Scalt a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 14:25
Là, j'ai envie de prendre la voiture, m'isoler loin de ma compagne et enfants, c'est culpabilisant.
Il n'y a pas à culpabiliser. S'isoler par moments est un besoin. Pas un caprice ou un manque d'amour.
Est il possible pour toi d'expliquer ton besoin de t'isoler un petit moment à ta compagne ?
Soutien à toi.
Je lui en parle oui, mais je vois (quand elle ne l'exprime pas) et je ressent son agacement ou son stress à devoir gérer les enfants seule et j'arrive pas à le dépasser. Ça à tendance à générer des conflits alors je m'en veux. Et aussi car je me dis que les enfants ont besoin d'une disponibilité "normale" de leur père..
C'est un fonctionnement général, j'ai tendance à revenir en arrière ou à étouffer un besoin quand je sent que la personne en face est affectée (sauf avec les enfants car je sais qu'ils ont besoin de cadre, règles...).
Scalt a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 14:25
Là, j'ai envie de prendre la voiture, m'isoler loin de ma compagne et enfants, c'est culpabilisant.
Il n'y a pas à culpabiliser. S'isoler par moments est un besoin. Pas un caprice ou un manque d'amour.
Est il possible pour toi d'expliquer ton besoin de t'isoler un petit moment à ta compagne ?
Soutien à toi.
Je lui en parle oui, mais je vois (quand elle ne l'exprime pas) et je ressent son agacement ou son stress à devoir gérer les enfants seule et j'arrive pas à le dépasser. Ça à tendance à générer des conflits alors je m'en veux. Et aussi car je me dis que les enfants ont besoin d'une disponibilité "normale" de leur père..
C'est un fonctionnement général, j'ai tendance à revenir en arrière ou à étouffer un besoin quand je sent que la personne en face est affectée (sauf avec les enfants car je sais qu'ils ont besoin de cadre, règles...).
Tu prends donc sur toi ! Je comprends bien qu'elle puisse être agacée et que ce n'est pas évident de s'occuper des enfants.
Mais demander à avoir une disponibilité normale n'est pas réalisable. Ça va juste te bouffer de l'intérieur et à un moment, tu exploseras.
Que préfère-t-elle ? Gérer ses enfants ou te gérer quand tu n'en pourras plus ?
D'ailleurs connaît elle bien le TSA ? Tes besoins ? Je trouve ça important, les quiproquos arrivent bien vite avec ses préjugés par méconnaissance. Ça n'aide pas.
Après, je pense que je réagirai comme toi du moins au début. Mais au bon d'un moment, je craque. Et la chute est plus rude quand on prend sur soi. Accepter aussi que la personne en face peut-être contrariée ou affectée, ça fait parti de notre quotidien. C'est un besoin dont tu ne peux t'échapper ! Plus facile à dire qu'à faire bien sûr.
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
Kumi_44 a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 14:35
Il n'y a pas à culpabiliser. S'isoler par moments est un besoin. Pas un caprice ou un manque d'amour.
Est il possible pour toi d'expliquer ton besoin de t'isoler un petit moment à ta compagne ?
Soutien à toi.
Je lui en parle oui, mais je vois (quand elle ne l'exprime pas) et je ressent son agacement ou son stress à devoir gérer les enfants seule et j'arrive pas à le dépasser. Ça à tendance à générer des conflits alors je m'en veux. Et aussi car je me dis que les enfants ont besoin d'une disponibilité "normale" de leur père..
C'est un fonctionnement général, j'ai tendance à revenir en arrière ou à étouffer un besoin quand je sent que la personne en face est affectée (sauf avec les enfants car je sais qu'ils ont besoin de cadre, règles...).
Tu prends donc sur toi ! Je comprends bien qu'elle puisse être agacée et que ce n'est pas évident de s'occuper des enfants.
Mais demander à avoir une disponibilité normale n'est pas réalisable. Ça va juste te bouffer de l'intérieur et à un moment, tu exploseras.
Que préfère-t-elle ? Gérer ses enfants ou te gérer quand tu n'en pourras plus ?
D'ailleurs connaît elle bien le TSA ? Tes besoins ? Je trouve ça important, les quiproquos arrivent bien vite avec ses préjugés par méconnaissance. Ça n'aide pas.
