[2013/07/12] Route Atlantique été 2013
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Re: projet été 2013
Un Dimanche ordinaire sur un marathon
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Re: projet été 2013
Courir en robe de mariée avec Wheelie derrière, ça n'a pas dû être de tout repos !
Je remarque que tu as "du rouge aux ongles", ça c'est le must
J-11
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Re: projet été 2013
passe t il / tu par Daoulas ? (c'est pas tres loin ;-)
à quelle date ? (si c'est j -11, ça fait ... le 11 ou le 12 selon le mode de calcul ?)
à quelle date ? (si c'est j -11, ça fait ... le 11 ou le 12 selon le mode de calcul ?)
TSA
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Re: projet été 2013
Courir plus longtemps fatigue moins
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 01.07.2013 | Par Viviane Thivent
Plus on court longtemps, plus on se fatigue. L'assertion semble évidente et pourtant elle serait fausse. Du moins, si l'on se fie aux résultats d'une étude publiée dans la revue Plos One du 26 juin à propos de l'édition 2011 du Tor des géants, une course d'ultra-trail (course à pied dans la nature d'une longueur supérieure à celle du marathon, soit 42,195 kilomètres), considérée comme la plus difficile du monde.
Imaginez plutôt : 330 kilomètres de distance, 24 kilomètres de dénivelés, à parcourir de jour comme de nuit en une étape. "Il n'y a pas d'arrêts obligatoires : les coureurs gèrent leur sommeil ou leur ravitaillement comme ils le souhaitent", explique Grégoire Millet, chercheur à l'université de Lausanne (Suisse). En 2012, ce responsable de l'étude a, par ailleurs, terminé deuxième de cette course dont les temps de parcours oscillent entre 80 et 150 heures.
"Dans l'ultra-trail, le corps est poussé à ses limites. Ce sport permet donc d'appréhender des phénomènes que, d'un point de vue éthique, il serait impossible de tester en laboratoire", poursuit le chercheur. Ainsi, des recherches antérieures menées notamment par son frère, Guillaume Millet, sur des courses de "seulement" 168 kilomètres comme l'Ultra-trail du Mont-Blanc (UTMB), avaient suggéré qu'au-delà de 37 heures de course, un plateau de fatigue s'installait. "Et c'est pour valider cette théorie que nous avons décidé d'étudier une course excédant les 50 heures", explique Grégoire Millet.
Une première délicate à mettre en place. Car, pour participer, les coureurs devaient accepter, pour les besoins de l'expérimentation, de recevoir de petites décharges électriques au niveau de la cuisse et du mollet.
RÉGULATION DE L'ALLURE
Résultat : sur les 471 personnes au départ de l'édition 2011, 25 ont accepté de se plier à l'expérience, et seulement 15 d'entre elles sont arrivées au bout. "Pour chacun des coureurs, nous avons mesuré la fatigue musculaire en début de course, puis après 168 kilomètres et 330 kilomètres", explique Jonas Saugy, de l'université de Lausanne, premier auteur de l'étude et membre du groupe contrôle de l'expérience. "Les coureurs dorment en moyenne deux heures dans la première partie de la course et neuf heures dans la seconde, poursuit-il. Aussi, pour connaître l'influence de cette privation de sommeil sur le corps, nous, les expérimentateurs, avons dormi comme eux et réalisé les mêmes tests physiologiques."
L'étude montre ainsi que les coureurs ayant terminé les 330 km du Tor des géants sont moins fatigués que ceux ayant fini les 168 km de l'UTMB. Et la différence est encore plus prononcée à distance équivalente, puisqu'au bout de 168 kilomètres, les coureurs du Tor des géants sont de deux à trois fois plus frais que ceux qui terminent l'UTMB.
"Ce résultat paradoxal s'explique par la gestion de course, commente Grégoire Millet. Dans le Tor des géants, les participants courent moins vite pour économiser leurs forces. Cette régulation de l'allure se fait de façon consciente mais aussi subconsciente, et vise à protéger l'intégrité du corps. Il est en effet impossible de se suicider avec un excès d'exercice." Une explication qui tient aussi comte du fait que les plus forts taux d'abandon sont observés en tête et en queue de peloton, là où les coureurs présument de leurs forces.
Viviane Thivent
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 01.07.2013 | Par Viviane Thivent
Plus on court longtemps, plus on se fatigue. L'assertion semble évidente et pourtant elle serait fausse. Du moins, si l'on se fie aux résultats d'une étude publiée dans la revue Plos One du 26 juin à propos de l'édition 2011 du Tor des géants, une course d'ultra-trail (course à pied dans la nature d'une longueur supérieure à celle du marathon, soit 42,195 kilomètres), considérée comme la plus difficile du monde.
