[Index Nutrition] Pour parler de nutrition

[Bubu]

Hier, j'ai mangé un croissant. Dur déjà.
Pareil avant hier. J'en avais acheté 2 pour le petit déjeuner, finalement ça m'a fait 2 jours.
58kg pour 1m79, .... Ya un pb
Je vais faire un bilan médical complet début Janvier. (Je ne suis pas anorexique, mais rien que l'odeur de la bouffe me fait vomir)
Ça fait 1,5 an que ça dure, il est plus que temps de s'inquiéter.

[freeshost]

Ça dépend des aliments. Il y a des aliments qui sentent moins que d'autres. Tiens, par exemple, la salade. Souvent, quand ça sent, c'est parce que c'est cuit - il y a de l'évaporation qui t'émoustille les narines. Au moins, une pomme crue, ça ne sent pas trop. Bon, maintenant, ce n'est pas trop la saison des tomates.

Bon bilan médical.

Plusieurs personnes du forum proposent divers menus.

Bon, moi, le matin, ça peut être des tranches de pain complet sur lesquelles je tartine de la confiture ou avec lesquelles je fais des sandwichs (salade, carotte, poivron, un brin de moutarde, etc.) pour la pause hors du foyer.

Autrement, bol de serré maigre avec pommes en dés ou bol de soupe aux légumes suisses.

Les boîtes de chocolat que je reçois, je les offre ensuite à d'autres personnes.

[freeshost]

En 2016, les Suissesses et les Suisses ont mangé pour 83.5 kg par habitant.

83'500 g : 365 j = environ 228.767 g/j de fruits et légumes.

Or, selon les recommandations alimentaires en Suisse, il faut cinq portions quotidiennes, et une portion fait 120 g. Donc 600 g.

228.767 / 600 = environ 38.128 %.

Donc, en moyenne, la population suisse se nourrit d'à peine les 2/5 recommandés.

Bon, pour ma part, j'achète environ 5 kg de fruits et légumes par semaine. Faut dire que... rares sont les aliments que je n'aime pas.

Par contre, les étalages de viande dans les magasins donnent l'impression que les habitants de Suisse en mangent trop.

[freeshost]

La fin du déjeuner au travail: bienvenue chez les «no lunch» !

C’est la nouvelle tendance du salariat: on ne déjeune plus, ou alors si mal et si vite. Adieu plaisir et bonjour les dégâts…

«Le déjeuner, c’est pour les mauviettes», lançait, en 1987, le trader Gordon Gekko, incarné par Michael Douglas, dans le film «Wall Street». Un visionnaire… En ce temps-là pourtant, les salariés prenaient le temps de déguster le menu spécial midi du restaurant de quartier, entrée-plat-dessert et même, soyons fous, digestif, avant de retourner accomplir leur besogne avec pas moins de conscience professionnelle que les forçats du XXIe siècle.

Mais cette récré passe à présent pour un énième privilège des trente glorieuses. Car partout, c’est le même refrain. Déjeuner à midi? Pas le temps, pas l’argent, trop de boulot.

«Ma patronne n’arrête pas de dire qu’on est dans une start-up et qu’il faut tout donner, raconte Elodie, graphiste. L’open space est une ruche où même boire un café cinq minutes au distributeur ressemble à un abandon de poste. A midi, je réchauffe un plat sous vide au micro-ondes, et l’avale en continuant ce qui devait être rendu hier sur mon clavier…» Pour Xavier, c’est la délocalisation de sa boîte dans une zone industrielle isolée qui lui a coupé l’appétit: «Ils nous ont imposé une cantine qui ne sied pas à mon système digestif. Même leurs légumes prennent deux jours à digérer. Alors je mange un sandwich maison devant l’écran. Je suis sûr que cette cantine infâme est un complot. Ils nous coupent l’appétit pour nous faire travailler plus longtemps!».

65% des Américains pratiquent le «desktop lunch»

Aux Etats-Unis, on appelle ça le «desktop lunch», le déjeuner englouti vissé à son siège réglable. Et les Américains sont passés champions: 65% des salariés ne font plus aucune coupure, grignotant juste des cochonneries.

Aucun chiffre sur ces ascètes du midi en Suisse, mais la psychologue Nadia Droz, spécialiste en santé au travail et burn-out à Lausanne, en reçoit chaque jour: «J’ai par exemple une trentenaire cadre qui travaille entre 10 et 15h par jour, et ne se nourrit que de chips. C’est son premier job, elle n’a aucune distance et trouve tout normal», constate-t-elle. «La fin de la pause déjeuner répond à la pression économique: les départs ne sont pas remplacés, les rythmes augmentent, la globalisation des outils permet de travailler tout le temps. J’ai des patients tellement stressés qu’ils ne supportent même plus de manger. Chez les cadres notamment, il y a la culture de ne plus compter ses heures, ou alors on les compte, mais on s’en fiche, avec un patron qui prétend que les salaires étant considérables, il ne faut pas se plaindre.»

