[Index Psy] Rêves dirigés, lucides
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Re: Rêves dirigés
se serait intéressant d'inventer un détecteur de cauchemars. et hop dès que ca devient ingérable la machine nous met une claque et on se réveille
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Re: Rêves dirigés
Une grosse tarte au réveil. Attention à ne pas être sur mon chemin ensuite car je mords. xDTempus Fugit a écrit :se serait intéressant d'inventer un détecteur de cauchemars. et hop dès que ca devient ingérable la machine nous met une claque et on se réveille
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Re: Rêves dirigés
tu mords la tarte au réveil? (j'ai rien compris!)Mr.Spleen a écrit :Une grosse tarte au réveil. Attention à ne pas être sur mon chemin ensuite car je mords. xDTempus Fugit a écrit :se serait intéressant d'inventer un détecteur de cauchemars. et hop dès que ca devient ingérable la machine nous met une claque et on se réveille
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Re: Rêves dirigés
Me faire réveiller par une tarte (claque) ça me donnerais envie de mordre les gens à cause de la mauvaise humeur.Tempus Fugit a écrit :tu mords la tarte au réveil? (j'ai rien compris!)Mr.Spleen a écrit :Une grosse tarte au réveil. Attention à ne pas être sur mon chemin ensuite car je mords. xDTempus Fugit a écrit :se serait intéressant d'inventer un détecteur de cauchemars. et hop dès que ca devient ingérable la machine nous met une claque et on se réveille
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Re: Rêves dirigés
Un réflexe de défense en quelques sortes.
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Re: Rêves dirigés
j'aime pas non plus. ce n'est pas agréable. sans parler de la sonneries stridente du reveil. j'en ai cassé des réveil comme ca. du coup vu que ca me coûtait cher, j'ai décidé de me réveiller sans réveil. Je sais pas encore comment ca marche, mais ca marche!
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Re: Rêves dirigés
Je suis un peu comme ça aussi,quand j'ai un rendez-vous vraiment important,je me réveille à l'heure qu'il faut même sans réveil,ça marche à touts les coups ;par contre,quand il n'y a rien de spécial,il faut croire que ça se relâche un peu...
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Re: Rêves dirigés
Est-ce que ça vous arrive des fois de commencer à rêver alors que vous êtes à peine assoupis?Cela m'arrive de temps en temps,à chaque fois que je ferme les yeux,j'ai l'impression de glisser dans un autre monde,qu'il m'aspire et que son atmosphère m'enveloppe,les voix,les couleurs,tout change...c'est comme si j'entrais et sortais ma tête de l'eau...
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Re: Rêves dirigés
La science des rêves 2 - La Tête au Carré - 29 mai 2014
Il y a un passage sur les rêves dirigés (à partir de 20'10'')
Il y a un passage sur les rêves dirigés (à partir de 20'10'')
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Re: Rêves dirigés
J'ai réussi une seule fois à savoir que j'étais dans un rêve et que je pouvais faire ce que je voulais, il y avait déjà une maison, mais j'ai essayé de construire des pièces, au fur et à mesure que je me réveillais je n'arrivais plus à construire, j'ai fais apparaître un humain sur un canapé sans plus, après je me suis réveillé
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Re: Rêves dirigés
Merci à vous de continuer à faire vivre ce fil.
Oui, Bran, ça m'arrive. Et parfois les voix viennent avant les images...Bran Rêve-d'Encre a écrit :Est-ce que ça vous arrive des fois de commencer à rêver alors que vous êtes à peine assoupis?Cela m'arrive de temps en temps,à chaque fois que je ferme les yeux,j'ai l'impression de glisser dans un autre monde,qu'il m'aspire et que son atmosphère m'enveloppe,les voix,les couleurs,tout change...c'est comme si j'entrais et sortais ma tête de l'eau...
