La fondation Bill et Melinda Gates
Lionel ASTRUC
Vandana SHIVA - Postfacier

https://www.actes-sud.fr/catalogue/soci ... generosite
Sûrement ^^ mais justement, il y a un côté, "Je suis pas seule \o/" ( que ce soit de l'autisme ou autre chose)
Enfin quelqu'un qui aime la belgariade ! Avec les annales du disque monde, c'est mon cycle anti déprime ^^AlexKain a écrit : ↑jeudi 9 mai 2019 à 23:34 Une fois par an, souvent quand ça va pas bien : La Belgariade et la Mallorée de David et Leigh Eddings. (2 séries de 5 livres)
Et là vu que je suis en plein questionnement sur Asperger et en train de passer le diagnostic, bah je me suis replongé dedans, pour penser à autre chose.
Le hic étant que je lis plutôt vite (bon pas non plus comme ceux qui lisent "en diagonale" et qui t'enchaine un livre en 15 minutes lol), et du coup, j'ai bientôt fini... Me resterait les préquelles (2x2 donc 4 livres supplémentaires) mais je les aime moins.
Ce sont clairement mes livres préférés et je ne peux pas m'en passer.
En effet, je le cherche encore de temps en temps, mais pas réussi à en trouver à un prix abordable
Résumé :
Soutiens-gorge rembourrés pour fillettes, obsession de la minceur, banalisation de la chirurgie esthétique, prescription insistante du port de la jupe comme symbole de libération : la « tyrannie du look » affirme aujourd'hui son emprise pour imposer la féminité la plus stéréotypée. Décortiquant presse féminine, discours publicitaires, blogs, séries télévisées, témoignages de mannequins et enquêtes sociologiques, Mona Chollet montre dans ce livre comment les industries du « complexe mode-beauté» travaillent à maintenir, sur un mode insidieux et séduisant, la logique sexiste au coeur de la sphère culturelle.
Sous le prétendu culte de la beauté prospère une haine de soi et de son corps, entretenue par le matraquage de normes inatteignables. Un processus d'autodévalorisation qui alimente une anxiété constante au sujet du physique en même temps qu'il condamne les femmes à ne pas savoir exister autrement que par la séduction, les enfermant dans un état de subordination permanente. En ce sens, la question du corps pourrait bien constituer la clé d'une avancée des droits des femmes sur tous les autres plans, de la lutte contre les violences à celle contre les inégalités au travail.