Et quand on veut proposer un nouveau modèle, c'est toujours de bonne guerre que de commencer en démontrant que l'ancien modèle est foireux et qu'il a besoin d'être changé.
5/ Les journalistes sont pas toujours tous très intègres : avec certains, lors d'une interview, tu peux dire tout ce que tu veux, argumenter pour lui expliquer ton point de vue, le journaliste écrira finalement ce qu'il avait l'intention d'écrire déjà avant de t'interviewer et en ce moquant bien de ton avis. Il t'utilise comme caution pour exprimer son opinion à lui et mieux te dénigrer, en détournant tes propos, on en détournant de manière abusive le sens d'une tournure de phrase, en réorganisant ton contenu pour passer au premier plan des idées très accessoires. Beaucoup de personnes dans mon entourage (notamment le milieu des associations de surdoués) en on fait la mauvaise expérience. Bref, un article de presse d'interview structurée (retravaillée) de Schovanec ou une vidéo de lui sans aucun montage n'ont pas la même authenticité vérifiable. Donc par précaution, j'attendrai la vidéo où il confirmerait le propos de cet article avant de porter un jugement sur sa personne.
1/ Je pense que cette histoire de prétendus faux-autistes est une légende urbaine qui est alimentée par le manque de culture des gens qui la relaient.
Dans le même genre, on trouve des articles sur les faux-surdoués (cf l'âne Ramus) ou les faux-français (CF l'extrême droite française), les faux-travailleurs (cf gilets jaunes). Avec toujours le même type d'argumentaire : des nouveaux venus qui usurperaient notre identité pour mieux tout nous prendre et profiter de nos privilèges durement acquis. La bêtise des gens, leur manque de culture et leur manque de compassion (par égoïsme ou égocentrisme) comme étant à l'origine de ces phénomènes est plutôt bien documentée dans la littérature, la presse, la sociologie, la psychologie, l'Histoire.
Rejeter un diagnostic d'autisme sous prétexte que la personne n'est pas fauchée, (l'argument "maison, travail, voiture, famille") va tout à fait dans ce sens.
2/ De nombreux contenus sur internet sont rédigés par des personnes novices qui quelques heures seulement après avoir découvert le poteau rose de l'autisme foncent tête baissée dans la création de blogs sur l'autisme (il y a les mêmes en versions surdoué). Ces derniers sont évidemment bourrés de maladresses vu que le sujet n'est pas encore bien maîtrisé. Ce qui amène à avoir des soupçons sur leur statut réel d'autistes. Mais cela ne veut pas forcément dire que leur auteurs ne sont pas autistes. Juste qu'ils feraient bien d'être plus prudents avant de s'épancher sur le web pour mieux le regretter plusieurs années après quand ils ne seront plus dépressifs.
De mon expérience personnelle, il m'est arrivé de croiser certains de ces auteurs de blog en réel (y compris quelques simples contributeurs de ce forum). Contre toutes mes attentes, je suis toujours, sans exception, repartis de ces rencontres même celles très courtes, convaincu qu'au final ils étaient bien autistes (autisme souvent franc). Du coup maintenant j'essaie d'être plus compréhensif sur la détresse des gens. Et quand j'ai un doute, je me force à laisser le bénéfice du doute.
Finalement ce qui me gêne le plus chez ces novices un peu "fou-fou-idiots" parfois c'est de me dire que je leur ressemble peut-être, ou du moins que j'avais l'air à l'ouest comme eux quand moi-même j'étais jeune et con, ou qu'aujourd'hui je paraisse méprisant comme d'autres expérimentés depuis que je suis vieux et aigri. C'est que c'est souvent vexant de se regarder avec lucidité dans le miroir des autres andouilles supposées comme nous, mais qui semblent ne pas faire le moindre effort alors que nous on a l'impression d'en faire pleins.