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Re: Rêves dirigés
Ouah c'est fascinant ça comme topic ! Pendant une longue (loooongue) période j'ai été fascinée par les rêves lucides. Je me disais que ce que je ne pouvais pas avoir, ou faire, dans la réalité je pouvais toujours le faire en rêve, alors forcément j'ai bien étudié la question héhé
Il ne m'est pas arrivé tant que ça de faire des rêves lucides. Une de mes premières fois (si ce n'est LA première fois) s'est produite assez tôt (peut-être 6-7 ans ?). Grâce à cette lucidité toute nouvelle, j'ai réussi à me débarrasser d'un cauchemar récurrent très stupide de l'époque où je me faisais poursuivre par un hippocampe géant flottant au dessus du sol autour du parc de ma maison (qui possède une allée circulaire). Je partais en courant d'un bout pour faire le tour du parc et revenir vers ma maison selon le trajet du cercle, mais dès que je m'en approchais je commençais à courir sur place et je me faisais systématiquement manger par l'hippocampe à mes trousses. Ça m'a appris la première "loi" du rêve : si je meurs, c'est le réveil. En tout cas, après cet épisode je n'ai plus jamais fait ce rêve.
[[EDIT : j'ai oublié de mentionner comment j'avais "vaincu" ce cauchemar exactement. Contrairement à ce que je semble vouloir dire à cause de mon oubli, je ne me suis pas débarrassée du rêve en mourant, au contraire : je mourais toutes les nuits et c'était assez traumatisant. Je l'ai vaincu en reconnaissant ce rêve à cause de sa récurrence, puis en me retournant vers là où l'hippocampe arrivait pour dire "Pourquoi c'est toujours moi ? Ça ne peut pas être quelqu'un d'autre ?" A ce moment là, tout a changé comme par magie. Une fille de mon école à l'époque (au hasard, je ne la détestais pas plus que ça) m'a remplacée dans le rôle de la victime, et moi je jouais le rôle de l'hippocampe, et je me suis amusée à faire le tour du parc pour la terroriser à mon tour. C'est après ça que je n'ai plus jamais fait ce rêve de nouveau ]]
Plus tard, ce concept de se laisser mourir en rêve pour se réveiller m'a servi, mais uniquement dans les situations désespérées où le réveil importait plus que tout. La mort dans le rêve est extrêmement désagréable pour moi (et pour tout le monde j'imagine ?), j'ai l'impression d'attraper des fourmis dans tout le corps, comme si elles étaient des centaines à courir dans tous mes vaisseaux sanguins. Sinon ça m'est arrivé d'autres fois, la plupart du temps je n'étais que semi-lucide (un exemple qui a bien fait rire ceux à qui je l'ai raconté : ma première réaction après avoir découvert ma lucidité dans un rêve pour la première fois, en ayant connaissance du phénomène, a été de secouer la personne à côté de moi pour lui dire « HEY ! On est dans un rêve ! ». Logique. ). Ça ou bien je pataugeais pour garder ma lucidité, parfois avec succès néanmoins !
Du coup j'ai développé quelques tactiques : tourner sur soi-même pour rester lucide, diriger les choses en un fil « d'intrigue » vague (ou simplement changer le fil existant) et explorer, mais se laisser surprendre quand même, sinon c'est pas drôle, voire le réveil carrément. Etc etc...