Après, je pense que je réagirai comme toi du moins au début. Mais au bon d'un moment, je craque. Et la chute est plus rude quand on prend sur soi. Accepter aussi que la personne en face peut-être contrariée ou affectée, ça fait parti de notre quotidien. C'est un besoin dont tu ne peux t'échapper ! Plus facile à dire qu'à faire bien sûr.
Oui, je sais, avec le recul maintenant que je tiendrais pas.
Elle ne connait pas bien non plus le TSA. Elle a entendu et bien pris mon diagnostic mais n'a jamais fait une recherche ou lecture sur le sujet, à part quand j'ai évoqué que je me demandais si elle pouvait être concernée.
J'essaye de lui expliquer ce que j'apprends et ce que je ressent/exprime depuis des années(quand je n'avais pas conscience du TSA )mais j'ai l'impression qu'elle n'en mesure pas l'enjeu pour l'instant.
Ça à toujours été comme ça, en partie induit par moi.
Tu as raison aussi,je sais aussi il faut que j'apprenne à accepter de contrarier quelqu'un sans culpabiliser et y a du boulot...
Depuis mon diagnostic, j'ai pris conscience que j'ai plus le choix.
Merci pour ton écoute en tout cas
Scalt a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 14:56
Je lui en parle oui, mais je vois (quand elle ne l'exprime pas) et je ressent son agacement ou son stress à devoir gérer les enfants seule et j'arrive pas à le dépasser. Ça à tendance à générer des conflits alors je m'en veux. Et aussi car je me dis que les enfants ont besoin d'une disponibilité "normale" de leur père..
C'est un fonctionnement général, j'ai tendance à revenir en arrière ou à étouffer un besoin quand je sent que la personne en face est affectée (sauf avec les enfants car je sais qu'ils ont besoin de cadre, règles...).
Tu prends donc sur toi ! Je comprends bien qu'elle puisse être agacée et que ce n'est pas évident de s'occuper des enfants.
Mais demander à avoir une disponibilité normale n'est pas réalisable. Ça va juste te bouffer de l'intérieur et à un moment, tu exploseras.
Que préfère-t-elle ? Gérer ses enfants ou te gérer quand tu n'en pourras plus ?
D'ailleurs connaît elle bien le TSA ? Tes besoins ? Je trouve ça important, les quiproquos arrivent bien vite avec ses préjugés par méconnaissance. Ça n'aide pas.
Après, je pense que je réagirai comme toi du moins au début. Mais au bon d'un moment, je craque. Et la chute est plus rude quand on prend sur soi. Accepter aussi que la personne en face peut-être contrariée ou affectée, ça fait parti de notre quotidien. C'est un besoin dont tu ne peux t'échapper ! Plus facile à dire qu'à faire bien sûr.
Oui, je sais, avec le recul maintenant que je tiendrais pas.
Elle ne connait pas bien non plus le TSA. Elle a entendu et bien pris mon diagnostic mais n'a jamais fait une recherche ou lecture sur le sujet, à part quand j'ai évoqué que je me demandais si elle pouvait être concernée.
J'essaye de lui expliquer ce que j'apprends et ce que je ressent/exprime depuis des années(quand je n'avais pas conscience du TSA )mais j'ai l'impression qu'elle n'en mesure pas l'enjeu pour l'instant.
Ça à toujours été comme ça, en partie induit par moi.
Tu as raison aussi,je sais aussi il faut que j'apprenne à accepter de contrarier quelqu'un sans culpabiliser et y a du boulot...
Depuis mon diagnostic, j'ai pris conscience que j'ai plus le choix.
Merci pour ton écoute en tout cas
Je prends en route... Question: les enfants, ce sont aussi les tiens? Elle savait/TSA avant que vous les ayez?
D'autre part: avez-vous des amis biens qui peuvent aussi veiller sur vos enfants? Qui peuvent l'aider?
Quand à cette situation: par expérience (de gens que j'ai connus... et vus et qui me racontaient): les enfants "sentent" quand on ne va pas bien. Donc ils iront mieux si vous prenez soin de vous et soufflez, que si vous gardez en vous (et ils le sentent quand même) et qu'un jour, ça explose.
Voir essayer de trouver un compromis, un marché d'échange: là, vous soufflez, mais si quand vous revenez, elle veut souffler un coups à son tour ou...? Voir sur quoi vous pourriez vous entendre, ce que, vous, de votre côté, vous pourriez lui accorder en échange.
