freeshost a écrit :Tu sais où je t'ai conseillé d'aller.gog a écrit :Je suis à peine capable de tenir une conversation sans finir vidée de toute mon énergie,
Notion de QI, HQI, HPI, intelligence ... etc ...
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
« Ton bonheur est exponentiel selon ton degré d'intelligence sociale ».
Tout m’interpelle dans cette phrase… surtout dans un sujet sur le HQI.
- L’intelligence c’est quoi ?
- L’intelligence sociale et les intelligences multiples… ?
- Et le bonheur ?
Je ne comprends simplement pas le rapport entre tout cela, le lien.
Le QI d’abord, mesure différents types « d’intelligences » ou de compétences, mais qui ne sont pas tout à fait celles des théories sur les intelligences multiples. Il s’agit à mon sens de deux approches différentes et je ne pense pas que l’on puisse relier le QI tel qu’on le mesure, avec l’intelligence musicale ou l’intelligence sociale justement.
Donc QI, (tel qu’on le pratique actuellement), et intelligence sociale, il n’y a pas de rapport.
Beaucoup d’entre nous en sont la preuve vivante : on peut avoir un gros QI et n’avoir aucune compétence sociale.
Et que vient faire le bonheur dans tout ça ? Désolé, ce ne sont pas les gens et les relations avec eux qui me donnent du bonheur. Au contraire même, je suis mieux seul.
Je suis étonné par le besoin qu’on la plupart des gens de communiquer avec les autres, alors qu’il n’ont pas de passions communes et parlent donc de choses qui ne les intéresse pas et qui ne leur servent à rien. Quand l’un des seuls Intérêts vitaux des gens est juste le fait de communiquer pour communiquer, je ne comprends pas. Retirez leur la communication (vide pourtant si souvent) et ils sont malheureux, n’ont plus rien à faire.
Dire que la sociabilité rends heureux, c’est vouloir réduire les autres à sa norme. C’est comme si dans un monde de peintres, ont disait que le bonheur était proportionnel à la qualité des tableaux. Mais un musicien mal voyant n’aurait donc pas le droit d’être heureux dans ce pays ?
Désolé, je suis très heureux en ayant très peu de relations sociales. Mon esprit est plein de choses passionnantes, je n’aurai jamais fini de voir, d’essayer, de comprendre, d’apprendre tout ce que je veux. J’ai des tas de choses à faire, d’aventures à vivre… je n’ai pas besoin que des gens ternes et ayant d’autres centres d’intérêts que les miens, me fassent perdre du temps.
Je sais que ça peut paraître dur (et ma femme en pleure parfois), mais c’est comme ça que je fonctionne, que je suis HEUREUX, mais c’est aussi une des raisons qui me pousse à me faire diagnostiquer, à me demander si je ne suis pas autiste puisque ma façon de concevoir le bonheur ne semble pas être celle de tout le monde.
Tout m’interpelle dans cette phrase… surtout dans un sujet sur le HQI.
- L’intelligence c’est quoi ?
- L’intelligence sociale et les intelligences multiples… ?
- Et le bonheur ?
Je ne comprends simplement pas le rapport entre tout cela, le lien.
Le QI d’abord, mesure différents types « d’intelligences » ou de compétences, mais qui ne sont pas tout à fait celles des théories sur les intelligences multiples. Il s’agit à mon sens de deux approches différentes et je ne pense pas que l’on puisse relier le QI tel qu’on le mesure, avec l’intelligence musicale ou l’intelligence sociale justement.
Donc QI, (tel qu’on le pratique actuellement), et intelligence sociale, il n’y a pas de rapport.
Beaucoup d’entre nous en sont la preuve vivante : on peut avoir un gros QI et n’avoir aucune compétence sociale.
Et que vient faire le bonheur dans tout ça ? Désolé, ce ne sont pas les gens et les relations avec eux qui me donnent du bonheur. Au contraire même, je suis mieux seul.
Je suis étonné par le besoin qu’on la plupart des gens de communiquer avec les autres, alors qu’il n’ont pas de passions communes et parlent donc de choses qui ne les intéresse pas et qui ne leur servent à rien. Quand l’un des seuls Intérêts vitaux des gens est juste le fait de communiquer pour communiquer, je ne comprends pas. Retirez leur la communication (vide pourtant si souvent) et ils sont malheureux, n’ont plus rien à faire.
Dire que la sociabilité rends heureux, c’est vouloir réduire les autres à sa norme. C’est comme si dans un monde de peintres, ont disait que le bonheur était proportionnel à la qualité des tableaux. Mais un musicien mal voyant n’aurait donc pas le droit d’être heureux dans ce pays ?
Désolé, je suis très heureux en ayant très peu de relations sociales. Mon esprit est plein de choses passionnantes, je n’aurai jamais fini de voir, d’essayer, de comprendre, d’apprendre tout ce que je veux. J’ai des tas de choses à faire, d’aventures à vivre… je n’ai pas besoin que des gens ternes et ayant d’autres centres d’intérêts que les miens, me fassent perdre du temps.