Sinon, pour ce qui est de relier avec la question qui a été posée qui traite de commencer à rêver à peine endormi, ça m'est arrivé, mais depuis je me méfie de ce genre de choses... Est-ce que vous avez déjà entendu parler de la paralysie du sommeil ? Ça ne m'est jamais arrivé mais je suis terrifiée par le fait que ça puisse éventuellement survenir un jour, du coup mes penchants paranoïaques prennent le dessus et je prend mes précautions (ne jamais, Ô GRAND JAMAIS, dormir sur le dos notamment, ce qui est très problématique pour moi parce que j'a-dore dormir sur le dos. Je dirais même que c'est ma position de prédilection, mais quand j'ai peur, c'est hors de question. Même si parfois je m'autorise un petit écart quand je suis dans un endroit sûr ou quand je suis particulièrement sereine, détendue, et que toute peur est loin de moi). C'est idiot, je finis par avoir peur d'avoir peur au cas où ça provoquerait ce type de problèmes. Les hallucinations qui ont lieu juste avant de s'endormir entrent aussi dans cette catégorie puisque chez moi elles sont assez terrifiantes généralement (des rires flippants sortis de nulle part )
En dehors de ça, j'ai découvert qu'une autre chose provoquait le réveil : c'était d'essayer de se rappeler l'endroit où on est en train de dormir. Dans un sens, la première fois que j'ai fait ça dans un rêve, j'étais probablement lucide sans en avoir conscience (assez contradictoire comme concept, je ne me l'explique pas non plus ). Des personnages de rêve me demandaient de faire du bricolage (ce qui, avec les épreuves de type labyrinthe, me font souvent parler dans mon sommeil ou tomber du lit, ou encore faire de mini actes de somnambulisme). J'ai voulu me rappeler où je dormais pour éviter les désagréments (au cas où, parce que c'est embarrassant si quelqu'un d'autre est présent dans la pièce) et j'ai "remonté", remonté, remonté (dans ma conscience si on peut dire) pour finalement réaliser que j'étais dans ma chambre. Et c'est finalement quand j'ai tenté de "redescendre" pour leur expliquer que je pouvais faire ledit bricolage que j'ai été comme prise dans un aspirateur de conscience et que je me suis réveillée. Il faudrait réessayer et localiser le point de non-retour éventuellement
C'est toujours très étrange comme expérience. Désolée si j'ai un peu dévié du sujet, ou si je n'ai répondu à rien du tout, je me suis un peu laissée emporter dans mon témoignage...
Mais si je pouvais en faire plus souvent ce serait vraiment bien . J'ai lu quelque part que se rappeler de ses rêves était un moyen très efficace d'augmenter sa "capacité de lucidité", et que pour mieux s'en rappeler il fallait les noter au réveil. Je le fais quand je peux. Et vous, est-ce que vous avez tendance à oublier vos rêves, ou à facilement vous les remémorer ?
J'ai aussi remarqué que dans mon cas, quand mon sommeil était interrompu brutalement (réveil-matin, personne entrant dans ma chambre pour me lever) mon rêve s'effaçait presque instantanément, alors que quand je me réveille de manière "naturelle" et que j'ai tout le temps d'émerger et d'y penser, je peux le garder en mémoire pendant au moins une demi-journée sans le noter ou y penser tout le temps. Étrange haha
Il ne m'est pas arrivé tant que ça de faire des rêves lucides. Une de mes premières fois (si ce n'est LA première fois) s'est produite assez tôt (peut-être 6-7 ans ?). Grâce à cette lucidité toute nouvelle, j'ai réussi à me débarrasser d'un cauchemar récurrent très stupide de l'époque où je me faisais poursuivre par un hippocampe géant flottant au dessus du sol autour du parc de ma maison (qui possède une allée circulaire). Je partais en courant d'un bout pour faire le tour du parc et revenir vers ma maison selon le trajet du cercle, mais dès que je m'en approchais je commençais à courir sur place et je me faisais systématiquement manger par l'hippocampe à mes trousses. Ça m'a appris la première "loi" du rêve : si je meurs, c'est le réveil. En tout cas, après cet épisode je n'ai plus jamais fait ce rêve.
