J'ai écouté mon alarme interne et j'ai pas forcé, à deux reprises aujourd'hui. Quand-même crevée et fière.

G.DelToro a écrit :"Je trouve que la plus belle chose que produit notre art et notre industrie, c’est d’effacer les lignes dans le sable. Nous devrions continuer à faire ça, quand le monde voudrait les faire plus profondes"
Oh, la bonne idée!Alceste a écrit : Gloria Gaynor !
"I'm what I am"
https://youtu.be/zreTvtpTeoU
Ça c'est bon !
On est comme on est,
si ça ne plaît pas, tant pis.
Ça va mieux. Merci.pimpoline a écrit :Oh, la bonne idée!Alceste a écrit : Gloria Gaynor !
"I'm what I am"
https://youtu.be/zreTvtpTeoU
Ça c'est bon !
On est comme on est,
si ça ne plaît pas, tant pis.
J'espère que l'effet s'en est prolongé et que tu vas mieux depuis.
Combien de fois j'ai fait ça... Je sortais et me promenais dans la nuit au lieu d'être à la fête, et lentement mon coeur s'apaisait, mes tempes cessaient de battre, mon souffle de s'oppresser. Je me croyais sauvage aussi, alors que fondamentalement j'aime les gens.pimpoline a écrit : Hé bien aujourd'hui un truc m'a rendue heureuse, alors que ça pourrait être un bug social.
Je me suis barrée d'une soirée en mode sauvage, et là je suis tranquillou chez moi. Je sais, ça se fait pas, mais vous pouvez pas savoir comment je me suis sentie libre de partir comme ça, au moment où je commençais à ne plus en pouvoir. Et eux non plus ils ne peuvent pas le savoir: tant pis. C'est la première fois (enfin la dernière fois, je devais avoir 7 ans et j'étais pas encore bien formatée) que je m'autorise ça. Habituellement je tourne en rond jusqu'à saisir une occasion ultime de saluer et de quitter les lieux, après un temps plus ou moins long de gamberge à tourner comme un lion en cage et à m'épuiser.
Suffisamment de monde pour que personne ne remarque que j'étais seule, et voilà le tour était joué. J'ai économisé quelques cuillers de la sorte, c'est non négligeable...
Jolie description.lulamae a écrit : Combien de fois j'ai fait ça... Je sortais et me promenais dans la nuit au lieu d'être à la fête, et lentement mon coeur s'apaisait, mes tempes cessaient de battre, mon souffle de s'oppresser. Je me croyais sauvage aussi, alors que fondamentalement j'aime les gens.