Je sais que ça peut paraître dur (et ma femme en pleure parfois), mais c’est comme ça que je fonctionne, que je suis HEUREUX, mais c’est aussi une des raisons qui me pousse à me faire diagnostiquer, à me demander si je ne suis pas autiste puisque ma façon de concevoir le bonheur ne semble pas être celle de tout le monde.
Diagnostiqué par le CRA en 2020 non autiste mais de gros problèmes dans le ressenti des émotions (alexithymie) et dans la communication sociale.
HQI aussi, ce qui peut aller de pair.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
L'intelligence c'est une multitude de choses. Pour que tu sois heureux, il te faut bien des relations avec des gens qui t'acceptent comme tu es, l'être humain n'a jamais été fait pour être seul non ?Autiste ou surdoué ? a écrit :« Ton bonheur est exponentiel selon ton degré d'intelligence sociale ».
Tout m’interpelle dans cette phrase… surtout dans un sujet sur le HQI.
- L’intelligence c’est quoi ?
- L’intelligence sociale et les intelligences multiples… ?
- Et le bonheur ?
Je ne comprends simplement pas le rapport entre tout cela, le lien.
Le QI d’abord, mesure différents types « d’intelligences » ou de compétences, mais qui ne sont pas tout à fait celles des théories sur les intelligences multiples. Il s’agit à mon sens de deux approches différentes et je ne pense pas que l’on puisse relier le QI tel qu’on le mesure, avec l’intelligence musicale ou l’intelligence sociale justement.
Donc QI, (tel qu’on le pratique actuellement), et intelligence sociale, il n’y a pas de rapport.
Beaucoup d’entre nous en sont la preuve vivante : on peut avoir un gros QI et n’avoir aucune compétence sociale.
Et que vient faire le bonheur dans tout ça ? Désolé, ce ne sont pas les gens et les relations avec eux qui me donnent du bonheur. Au contraire même, je suis mieux seul.
Je suis étonné par le besoin qu’on la plupart des gens de communiquer avec les autres, alors qu’il n’ont pas de passions communes et parlent donc de choses qui ne les intéresse pas et qui ne leur servent à rien. Quand l’un des seuls Intérêts vitaux des gens est juste le fait de communiquer pour communiquer, je ne comprends pas. Retirez leur la communication (vide pourtant si souvent) et ils sont malheureux, n’ont plus rien à faire.
Dire que la sociabilité rends heureux, c’est vouloir réduire les autres à sa norme. C’est comme si dans un monde de peintres, ont disait que le bonheur était proportionnel à la qualité des tableaux. Mais un musicien mal voyant n’aurait donc pas le droit d’être heureux dans ce pays ?
Désolé, je suis très heureux en ayant très peu de relations sociales. Mon esprit est plein de choses passionnantes, je n’aurai jamais fini de voir, d’essayer, de comprendre, d’apprendre tout ce que je veux. J’ai des tas de choses à faire, d’aventures à vivre… je n’ai pas besoin que des gens ternes et ayant d’autres centres d’intérêts que les miens, me fassent perdre du temps.
Je sais que ça peut paraître dur (et ma femme en pleure parfois), mais c’est comme ça que je fonctionne, que je suis HEUREUX, mais c’est aussi une des raisons qui me pousse à me faire diagnostiquer, à me demander si je ne suis pas autiste puisque ma façon de concevoir le bonheur ne semble pas être celle de tout le monde.
Et bien je n'ai pas le même point de vue que toi. Qu tu n'aimes pas la société actuelle, que tu trouve ça bête de se socialiser pour se socialiser c'est une chose. C'en es une autre de chercher le contact de gens bienveillants mais pour ça ,cela ne va pas te plaire,c'est de se mouiller et parfois de prendre des claques. Et puis je trouve que tu juge beaucoup. Ok la société actuelle hyper individualiste, hyper consummériste, tu ne peux pas la blairer. Il se trouve que parmi les gens que tu jugent communiquer pour communiquer y'a peux être des biens même si il doivent se créer une façade pour survivre. Je ne crois pas que ce soit très sain de catégoriser dans un même sac les autres personnes ne fonctionnant pas comme toi mais bon chacun sa philosophie de vie. J'ai choisi d'être avec les autres et non pas contre les autres. Pourtant parfois, j'ai l'impression de me retrouver dans le film "idiocracy". Et cette impression est souvent passagère parce que mr et mme tout le monde que je croise dans la rue sont souvent bien sympathiques malgré leur apparence d'idiots et d'idiotes du système.
Donc quand tu dit que pour toi "Dire que la sociabilité rends heureux, c’est vouloir réduire les autres à sa norme" pour moi c'est aussi réducteur. Pas de nuances de faites. Je ne réduit personne à une prétendue norme personnelle, je veux juste être le plus intégré possible. Quel intérêt j'ai à mettre tout le monde dans le même sac?
Ce n'es pas moi qui te dirait si t'es autiste, de toute façon tu sera fixé que par un pro digne de ce nom.
Bonne journée.
Diagnostique autiste par le CRA en mars 2009
Si vi pacem, para bellum
Traduction Latine: Si tu veux la paix, prépare la guerre
Contrôleur des finances publiques 2ème classe en trésorerie municipale.