A voir.
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
Scalt a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 14:56
Je lui en parle oui, mais je vois (quand elle ne l'exprime pas) et je ressent son agacement ou son stress à devoir gérer les enfants seule et j'arrive pas à le dépasser. Ça à tendance à générer des conflits alors je m'en veux. Et aussi car je me dis que les enfants ont besoin d'une disponibilité "normale" de leur père..
C'est un fonctionnement général, j'ai tendance à revenir en arrière ou à étouffer un besoin quand je sent que la personne en face est affectée (sauf avec les enfants car je sais qu'ils ont besoin de cadre, règles...).
Tu prends donc sur toi ! Je comprends bien qu'elle puisse être agacée et que ce n'est pas évident de s'occuper des enfants.
Mais demander à avoir une disponibilité normale n'est pas réalisable. Ça va juste te bouffer de l'intérieur et à un moment, tu exploseras.
Que préfère-t-elle ? Gérer ses enfants ou te gérer quand tu n'en pourras plus ?
D'ailleurs connaît elle bien le TSA ? Tes besoins ? Je trouve ça important, les quiproquos arrivent bien vite avec ses préjugés par méconnaissance. Ça n'aide pas.
Après, je pense que je réagirai comme toi du moins au début. Mais au bon d'un moment, je craque. Et la chute est plus rude quand on prend sur soi. Accepter aussi que la personne en face peut-être contrariée ou affectée, ça fait parti de notre quotidien. C'est un besoin dont tu ne peux t'échapper ! Plus facile à dire qu'à faire bien sûr.
Oui, je sais, avec le recul maintenant que je tiendrais pas.
Elle ne connait pas bien non plus le TSA. Elle a entendu et bien pris mon diagnostic mais n'a jamais fait une recherche ou lecture sur le sujet, à part quand j'ai évoqué que je me demandais si elle pouvait être concernée.
J'essaye de lui expliquer ce que j'apprends et ce que je ressent/exprime depuis des années(quand je n'avais pas conscience du TSA )mais j'ai l'impression qu'elle n'en mesure pas l'enjeu pour l'instant.
Ça à toujours été comme ça, en partie induit par moi.
Tu as raison aussi,je sais aussi il faut que j'apprenne à accepter de contrarier quelqu'un sans culpabiliser et y a du boulot...
Depuis mon diagnostic, j'ai pris conscience que j'ai plus le choix.
Merci pour ton écoute en tout cas
Je comprends mieux la situation. Ça doit être complexe autant pour toi que pour elle. D'autant plus que ton diagnostic est récent. D'expérience, ça prend du temps de digérer, d'apprendre son fonctionnement et ses besoins... Il est difficile de se détacher de ces réflexes de prendre sur soi pour ne pas contrarier. J'y travaille encore !
D'autant pour les enfants aussi, ça peut être difficile pour eux de comprendre surtout si vous n'êtes pas d'accord et que vous ne prenez pas le temps de bien expliquer. "Ce n'est pas parce que je ne veux pas te voir, c'est un besoin. Tout comme certains auraient besoin de voir ses copains/copines pour se ressourcer, mon besoin est d'être seul par moments. Chacun est différent et cela ne remet pas en question l'amour pour toi. Et bien sûr qu'il y aura des moments où je jouerais avec toi, partager des moments en famille..." (C'est ce que je dirai honnêtement si j'avais un enfant)
Mais si ta femme elle même a du mal à comprendre ce que ça signifie pour toi, ça ne doit être simple pour tes enfants de s'y retrouver. Ils ont un bon instinct et même s'ils ne comprennent pas tout, ils savent juste que ça ne va pas.
Je t'en prie si ça a pu un peu te sentir moins seul face à ce genre de situation ! Je n'ai pas fait grand chose.
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
Les voisins sont complètement bourrés et sont entrain de gueuler dans tous les sens,
Heureusement que j'ai les bouchons d'oreilles sinon je vais péter un boulon et frapper au mur,
Pour moi aussi ce soir c'était un soir de célébration,mais je le fais dans le respect des autres,en essayant de pas faire trop de bruit avec mon bol tibétain.
J'ai rien contre un peu de bruit m'en fous j'ai des bouchons d'oreilles,ils ont le droit de s'amuser et faire la fête,mais y'a des limites sonores quand même.