Ce que dit la loi

Bien sûr, la loi fédérale impose des pauses: une demi-heure pour 7h de travail, 1h pour des journées de plus de 9h… Mais dans les faits, la halte du midi se ratatine tant et plus. En France, elle est passée de 1h38, il y a 20 ans, à 22 minutes en 2016, et 7 salariés sur 10 déclarent déjeuner sur leur lieu de travail. Et, selon une étude d’OfficeTeam, 29% avouent continuer de travailler en mastiquant. «Avec la mode des réunionites, la pause déjeuner est aussi le seul moment où le cadre peut travailler tranquille, constate encore Nadia Droz. Ou alors c’est l’entreprise qui organise elle-même des réunions à midi, en payant les sandwichs. Mais quand c’est une réunion où l’on décortique les résultats, il y a de quoi perdre l’appétit…»

Les sédentaires du tertiaire ne sont pas les seuls à passer le déjeuner à la trappe – sauf en cas de repas d’affaires, où il est bon de prendre son temps pour ramener des contrats… Car pour les nouveaux galériens de l’ubérisation, le temps de manger n’existe même plus. Fin 2013, une employée de la firme Amazon racontait ainsi au journal «Libération» son quotidien. Parmi les conseils de son employeur: «Mangez bien à la pause.» Or, selon elle, «cette dernière injonction est tout à fait paradoxale. Les deux pauses de vingt minutes qui nous sont accordées ne laissent en aucun cas le temps de bien manger. Il faut traverser l’entrepôt pour rejoindre votre casier pour prendre votre pique-nique. Là, il faut choisir entre avaler une bouchée de sandwich et aller aux toilettes, faire les deux étant assez ambitieux puisque vous devez avoir retrouvé votre chariot lorsque retentit la sonnerie.»

Même quand cette sonnerie n’est pas imposée, elle est totalement intériorisée, selon la psychologue et sociologue Nicole Aubert, auteure de l’ouvrage «Le culte de l’urgence: la société malade du temps» (Flammarion): «Nous vivons l’avènement de l’accélération de soi. Enfermé dans une temporalité ultracourte, hyperconnecté en permanence, sommé d’accélérer toujours plus dans son travail, l’individu contemporain vit dans un rapport compulsif à l’instant présent et se brûle dans l’hyperactivité.»

Manger le soir ferait grossir

Et ce culte de l’urgence qui nous rend anorexiques (ou gavés de chips) a des conséquences en cascade. «Sauter le déjeuner entraîne une hyperphagie vespérale: on va manger plus au dîner, avec un risque de surpoids» prévient Dimitrios Samaras, médecin nutritionniste à Genève, et consultant au service nutrition des HUG. «Le sandwich avalé en 15 minutes ne correspond pas non plus à un déjeuner équilibré. Il faut prendre 30 minutes afin de manger un repas contenant protéines et fibres… Hélas, l’impasse du midi prend de l’ampleur, et finit dans mes consultations. Ce sont des mères qui zappent le déjeuner afin de rentrer plus tôt le soir, ou même des collègues médecins qui n’arrêtent jamais, enchaînant toute la journée les patients.»

... et en plus, cette frénésie est contre-productive

Pourtant, selon une étude de l’Université Humbolt, à Berlin, tenter de rester constamment productif est contre-productif, avec une baisse de la créativité, ainsi qu’une augmentation du stress et de l’agressivité. Mathieu, manager d’équipe, le sait bien, lui qui résiste et s’offre encore des escapades au restaurant le midi: «Quand je reviens, mon équipe, qui a mangé son Tupperware dans la salle de réunion, boude. Mais si je ne vois pas d’autres présents, je deviens fou. Je suis aussi le dernier à partir et là, tout le monde s’en fiche. Même dans les rushs, je vais manger mon sandwich dans ma voiture, pour fuir cet univers carcéral…»

Sans compter que boulotter à son bureau en fait, aussi, un nid à microbes 400 fois plus sale que des toilettes normalement entretenues. Au point que la société canadienne de conseil en immobilier d’entreprise CBRE Ltd a interdit ces grignotages, et impose des vraies pauses, pour «encourager les employés à se lever de leurs bureaux et à socialiser». A condition d’avoir des collègues sympas qui donnent envie de déjeuner ensemble…

Donc, trop de travail, et sans pause suffisante pour manger et se ressourcer, favorise non seulement le syndrome d'épuisement professionnel et les troubles du sommeil mais aussi la malnutrition, en plus de réduire la créativité et la motivation.

[Tedrainbow]

Pour moi ces important a mes yeux et je suis allergique au gluten, je suis allez voir un naturopathe ils y a plusieurs année.
Pour le moment je mange seulement ces aliment pour le moment.
- Brocoli,Carotte, Concombre, pois vert.
- Pomme, Raisin, Melon d'eau, Bleuet.
- Céréale Nature, L'ait d'amande,Beurre Becel.
- Thon, Saumon, Macro.
- Eau, Pain sans gluten.
- Beurre d'amande, Cajou et graine de tournesol.