Imaginez plutôt : 330 kilomètres de distance, 24 kilomètres de dénivelés, à parcourir de jour comme de nuit en une étape. "Il n'y a pas d'arrêts obligatoires : les coureurs gèrent leur sommeil ou leur ravitaillement comme ils le souhaitent", explique Grégoire Millet, chercheur à l'université de Lausanne (Suisse). En 2012, ce responsable de l'étude a, par ailleurs, terminé deuxième de cette course dont les temps de parcours oscillent entre 80 et 150 heures.
"Dans l'ultra-trail, le corps est poussé à ses limites. Ce sport permet donc d'appréhender des phénomènes que, d'un point de vue éthique, il serait impossible de tester en laboratoire", poursuit le chercheur. Ainsi, des recherches antérieures menées notamment par son frère, Guillaume Millet, sur des courses de "seulement" 168 kilomètres comme l'Ultra-trail du Mont-Blanc (UTMB), avaient suggéré qu'au-delà de 37 heures de course, un plateau de fatigue s'installait. "Et c'est pour valider cette théorie que nous avons décidé d'étudier une course excédant les 50 heures", explique Grégoire Millet.
Une première délicate à mettre en place. Car, pour participer, les coureurs devaient accepter, pour les besoins de l'expérimentation, de recevoir de petites décharges électriques au niveau de la cuisse et du mollet.
RÉGULATION DE L'ALLURE
Résultat : sur les 471 personnes au départ de l'édition 2011, 25 ont accepté de se plier à l'expérience, et seulement 15 d'entre elles sont arrivées au bout. "Pour chacun des coureurs, nous avons mesuré la fatigue musculaire en début de course, puis après 168 kilomètres et 330 kilomètres", explique Jonas Saugy, de l'université de Lausanne, premier auteur de l'étude et membre du groupe contrôle de l'expérience. "Les coureurs dorment en moyenne deux heures dans la première partie de la course et neuf heures dans la seconde, poursuit-il. Aussi, pour connaître l'influence de cette privation de sommeil sur le corps, nous, les expérimentateurs, avons dormi comme eux et réalisé les mêmes tests physiologiques."
L'étude montre ainsi que les coureurs ayant terminé les 330 km du Tor des géants sont moins fatigués que ceux ayant fini les 168 km de l'UTMB. Et la différence est encore plus prononcée à distance équivalente, puisqu'au bout de 168 kilomètres, les coureurs du Tor des géants sont de deux à trois fois plus frais que ceux qui terminent l'UTMB.
"Ce résultat paradoxal s'explique par la gestion de course, commente Grégoire Millet. Dans le Tor des géants, les participants courent moins vite pour économiser leurs forces. Cette régulation de l'allure se fait de façon consciente mais aussi subconsciente, et vise à protéger l'intégrité du corps. Il est en effet impossible de se suicider avec un excès d'exercice." Une explication qui tient aussi comte du fait que les plus forts taux d'abandon sont observés en tête et en queue de peloton, là où les coureurs présument de leurs forces.
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Re: projet été 2013
À voir la mariée, il n'y a pas l'air d'avoirGwen a écrit :Un Dimanche ordinaire sur un marathon
beaucoup de soleil par chez vous ...
Je crois que je vais faire confianceJean a écrit :Courir plus longtemps fatigue moins
à cette étude, et ne pas chercher
à la vérifier par moi-même ...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: projet été 2013
Landerneau - 3 juillet 2013 - Le Télégramme
Solidarité. Le commandant va au bout de son raid
Sept cent cinquante au départ, 411 à l'arrivée. Parmi ces derniers, Philippe Traon, commandant de la compagnie de gendarmerie de Landerneau, qui a donc accompli sa mission de boucler les 177 km du raid du golfe du Morbihan, samedi. En 28 h 27'. Soit 50 ' de plus qu'à sa première participation à cette épreuve ultra de course à pied, il y a deux ans. « J'ai dû m'allonger pour dormir à 14 km de l'arrivée. Il était 22 h. L'organisme ne suivait plus. Il a fait très chaud toute la journée », explique le licencié du Pays de Landerneau athlétisme. L'engagement au profit de trois associations finistériennes oeuvrant pour l'intégration des personnes autistes (*) lui a apporté le supplément d'énergie morale pour repartir et aller jusqu'au bout : « L'une des présidentes m'appelait régulièrement pour m'encourager ». Ce qui n'a toutefois pas suffi à porter ses trois coéquipiers jusqu'à la ligne d'arrivée. Trahis par des pépins physiques, Sylvain Werquin et les deux gendarmes Pierre Lopez et Yvan Mahé se sont résignés à abandonner après 120 km de course. Mais l'un d'eux a déjà annoncé son intention de terminer l'épreuve l'an prochain. Pour l'heure, le capitaine hésite à l'accompagner. Il reste du temps pour changer d'avis.