3/ Concernant le vol de crédits financiers dédiés aux autistes. Si on regarde l'évolution du DSM 5, les aides ne sont plus directement attribuées en fonction du statut autiste (ou bipolaire, anorexique, dépressif, etc), mais en fonction du degré de sévérité d'impact sur la vie courante, le niveau de dépendance aux aides matérielles et humaines (les 3 niveaux dans l'autisme version DSM5, le % d'invalidité de la MDPH). Donc quand une personne usurpe le TSA elle n'obtient pas pour autant plus de droits financiers et aides que ceux obtenus pour un même niveau de dépendance dans un autre trouble. Du moins en théorie car, c'est je pense assez récent, mais ça devrait s'amplifier encore plus dans ce sens dans le futur.
4/ Concernant Mottron, il est dans une situation différente. Il n'est pas autiste et ne cherche pas à défendre l'intégrité de son statut. Je pense juste qu'il aimerait bien que les futures DSM et autres finissent par adopter sa nouvelle classification qu'il mets au point. Et quand on veut proposer un nouveau modèle, c'est toujours de bonne guerre que de commencer en démontrant que l'ancien modèle est foireux et qu'il a besoin d'être changé.
5/ Les journalistes sont pas toujours tous très intègres : avec certains, lors d'une interview, tu peux dire tout ce que tu veux, argumenter pour lui expliquer ton point de vue, le journaliste écrira finalement ce qu'il avait l'intention d'écrire déjà avant de t'interviewer et en ce moquant bien de ton avis. Il t'utilise comme caution pour exprimer son opinion à lui et mieux te dénigrer, en détournant tes propos, on en détournant de manière abusive le sens d'une tournure de phrase, en réorganisant ton contenu pour passer au premier plan des idées très accessoires. Beaucoup de personnes dans mon entourage (notamment le milieu des associations de surdoués) en on fait la mauvaise expérience. Bref, un article de presse d'interview structurée (retravaillée) de Schovanec ou une vidéo de lui sans aucun montage n'ont pas la même authenticité vérifiable. Donc par précaution, j'attendrai la vidéo où il confirmerait le propos de cet article avant de porter un jugement sur sa personne.
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PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Merci alexis pour ce commentaire que je trouve très juste
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
FloretteRanou a écrit : ↑lundi 2 mars 2020 à 20:49 Merci alexis pour ce commentaire que je trouve très juste
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HQI (que je préfère appeler HP), Diagnostiqué Asperger
viewtopic.php?f=5&t=13627
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Alexis a écrit : 3/ Concernant le vol de crédits financiers dédiés aux autistes. Si on regarde l'évolution du DSM 5, les aides ne sont plus directement attribuées en fonction du statut autiste (ou bipolaire, anorexique, dépressif, etc), mais en fonction du degré de sévérité d'impact sur la vie courante, le niveau de dépendance aux aides matérielles et humaines (les 3 niveaux dans l'autisme version DSM5, le % d'invalidité de la MDPH). Donc quand une personne usurpe le TSA elle n'obtient pas pour autant plus de droits financiers et aides que ceux obtenus pour un même niveau de dépendance dans un autre trouble. Du moins en théorie car, c'est je pense assez récent, mais ça devrait s'amplifier encore plus dans ce sens dans le futur.
Cette remarque me paraît très judicieuse.
Ca m'y fait penser aussi, et c'est pourquoi je parlais de "haine" : je ne pense pas que ce soit le cas ici sur le forum, mais quand on se met à faire ça politiquement avec le handicap, ça devient douteux.alexis a écrit : 1/ Je pense que cette histoire de prétendus faux-autistes est une légende urbaine qui est alimentée par le manque de culture des gens qui la relaient.
Dans le même genre, on trouve des articles sur les faux-surdoués (cf l'âne Ramus) ou les faux-français (CF l'extrême droite française), les faux-travailleurs (cf gilets jaunes). Avec toujours le même type d'argumentaire : des nouveaux venus qui usurperaient notre identité pour mieux tout nous prendre et profiter de nos privilèges durement acquis. La bêtise des gens, leur manque de culture et leur manque de compassion (par égoïsme ou égocentrisme) comme étant à l'origine de ces phénomènes est plutôt bien documentée dans la littérature, la presse, la sociologie, la psychologie, l'Histoire.