Adepte de la course à pied.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Je sais qu'à chaque fois que je parle de mon manque d'intérêt pour les autres, cela provoque des réactions. Est-ce que c'est parce que la différence fait peur ?
Et la plupart des gens non plus, tant mieux, sinon il n'y aurait pas de société humaine.
Avec tous les bienfaits qu'elle apporte… (là je ne sais pas si c'est de l'humour ?!)
J'ai tendance à me sentir complet seul, depuis tout petit. La vie m'a donnée l'occasion de rencontrer toutes sortes de gens, et des "claques", je m'en suis pris. J'ai même souvent été contre ma nature de solitaire pour aider les autres. J'ai été bienveillant moi-même. Mais ça n'a jamais abouti autre chose que de l'artificiel. J'ai beaucoup fait de social, sans doute inconsciemment pour "me faire des amis", mais, si j'ai été utile à la société, cela ne m'a pas fait d'amis. Je crois que je ne sais pas faire fonctionner le relationnel. Mais comme je suis très bien seul, j'ai fini par ne plus chercher autre chose que j'assimile à de la perte de temps. Je ne dis pas que chercher des relations sociales c'est perdre son temps, non, puisque c'est le moteur de l'humanité, mais je parle pour moi, par expérience et ressenti.
Ce que je voulais expliquer, c'est qu'une telle affirmation ne tient pas compte de ceux qui ne sont pas dans la norme, n'envisage pas leur existence.
On peut être intégré en étant "comme les autres" ou être intégré en étant relativement "invisible".
En fait je suis tout à fait d'accord avec ce que tu disais à Gog : "il y'a intelligence sociale et intelligences. Ton bonheur est exponentiel selon ton degré d'intelligence sociale. Les autres intelligences qu'on mesure par le QI n'ont rien à voir avec l'intelligence sociale."
Je suis très sensible aux affirmations, cela me vaut souvent des conflits avec mon entourage. Je mets des "je pense", "à mon avis", "pour moi", "il me semble", etc., un peu partout. Pour moi c'est juste de la lucidité, de l'honnêteté vis-à-vis des autres… C'est probablement ça qui a "coincé", le coté affirmatif.
Bonne journée.
PS : Le "Ah… je l'ai écrit quelques part ?" c'est surtout par humour que je l'ai répété à ce point !
Très bien !Et bien je n'ai pas le même point de vue que toi.
Et la plupart des gens non plus, tant mieux, sinon il n'y aurait pas de société humaine.
Avec tous les bienfaits qu'elle apporte… (là je ne sais pas si c'est de l'humour ?!)
Ah… je l'ai écrit quelques part ?Que tu n'aimes pas la société actuelle,
Des gens bienveillants, il y en a partout (Certains types de bienveillance m'agacent d'ailleurs). Il parait naturel de chercher d'abord des gens qui partagent des intérêts avec soi. A partir de là, je garderai ceux qui sont bienveillants, bien sûr, j'éviterais ceux qui me veulent du mal ou profiter de moi.que tu trouve ça bête de se socialiser pour se socialiser c'est une chose. C'en est une autre de chercher le contact de gens bienveillants mais pour ça, cela ne va pas te plaire, c'est de se mouiller et parfois de prendre des claques.
J'ai tendance à me sentir complet seul, depuis tout petit. La vie m'a donnée l'occasion de rencontrer toutes sortes de gens, et des "claques", je m'en suis pris. J'ai même souvent été contre ma nature de solitaire pour aider les autres. J'ai été bienveillant moi-même. Mais ça n'a jamais abouti autre chose que de l'artificiel. J'ai beaucoup fait de social, sans doute inconsciemment pour "me faire des amis", mais, si j'ai été utile à la société, cela ne m'a pas fait d'amis. Je crois que je ne sais pas faire fonctionner le relationnel. Mais comme je suis très bien seul, j'ai fini par ne plus chercher autre chose que j'assimile à de la perte de temps. Je ne dis pas que chercher des relations sociales c'est perdre son temps, non, puisque c'est le moteur de l'humanité, mais je parle pour moi, par expérience et ressenti.
Ah… je l'ai écrit quelque part ? Je ne crois pas avoir jugé qui que ce soit, je parle de mon ressenti, de moi. D'ailleurs on pourrait me le reprocher.Et puis je trouve que tu juge beaucoup.
Ah… je l'ai écrit quelque part ? Pas dans mon message en tous cas. Le sujet est le bonheur, l'intelligence sociale, je ne m'égarerais pas dans des considérations de société. Sur quels indices te bases-tu pour dire que je "ne peux pas blairer" la société ? Je crois simplement dire que les relations aux autres ne m'intéressent pas et que je suis heureux avec un minimum de vie sociale.Ok la société actuelle hyper individualiste, hyper consumériste, tu ne peux pas la blairer.
Mais oui, bien sûr. Mais je trouve compliqué, inutile et perte de temps de chercher derrière la façade (pour moi, je le précise encore !)Il se trouve que parmi les gens que tu juges communiquer pour communiquer y'a peux être des biens même si ils doivent se créer une façade pour survivre.