[[EDIT : j'ai oublié de mentionner comment j'avais "vaincu" ce cauchemar exactement. Contrairement à ce que je semble vouloir dire à cause de mon oubli, je ne me suis pas débarrassée du rêve en mourant, au contraire : je mourais toutes les nuits et c'était assez traumatisant. Je l'ai vaincu en reconnaissant ce rêve à cause de sa récurrence, puis en me retournant vers là où l'hippocampe arrivait pour dire "Pourquoi c'est toujours moi ? Ça ne peut pas être quelqu'un d'autre ?" A ce moment là, tout a changé comme par magie. Une fille de mon école à l'époque (au hasard, je ne la détestais pas plus que ça) m'a remplacée dans le rôle de la victime, et moi je jouais le rôle de l'hippocampe, et je me suis amusée à faire le tour du parc pour la terroriser à mon tour. C'est après ça que je n'ai plus jamais fait ce rêve de nouveau ]]
Plus tard, ce concept de se laisser mourir en rêve pour se réveiller m'a servi, mais uniquement dans les situations désespérées où le réveil importait plus que tout. La mort dans le rêve est extrêmement désagréable pour moi (et pour tout le monde j'imagine ?), j'ai l'impression d'attraper des fourmis dans tout le corps, comme si elles étaient des centaines à courir dans tous mes vaisseaux sanguins. Sinon ça m'est arrivé d'autres fois, la plupart du temps je n'étais que semi-lucide (un exemple qui a bien fait rire ceux à qui je l'ai raconté : ma première réaction après avoir découvert ma lucidité dans un rêve pour la première fois, en ayant connaissance du phénomène, a été de secouer la personne à côté de moi pour lui dire « HEY ! On est dans un rêve ! ». Logique. ). Ça ou bien je pataugeais pour garder ma lucidité, parfois avec succès néanmoins !
Du coup j'ai développé quelques tactiques : tourner sur soi-même pour rester lucide, diriger les choses en un fil « d'intrigue » vague (ou simplement changer le fil existant) et explorer, mais se laisser surprendre quand même, sinon c'est pas drôle, voire le réveil carrément. Etc etc...
Sinon, pour ce qui est de relier avec la question qui a été posée qui traite de commencer à rêver à peine endormi, ça m'est arrivé, mais depuis je me méfie de ce genre de choses... Est-ce que vous avez déjà entendu parler de la paralysie du sommeil ? Ça ne m'est jamais arrivé mais je suis terrifiée par le fait que ça puisse éventuellement survenir un jour, du coup mes penchants paranoïaques prennent le dessus et je prend mes précautions (ne jamais, Ô GRAND JAMAIS, dormir sur le dos notamment, ce qui est très problématique pour moi parce que j'a-dore dormir sur le dos. Je dirais même que c'est ma position de prédilection, mais quand j'ai peur, c'est hors de question. Même si parfois je m'autorise un petit écart quand je suis dans un endroit sûr ou quand je suis particulièrement sereine, détendue, et que toute peur est loin de moi). C'est idiot, je finis par avoir peur d'avoir peur au cas où ça provoquerait ce type de problèmes. Les hallucinations qui ont lieu juste avant de s'endormir entrent aussi dans cette catégorie puisque chez moi elles sont assez terrifiantes généralement (des rires flippants sortis de nulle part )
En dehors de ça, j'ai découvert qu'une autre chose provoquait le réveil : c'était d'essayer de se rappeler l'endroit où on est en train de dormir. Dans un sens, la première fois que j'ai fait ça dans un rêve, j'étais probablement lucide sans en avoir conscience (assez contradictoire comme concept, je ne me l'explique pas non plus ). Des personnages de rêve me demandaient de faire du bricolage (ce qui, avec les épreuves de type labyrinthe, me font souvent parler dans mon sommeil ou tomber du lit, ou encore faire de mini actes de somnambulisme). J'ai voulu me rappeler où je dormais pour éviter les désagréments (au cas où, parce que c'est embarrassant si quelqu'un d'autre est présent dans la pièce) et j'ai "remonté", remonté, remonté (dans ma conscience si on peut dire) pour finalement réaliser que j'étais dans ma chambre. Et c'est finalement quand j'ai tenté de "redescendre" pour leur expliquer que je pouvais faire ledit bricolage que j'ai été comme prise dans un aspirateur de conscience et que je me suis réveillée. Il faudrait réessayer et localiser le point de non-retour éventuellement
C'est toujours très étrange comme expérience. Désolée si j'ai un peu dévié du sujet, ou si je n'ai répondu à rien du tout, je me suis un peu laissée emporter dans mon témoignage...