Rejeter un diagnostic d'autisme sous prétexte que la personne n'est pas fauchée, (l'argument "maison, travail, voiture, famille") va tout à fait dans ce sens.
D'accord aussi sur les "vieux aigris" versus "jeunes cons" : tous autant qu'on est ici, puisque, comme le rappelait très justement @Tugdual, nous sommes des autistes de l'ex-type asperger (Asperansa, après tout...), donc capables de nous exprimer à l'écrit et de rechercher un minimum un échange, du moins des discussions, nous pouvons nous revoir, alors que nous étions dans la démarche de diagnostic, nous posant plein de questions, et, combien de fois l'ai-je lu ici, désespérant de trouver un psychiatre qui connaisse bien l'autisme, en vue d'examiner la question avec honnêteté, y compris en étant averti du fait que les difficultés peuvent être en partie masquée (quoique... il s'avère ensuite qu'un praticien un tant soit peu informé relève vite les particularités). Je suis bien sûre que nous sommes nombreux à nous être trouvé(e)s dans ce cas, simplement quand nous le voyons de l'extérieur, nous ne pensons plus à notre parcours et aux galères que nous avons eues nous-mêmes.
Nous sommes quand même quelques-uns ici à avoir ou avoir eu un travail, à être en couple ou tout du moins à avoir eu des enfants, même si avec l'âge, la vie est devenue plus dure, et si l'on finit par sortir peu et par surnager à peine dans le quotidien, et par nous retrouver dans la mélasse pour assurer avec l'administration et l'autonomie. Rappelons-nous aussi qu'on n'est pas tous égaux, et que si l'un(e) a du mal au travail, un(e) autre en aura pour les amitiés, un(e) autre pour les déplacements, etc...
Et puis, pour ce qui est de tel ou tel intérêt restreint, puisqu'il s'agit d'intérêts spécifiques, et donc liés à des choix et des motivations individuels bien différents, pourquoi, et surtout comment juger ? Je n'ai jamais entendu ou lu quiconque (en tout cas pas ici !!) professer un intérêt restreint pour le sexe, mais même "la nature", comme le cite JS : qui annonce avoir un intérêt pour la nature en général ? L'une aimera les chiens et en connaîtra toutes les races, les tenants et les aboutissants du dressage, pour un autre, ce sera les chats, avec toutes les pathologies félines, ou encore les oiseaux, leurs répartitions géographiques et leurs chants... Ce sera en tout cas circonscrit et très fouillé, voire collectionneur au niveau des connaissances engrangées.
Bref, faire preuve de tolérance ne devrait pas être un vain mot pour nous, a fortiori quand nous en voudrions en bénéficier nous-mêmes davantage au quotidien.
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Personnellement je ne vois vraiment rien qui serve l’autisme dans tous ces commentaires dégommants J.S. ici ou ailleurs.
Tout n’est pas à prendre dans ce qu’il dit, mais dans tous les auteurs des commentaires qui foisonnent, combien ont réellement fait quelque chose pour que la vision de l’autisme avance ?
Combien ont passé des heures à expliquer le fonctionnement autistique d’un enfant à un parent / enseignant / soignant désemparé comme lui le fait depuis des années ?
Combien ont aidé des assos à promouvoir des activités pour des autistes ?
Étonnamment les personnes que je connais et qui sont impliqués dans l’opérationnel de l’autisme, n’ont presque rien commenté, et ont surtout appelé à mettre l’énergie ailleurs.
On peut ne pas être d’accord sur certains propos, évidement, mais franchement cette avalanche de propos parfois grotesques, parfois faux, n’apportent vraiment rien au problème de la prise en compte de l’autisme en France, dans les écoles et ailleurs.
Tout n’est pas à prendre dans ce qu’il dit, mais dans tous les auteurs des commentaires qui foisonnent, combien ont réellement fait quelque chose pour que la vision de l’autisme avance ?
Combien ont passé des heures à expliquer le fonctionnement autistique d’un enfant à un parent / enseignant / soignant désemparé comme lui le fait depuis des années ?