Ah… je l'ai écrit quelque part ? Ce n'est pas parce qu'une personne est rousse qu'elle catégorise tous les gens qui ont d'autres couleurs de cheveux "dans le même sac". Le monde est plein de variétés, de gens différents, de communications, d'histoires passionnantes, débiles ou touchantes. Je ne le nie pas et suis même bien placé pour le savoir. Je sais que je ne catégorise pas dans le même sac les gens qui ne fonctionne pas comme moi car je sais bien que c'est plutôt moi qui ne fonctionne pas comme la plupart des autres. C'est moi qui me "mets dans un sac" à ce moment là !Je ne crois pas que ce soit très sain de catégoriser dans un même sac les autres personnes ne fonctionnant pas comme toi mais bon chacun sa philosophie de vie.
Ah… je l'ai écrit quelque part ? Je ne suis pas contre les autres, je suis "dans mon sac" !?J'ai choisi d'être avec les autres et non pas contre les autres.
Mais qu'entends-tu alors par "bien sympathiques" ?Pourtant parfois, j'ai l'impression de me retrouver dans le film "idiocracy". Et cette impression est souvent passagère parce que mr et mme tout le monde que je croise dans la rue sont souvent bien sympathiques malgré leur apparence d'idiots et d'idiotes du système.
"Réduire à sa norme" est une expression stupide, je n'aurais pas dû l'employer. Puisqu'une norme, c'est une norme (étalonnage, modèle de ce qui est normal), on ne peut pas dire que l'on "réduit" à une norme. En fait c'est "exposer une norme" (et non "réduire à") et c'est moi qui en suis une exception à ce qui est la norme.Donc quand tu dis que pour toi "Dire que la sociabilité rends heureux, c’est vouloir réduire les autres à sa norme" pour moi c'est aussi réducteur. Pas de nuances de faites. Je ne réduis personne à une prétendue norme personnelle, je veux juste être le plus intégré possible. Quel intérêt j'ai à mettre tout le monde dans le même sac ?
Ce que je voulais expliquer, c'est qu'une telle affirmation ne tient pas compte de ceux qui ne sont pas dans la norme, n'envisage pas leur existence.
Et pourquoi donc ? pour être heureux ? (c'est de l'humour)je veux juste être le plus intégré possible
On peut être intégré en étant "comme les autres" ou être intégré en étant relativement "invisible".
En fait je suis tout à fait d'accord avec ce que tu disais à Gog : "il y'a intelligence sociale et intelligences. Ton bonheur est exponentiel selon ton degré d'intelligence sociale. Les autres intelligences qu'on mesure par le QI n'ont rien à voir avec l'intelligence sociale."
Je suis très sensible aux affirmations, cela me vaut souvent des conflits avec mon entourage. Je mets des "je pense", "à mon avis", "pour moi", "il me semble", etc., un peu partout. Pour moi c'est juste de la lucidité, de l'honnêteté vis-à-vis des autres… C'est probablement ça qui a "coincé", le coté affirmatif.
Ce n'est pas moi qui te le demanderai non plus ! Je cherche des pros dignes de ce nom, rares effectivement, en attendant le CRA.Ce n'est pas moi qui te dirai si t'es autiste, de toute façon tu seras fixé que par un pro digne de ce nom.
Bonne journée.
PS : Le "Ah… je l'ai écrit quelques part ?" c'est surtout par humour que je l'ai répété à ce point !
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- Prolifique
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Pour ma part, je ne vois toujours pas le rapport entre intelligence sociale et bonheur...
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Ben dans le sens où dans le monde actuel il faut très très souvent avoir affaire à d'autres gens pour accéder à...à peu près tout (études, travail, magasins, bibliothèque, médiathèque, administrations...) on pourrait se dire qu'avoir une intelligence sociale un minimum développée facilite l'accès à ce qui peut contribuer à notre bonheur et donc contribue indirectement au bonheur?
A moins de vivre totalement reclus dans un logement dont on est propriétaire, faire tous ses achats par internet, et/ou avoir des intérêts totalement détachés de support matériel (ça parait difficile non un intérêt qui ne nécessite même pas un bouquin ?) les interactions sociales sont inévitables.
Après on peut ne pas avoir une intelligence sociale développée et ne pas en souffrir/être heureux parce qu'on arrive quand même à ses objectifs et que c'est ça qui rend heureux.
A moins de vivre totalement reclus dans un logement dont on est propriétaire, faire tous ses achats par internet, et/ou avoir des intérêts totalement détachés de support matériel (ça parait difficile non un intérêt qui ne nécessite même pas un bouquin ?) les interactions sociales sont inévitables.
Après on peut ne pas avoir une intelligence sociale développée et ne pas en souffrir/être heureux parce qu'on arrive quand même à ses objectifs et que c'est ça qui rend heureux.
HQI hétérogène
Aspergirl????
