Malgré tout, je suis contente car même si je n'y crois pas trop ce sera toujours un progrès d'être passée par la case "entretien" avant de recevoir la fameuse lettre qui s'ajoutera à ma grosse pile de refus... Ca avance quand même un peu...

Repondre 'a cote' les neurotypiques passent leur temps a faire ca et ca ne gene personne.Le recruteur n’a évidemment pas le droit de poser des questions sur le handicap en lui-même, mais peut demander au candidat les aménagements de poste dont il va avoir besoin.
Je ne sais pas... J'amènerai ce que j'ai, on verra bien...Benoit a écrit :Pourquoi les justificatifs ?
La RQTH avec son orientation et ses dates ne leur suffit pas ?
J'y ai pensé mais ça me semble un exercice encore plus périlleux que de dire clairement que j'ai un diag TSA. Je ne suis pas douée du tout pour "tourner autour du pot", et je risque fort de me mettre dans une situation ingérable avec à la clé bafouillage, mutisme et cie.Benoit a écrit :Bah si on te demandes la nature de ton handicap tu reponds a cote sur tes 'difficultes' et surtout leur impact sur ton travail.
C'est vrai, et il faudrait que j'arrive à trouver des tournures qui vont dans cette direction. D'après ma psychologue il y a un max de gens qui rapprochent facilement autisme et bibliothèques en plus... comme une sorte de cliché...Ca montre que tu as du recul sur ton handicap et que tu t'es interesse au poste en question (ce que tous les candidats ne feront pas)
C'est ça. Et entre mentionner clairement mon diag et m'embourber dans des explications incompréhensibles voire rester muette, je crois que la première solution est mieux.Pupuce a écrit :Mais je trouve difficile d'éviter de répondre si la personne demande de but en blanc de quel handicap il s'agit