L'autre jour c'est mon mari qui a failli pété un câble pour la même chose.
Et on a une voisine qui leur laisse des mots mais ils s'en foutent visiblement.
Ostara a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 21:53
Les voisins sont complètement bourrés et sont entrain de gueuler dans tous les sens,
Heureusement que j'ai les bouchons d'oreilles sinon je vais péter un boulon et frapper au mur,
Pour moi aussi ce soir c'était un soir de célébration,mais je le fais dans le respect des autres,en essayant de pas faire trop de bruit avec mon bol tibétain.
J'ai rien contre un peu de bruit m'en fous j'ai des bouchons d'oreilles,ils ont le droit de s'amuser et faire la fête,mais y'a des limites sonores quand même.
L'autre jour c'est mon mari qui a failli pété un câble pour la même chose.
Et on a une voisine qui leur laisse des mots mais ils s'en foutent visiblement.
Mets la cinquième symphonie de Beethoven a fond pour te venger .
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
Kumi_44 a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 15:07
Tu prends donc sur toi ! Je comprends bien qu'elle puisse être agacée et que ce n'est pas évident de s'occuper des enfants.
Mais demander à avoir une disponibilité normale n'est pas réalisable. Ça va juste te bouffer de l'intérieur et à un moment, tu exploseras.
Que préfère-t-elle ? Gérer ses enfants ou te gérer quand tu n'en pourras plus ?
D'ailleurs connaît elle bien le TSA ? Tes besoins ? Je trouve ça important, les quiproquos arrivent bien vite avec ses préjugés par méconnaissance. Ça n'aide pas.
Après, je pense que je réagirai comme toi du moins au début. Mais au bon d'un moment, je craque. Et la chute est plus rude quand on prend sur soi. Accepter aussi que la personne en face peut-être contrariée ou affectée, ça fait parti de notre quotidien. C'est un besoin dont tu ne peux t'échapper ! Plus facile à dire qu'à faire bien sûr.
Oui, je sais, avec le recul maintenant que je tiendrais pas.
Elle ne connait pas bien non plus le TSA. Elle a entendu et bien pris mon diagnostic mais n'a jamais fait une recherche ou lecture sur le sujet, à part quand j'ai évoqué que je me demandais si elle pouvait être concernée.
J'essaye de lui expliquer ce que j'apprends et ce que je ressent/exprime depuis des années(quand je n'avais pas conscience du TSA )mais j'ai l'impression qu'elle n'en mesure pas l'enjeu pour l'instant.
Ça à toujours été comme ça, en partie induit par moi.
Tu as raison aussi,je sais aussi il faut que j'apprenne à accepter de contrarier quelqu'un sans culpabiliser et y a du boulot...
Depuis mon diagnostic, j'ai pris conscience que j'ai plus le choix.
Merci pour ton écoute en tout cas
Je comprends mieux la situation. Ça doit être complexe autant pour toi que pour elle. D'autant plus que ton diagnostic est récent. D'expérience, ça prend du temps de digérer, d'apprendre son fonctionnement et ses besoins... Il est difficile de se détacher de ces réflexes de prendre sur soi pour ne pas contrarier. J'y travaille encore !
D'autant pour les enfants aussi, ça peut être difficile pour eux de comprendre surtout si vous n'êtes pas d'accord et que vous ne prenez pas le temps de bien expliquer. "Ce n'est pas parce que je ne veux pas te voir, c'est un besoin. Tout comme certains auraient besoin de voir ses copains/copines pour se ressourcer, mon besoin est d'être seul par moments. Chacun est différent et cela ne remet pas en question l'amour pour toi. Et bien sûr qu'il y aura des moments où je jouerais avec toi, partager des moments en famille..." (C'est ce que je dirai honnêtement si j'avais un enfant)
Mais si ta femme elle même a du mal à comprendre ce que ça signifie pour toi, ça ne doit être simple pour tes enfants de s'y retrouver. Ils ont un bon instinct et même s'ils ne comprennent pas tout, ils savent juste que ça ne va pas.
Je t'en prie si ça a pu un peu te sentir moins seul face à ce genre de situation ! Je n'ai pas fait grand chose.