‘Numbing the pain for a while will make it worse when you finally feel it.’ - Albus Dumbledore
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- Prolifique
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Voilà !!Somero a écrit : Après on peut ne pas avoir une intelligence sociale développée et ne pas en souffrir/être heureux parce qu'on arrive quand même à ses objectifs et que c'est ça qui rend heureux.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Oui soit on se développe autrement terme de bonheur mais tôt ou tard il y a toujours le risque d'avoir raté des divertissement social de jeunesse. Hélas j'en rate
Et puis çeux qui ont la chance de ne pas avoir besoin de social pour se développer donc n'ont pas de regret
Tu as de la chance gog (sauf si tu est malade par un cancer ou autre) çar une bonne partie du bonheur est dépendant du social avec les autres.
Oui Somero directement ou non à notre humeur. Au moins indirectement çar le avoir quelques capacité social ou plutot aptitude peut nous faire embaucher er remonter le moral par le travail et le fait de pouvoir se nourrir bien.Puis directement parce qu'il y a du contact avec les autres...apres faut voir avec qui.
Meme bibliothequaire, juriste, horloger, informaticien, peintre et vétérinaire il y a contact avec les humains mais moindre que les commerciaux
Autiste ou surdouê au vue de test analyses bien structuré et tres détaillé tu pourrais faire du droit ou des maths
Et puis çeux qui ont la chance de ne pas avoir besoin de social pour se développer donc n'ont pas de regret
Tu as de la chance gog (sauf si tu est malade par un cancer ou autre) çar une bonne partie du bonheur est dépendant du social avec les autres.
Oui Somero directement ou non à notre humeur. Au moins indirectement çar le avoir quelques capacité social ou plutot aptitude peut nous faire embaucher er remonter le moral par le travail et le fait de pouvoir se nourrir bien.Puis directement parce qu'il y a du contact avec les autres...apres faut voir avec qui.
Meme bibliothequaire, juriste, horloger, informaticien, peintre et vétérinaire il y a contact avec les humains mais moindre que les commerciaux
Autiste ou surdouê au vue de test analyses bien structuré et tres détaillé tu pourrais faire du droit ou des maths
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Tout à fait d'accord avec les trois derniers messages.
Effectivement, Alone "avoir raté des divertissement sociaux de jeunesse", ça ne me parle pas du tout ! J'ai plutôt l'impression d'avoir réussi à rester en dehors de tout cela, et avec grands plaisir. Ou alors j'ai raté des choses que je n'imagine pas exister, mais s'il faut pour cela passer par les intrigues sociales des ados "normaux", j'ai préféré renoncer !
Plus tard, pour le travail, c'est vrai que j'ai passé mon temps à être utilisé, isolé, jeté... Bon, mais les vingt dernières années j'ai trouvé le plan génial qui m'a réellement permis de bien gagner ma vie tout en faisant quelques chose que j'aime. (très peu de contacts sociaux, à domicile et me fournissant une excuse pour ne pas participer aux réunions, mêmes familiales, tout en étant admiré pour ce que je faisais ! -c'est pour cela aussi que la retraite est dure, je retombe dans le réel et vis très mal les obligations sociales qui reviennent !)
Le droit oui, j'ai un sens aiguë de la justice et de la logique.
Les maths, non. Le mécanisme des maths, oui, c'est passionnant et j'aime les jeux mathématiques et autres énigmes. Mais j'ai été en échec quand il a fallu utiliser des formules : j'étais incapable de les mémoriser par cœur pour les utiliser. Je ne peux faire que ce que je comprends, et, pour chaque formule à utiliser il fallait que j'en visualise la démonstration dans ma tête ou que je la retrouve sur le papier. Au bout d'une moment, cela devient trop long et c'est l'échec.
Cela sort du sujet mais je me demande si d'autres ont eu ce genre de problèmes ou fonctionnent comme ça ?
Effectivement, Alone "avoir raté des divertissement sociaux de jeunesse", ça ne me parle pas du tout ! J'ai plutôt l'impression d'avoir réussi à rester en dehors de tout cela, et avec grands plaisir. Ou alors j'ai raté des choses que je n'imagine pas exister, mais s'il faut pour cela passer par les intrigues sociales des ados "normaux", j'ai préféré renoncer !
Plus tard, pour le travail, c'est vrai que j'ai passé mon temps à être utilisé, isolé, jeté... Bon, mais les vingt dernières années j'ai trouvé le plan génial qui m'a réellement permis de bien gagner ma vie tout en faisant quelques chose que j'aime. (très peu de contacts sociaux, à domicile et me fournissant une excuse pour ne pas participer aux réunions, mêmes familiales, tout en étant admiré pour ce que je faisais ! -c'est pour cela aussi que la retraite est dure, je retombe dans le réel et vis très mal les obligations sociales qui reviennent !)
Le droit oui, j'ai un sens aiguë de la justice et de la logique.
Les maths, non. Le mécanisme des maths, oui, c'est passionnant et j'aime les jeux mathématiques et autres énigmes. Mais j'ai été en échec quand il a fallu utiliser des formules : j'étais incapable de les mémoriser par cœur pour les utiliser. Je ne peux faire que ce que je comprends, et, pour chaque formule à utiliser il fallait que j'en visualise la démonstration dans ma tête ou que je la retrouve sur le papier. Au bout d'une moment, cela devient trop long et c'est l'échec.