(*) Lud'autisme, Autisme Cornouaille et Asperansa auxquelles le coureur-gendarme (ou l'inverse) et ses coéquipiers ont remis un chèque de 3.700 €.
Solidarité. Le commandant va au bout de son raid
Sept cent cinquante au départ, 411 à l'arrivée. Parmi ces derniers, Philippe Traon, commandant de la compagnie de gendarmerie de Landerneau, qui a donc accompli sa mission de boucler les 177 km du raid du golfe du Morbihan, samedi. En 28 h 27'. Soit 50 ' de plus qu'à sa première participation à cette épreuve ultra de course à pied, il y a deux ans. « J'ai dû m'allonger pour dormir à 14 km de l'arrivée. Il était 22 h. L'organisme ne suivait plus. Il a fait très chaud toute la journée », explique le licencié du Pays de Landerneau athlétisme. L'engagement au profit de trois associations finistériennes oeuvrant pour l'intégration des personnes autistes (*) lui a apporté le supplément d'énergie morale pour repartir et aller jusqu'au bout : « L'une des présidentes m'appelait régulièrement pour m'encourager ». Ce qui n'a toutefois pas suffi à porter ses trois coéquipiers jusqu'à la ligne d'arrivée. Trahis par des pépins physiques, Sylvain Werquin et les deux gendarmes Pierre Lopez et Yvan Mahé se sont résignés à abandonner après 120 km de course. Mais l'un d'eux a déjà annoncé son intention de terminer l'épreuve l'an prochain. Pour l'heure, le capitaine hésite à l'accompagner. Il reste du temps pour changer d'avis.
(*) Lud'autisme, Autisme Cornouaille et Asperansa auxquelles le coureur-gendarme (ou l'inverse) et ses coéquipiers ont remis un chèque de 3.700 €.
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Re: projet été 2013
Alors, ce pique-nique, on se le fait ?Mars a écrit :Une proposition de Gwen à ceux qui souhaitent le rencontrer cet été, notamment les amis du Pays de Loire : et si on pique-niquait le 16 juillet sur le lieu où Gwen prendra le bac pour traverser la Loire (Coueron) ?
C'est juste dans une semaine, et deux questions
se posent : "Où ?" et "à quelle heure ?" ...
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Re: Route Atlantique été 2013
Bonne question Tugdual
Jean et moi, nous y serons et nous espérons te voir ainsi que Madu et tous ceux qui voudront bien se joindre à nous.
On se donne RV à Coueron à la "cale du paradis", d'où part le bac pour traverser la Loire vers 12 h 00 le mardi 16 juillet ?
Il y a 48 km entre le départ de cette étape et Coueron. Si Gwen part vers 6 h/ 6h 30, il devrait y être vers midi au rythme de 8 km/h.
Ceux qui souhaitent venir pique-niquer peuvent me donner un numéro de portable par MP. J'accompagnerai Gwen à vélo et pourrai affiner l'heure d'arrivée vers 10 h 30.
Si j'en crois la météo, il fera toujours très beau ce jour-là
Jean et moi, nous y serons et nous espérons te voir ainsi que Madu et tous ceux qui voudront bien se joindre à nous.
On se donne RV à Coueron à la "cale du paradis", d'où part le bac pour traverser la Loire vers 12 h 00 le mardi 16 juillet ?
Il y a 48 km entre le départ de cette étape et Coueron. Si Gwen part vers 6 h/ 6h 30, il devrait y être vers midi au rythme de 8 km/h.
Ceux qui souhaitent venir pique-niquer peuvent me donner un numéro de portable par MP. J'accompagnerai Gwen à vélo et pourrai affiner l'heure d'arrivée vers 10 h 30.
Si j'en crois la météo, il fera toujours très beau ce jour-là
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Re: Route Atlantique été 2013
La cale du Paradis, c'est bien ici : Google-Maps ?
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Re: Route Atlantique été 2013
Et voilà wheelie est chargée.
