Recrutement, CV, entretien d'embauche
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Re: entretien d'embauche
Sincèrement désolé pour toi, Meï. J'espère que le recruteur qui a vraiment besoin de Meï (car il existe forcément) te trouvera bientôt.
Et surtout, ne laisse personne, même et surtout dans un stage, te dicter quel parcours professionnel te serait préférable. C'est à toi et à toi seule de décider.
Courage.
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Re: entretien d'embauche
Ah mince Meï....Désolée pour toi, mais tu sais j'ai une sorte de philosophie qui dit : "c'est que ça n'était pas bon pour moi"....Tu trouveras sans doute autre chose plus adapté, un peu plus tard....Pas facile à digérer, mais tu es une battante, je suis sûre que tu finiras par trouver LE job fait pour toi.!
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Re: entretien d'embauche
Rhaaa zut pour cette fois-ci.
Rien à rajouter, Murielle et Benoit ont déjà tout dit.
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«Nous sommes tous des farceurs: nous survivons à nos problèmes.» (Cioran)
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Re: entretien d'embauche
oui, surement..Murielle a écrit :.Tu trouveras sans doute autre chose plus adapté, un peu plus tard...
merci!
1973 ( TSA, hpi, diag CRA 2012) de 4 enfants (tsa/ hpi, tdah, hpi et autres.)...)
https://cieharmonieautiste.jimdo.com/
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Re: entretien d'embauche
Zut alors
Reste confiante Meï
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Re: entretien d'embauche
Courage, Meï... Je suis de tout coeur avec toi...
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Re: entretien d'embauche
merci...
en fait j'ai aps mal cogité a la suite de cette réponse, et de l'entretien ce matin avec une des formatrice du centre ou je dois faire le stage d"'orientation/projet" avec le cap emploi( ces stages sensés faire baisser les chiffres du chomage...mais bon, il y a du bon.)
elle ne connaissait pas du totu mon "handicap" .
je me sius rendue compte lorsuq'elle m'a demandé quelles étaient mes "contre indications médicales"...que..ben je ne savais pas quoi dire.
est ce qu'il n'est pas aussi là mon problème, je ne suis pas au claire avec moi sur ces points? je ne sais pas parler de mes difficultyés, j'ai peur du jugement puisque ces difficultés sont si mal connues.
des tas de choses me viennent à l'esprit avec une question de ce type , mais je ne dis rien, de peur d'etre prise pour une idiote, mal comprise....
j'ai du boulot je crois...
en fait j'ai aps mal cogité a la suite de cette réponse, et de l'entretien ce matin avec une des formatrice du centre ou je dois faire le stage d"'orientation/projet" avec le cap emploi( ces stages sensés faire baisser les chiffres du chomage...mais bon, il y a du bon.)
elle ne connaissait pas du totu mon "handicap" .
je me sius rendue compte lorsuq'elle m'a demandé quelles étaient mes "contre indications médicales"...que..ben je ne savais pas quoi dire.
est ce qu'il n'est pas aussi là mon problème, je ne suis pas au claire avec moi sur ces points? je ne sais pas parler de mes difficultyés, j'ai peur du jugement puisque ces difficultés sont si mal connues.
des tas de choses me viennent à l'esprit avec une question de ce type , mais je ne dis rien, de peur d'etre prise pour une idiote, mal comprise....
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Re: entretien d'embauche
Ah zut Mei!!
Mais coté positive est le fait d'avoir eu un entretien, c'est une bonne apprentissage.
Tu as regardé pour le "guide pour l'employeur"? Ca pourrait aider pour le stage.
Mais coté positive est le fait d'avoir eu un entretien, c'est une bonne apprentissage.
Tu as regardé pour le "guide pour l'employeur"? Ca pourrait aider pour le stage.
Suzanne, la vieille qui blatere, maman de Loic 29 ans
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Re: entretien d'embauche
Avoir passé cet entretien ne peut que t'aider à avancer et à connaître peut-être les erreurs à éviter.
Je comprends ta réticence à parler de tes vrais problèmes. Peut-être pourrais-tu les énoncer mais, en même temps, apporter les solutions qui pourraient t'aider, ou dire ce dont tu as besoin pour te sentir rassurer. Cela devrait rassurer les personnes qui sont en face de toi.
A chaque problème, il doit y avoir une parade... à toi de les trouver et de les proposer.
Je comprends ta réticence à parler de tes vrais problèmes. Peut-être pourrais-tu les énoncer mais, en même temps, apporter les solutions qui pourraient t'aider, ou dire ce dont tu as besoin pour te sentir rassurer. Cela devrait rassurer les personnes qui sont en face de toi.