Combien ont aidé des assos à promouvoir des activités pour des autistes ?
Étonnamment les personnes que je connais et qui sont impliqués dans l’opérationnel de l’autisme, n’ont presque rien commenté, et ont surtout appelé à mettre l’énergie ailleurs.
On peut ne pas être d’accord sur certains propos, évidement, mais franchement cette avalanche de propos parfois grotesques, parfois faux, n’apportent vraiment rien au problème de la prise en compte de l’autisme en France, dans les écoles et ailleurs.
TSA
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Merci d'avoir prévenu. L'avis éclairé de quelqu'un qui n'a manifestement aucun lien clair avec l'autisme, ne sait pas de quoi il parle, a compris de travers (ou interprète volontairement) les 3/4 du texte, et mélange tout, c'est définitivement de ça dont le débat avait besoin pour avancer.alexis a écrit :Personnellement, de mon avis à moi tout seul, non argumenté "scientifiquement" et non sourcé (du gros n'importe quoi, passez votre chemin si vous vous sentez trop exigeant pour lire mes âneries)
Mention spéciale au parallèle avec l'extrême droite: je me demandais depuis le début si quelqu'un allait oser, ben voilà c'est fait la réponse est oui. Comme quoi c'est vraiment à ça qu'on les reconnaît.
*Diag TSA*
***Nullius in verba***
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Et le groupe nominal référent de cet article défini pluriel, s'il te plaît ? On reconnaît qui exactement ?
Sinon, merci de distribuer en arbitre les cartons à ceux qui ont le droit de participer et à ceux qui n'ont qu'à fermer leur gueule. C'est surtout dans ces conditions, et avec insultes implicites en sus, que le débat est clos !
Diagnostic d'autisme juillet 2019.
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Spoiler : Les Tontons Flingueurs :
TSA de type syndrome d'Asperger (03/2017) + HQI (11/2016).
4 enfants adultes avec quelques traits me ressemblant, dont 1 avec diagnostic TSA et 1 au début du parcours de diagnostic.
4 enfants adultes avec quelques traits me ressemblant, dont 1 avec diagnostic TSA et 1 au début du parcours de diagnostic.
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
En gros, il y a ce phénomène de "migration" vers de "meilleures conditions" (financières, sociales, etc.).
Certains groupes de personnes (des personnes avec trouble de la personnalité limite, des personnes avec trouble d'alcoolémie fœtale, des personnes obsédées par le sexe, etc.) songent de plus en plus à migrer ou sont dirigées vers le diagnostic d'autisme car les conditions financières et sociales y sont meilleures, et non parce qu'elles se pensent autistes.
De la même manière, des personnes se dirigent vers des métiers qui ne leur plaisent pas forcément mais parce qu'il y a du bon salaire ou de la reconnaissance sociale. [Et peu de reconnaissance sociale ou financière dans les activités qui leur plaisent.]
Cela devrait laisse entendre que, parmi les facteurs pouvant inciter à la migration*, il y a de mauvaises conditions (prise en charge, allocations, etc.) chez ces populations (trouble d'alcoolémie fœtale, trouble de la personnalité limite, etc.), et qu'il y a améliorations à apporter.
* Ce n'est bien sûr qu'un seul facteur parmi d'autres. Il y a aussi le facteur "m'as-tu vu" (l'obsession de l'apparence, de la réputation, de passer par exemple à la télé ) de certaines personnes.
Parler de "vrais" et de "faux" autistes est peut-être maladroit, aussi maladroit que de parler de "vrais" suisses que de "faux suisses". On peut ne céder ni au manichéisme ni au "chaotisme", il me semble.
Et ces "migrants" (ou "touristes") ne représentent pas la majorité. Faudrait vraiment que l'Autistan soit une destination touristique. [Après le rêve américain, le rêve suisse, le rêve ..., le rêve autistanais ? Promesses et désenchantements...]
D'un autre côté, un autre facteur qui peut contribuer à l'augmentation du nombre de personnes autistes adultes est la connaissance meilleure qu'avant du spectre autistique.
