Et puis peut-être aussi le fait que "le cadre" de ce qui est testé, n'est pas universel, tout un tas de facteurs jouent dans la définition d'un être humain et son "efficacité" intellectuelle.
Même si j'ai toujours défendu la non-différenciation entre les hommes et les femmes, il est possible, qu'à certains niveaux de réussite aux tests, les femmes soient plus nombreuses, rentrent plus dans un niveau de performances que les hommes, alors qu'à d'autres niveaux, ce soient les hommes qui "performent" mieux.
Et dans les QI bas, je soupçonne qu'il y ait aussi de telles différences, non ? J'ai la flemme de chercher.
Mais n'oublions pas que ce genre de tests et de débats ne "prouvent pas grand chose".
Vaut-il mieux être doté d'un super haut QI, en étant ours, autiste, associable, dépressif, schizophrène, psychotiques, violent, ou que sais-je encore
ou être un brave "connard de base" mais avec beaucoup de générosité, de relations, une famille heureuse, un boulot plaisant qui ne nuit à personne, etc. ?
C'est le genre de question qui, pour moi, n'aura jamais de réponse.
Tout dépend de savoir si l'on pense au bien individuel, au bien social (mais de quelle société ?), au bien planétaire, au bien de sa patrie, de sa famille, de sa "race",... et que sais-je encore ? Là aussi la liste peut-être longue.
Moi, je suis très heureux tout seul de ce que je suis et de ce que je vis. Grâce à ce que la société m'apporte, quand même. Et je suis gêné de voir mon entourage souffrir de ma personnalité. Je suis fondamentalement heureux seul. Mais pour le bien de l'espèce humaine, en tant que société, je dois être une catastrophe...
Mais je ne serais-je pas en train de m'éloigner un peu du message auquel je répondais ?