Le départ de ma 5ème traversée se fera au port de Roscoff comme la TG à 8h00 pour un petit 49kms.
Le vrai départ sera samedi devant la mairie de Sizun à 7h00.
Il fait beau, le moral est au beau fixe.
Y a plus qu'à.
Merci de vos soutiens.
Pour me suivre? mon blog que je tenterai de mettre à jour tous les jours.
Le départ de ma 5ème traversée se fera au port de Roscoff comme la TG à 8h00 pour un petit 49kms.
Le vrai départ sera samedi devant la mairie de Sizun à 7h00.
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Y a plus qu'à.
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Re: Route Atlantique été 2013
A Tugdual : selon le plan ce doit bien être là le départ du bac !
A Gwen : tous mes voeux pour ce périple en solitaire même si j'aurai encore l'occasion de te le dire les jours prochains.
Si possible, dès demain, des photos du prologue...
A Gwen : tous mes voeux pour ce périple en solitaire même si j'aurai encore l'occasion de te le dire les jours prochains.
Si possible, dès demain, des photos du prologue...
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Re: Route Atlantique été 2013
Sizun - 12 juillet 2013 - Le Télégramme
Enfants autistes. Gwénaël Le Ny court pour eux
Après la Milkil (Saint-Malo - Sète), en 2009, la Transe Gaule (Roscoff - Gruissan Plage), en 2010, la frontière suisse - Brest, en 2011 et Sizun - col de Larche (frontière italienne), en 2012, Gwénaël Le Ny, Sizunien, se prépare à courir sa cinquième traversée de France, qui l'amènera de Roscoff à Hendaye (1.190 km), à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 29 juillet.
L'Eurovéloroute 1 pour plus de sécurité
Lors de son périple, il suivra l'Eurovéloroute 1 (EV1) mais aussi la voie verte du canal de Nantes à Brest. Longue de 8.186 km, l'EV1 relie le Cap Nord, en Norvège, à Sagres, au Portugal en passant par la Grande-Bretagne ou l'Irlande. L'intérêt de suivre une Eurovéloroute est double : un balisage et des routes sécurisées. Depuis 2009, le sportif dédie toutes ses traversées aux enfants autistes et, en particulier, à trois associations : Asperansa, Lud'Autisme et Autisme Cornouaille (associations finistériennes). Par cette action, il veut démontrer que ces enfants peuvent suivre une scolarisation classique en milieu ordinaire.
Pratique Son blog pour le suivre et l'encourager : http ://couriralinfinipour lautisme.overblog.com/
Enfants autistes. Gwénaël Le Ny court pour eux
Après la Milkil (Saint-Malo - Sète), en 2009, la Transe Gaule (Roscoff - Gruissan Plage), en 2010, la frontière suisse - Brest, en 2011 et Sizun - col de Larche (frontière italienne), en 2012, Gwénaël Le Ny, Sizunien, se prépare à courir sa cinquième traversée de France, qui l'amènera de Roscoff à Hendaye (1.190 km), à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 29 juillet.
L'Eurovéloroute 1 pour plus de sécurité
Lors de son périple, il suivra l'Eurovéloroute 1 (EV1) mais aussi la voie verte du canal de Nantes à Brest. Longue de 8.186 km, l'EV1 relie le Cap Nord, en Norvège, à Sagres, au Portugal en passant par la Grande-Bretagne ou l'Irlande. L'intérêt de suivre une Eurovéloroute est double : un balisage et des routes sécurisées. Depuis 2009, le sportif dédie toutes ses traversées aux enfants autistes et, en particulier, à trois associations : Asperansa, Lud'Autisme et Autisme Cornouaille (associations finistériennes). Par cette action, il veut démontrer que ces enfants peuvent suivre une scolarisation classique en milieu ordinaire.
Pratique Son blog pour le suivre et l'encourager : http ://couriralinfinipour lautisme.overblog.com/
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Route Atlantique été 2013
Et voilà la 1ère étape est achevée.
Départ ce matin à 8h30 dans la brume de Rosoff et une arrivée à 14h20 à Sizun chez moi.
Merci à Mars de m'avoir amené sur la ligne de départ.
Merci à Murielle d'être présente.
Je vous donne RDV à Sizun à 7h00.
Plus que 17 étapes.
Départ ce matin à 8h30 dans la brume de Rosoff et une arrivée à 14h20 à Sizun chez moi.
Merci à Mars de m'avoir amené sur la ligne de départ.
Merci à Murielle d'être présente.
Je vous donne RDV à Sizun à 7h00.
Plus que 17 étapes.