Cela sort du sujet mais je me demande si d'autres ont eu ce genre de problèmes ou fonctionnent comme ça ?
Diagnostiqué par le CRA en 2020 non autiste mais de gros problèmes dans le ressenti des émotions (alexithymie) et dans la communication sociale.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
As-tu lu le livre "Adultes sensibles et doués - Trouver sa place au travail et s’épanouir" ?Autiste ou surdoué ? a écrit :Plus tard, pour le travail, c'est vrai que j'ai passé mon temps à être utilisé, isolé, jeté... Bon, mais les vingt dernières années j'ai trouvé le plan génial qui m'a réellement permis de bien gagner ma vie tout en faisant quelques chose que j'aime. (très peu de contacts sociaux, à domicile et me fournissant une excuse pour ne pas participer aux réunions, mêmes familiales, tout en étant admiré pour ce que je faisais ! -c'est pour cela aussi que la retraite est dure, je retombe dans le réel et vis très mal les obligations sociales qui reviennent !)
Dans ce livre, j'ai été frappée par la capacité des personnes surdouées à surmonter leurs problèmes au travail, et à mener malgré tout une carrière professionnelle satisfaisante...
Oui, je me reconnais bien dans ce que tu décris ! A partir de la classe de seconde mes résultats en mathématiques ont chuté de manière catastrophique, les cours allaient beaucoup trop vite pour moi. Pour anecdote, je n'ai jamais mémorisé les tables de multiplication. Aujourd'hui encore, je continue à les calculer systématiquement. Cela m'a causé des problèmes de lenteur au primaire car j'avais la mauvaise habitude de les recalculer plusieurs fois à la suite pour être certaine du résultat...Autiste ou surdoué ? a écrit :Les maths, non. Le mécanisme des maths, oui, c'est passionnant et j'aime les jeux mathématiques et autres énigmes. Mais j'ai été en échec quand il a fallu utiliser des formules : j'étais incapable de les mémoriser par cœur pour les utiliser. Je ne peux faire que ce que je comprends, et, pour chaque formule à utiliser il fallait que j'en visualise la démonstration dans ma tête ou que je la retrouve sur le papier. Au bout d'une moment, cela devient trop long et c'est l'échec.
Cela sort du sujet mais je me demande si d'autres ont eu ce genre de problèmes ou fonctionnent comme ça ?
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
@Alone3545
Pendant des années, je me suis reprochée de rater des événements sociaux, des opportunités, de ne pas être "normale" et pendant un long moment, pour faire plaisir à mon conjoint, j'ai testé différentes activités (jeux de rôle, organisation d'événements, etc,) sans grand succès (disons que tout le monde était content sauf moi). En plus de m'ennuyer à chaque fois, de n'éprouver aucun intérêt pour ces rencontres, j'ai eu une impression de saturation, de fatigue immense, d'overdose à force d'entendre des conversations interminables auxquelles je n'arrivais plus à accrocher, de voir des nouvelles têtes dont je n'avais strictement rien à faire, de voir des gens nouer des liens entre eux sous mon nez sans que je comprennes comment cela fonctionne...
D'un côté je me dis que je me suis rendue malheureuse pour faire plaisir à quelqu'un d'autre et d'un autre côté je me dis que j'avais besoin d'essayer de faire consciemment, intentionnellement cet effort pour voir si je pouvais y arriver ou non. La réponse est non et définitivement non. Je ne sais pas faire.
Alors je ne sais pas ce qu'il en est pour toi, as-tu l'impression de rater des choses parce que tu n'es pas invité à y participer ou parce que toi, d'abord tu n'arrives pas à y prendre part? Si tu te trouves dans le deuxième cas, n'ais pas trop de regrets, tu t'épuiserais à essayer de faire des activités qui ne sont pas faites pour toi, si tu es dans le premier cas, je comprends ton amertume, ce n'est pas facile d'être mis à l'écart alors qu'on voudrait faire partie du groupe.
J'ai de la chance question travail car mon activité professionnelle ne nécessite aucun contact et je corresponds avec ma hiérarchie seulement par mail. J'ai vraiment galéré question emploi avant de trouver celui-là, je trouve que toucher de l'argent pour mon travail est suffisamment gratifiant, je n'ai pas besoin de la poignée de main de mon boss pour me sentir exister socialement donc tout va pour le mieux, en espérant que ça dure le plus longtemps possible
Pendant des années, je me suis reprochée de rater des événements sociaux, des opportunités, de ne pas être "normale" et pendant un long moment, pour faire plaisir à mon conjoint, j'ai testé différentes activités (jeux de rôle, organisation d'événements, etc,) sans grand succès (disons que tout le monde était content sauf moi). En plus de m'ennuyer à chaque fois, de n'éprouver aucun intérêt pour ces rencontres, j'ai eu une impression de saturation, de fatigue immense, d'overdose à force d'entendre des conversations interminables auxquelles je n'arrivais plus à accrocher, de voir des nouvelles têtes dont je n'avais strictement rien à faire, de voir des gens nouer des liens entre eux sous mon nez sans que je comprennes comment cela fonctionne...
