j'aime bien la culpabilisation sous jacente...l'enfant ne fait pas de différence entre lui et sa mère...qui peut très vite basculer dans la tête de ces professionnels par "la mère ne fait pas de différence entre elle et son fils"...
dingue
c'est ce genre de théorie qui (m' ou lui?) a fait perdre 6 ans avant d'avoir enfin un diagnostic.
je souris aussi car ça me rappelle un peu cette histoire pour les hauts potentiels, d'immaturité!
on est immature parce qu'un garçon de 10 ans ne doit pas pleurer? (une fille...ça passe encore, c'est pas pareil

qu'est-ce que l'immaturité?
théorie aussi de la dyssynchronie, (intéressante à la base) maintes fois déformée au gré des interlocuteurs qui ne peuvent s’empêcher de mettre le doigt sur un "retard" tandis que dans d'autres domaines l'enfant est "à l'avance"...et dériver sur des culpabilisations à consonances psychanalytiques!
ça donne des discours très surprenant parfois.
Une psychologue (soi disant reconnue spécialiste en haut potentiel) avait ainsi décrété que tel enfant, si brillant en classe au CP, avait de bons résultats scolaires uniquement parce que "comme tous les adoptés, il avait peur d'être renvoyé au pays d'origine en cas de mauvais résultats" ...et sa maladresse en écriture, bah...pour "équilibrer" son avance à l'oral (????)
(enfant par la suite diagnostiqué avec TSA, dysgraphique et HP).