Le cumul de plusieurs caractéristiques est possible. Par exemple, il y a des personnes à la fois autistes, ehlers-danlosiennes, hyperactive avec déficit d'attention, etc. Il y a des personnes à la fois autistes, victimes de troubles de stress post-traumatique, de syndrome d'épuisement, de dépression, de prosopagnosie, etc. Bien sûr, ça complique les statistiques, mais c'est plus proche de la réalité que de croire que toutes ces catégories sont disjointes (séparées ; avec une corrélation simplistement égale à -1 ). Donc aussi les luttes intersectionnelles. Attention encore à ne pas se laisser à aller à des cognitions simplistes à la "Tu es ... donc tu ne peux pas être autiste."
Continuons d'aller au-delà de l'apparence, cette si petite quantité d'informations par rapport à toutes les informations invisibles.
Continuons d'en apprendre sur chaque autre pour moins être sujets à l'erreur fondamentale d'attribution et autres biais cognitifs.
[Tout champ d'ignorance laisse la place libre aux heuristiques et aux biais cognitifs. Comme aucune personne n'est omnisciente, aucune personne n'est immunisée contre les biais cognitifs. Connaître ceux-ci permet de pouvoir de prendre du recul, surtout dans les domaines que nous connaissons bien, moins dans les domaines que nous connaissons peu.
Se contenter des apparences est un exemple de se contenter du peu qu'on connaît.]
Une fois les privilèges acquis, il est facile d'oublier l'époque où on ne jouissait pas de ces privilèges. Ça me fait penser à quelques immigrants (en Suisse, par exemple) qui ont réussi à bien s'intégrer, puis qui se mettent à soutenir des lois contre l'immigration (comme l'UDC en Suisse, par exemple).
Dans la réalité, mes intérêts spécifiques (échecs, mathématique, poker, etc.), je les partage dans des contextes spécifiques, et pas seulement avec des personnes autistes. Il y a des concours, des compétitions, des forums sur l'internet, etc.
Tudieu ! Je vais me mettre à réfléchir à des liens éventuels entre validisme et méritocratie. ["T'as qu'à bosser, trouver du travail !"]
Jouer l'avocat du diable peut aider à être moins naïf et moins sujet au biais de confirmation. Par contre, faut pas trop le faire souvent, surtout avec les personnes qui n'envisagent pas qu'il peut y avoir comédie, ironie. [C'est comme bluffer au poker, faut pas le faire souvent. Mais pour d'autres raisons stratégiques. ]
Certains groupes de personnes (des personnes avec trouble de la personnalité limite, des personnes avec trouble d'alcoolémie fœtale, des personnes obsédées par le sexe, etc.) songent de plus en plus à migrer ou sont dirigées vers le diagnostic d'autisme car les conditions financières et sociales y sont meilleures, et non parce qu'elles se pensent autistes.
De la même manière, des personnes se dirigent vers des métiers qui ne leur plaisent pas forcément mais parce qu'il y a du bon salaire ou de la reconnaissance sociale. [Et peu de reconnaissance sociale ou financière dans les activités qui leur plaisent.]
Cela devrait laisse entendre que, parmi les facteurs pouvant inciter à la migration*, il y a de mauvaises conditions (prise en charge, allocations, etc.) chez ces populations (trouble d'alcoolémie fœtale, trouble de la personnalité limite, etc.), et qu'il y a améliorations à apporter.
* Ce n'est bien sûr qu'un seul facteur parmi d'autres. Il y a aussi le facteur "m'as-tu vu" (l'obsession de l'apparence, de la réputation, de passer par exemple à la télé ) de certaines personnes.
Parler de "vrais" et de "faux" autistes est peut-être maladroit, aussi maladroit que de parler de "vrais" suisses que de "faux suisses". On peut ne céder ni au manichéisme ni au "chaotisme", il me semble.
Et ces "migrants" (ou "touristes") ne représentent pas la majorité. Faudrait vraiment que l'Autistan soit une destination touristique. [Après le rêve américain, le rêve suisse, le rêve ..., le rêve autistanais ? Promesses et désenchantements...]