D'un côté je me dis que je me suis rendue malheureuse pour faire plaisir à quelqu'un d'autre et d'un autre côté je me dis que j'avais besoin d'essayer de faire consciemment, intentionnellement cet effort pour voir si je pouvais y arriver ou non. La réponse est non et définitivement non. Je ne sais pas faire.
Alors je ne sais pas ce qu'il en est pour toi, as-tu l'impression de rater des choses parce que tu n'es pas invité à y participer ou parce que toi, d'abord tu n'arrives pas à y prendre part? Si tu te trouves dans le deuxième cas, n'ais pas trop de regrets, tu t'épuiserais à essayer de faire des activités qui ne sont pas faites pour toi, si tu es dans le premier cas, je comprends ton amertume, ce n'est pas facile d'être mis à l'écart alors qu'on voudrait faire partie du groupe.
J'ai de la chance question travail car mon activité professionnelle ne nécessite aucun contact et je corresponds avec ma hiérarchie seulement par mail. J'ai vraiment galéré question emploi avant de trouver celui-là, je trouve que toucher de l'argent pour mon travail est suffisamment gratifiant, je n'ai pas besoin de la poignée de main de mon boss pour me sentir exister socialement donc tout va pour le mieux, en espérant que ça dure le plus longtemps possible
Introvertie pas de tsa pour moi
maman d'un petit garçon TSA et TDAH
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
C'est que jai du mal a m'integrer aux autres.
Avant c'est parce que j'était complement a coté de la plaque et au tout début je my intéressait pas trop
Maintenant c est la timidité et le fait du malaise du manque d'experience social et de culture general du fait que je ne fasse quasi jamais de sorti du fait de mon cercle restreint.
Avant c'est parce que j'était complement a coté de la plaque et au tout début je my intéressait pas trop
Maintenant c est la timidité et le fait du malaise du manque d'experience social et de culture general du fait que je ne fasse quasi jamais de sorti du fait de mon cercle restreint.
Diagnostiqué, 24 ans.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Si tu cherches à t'intégrer, si c'est ce que tu veux alors effectivement ça doit être dur, j'espère que tu trouveras les bonnes personnes et qu'elles t'aideront à faire cela...
Introvertie pas de tsa pour moi
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Oui effectivement, merci gog
Aujourd'hui beaucoup de gens instrumentalise d'autres...des personnes faibles mais parfois des personnes qui ont un cerveau.
En n'etant pas HQI pour autant des personnes très doués peuvent être facilement des victimes de machination, de manœuvre.
Mieux vaut être seul que mal accompagné mais une fois qu'on a trouvé chaussure à ses pieds(bonne compagnie) c'est tellement mieux!
Aujourd'hui beaucoup de gens instrumentalise d'autres...des personnes faibles mais parfois des personnes qui ont un cerveau.
En n'etant pas HQI pour autant des personnes très doués peuvent être facilement des victimes de machination, de manœuvre.
Mieux vaut être seul que mal accompagné mais une fois qu'on a trouvé chaussure à ses pieds(bonne compagnie) c'est tellement mieux!
Diagnostiqué, 24 ans.
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Re: Notion de QI, HQI, HPI ... etc ...
Depuis des années, je me suis habituée à dire que "je n'ai jamais été jeune".
Je veux dire par là que je n'ai jamais fais les trucs que les ados et les jeunes adultes font.
Je ne sociabilisais pas, à l'école, au collège, au lycée. La plupart du temps, je m'en fichais, même si de temps en temps ça me manquait. Mais par dessus tout, je paniquais quand d'autres "jeunes de mon âge" cherchaient à "copiner" avec moi.
Mes condisciples n'ont jamais été ni des "camarades" ni des "copains". J'étais la fille "bizarre" qu'on laisse de coté et qu'on va voir pour se payer une tranche de rigolade.
De toute façon, la plupart du temps je ne faisais pas la différence entre les élèves de ma classe et les autres, et même quand j'étais en terminale (on étaient 16 dans la classe, je précise), je ne reconnaissais que 3 personnes...
Je me souviens encore d'une idiote (désolée, c'est pas contre elle...) qui est venue un jour me dire "Ben Ségo, pourquoi tu viens jamais aux soirées"... Mouais... j'ai rien dis... J'avais pas envie d'aller aux soirées, parce que je voyais pas "à quoi ça servait", et en plus ben... je savais qu'il y avait eut une soirée en moyenne 3 jours après...
Je précise que c'était ma période CEPMO, le lycée de l'Île d'Oléron, qui était à Boyardville à l'époque, et pas à Saint-Trojan, comme maintenant... Il n'y avait pas d'internat, donc l'ambiance était un peu celle d'une fac, d'autant que beaucoup d'élèves étaient majeurs, dont moi...
C'est bizarre, je pensais même pas que tout ça avait la moindre importance pour des psys, avant. Je me disais que c'était l'anxiété et la dépression qui faisaient que je sociabilisais pas... mais je sais bien pourtant que c'est que je ne cherchais pas ça, en fait. Je voulais juste réussir à passer mon bac.
