

Edit : quand il a montré la "bete" a une autre personne, rien que par la vue d'en haut c'etait un peu "dégoutant"



Spoiler : HS palmiers :
est un point que l'on peut entendre, néanmoins cela n'est pas tellement vrai.FinementCiselé a écrit : L'être humain est également le seul a pouvoir s'occuper et maintenir ses individus "faibles", les animaux, non. Mais ça a un prix.
Exact ! Pas mieux.nouvo a écrit :Pour peut-être "démystifier " un peu l'homme et montrer qu'il n'est si différent des autres animaux.est un point que l'on peut entendre, néanmoins cela n'est pas tellement vrai.FinementCiselé a écrit : L'être humain est également le seul a pouvoir s'occuper et maintenir ses individus "faibles", les animaux, non. Mais ça a un prix.
On trouvera des exemples dans tout le règne animal notamment chez les animaux vivant en groupe.
A commencer par la protection des juvéniles : faibles / vulnérables jusqu'à ce qu'ils soient adultes et aptes à se débrouiller tout seuls. Voir chez les mammifères. Egalement aussi chez certaines espèces de poissons où je crois le mâle épinoche héberge dans sa gueule la progéniture pour les protéger mais aussi plus communément la défense du site des juvéniles, qu'il s'agisse d'oiseaux, de poissons.
En plus, le règne du plus fort n'est pas de mise partout.
Voir les fourmis par exemple où des individus plus faibles sont protégés par des plus forts. Les ouvrières et les guerrières. Chacun ayant sa place, son rôle.
Pour les espèces concernées (dans tout le règne animal) les fonctionnements se font par groupe, pour l'intérêt du groupe et le maintien du groupe, de tous et y compris des plus faibles.
Par exemple: les cris d'alerte (oiseaux / mammifères mais aussi insectes sociaux par échanges autres) visent à protéger le groupe, indépendamment des forts et des faibles.
Ainsi, ce n'est pas l'espèce en elle-même qui décidera de ne pas s'occuper des plus faibles mais l'environnement extérieur qui rendra les plus faibles plus vulnérables.
Tout dépend du niveau sur lequel tu place la limite de prise en charge. Passé l'âge adulte, le juvénile n'est plus pris en charge. Et généralement l'individu faible répond a une fonction dans le groupe pour les fourmis. Mais ma phrase est volontairement ouverte a débat.nouvo a écrit :Pour peut-être "démystifier " un peu l'homme et montrer qu'il n'est si différent des autres animaux.est un point que l'on peut entendre, néanmoins cela n'est pas tellement vrai.FinementCiselé a écrit : L'être humain est également le seul a pouvoir s'occuper et maintenir ses individus "faibles", les animaux, non. Mais ça a un prix.
On trouvera des exemples dans tout le règne animal notamment chez les animaux vivant en groupe.
A commencer par la protection des juvéniles : faibles / vulnérables jusqu'à ce qu'ils soient adultes et aptes à se débrouiller tout seuls. Voir chez les mammifères. Egalement aussi chez certaines espèces de poissons où je crois le mâle épinoche héberge dans sa gueule la progéniture pour les protéger mais aussi plus communément la défense du site des juvéniles, qu'il s'agisse d'oiseaux, de poissons.
En plus, le règne du plus fort n'est pas de mise partout.
Voir les fourmis par exemple où des individus plus faibles sont protégés par des plus forts. Les ouvrières et les guerrières. Chacun ayant sa place, son rôle.
Pour les espèces concernées (dans tout le règne animal) les fonctionnements se font par groupe, pour l'intérêt du groupe et le maintien du groupe, de tous et y compris des plus faibles.
Par exemple: les cris d'alerte (oiseaux / mammifères mais aussi insectes sociaux par échanges autres) visent à protéger le groupe, indépendamment des forts et des faibles.
Ainsi, ce n'est pas l'espèce en elle-même qui décidera de ne pas s'occuper des plus faibles mais l'environnement extérieur qui rendra les plus faibles plus vulnérables.
Ah bon ? Je pense pas que les services de santé au Québec soit si différent que en France, mais dans un pays un minimum développer possèdes des services hospitaliers avec des urgences (pour humain).philippe1100 a écrit :parfois je trouve qu'on traite mieux les animaux que les humains . même si le service de vétérinaire est plus dispendieuse . il en reste pas moins accessible . ce n'est toujours pas le cas avec notre système public de santé .