Oui,c'est complexe. On a ce fonctionnement depuis presque 20 ans, on a une routine bien ancrée.... Ca me semble extrêmement compliqué de changer des reflexes installes depuis des dizaines d'années mais les personnes qui me suivent me disent que c'est possible.
Et un changement impliquerait qu'on gère tous les deux notre fatigue et difficultés indépendamment de l'autre (en continuant de se soutenir, mais sans compenser pour l'autre.). Il faut qu'on soit partie prenante tous les deux sinon je culpabiliserai.
Au moment où j'ai ressenti le poids du burn out, je l'ai aussi décelé chez elle. On a eu de grosses difficultés à trouver un psychiatre, j'en ai trouvé un mais il refusait de prendre un couple alors je lui ai laissé la place car je pensais pouvoir tenir plus facilement. Je l 'ai motivée à prendre un 80% et j'ai changé mes horaires pour m'occuper des enfants avant et après l'ecole et le week end . En même temps, j'ai commencé une formation et me suis retrouvé avec des journées de 15-20h entre les trajets, la formation ou boulot, les enfants...
Elle a aussi de gros troubles du sommeil et a besoin de faire la sieste la journée.
Je suis en arrêt mais je suis "vidé" par les enfants et je pense que j'arrive pas envisager un avenir pro tant que c'est comme ça.
Ma psy arrivait à me dire si je m'étais un peu, beaucoup occupé des enfants rien qu'a mon visage
Je parle beaucoup aux enfants, je tiens à ce qu 'ils ne prennent pas ma fatigue ou indisponibilité psychique pour du rejet ou un manque d'amour. J'emploie les formules que tu emploierais
Voilà pour les précisions, ce sont des choses dont on a conscience tous les deux.
Ostara a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 21:53
Les voisins sont complètement bourrés et sont entrain de gueuler dans tous les sens,
Heureusement que j'ai les bouchons d'oreilles sinon je vais péter un boulon et frapper au mur,
Pour moi aussi ce soir c'était un soir de célébration,mais je le fais dans le respect des autres,en essayant de pas faire trop de bruit avec mon bol tibétain.
J'ai rien contre un peu de bruit m'en fous j'ai des bouchons d'oreilles,ils ont le droit de s'amuser et faire la fête,mais y'a des limites sonores quand même.
L'autre jour c'est mon mari qui a failli pété un câble pour la même chose.
Et on a une voisine qui leur laisse des mots mais ils s'en foutent visiblement.
J'ai connu dans mon ancien appart. Le voisin parlait toute la nuit, ouvrant parfois sa porte-fenêtre, voir sa porte, recevant aussi des personnes... Génial pour dormir, sans compter ceux dehors quand!!!
Ben j'avais fini par m'acheter un casque anti-bruit 3M. En +, ça permet de mettre des bouchons dans les oreilles en + du casque anti-bruit si nécessaire...
Mais c'est vrai que pas une vie. Ni ces immeubles qui, en vieillissant, deviennent comme du papier de cigarette où on entend de + en + tout.
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
Ostara a écrit : ↑samedi 24 février 2024 à 21:53
Les voisins sont complètement bourrés et sont entrain de gueuler dans tous les sens,
Heureusement que j'ai les bouchons d'oreilles sinon je vais péter un boulon et frapper au mur,
Pour moi aussi ce soir c'était un soir de célébration,mais je le fais dans le respect des autres,en essayant de pas faire trop de bruit avec mon bol tibétain.
J'ai rien contre un peu de bruit m'en fous j'ai des bouchons d'oreilles,ils ont le droit de s'amuser et faire la fête,mais y'a des limites sonores quand même.
L'autre jour c'est mon mari qui a failli pété un câble pour la même chose.
Et on a une voisine qui leur laisse des mots mais ils s'en foutent visiblement.
Mets la cinquième symphonie de Beethoven a fond pour te venger .
Je ne sais s'ils vont comprendre et si ça va faire quelque chose... Après, en +, ça dépend des forces de l'ordre: il suffit que eux les appellent... et, après, à qui le premier... parole contre parole et bam! Pas sûr que bonne idée...
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
Je ne sais s'ils vont comprendre et si ça va faire quelque chose... Après, en +, ça dépend des forces de l'ordre: il suffit que eux les appellent... et, après, à qui le premier... parole contre parole et bam! Pas sûr que bonne idée...