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Re: entretien d'embauche
Mais pour celà, il faudrait avoir un "retour" des personnes ayant participé au recrutement. Quels éléments ont été déterminants ?Jonquille57 a écrit :Avoir passé cet entretien ne peut que t'aider à avancer et à connaître peut-être les erreurs à éviter.
Ne pas oublier que dans ce type d'embauche, ce n'est pas nécessairement l'entretien qui est déterminant, mais la "concurrence" : d'autres personnes ont peut-être des qualifications supplémentaires, le type de contrat plus "intéressant" pour l'entreprise ...
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Re: entretien d'embauche
Il y a des aides financières non négligeables par l'état pour l'emploi d'un handicapé. Jo a eu un employeur qui voulait faire ce dossier ( aide de 50 % du salaire et exonération de charges), mais pour de mauvaises raisons, Jo a donc quitté cette entreprise. C'était il y a plusieurs années ( 2008 je crois), mais un employeur motivé et honnête peut trouver une compensation si le CV et la personne l'intéressent.
D'après mes souvenirs c'était un dossier imposant nécessitant un temps de montage important, mais ensuite c'était sans renouvellement, un acquis avec en contrepartie une impossibilité de licenciement, si mes souvenirs sont bons. Jean doit en savoir plus que moi sur ce sujet.
D'après mes souvenirs c'était un dossier imposant nécessitant un temps de montage important, mais ensuite c'était sans renouvellement, un acquis avec en contrepartie une impossibilité de licenciement, si mes souvenirs sont bons. Jean doit en savoir plus que moi sur ce sujet.
"Ne le secouez pas, cet homme est plein de larmes." Charles Dickens.
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Re: entretien d'embauche
oui, je pense bien qu'il devait y avoir plus interessant pour l'employeur...
ce qui me fait un peu peur, car au vu de mon CV, j'étais quand meme en plein dans le poste demandé, et pourtant..ça n'a pas fonctionné, donc..j'ai une certaine peur de l'avenir aujourd'hui.
je commence mardi un stage de cap emploi, mais je pense amener aux formatrices des infos sur mon "handicap" car elles ne sont absolument pas sensibilisées, et je 'nai pas envie de me retrouver pdt 3 mois avec des formatrices qui me considèrent comme une personne peu sympa /froide, alors que les autres vont eux '(ça a déjà commencé lors de la réunion d'info), avoir un capital sympathie lié à leur aisance verbale, ou leur situations difficiles au départ...
et ne me dite pas que c'est pas comme ça que ça fonctionne pour tout d'ailleurs..cette "impression" qu'on donne, elle reste totu de meme dominante par la suite.
et là, ben..j'aimerais bien que au moins, les formatrices soient un peu comprehensives, zut et zut. s'il faut que je les informe moi meme, ça sera dur mais je le ferais.
marre là de cette image si négative que je peux donner (en général sur le moyen terme. au début ça va...)!..cette "impression de louche" que je laisse derrière moi....
ce que ça peut etre puissant dans notre société, ce besoin de se reconnaitre dans son voisin, ses pairs, pour mieux se sécuriser.
et avec moi, j'ai l'impression que les gens ne "voient" rien et..ça leur fait peur. Je suis pas causante? c'est bisarre. j'ai l'air ramollie ou gauche? je souris betement parce que je sais pas trop quoi dire? je suis pas bien futée...
et pourtant, qui peut soupçonner que pdt ce tps là, au contraire, je cogite puissance 1000...
et puis je pense faire des candidatures spontanées, pleins...j'ai un raz le bol teinté de peur.
je vais écrire des lettres, avec mon CV et les envoyer partout où j'aimerais travailler (et l y a pas mal d'endroits..)..
zut, 38 ans, et pas de travail , je vais arriver à 40 et ça sera "trop tard"...
n'empeche, je suis arrivée à la caf avec une candidature spontanée qui ne faisait pas du tout mention de handicap.(et ds ma tete une négation decelui ci..)
et j'ai été accepté sur le coup avec grande sympathie.(1 mois) ..ai meme été reprise en CDD...(5 mois..)
j'ai réussi les concours d'entrée en formation technicien, (ds les premiers résultats), et là, tout lemonde ds l'entreprise me souriait, incroyable quand j'y repense meme.. .bref.)
puis lorsqu'il a fallu (1 an après)me rendre à l'evidence que problème j'avais, là...plus personne pour me sourire et un (profond) mépris.
d'ou cette question qui me turlupine, est ce mieux quand je le dis ou quand je ne dis rien...(bien sur que je le sais, je dois l'accepter ; mais c'est un constat...)
profond soupir...ça ira mieux demain.
ce qui me fait un peu peur, car au vu de mon CV, j'étais quand meme en plein dans le poste demandé, et pourtant..ça n'a pas fonctionné, donc..j'ai une certaine peur de l'avenir aujourd'hui.
