[Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes

[Deoxys]

Le 8 mars, ce n'est pas la "fête de la femme" comme certaines récupérations marketing veulent le faire croire, mais bien la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes.

"Bonne Fête" est un morceau symbolique pour tous ceux que cette cause touche. Il est là pour rappeler ce message important chaque année sur les réseaux sociaux.

Svp le 8 mars, ne nous souhaitez pas bonne fête

[Sayyida]

Le 8 mars, ce n'est pas la "fête de la femme" comme certaines récupérations marketing veulent le faire croire, mais bien la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes.

"Bonne Fête" est un morceau symbolique pour tous ceux que cette cause touche. Il est là pour rappeler ce message important chaque année sur les réseaux sociaux.

Svp le 8 mars, ne nous souhaitez pas bonne fête

You, the filthy scum who strike, who violate, who crush — listen the fuck up.

You ain’t men. Nah, you just rottin’ carcasses wearin’ human skin, nothin’ but spineless vermin tryna pass for somethin’ worth a breath. You think a busted lip make you powerful? You think a woman’s silence mean you won? Nah — that’s the sound of the noose pullin’ tight ‘round your goddamn throat. Every bone you snapped? That’s a nail in ya coffin. Every scream you muffled? That’s a curse drippin’ down ya sorry ass, draggin’ you straight to the gutter where you fuckin’ belong.

You think ya fists make you feared? Nah, they just scream coward. Real power ain’t in ya busted-ass knuckles smackin’ a woman’s face — it’s in her eyes when she fuckin’ survives you. It’s in her strength when she rise from the wreckage you tried to bury her in — unbreakable, unstoppable, forged in rage and scarred by ya worthless violence. While you rot in your own filth, she gon’ be standin’ tall, spittin’ on the grave you dug for ya own sorry self.

You think you shut ‘em down? Nah, motherfucker. Their voices comin’ — louder, sharper, colder than ya weak-ass fists could ever be. Every bruise you left? That’s a burnin’ torch, and those flames closin’ in fast. Ain’t no shadow dark enough to hide ya face now. They gon’ drag you out — kickin’, screamin’, beggin’ — and the whole world gon’ watch you crumble like the spineless piece of shit you are.

You ain’t nothin’. Just dust waitin’ to scatter. A stain on this earth. And those women? Those fierce, relentless queens you tried to break? They gon’ carve ya downfall in stone. And that stone? That stone gon’ grind ya fuckin’ name to powder.

Ya fists ain’t savin’ you no more. Tremble — ‘cause vengeance comin’, walkin’ with bloodied hands and a fire that just won’t die.

And she’s comin’ for you.

[Moyra38]

Je débarque sur ce canal, que je suis contente de trouver!

Elle est puissante cette chanson, je l'ai découverte hier, j'aime beaucoup!

[Tugdual]

Masculinisme :

• une longue histoire de résistance aux avancées féministes...

Extrait :

La montée de l’extrême droite à l’échelle mondiale, couplée au relâchement de la modération sur les réseaux sociaux numériques, donne l’impression d’une nouvelle percée des discours masculinistes, teintés de conservatisme. Toutefois, cette recrudescence s’inscrit dans une longue histoire de réaction aux avancées féministes et se manifeste aujourd’hui sous des formes variées.

[Tugdual]

Masculinité et politique :

• à l’ère du trumpisme...

Extrait :

Le masculinisme – courant qui accuse le féminisme d’être responsable d’une « crise de la masculinité » et qui propose de valoriser les qualités considérées viriles – est de plus en plus visible dans la sphère politique et médiatique. Quels sont ses soubassements idéologiques ? Comment expliquer son emprise croissante ?

[Tugdual]

Musée du Patriarcat :

• un musée fictif pour imaginer un avenir sans inégalités ;
• Musée National du Patriarcat...

[Tugdual]

« Après Mazan - 1/4 - Des hommes parmi les autres », par Les couilles sur la table :

[Tugdual]

« Après Mazan - 2/4 - Le miroir du déni », par Les couilles sur la table :

[Tugdual]

Sur France-Culture ce midi, Anouk Grinberg :

• “Les hommes rigolent derrière l'enceinte de l'impunité. Ça suffit.”

Extrait :

Dans un monde qui compte sur le silence des victimes pour faire perpétuer sa violence, prendre la parole est un acte politique. La comédienne Anouk Grinberg signe Respect, un texte court, incisif, qui décrit avec une grande clarté la manière dont s’organise l’omerta. Partant de son propre vécu, elle raconte ce que cela fait, dans la tête et dans la chair, lorsque l’on a porté atteinte à notre intimité.

[...]

A travers le récit de cette trajectoire individuelle intrinsèquement liée à la violence, elle fait le portrait d’une société impuissante à regarder en face sa propre brutalité. Prenant l’exemple du cinéma de Bertrand Blier, dont elle fût l’un des visages dans les années 90, Anouk Grinberg dénonce l’hypocrisie qui consiste à refuser de voir qu’en fait et place d’art subversif ce que nous avons célébré - et continuons parfois de défendre - est l’expression d’une jouissance à abimer les femmes.