À une époque ils passaient sans arrêt une pub de gens qui faisaient un peu comme j'ai dit .
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
Je ne sais s'ils vont comprendre et si ça va faire quelque chose... Après, en +, ça dépend des forces de l'ordre: il suffit que eux les appellent... et, après, à qui le premier... parole contre parole et bam! Pas sûr que bonne idée...
À une époque ils passaient sans arrêt une pub de gens qui faisaient un peu comme j'ai dit .
oui mais entre la publicité et la réalité... des fois... Hein!
Et les forces de l'ordre, selon QUI on est, selon OU on est, ben ça change...
Perso, je préfère la prudence...
Bon, je ne l'ai pas eue quand les dealers ont fini par vraiment me saouler et que mon médecin squattait apparemment mon appartement quand j'étais absente... (un conseil: mieux vaut ne pas se retourner contre un médecin, surtout si pervers et ripoux... C'est comme se retourner contre un diplomate ou le président... voir pire... On peut vraiment le regretter!!!)
Une autre technique, parfois, pour avoir le silence des voisins: s'ils sont locataires, si vous pouvez découvrir qui sont les propriétaires et selon si ces personnes sont des gens biens (à vérifier avant...) ben leur dire que leurs locataires, ils n'arrêtent pas de.
Je l'ai fait: radical. A l'heure où il est difficile de se loger, ça marche...
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
Je poste ici plutôt que sur le fil chats pour ne pas plomber l'ambiance là-bas : en ce moment, un de mes chats idiots est mal en point.
Ça fait quelques temps qu'il vomit.
Au départ, je me suis dit que c'était à cause de l'herbe à chat (et ce n'est pas impossible que ça vienne de là ; je n'aurais pas dû lui laisser libre accès, il s'en est goinfré ).
Puis ça a continué, mais il mangeait encore sans problème et son état global était normal (joueur, affectueux, aux aguets).
Puis il a commencé à ne plus vouloir de ses croquettes, au point de préférer jeûner (ce qui peut être dangereux passé un certain temps pour le foie)...
Puis il a accepté de la pâtée (il avait donc encore de l'appétit et était peut-être écœuré par les croquettes car associées à l'épisode nauséeux — il m'a déjà fait le coup de refuser de la nourriture pourtant appréciée auparavant).
Il n'a pas vomi depuis un moment, la fréquence semble avoir diminué...
Par contre, il ne mange pas assez.
Je pensais qu'il y avait du mieux car quand j'ai commencé à lui donner de la pâtée, il paraissait enthousiaste (rien que ce matin il a mangé un sachet entier de pâtée qu'il n'a pas vomie).
Hélas, quand j'ai voulu lui redonner à manger ce soir, il a juste picoré un peu (malgré un essai avec d'autres croquettes qu'il me restait et qu'il a pourtant acceptées).
Donc appel à la clinique véto demain dès ouverture...
Edit - RDV pris cet après-midi (sinon rien avant jeudi). J'ai donc dû annuler mon déplacement pour ma thérapie de groupe au dernier moment... ça ne m'enchante pas, mais priorité à lui.
Toujours pas de vomi et l'appétit semble être de retour (il m'a bien fait tourner en bourrique cette nuit d'ailleurs ), mais je ne prends pas le risque d'attendre plus longtemps sans avis vétérinaire.
Edit² - Rien de grave et pas besoin de traitement. J'ai encore stressé pour rien. Mais bon, je préfère y aller "pour rien" (quite à devoir annuler mes plans) que de ne pas y aller et de passer à côté d'un souci (vu qu'il a eu un très gros souci courant 2022).
Diagnostiquée hyperactive (TDAH mixte), autiste et anxieuse
Deoxys a écrit : ↑dimanche 25 février 2024 à 22:18
Je poste ici plutôt que sur le fil chats pour ne pas plomber l'ambiance là-bas : en ce moment, un de mes chats idiots est mal en point.
Spoiler :
Ça fait quelques temps qu'il vomit.
Au départ, je me suis dit que c'était à cause de l'herbe à chat (et ce n'est pas impossible que ça vienne de là ; je n'aurais pas dû lui laisser libre accès, il s'en est goinfré ).
Puis ça a continué, mais il mangeait encore sans problème et son état global était normal (joueur, affectueux, aux aguets).