je commence mardi un stage de cap emploi, mais je pense amener aux formatrices des infos sur mon "handicap" car elles ne sont absolument pas sensibilisées, et je 'nai pas envie de me retrouver pdt 3 mois avec des formatrices qui me considèrent comme une personne peu sympa /froide, alors que les autres vont eux '(ça a déjà commencé lors de la réunion d'info), avoir un capital sympathie lié à leur aisance verbale, ou leur situations difficiles au départ...
et ne me dite pas que c'est pas comme ça que ça fonctionne pour tout d'ailleurs..cette "impression" qu'on donne, elle reste totu de meme dominante par la suite.
et là, ben..j'aimerais bien que au moins, les formatrices soient un peu comprehensives, zut et zut. s'il faut que je les informe moi meme, ça sera dur mais je le ferais.
marre là de cette image si négative que je peux donner (en général sur le moyen terme. au début ça va...)!..cette "impression de louche" que je laisse derrière moi....
ce que ça peut etre puissant dans notre société, ce besoin de se reconnaitre dans son voisin, ses pairs, pour mieux se sécuriser.
et avec moi, j'ai l'impression que les gens ne "voient" rien et..ça leur fait peur. Je suis pas causante? c'est bisarre. j'ai l'air ramollie ou gauche? je souris betement parce que je sais pas trop quoi dire? je suis pas bien futée...
et pourtant, qui peut soupçonner que pdt ce tps là, au contraire, je cogite puissance 1000...
et puis je pense faire des candidatures spontanées, pleins...j'ai un raz le bol teinté de peur.
je vais écrire des lettres, avec mon CV et les envoyer partout où j'aimerais travailler (et l y a pas mal d'endroits..)..
zut, 38 ans, et pas de travail , je vais arriver à 40 et ça sera "trop tard"...
n'empeche, je suis arrivée à la caf avec une candidature spontanée qui ne faisait pas du tout mention de handicap.(et ds ma tete une négation decelui ci..)
et j'ai été accepté sur le coup avec grande sympathie.(1 mois) ..ai meme été reprise en CDD...(5 mois..)
j'ai réussi les concours d'entrée en formation technicien, (ds les premiers résultats), et là, tout lemonde ds l'entreprise me souriait, incroyable quand j'y repense meme.. .bref.)
puis lorsqu'il a fallu (1 an après)me rendre à l'evidence que problème j'avais, là...plus personne pour me sourire et un (profond) mépris.
d'ou cette question qui me turlupine, est ce mieux quand je le dis ou quand je ne dis rien...(bien sur que je le sais, je dois l'accepter ; mais c'est un constat...)
profond soupir...ça ira mieux demain.
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Re: entretien d'embauche
Salut Mei
Avant tout, je rappelle, précise, que je n'ai pas de diag de SA, pour le moment, d'après les psy, je suis différente, le psychiatre a évoqué "trou noir de la psyché".
Mais question boulot, j'en suis au même point que toi, à 54 ans.
Avant, j'ignorais que j'étais différente et j'avais pris le parti de me fiche de l'avis des gens, mais en même temps, je culpabilisais constamment et j'arrondissais toujours les angles, je faisais les efforts à la place des autres. Ca s'est terminé de façon catastrophique et j'ai été infantilisée, prise pour une débile malgré un boulot qui marchait et deux filles en assez bon état.
Ensuite, en travaillant à l'extérieur, j'ai toujours commencé par être conciliante, trop et quand la situation a trop dégénéré, j'ai mis mes employeurs aux prud'hommes (gagné).
Après, j'ai fait une formation et j'ai fait la bétise de tenter d'expliquer mes difficultés, j'ai été éjectée.
D'après le psy, je suis "dérangeante", en percevant ce que les autres ne perçoivent pas. Même si je me force à faire comme si je ne voyais rien, ça ne marche pas, au contraire, plus je me force, plus mon attitude envoie des signaux non verbaux contradictoires avec mon langage verbal, et c'est pire, sauf, que ce langage corporel, je n'en ai pas conscience.
Il m'est arrivé d'être persuadée d'avoir salué quelqu'un par un sourire alors que ma fille me disait qu'on m'avait dit bonjour et que je n'avais pas répondu.
Prise en charge par le PLIE, je vois régulièrement un psychiatre, un infirmier psy, et un psychologue, tous très sympas, mais ils tentent de me réparer par une psychothérapie et un traitement très efficace sur la fatigue et la prise de décision, avant de me rediriger vers du boulot.
Ca m’intéresse, j'ai pas d'objection à faire ça, je me demande juste si ça va changer mon attitude globale. Pour le moment, si j'ai moins de recul pour prendre contact avec des gens, tel, etc (ce que je n'arrivais plus à faire), je ne m'imagine pas trop être obligée de suivre la façon de travailler qu'on m'imposera dans le cadre d'un salariat.