D'un autre côté, un autre facteur qui peut contribuer à l'augmentation du nombre de personnes autistes adultes est la connaissance meilleure qu'avant du spectre autistique.
Le cumul de plusieurs caractéristiques est possible. Par exemple, il y a des personnes à la fois autistes, ehlers-danlosiennes, hyperactive avec déficit d'attention, etc. Il y a des personnes à la fois autistes, victimes de troubles de stress post-traumatique, de syndrome d'épuisement, de dépression, de prosopagnosie, etc. Bien sûr, ça complique les statistiques, mais c'est plus proche de la réalité que de croire que toutes ces catégories sont disjointes (séparées ; avec une corrélation simplistement égale à -1 ). Donc aussi les luttes intersectionnelles. Attention encore à ne pas se laisser à aller à des cognitions simplistes à la "Tu es ... donc tu ne peux pas être autiste."
Continuons d'aller au-delà de l'apparence, cette si petite quantité d'informations par rapport à toutes les informations invisibles.
Continuons d'en apprendre sur chaque autre pour moins être sujets à l'erreur fondamentale d'attribution et autres biais cognitifs.
[Tout champ d'ignorance laisse la place libre aux heuristiques et aux biais cognitifs. Comme aucune personne n'est omnisciente, aucune personne n'est immunisée contre les biais cognitifs. Connaître ceux-ci permet de pouvoir de prendre du recul, surtout dans les domaines que nous connaissons bien, moins dans les domaines que nous connaissons peu.
Se contenter des apparences est un exemple de se contenter du peu qu'on connaît.]
Une fois les privilèges acquis, il est facile d'oublier l'époque où on ne jouissait pas de ces privilèges. Ça me fait penser à quelques immigrants (en Suisse, par exemple) qui ont réussi à bien s'intégrer, puis qui se mettent à soutenir des lois contre l'immigration (comme l'UDC en Suisse, par exemple).
Je ne suis pas sûr qu'il était plus harmonieux avant que maintenant. Ça me fait penser aux mythes de l'âge d'or perdu, au biais du "c'était mieux avant", à la Tour de Babel.Josef Schovanec a écrit :Un autre effet pervers est la destruction de la communauté autistique. Il y a quelques années encore, le monde des autistes était harmonieux et le lien se faisait par les centres d’intérêt.
Dans la réalité, mes intérêts spécifiques (échecs, mathématique, poker, etc.), je les partage dans des contextes spécifiques, et pas seulement avec des personnes autistes. Il y a des concours, des compétitions, des forums sur l'internet, etc.
Tudieu ! Je vais me mettre à réfléchir à des liens éventuels entre validisme et méritocratie. ["T'as qu'à bosser, trouver du travail !"]
Jouer l'avocat du diable peut aider à être moins naïf et moins sujet au biais de confirmation. Par contre, faut pas trop le faire souvent, surtout avec les personnes qui n'envisagent pas qu'il peut y avoir comédie, ironie. [C'est comme bluffer au poker, faut pas le faire souvent. Mais pour d'autres raisons stratégiques. ]
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
@Freeshost, merci pour cette démonstration, c'est limpide.Spoiler :
Ce n'est pas bien de bluffer au poker ? On risque de se retrouver tout nu avec du goudron et des plumes ?
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
De quoi tu parle ? De quelle cause du parle ? Quel est le rapport avec le fait que des adultes sont de plus en plus diagnostiqué ?hazufel a écrit : ↑lundi 2 mars 2020 à 21:57 Personnellement je ne vois vraiment rien qui serve l’autisme dans tous ces commentaires dégommants J.S. ici ou ailleurs.
Tout n’est pas à prendre dans ce qu’il dit, mais dans tous les auteurs des commentaires qui foisonnent, combien ont réellement fait quelque chose pour que la vision de l’autisme avance ?
Combien ont passé des heures à expliquer le fonctionnement autistique d’un enfant à un parent / enseignant / soignant désemparé comme lui le fait depuis des années ?