Voici mon menus chaque jours même pour les fêtes.

[J'ai un coeur]

J'ai déjà bossé de nuit ====>prise de poids , dérèglement du sommeil , perte de motivation pour tout. J'ai déjà bossé (60h semaines ) ====> prise de poids , perte de motivation pour tout. Aussi le cerveau aime le sucre et le gras. Les biscuits Oreo que je n'aime pas sont les biscuits les plus vendu dans le monde , du moins l'année que j'ai vu l'article. La raison c'est que l'entreprise a trouver le parfait mélange entre le sucre et le gras ). Tout ça pour dire qu'avec la fatigue et le stress le cerveau nous dirigera plus sur du gras et du sucré plutôt qu'une salade. PS : je parle de généralité.

[Bubu]

C'est moi que je vous le dis :
Bouffez de la patate.

Avec beaucoup de gras, de salé et de sucré. N'hésitez pas non plus à grignoter entre les repas évidemment.
Et fumez bien-sûr.
Vous vivrez peut-être moins longtemps, mais au moins votre vie aura été plus heureuse.

(Certains plaisirs ne sont que ceux que l'on se donne. )

[freeshost]

On n'est jamais mieux nourri que par soi-même.

[Bubu]

Mangez du saucisson !
C'est très gras et très salé en plus !

Le seul problème c'est que l'on en a plein les dents après.
On se retrouve avec du gras de saucisson coincé entre les dents.

Après, il faut bien donner du boulot aux dentistes !
Je les vois de là, nous conseillant à tous de bouffer du saucisson !

[J'ai un coeur]

En février, je vais faire en sorte de dépenser le moins d'argent possible pour me nourrir. Dans un premier temps je ne vais pas utiliser ma carte bancaire, je fini d'abord ce qu'il y a dans mes placards. Je vais vraiment prendre le temps d'analyser le maximum de paramètres pour voir les rapports meilleurs qualités prix (bien sûr j'irai dans les endroits comme lidl Aldi ). Ce qui le plus ridicule dans tout ça c'est que je pense que je fais parti des gens qui gagnent bien leur vie, du moins qui non pas besoin de faire ce genre ce chose. Pourquoi je le fais ? Franchement je ne sais pas vraiment, dans ma tête c'est pas mal d'éléments à analyser , expérimenter, un challenge etc... Encore une fois les choses qui m'intéressent en général ça intéresse que moi :/ Je comprendrai que les gens me trouvent ridicule.

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En février, je vais faire en sorte de dépenser le moins d'argent possible pour me nourrir. Dans un premier temps je ne vais pas utiliser ma carte bancaire, je fini d'abord ce qu'il y a dans mes placards. Je vais vraiment prendre le temps d'analyser le maximum de paramètres pour voir les rapports meilleurs qualités prix (bien sûr j'irai dans les endroits comme lidl Aldi ). Ce qui le plus ridicule dans tout ça c'est que je pense que je fais parti des gens qui gagnent bien leur vie, du moins qui non pas besoin de faire ce genre ce chose. Pourquoi je le fais ? Franchement je ne sais pas vraiment, dans ma tête c'est pas mal d'éléments à analyser , expérimenter, un challenge etc... Encore une fois les choses qui m'intéressent en général ça intéresse que moi :/ Je comprendrai que les gens me trouvent ridicule.

J'ai fait pareillement, j'avais appris les prix par coeur au kilo (sans le chercher à force de les lire) des différents aliments et "retenais" dans les publicités les produits aventageux dans un rapport nutrition/prix, je fais un peu ça pour tout. En fait, je sais que globalement je suis incapable de travailler à temps plein, dès lors comme je ne peux gagner beaucoup, il faut que je dépense peu.

[J'ai un coeur]

J'ai fait pareillement, j'avais appris les prix par coeur au kilo (sans le chercher à force de les lire) des différents aliments et "retenais" dans les publicités les produits aventageux dans un rapport nutrition/prix, je fais un peu ça pour tout.

Tu pourrais me donner un exemple s'il te plaît ? D'après mes calcules je peux manger 4 repas pour 3€. Toujours d'après mes calculs les plus rentables c'est :
- 4 Crépinettes de porc à 2€95 soit le kilos à 5€90. - pattes sauce tomates

[Flower]

En fin de marché, on peut parfois faire de très bonnes affaires pour les fruits et légumes frais. Tu peux aussi faire des économies en faisant ton propre pain, car les ingrédients bruts ne coûtent pas cher.
En revanche attention à maintenir quand même une alimentation équilibrée.

[J'ai un coeur]

En fin de marché, on peut parfois faire de très bonnes affaires pour les fruits et légumes frais. Tu peux aussi faire des économies en faisant ton propre pain, car les ingrédients bruts ne coûtent pas cher.
En revanche attention à maintenir quand même une alimentation équilibrée.

Merci pour les conseils.

[Tugdual]

Sur Psychomedia :

• Idées pour consommer plus de bons gras et moins de gras saturés (Guide alimentaire canadien)...