Puis il a commencé à ne plus vouloir de ses croquettes, au point de préférer jeûner (ce qui peut être dangereux passé un certain temps pour le foie)...
Puis il a accepté de la pâtée (il avait donc encore de l'appétit et était peut-être écœuré par les croquettes car associées à l'épisode nauséeux — il m'a déjà fait le coup de refuser de la nourriture pourtant appréciée auparavant).
Il n'a pas vomi depuis un moment, la fréquence semble avoir diminué...
Par contre, il ne mange pas assez.
Je pensais qu'il y avait du mieux car quand j'ai commencé à lui donner de la pâtée, il paraissait enthousiaste (rien que ce matin il a mangé un sachet entier de pâtée qu'il n'a pas vomie).
Hélas, quand j'ai voulu lui redonner à manger ce soir, il a juste picoré un peu (malgré un essai avec d'autres croquettes qu'il me restait et qu'il a pourtant acceptées).
Donc appel à la clinique véto demain dès ouverture...
Edit - RDV pris cet après-midi (sinon rien avant jeudi). J'ai donc dû annuler mon déplacement pour ma thérapie de groupe au dernier moment... ça ne m'enchante pas, mais priorité à lui.
Toujours pas de vomi et l'appétit semble être de retour (il m'a bien fait tourner en bourrique cette nuit d'ailleurs ), mais je ne prends pas le risque d'attendre plus longtemps sans avis vétérinaire.
Edit² - Rien de grave et pas besoin de traitement. J'ai encore stressé pour rien. Mais bon, je préfère y aller "pour rien" (quite à devoir annuler mes plans) que de ne pas y aller et de passer à côté d'un souci (vu qu'il a eu un très gros souci courant 2022).
Alors déjà dire que les chats peuvent avoir une gastro tout comme nous (et parfois juste nausées et parfois nausées et diarrhée). Mais tu as raison, mieux vaut faire voir...
Alors déjà, bien surveillé TOUJOURS s'il y a eu des selles (voir les conserver s'il vomit, etc. pour les faire voir (ça peut, en les cassant, parfois n'être que des boules de poil et pas ce qu'il a mangé donc fausser...)) et quand le chat a eu ses dernières selles... Car, comme chez les humains, ils peuvent faire un fécalome... surtout selon les croquettes ou... qu'ils mangent. (La mienne, en surpoids et collée en satiety, a tendance à être constipée. à devoir lui donner de temps en temps du laxatone (comme elle aime se lécher les pattes, je lui en colle sur une patte...). Après, si ça ne suffisait pas: lactulose (2ml) puis en dernier recours: microlax (ça, les personnes âgées disent que pas agréable... alors je laisse imaginer pour le chat, mais, des fois, c'est question de vie ou de mort. Mais, bon, on a quand même 1 à 2j avant d'en arriver à ce truc. Moi, je n'en ai jamais eu besoin).
Ensuite, j'ai un "vécu". Après m'avoir tué mon lapin et insisté pour l'opérer... Ma chatte... Depuis déjà quelques années, par période elle vomissait et semblait avoir mal au ventre. Le vétérinaire m'a sortit "allergie" et à la coller sous hypoallergique... (croquettes vétérinaires alors qu'avant croquettes de supermarché). ET une injection de cortisone... Mais elle a revomit plus tard bien que sous hypoallergénique... Alors on m'a dit que sûrement gastro... et repiqure de cortisone au passage... Et puis elle a revomit quelques temps après. Jamais de façon régulière, avec des crises donc par moment où non stop. Alors à dire que probablement une intolérance digestive ou... et parce que trop grosse...
Un de ses confrères m'a dit qu'elle avait une pancréatite car son test était revenu positif... Que je devais la lui laisser 3j et qu'il allait la mettre sous perfusion... Et après à lui coller des antibiotiques... Lui 0 cortisone par contre... Elle a continué à vomir... 15j après, il lui a changé l'antibiotique et l'a donc laissée sous antibiotique: tjrs à vomir... 0 amélioration.
Je payais à chaque fois très cher...
La conseillère de la banque postale m'a dit que vu le prix, de voir si pas une école vétérinaire à portée...
J'ai cherché... Ben une à Lyon... Un peu + de 2 heures aller et de 2 heures retour... Mais ma chatte n'est pas ch... sauf quand je la déloge de chez ma mère (campagne) pour la ramener en ville en appartement (dans ce cas, elle braille non stop jusqu'à l'arrivée, ce qu'elle ne fait jamais à l'allée...)