Combien ont aidé des assos à promouvoir des activités pour des autistes ?
Étonnamment les personnes que je connais et qui sont impliqués dans l’opérationnel de l’autisme, n’ont presque rien commenté, et ont surtout appelé à mettre l’énergie ailleurs.
On peut ne pas être d’accord sur certains propos, évidement, mais franchement cette avalanche de propos parfois grotesques, parfois faux, n’apportent vraiment rien au problème de la prise en compte de l’autisme en France, dans les écoles et ailleurs.
Là franchement j'ai de la peine à comprendre le but de ton propos.
Et si c'est une question de servir la cause de l'autisme, existe-t-il un lien entre ce militantisme et l'augmentation des démarches diagnostique, et surtout le fait de "normaliser" l'autisme ?
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HQI (que je préfère appeler HP), Diagnostiqué Asperger
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Bien sûr que si elles se pensent autistes, c'est même le souci principal.FH a écrit :Certains groupes de personnes (des personnes avec trouble de la personnalité limite, des personnes avec trouble d'alcoolémie fœtale, des personnes obsédées par le sexe, etc.) songent de plus en plus à migrer ou sont dirigées vers le diagnostic d'autisme car les conditions financières et sociales y sont meilleures, et non parce qu'elles se pensent autistes.
D'autre part les migrants sont un groupe social clairement identifiable alors que l'autisme est une condition médicale dont on n'arrive plus du tout à cerner les contours cliniques. Qu'est-ce qui est comparable dans l'histoire, exactement?
Est-ce si compliqué de comprendre que les adultes TSA actuels conditionnent les prises en charge et accompagnements des futurs adultes TSA? Et qu'avec une population aussi décousue, aussi éloignée des critères diagnostiques bruts, et qui correspond très fréquemment et précisément à de toutes autres symptomatologies, on se base sur des données qui ne valent absolument plus rien sur le plan clinique? Sans compter les administrations qui avalent couleuvre sur couleuvre et qui sont en train de mettre tous les voyants au rouge?
Il est avant tout question de ciblage, et la plupart des gens "visés" personne ne nie leurs souffrances en tant que telles. C'est simplement que s'identifier à l'autisme ne veut pas dire être autiste, que ne pas prendre en charge certaines symptomatologies de troubles graves de la personnalité c'est un problème de santé publique, et que personne ne rendra jamais service à un dépressif (qui pourrait guérir avec un suivi adapté et ciblé) en lui collant un diagnostic d'autisme pour lui faire plaisir avant de le lâcher dans la nature comme ça (=impasse totale et pronostic zéro).
Si vous voulez continuer à cracher sur J.Schovanec et à l'accuser de tout et n'importe quoi, c'est votre droit. Je sais de source sûre que ce dont il parle vient notamment du corps médical (et évidemment on ne risque pas d'avoir "alors le Dr untel du CRA de tel endroit, le Dr machin de tel centre expert, et Mme truc de tel organisme disent que certains de leurs collègues font 100% de la merde...").
J'ai eu les mêmes retours du même type de personnes, je le répète.
Au cas où certains (j'en doute mais bon...) voudraient vraiment en savoir plus: allez donc à la source vous faire vos propres opinions. Rapprochez-vous des pros qui travaillent au quotidien avec les adultes TSA, qui les prennent en charge niveau psy, font de l'accompagnement vers l'emploi, gèrent leurs dossiers et demandes (ou non-demandes), et sont confrontés à ce public toute la journée. Prenez donc la température dans les centres de soins, les dispositifs spécialisés, les administrations...
Sinon, ben contentez-vous de personnes comme Alexis qui n'ont aucun lien factuel avec la réalité de terrain, mais viennent dire ce que les gens veulent entendre en pratiquant l'enfumage le plus basique qui puisse se concevoir (que vient faire Ramus ici, et qu'a-t-il donc fait dans cette histoire pour se ramasser des insultes? La question reste posée...)
Voilà: faites ce que vous voulez, je ne vois pas vraiment quoi dire d'autre.