Je ne sais pas si ce que je décris t'évoque quelque chose, c'est juste un témoignage au cas où.
Avant tout, je rappelle, précise, que je n'ai pas de diag de SA, pour le moment, d'après les psy, je suis différente, le psychiatre a évoqué "trou noir de la psyché".
Mais question boulot, j'en suis au même point que toi, à 54 ans.
Avant, j'ignorais que j'étais différente et j'avais pris le parti de me fiche de l'avis des gens, mais en même temps, je culpabilisais constamment et j'arrondissais toujours les angles, je faisais les efforts à la place des autres. Ca s'est terminé de façon catastrophique et j'ai été infantilisée, prise pour une débile malgré un boulot qui marchait et deux filles en assez bon état.
Ensuite, en travaillant à l'extérieur, j'ai toujours commencé par être conciliante, trop et quand la situation a trop dégénéré, j'ai mis mes employeurs aux prud'hommes (gagné).
Après, j'ai fait une formation et j'ai fait la bétise de tenter d'expliquer mes difficultés, j'ai été éjectée.
D'après le psy, je suis "dérangeante", en percevant ce que les autres ne perçoivent pas. Même si je me force à faire comme si je ne voyais rien, ça ne marche pas, au contraire, plus je me force, plus mon attitude envoie des signaux non verbaux contradictoires avec mon langage verbal, et c'est pire, sauf, que ce langage corporel, je n'en ai pas conscience.
Il m'est arrivé d'être persuadée d'avoir salué quelqu'un par un sourire alors que ma fille me disait qu'on m'avait dit bonjour et que je n'avais pas répondu.
Prise en charge par le PLIE, je vois régulièrement un psychiatre, un infirmier psy, et un psychologue, tous très sympas, mais ils tentent de me réparer par une psychothérapie et un traitement très efficace sur la fatigue et la prise de décision, avant de me rediriger vers du boulot.
Ca m’intéresse, j'ai pas d'objection à faire ça, je me demande juste si ça va changer mon attitude globale. Pour le moment, si j'ai moins de recul pour prendre contact avec des gens, tel, etc (ce que je n'arrivais plus à faire), je ne m'imagine pas trop être obligée de suivre la façon de travailler qu'on m'imposera dans le cadre d'un salariat.
Je ne sais pas si ce que je décris t'évoque quelque chose, c'est juste un témoignage au cas où.
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Re: entretien d'embauche
Ne demoralise pas Mei, il faut bien dire que la situation actuelle de l'emploi est dramatique pour tout le monde, handicap ou pas.
J'ai retrouvé le guide que je te parlais, ca sera bien de l'imprimer pour ton stage
http://www.aspergeraide.com/images/Guid ... r_2011.pdf
J'ai retrouvé le guide que je te parlais, ca sera bien de l'imprimer pour ton stage
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Re: entretien d'embauche
oui, bien sur que cela me parle, Annemarie..merci bcp pour ce témoignage et surtotu j'espère que tu retrouveras un emploi qui te plait vraiment .annemarie a écrit : je culpabilisais constamment et j'arrondissais toujours les angles, je faisais les efforts à la place des autres. Ca s'est terminé de façon catastrophique et j'ai été infantilisée, prise pour une débile malgré un boulot qui marchait et deux filles en assez bon état.
Après, j'ai fait une formation et j'ai fait la bétise de tenter d'expliquer mes difficultés, j'ai été éjectée.
D'après le psy, je suis "dérangeante", en percevant ce que les autres ne perçoivent pas. Même si je me force à faire comme si je ne voyais rien, ça ne marche pas, au contraire, plus je me force, plus mon attitude envoie des signaux non verbaux contradictoires avec mon langage verbal, et c'est pire, sauf, que ce langage corporel, je n'en ai pas conscience.
Il m'est arrivé d'être persuadée d'avoir salué quelqu'un par un sourire alors que ma fille me disait qu'on m'avait dit bonjour et que je n'avais pas répondu.
.
en fait la situation à la CAF s'est dégradée surtout à partir du moment où j'ai tenté de dire mes difficultés (à bout de souffle pour compenser.). Comme si d'un seul coup j'avais perdu tout mon capital confiance ...(elle a des trucs qui ne tournent pas ronds, genre autisme? qu'est ce qu'elle raconte...elle est pas nette...ah ben ça explique pas mal de choses!...)
bref...
tant pis ou tant mieux, aujourd'hui je dois aller vers autre chose.
mais c'est juste douloureux de se retrouver case départ ....ça en rend encore plus fatiguante chaque démarche...
en tout cas je tente de garder mon optimisme malgré tout.
ps Maho, oui merci, je l'avais amené à ma referente du cap emploi (je ne sais pas ce qu'elle en a fait...) mais je vais en ramener aux formatrices!. .)
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