Je suis donc allée 1 jour après avoir vu le vétérinaire... à cette école... (il faut téléphoner, dire quel animal et quel problème et prendre rdv)
C'est un peu comme dans le Dr House: un ou deux professionnels expérimentés et une collégiale d'étudiants...
Du coups, ils ont listé tous les maux pouvant être à l'origine de ses symptômes, des différentes techniques pour vérifier, et pas juste une technique pour un maux (comme a fait l'autre ...), à m'apprendre aussi que le test pour le pancréas peut donner un faux positif sur les chats pas maigres..., puis à me faire un devis. (Avant ça, un étudiant est chargé de présenter ma chatte aux autres, de redire un peu ce que je lui ai dit, après, devant moi, les pros le questionnent et me questionnent, puis chacun doit dire ce que pourrait avoir mon animal).
Une fois le devis accepté, ils sont partis avec ma chatte et ont fait tout leurs examens.
Alors on m'a dit que ma chatte n'avait aucune allergie (ils ont vérifié), aucune intolérance (ils ont vérifié), aucune infection bactérienne ni apparemment virale (ils ont vérifié), pas de diabète (idem), etc. MAIS qu'elle avait des tas de calculs biliaires parfaitement visibles à l'échographie... et qu'il faudrait essayer l'ursolvan si elle se laisse donner tous les jours... Ben oui (ma chatte est un amour dans l'ensemble).
A me donner un mail, m'envoyer leur compte-rendu détaillé par mail, à pouvoir payer ultérieurement si besoin (et, autrefois, possible en plusieurs fois). Et à me fixer un rdv à dans 6 mois.
J'ai donc donné à ma chatte son ursolvan... et ça a été FINI. Et sans croquette hypoallergénique, sans injection de cortisone et sans antibiotique...
Elle a toujours des périodes où elle a quelques calculs qui l'emm et où je dois lui donner son traitement et ça passe.
Mais tout ça pour dire que, en cas de doute, si c'est possible --> école vétérinaire!
En +, ma chatte, là-bas, ne s'y est jamais sentie terrorisée.
Une fois, là où j'habitais, un vétérinaire inconnu est parti avec elle, je l'ai entendue hurlée, elle était pleine de sang au niveau de son derrière et en + il l'avait shootée (vu le regard, très vite) et est devenue peureuse. Il voulait en + l'opérer!
Très vite, je l'ai emmenée en urgence à l'école. Ils ont dit que tjrs son problème de calcul et de manque de bile, et à s'en occuper... et, à la fin, alors que le jeune étudiant racontait ce qu'il avait cherché, fait, résultat, ma chatte, libre dans la salle, allait vers lui et se frottait contre ses jambes en relevant la queue, montrant le remercier et heureuse. Et à ne plus avoir peur...
Comme j'ai quitté là où je vivais avant, j'ai cherché sur le net un vétérinaire qui est très plébiscité et ai réussit à avoir un rdv avec CE vétérinaire. Pas la clinique la + proche... mais pas grave! Il a lu les anciens compte-rendus de l'école, a trouvé que c'était bien de l'avoir fait voir à l'école car ils peuvent faire + d'examens qu'eux pour un prix + abordable, et il lui a fait son échographie et sans l'endormir (vu qu'elle a été en confiance) et il a fait une prise de sang et re-prescrit son traitement.
Et, pour le moment, ras.
En résumé, si un doute --> école.
Et je suis contente que ton chat aille mieux... C'est toujours un soucis, mine de rien, nos animaux...
Necker: "névrose d'angoisse + dépression + troubles relationnels cognitifs" Psychiatre 40 ans d'exercice: "hypersensible avec possibilité de TSA" l'ADOS-2, score total de 12 compatible avec 1 Trouble du Spectre de l'Autisme.
Fatiguée. La reprise, les discussions sur les vacances, des problématiques autres à gérer en plus des cours. Et une ambivalence, l'incapacité à tenir en place d'une part et l'envie de ne rien faire d'autre part. Je n'arrive pas à apprendre mes cours. Et je pense que je ne me laisse pas la place d'être triste ou en colère, ce que l'on appelle "craquer".