*Diag TSA*
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Sur le fond, le coup de gueule forcément maladroit de Josef Schovanec n'est que l'écho d'un problème (cette dérive des diagnostics) évoqué dernièrement par plusieurs professionnels de santé et chercheurs.
C'est à ces professionnels de santé et chercheurs de creuser le sujet, d'établir la réalité de ce problème, d'établir son ampleur, le cas échéant d'envisager des évolutions, que ce soit dans les procédures de diagnostic ou dans la classification.
Ça va forcément demander du temps. Donc : wait and see...
Pour le reste, je préfère oublier une grande partie de ce qu'on peut lire dans cette discussion.
C'est à ces professionnels de santé et chercheurs de creuser le sujet, d'établir la réalité de ce problème, d'établir son ampleur, le cas échéant d'envisager des évolutions, que ce soit dans les procédures de diagnostic ou dans la classification.
Ça va forcément demander du temps. Donc : wait and see...
Pour le reste, je préfère oublier une grande partie de ce qu'on peut lire dans cette discussion.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
Je parle de ce flot de commentaires provenant de personnes qui ne connaissent pas grand chose à l'autisme (ici et/ou ailleurs), disent beaucoup de choses fausses et dégomment allégrement JS, alors qu'il milite depuis des années pour que les proches aidants connaissent mieux l'autisme et aident leur enfant / une personne autiste de leur entourage à mieux vivre. Tous ceux qui critiquent vertement, qu'ont-ils fait eux pour les autistes / l'autisme ?
C'est assez facile de tirer sur l'ambulance on dirait.
Il y a des choses vraies dans ce qu'il dit, mais je vois quand même que se laisser entrainer dans un flot de marasme est assez facile, ici ou ailleurs.
Je dis que l'énergie est à mettre ailleurs si on veut aider à faire mieux comprendre / connaitre l'autisme.
Je ne sais pas et ne suis pas sûre de comprendre ta question. Ou est-il question de normaliser l'autisme ?
TSA
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Re: Diagnostics adultes abusifs (A. Ouellette, J. Schovanec)
j'avais préparé toute une réponse argumentée, mais pour finir je vais faire comme Tugdual. Parce que finalement répondre en argumentant ne fait que prolonger cette discussion. Et vu ce que j'y disais, ça ne fera qu'envenimer la discussion. Et je me sens pas légitime a m'exprimer au vu de la discussion car je suis un "adulte diagnostiqué tardivement", je fais donc partie de cette population problématique. Et j'ai pas envie de me rajouter ce genre de ressenti négatif sans intérêt sur le tas de question que j'ai à régler avec le psy. J'ai déjà assez à faire avec le syndrome de l'imposteur, qui se relance avec cette discussion, pour pas me rajouter par dessus l'impression d’être un abuseur de diagnostique ...hazufel a écrit : ↑mardi 3 mars 2020 à 11:23Je parle de ce flot de commentaires provenant de personnes qui ne connaissent pas grand chose à l'autisme (ici et/ou ailleurs), disent beaucoup de choses fausses et dégomment allégrement JS, alors qu'il milite depuis des années pour que les proches aidants connaissent mieux l'autisme et aident leur enfant / une personne autiste de leur entourage à mieux vivre. Tous ceux qui critiquent vertement, qu'ont-ils fait eux pour les autistes / l'autisme ?
C'est assez facile de tirer sur l'ambulance on dirait.
Il y a des choses vraies dans ce qu'il dit, mais je vois quand même que se laisser entrainer dans un flot de marasme est assez facile, ici ou ailleurs.
Je dis que l'énergie est à mettre ailleurs si on veut aider à faire mieux comprendre / connaitre l'autisme.
Je ne sais pas et ne suis pas sûre de comprendre ta question. Ou est-il question de normaliser l'autisme ?
tugdual a écrit : Pour le reste, je préfère oublier une grande partie de ce qu'on peut lire dans cette discussion.
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HQI (que je préfère appeler HP), Diagnostiqué Asperger
viewtopic.php?f=5&t=13627
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