Le fait est que j'ai quelques rares relations qui ont évolué vers une pseudo amitié, mais je ne suis pas trop convaincue de la réalité des choses. En général, c'est plus des personnes envers lesquelles je me sens engagée moralement que des "amis".
Il y a des exceptions. Il y a des gens que j'aime vraiment, même s'ils ne me le rendent pas toujours, et je ne peux pas m'en détacher réellement. C'est très dur à gérer, en fait, parce que je suis obligée de me protéger de ces personnes, parce que sinon je donnerais tout. Je n'arrive pas bien à trouver la juste mesure, et en général ça me fais souffrir et ça fait souffrir ces personnes aussi.
Du coup je n'aime pas ça.
Les relations que j'aime le plus actuellement, c'est celles que j'ai avec les coachs de ma salle de sport : ça ressemble à du copinage, mais on sait tous que c'est une illusion. On s'appelle par nos prénoms, mais c'est juste du commerce, tout ça. Il n'empêche que c'est agréable. Pas de débats houleux, de disputes, de trucs qui risquent de déraper. De la pseudo-socialisation, sans les risques du "réel". Youhou
Pour l'instant, le seul truc qu'on m'a clairement fait sentir (psychologues, psychiatres...), c'est que je serais potentiellement HPI, mais j'ai quand même un peu des doutes en la matière. Mais bon, il semblerait aussi que j'ai tendance à fréquenter des personnes HPI ou HQI, donc c'est pas facile non plus de trouver un point de référence...
Je veux dire par là que je n'ai jamais fais les trucs que les ados et les jeunes adultes font.
Je ne sociabilisais pas, à l'école, au collège, au lycée. La plupart du temps, je m'en fichais, même si de temps en temps ça me manquait. Mais par dessus tout, je paniquais quand d'autres "jeunes de mon âge" cherchaient à "copiner" avec moi.
Mes condisciples n'ont jamais été ni des "camarades" ni des "copains". J'étais la fille "bizarre" qu'on laisse de coté et qu'on va voir pour se payer une tranche de rigolade.
De toute façon, la plupart du temps je ne faisais pas la différence entre les élèves de ma classe et les autres, et même quand j'étais en terminale (on étaient 16 dans la classe, je précise), je ne reconnaissais que 3 personnes...
Je me souviens encore d'une idiote (désolée, c'est pas contre elle...) qui est venue un jour me dire "Ben Ségo, pourquoi tu viens jamais aux soirées"... Mouais... j'ai rien dis... J'avais pas envie d'aller aux soirées, parce que je voyais pas "à quoi ça servait", et en plus ben... je savais qu'il y avait eut une soirée en moyenne 3 jours après...
Je précise que c'était ma période CEPMO, le lycée de l'Île d'Oléron, qui était à Boyardville à l'époque, et pas à Saint-Trojan, comme maintenant... Il n'y avait pas d'internat, donc l'ambiance était un peu celle d'une fac, d'autant que beaucoup d'élèves étaient majeurs, dont moi...
C'est bizarre, je pensais même pas que tout ça avait la moindre importance pour des psys, avant. Je me disais que c'était l'anxiété et la dépression qui faisaient que je sociabilisais pas... mais je sais bien pourtant que c'est que je ne cherchais pas ça, en fait. Je voulais juste réussir à passer mon bac.
Le fait est que j'ai quelques rares relations qui ont évolué vers une pseudo amitié, mais je ne suis pas trop convaincue de la réalité des choses. En général, c'est plus des personnes envers lesquelles je me sens engagée moralement que des "amis".
Il y a des exceptions. Il y a des gens que j'aime vraiment, même s'ils ne me le rendent pas toujours, et je ne peux pas m'en détacher réellement. C'est très dur à gérer, en fait, parce que je suis obligée de me protéger de ces personnes, parce que sinon je donnerais tout. Je n'arrive pas bien à trouver la juste mesure, et en général ça me fais souffrir et ça fait souffrir ces personnes aussi.
Du coup je n'aime pas ça.
Les relations que j'aime le plus actuellement, c'est celles que j'ai avec les coachs de ma salle de sport : ça ressemble à du copinage, mais on sait tous que c'est une illusion. On s'appelle par nos prénoms, mais c'est juste du commerce, tout ça. Il n'empêche que c'est agréable. Pas de débats houleux, de disputes, de trucs qui risquent de déraper. De la pseudo-socialisation, sans les risques du "réel". Youhou
Pour l'instant, le seul truc qu'on m'a clairement fait sentir (psychologues, psychiatres...), c'est que je serais potentiellement HPI, mais j'ai quand même un peu des doutes en la matière. Mais bon, il semblerait aussi que j'ai tendance à fréquenter des personnes HPI ou HQI, donc c'est pas facile non plus de trouver un point de référence...
Pré-diagnostiquée par ma psychiatre... Certificat MDPH de sa main: SA
Selon le Centre Expert : Non autiste.
Toujours en quête
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