Mais si je pouvais en faire plus souvent ce serait vraiment bien . J'ai lu quelque part que se rappeler de ses rêves était un moyen très efficace d'augmenter sa "capacité de lucidité", et que pour mieux s'en rappeler il fallait les noter au réveil. Je le fais quand je peux. Et vous, est-ce que vous avez tendance à oublier vos rêves, ou à facilement vous les remémorer ?
J'ai aussi remarqué que dans mon cas, quand mon sommeil était interrompu brutalement (réveil-matin, personne entrant dans ma chambre pour me lever) mon rêve s'effaçait presque instantanément, alors que quand je me réveille de manière "naturelle" et que j'ai tout le temps d'émerger et d'y penser, je peux le garder en mémoire pendant au moins une demi-journée sans le noter ou y penser tout le temps. Étrange haha
Modifié en dernier par Liesl le dimanche 8 juin 2014 à 0:01, modifié 1 fois.
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Re: Rêves dirigés
C'était une sorte d' immersion dans un monde bac à sable en fait?Comme Minecraft?Nova a écrit :J'ai réussi une seule fois à savoir que j'étais dans un rêve et que je pouvais faire ce que je voulais, il y avait déjà une maison, mais j'ai essayé de construire des pièces, au fur et à mesure que je me réveillais je n'arrivais plus à construire, j'ai fais apparaître un humain sur un canapé sans plus, après je me suis réveillé
Un hippocampe,c'est singulier comme animal,ça devait avoir une certaine signification non?Un symbole assez particulier,par rapport à quelque chose d'important.où je me faisais poursuivre par un hippocampe géant flottant au dessus du sol autour du parc de ma maison (qui possède une allée circulaire)
C'est intéressant de le savoir,je me demande si ça peux marcher avec d'autres personnes,je vais prendre ça en compte.Ça m'a appris la première "loi" du rêve : si je meurs, c'est le réveil. En tout cas, après cet épisode je n'ai plus jamais fait ce rêve.
Je ne l'ai jamais vécu,est-ce que ça s'accompagne de douleurs physiques(cela excluant la chute du lit )ou est-ce plutôt une manifestation de la peur de mourir et de l'impact psychologique?La mort dans le rêve est extrêmement désagréable pour moi (et pour tout le monde j'imagine ?)
Par contre,je connais un peu ça,même si ce n'était pas aussi étendu,et je crois en connaître la source,ce ne serait pas là un problème de circulation sanguine?j'ai l'impression d'attraper des fourmis dans tout le corps, comme si elles étaient des centaines à courir dans tous mes vaisseaux sanguins.
Ce doit sembler si vrai qu'on a du mal à faire la différence.a été de secouer la personne à côté de moi pour lui dire « HEY ! On est dans un rêve ! ».
Tu as l'air d'avoir acquis une certaine maîtrise,une certaine conscience,c'est impressionnant .Du coup j'ai développé quelques tactiques : tourner sur soi-même pour rester lucide, diriger les choses en un fil « d'intrigue » vague (ou simplement changer le fil existant) et explorer, mais se laisser surprendre quand même, sinon c'est pas drôle, voire le réveil carrément. Etc etc...
ça m'est arrivé une fois,et je confirme,ça fait peur,très peur,d'autant plus que le rêve en question(en était-ce bien un?)impliquait une lumière intense au travers des volets:S...Est-ce que vous avez déjà entendu parler de la paralysie du sommeil ?
Comment tu fais alors pour ne pas te mettre sur le dos inconsciemment pendant que tu dors?ne jamais, Ô GRAND JAMAIS, dormir sur le dos notamment,
Seconde "loi" dur rêve:Ne pas briser l'équilibre des choses en proclament qu'on est dans un rêve .Et c'est finalement quand j'ai tenté de "redescendre" pour leur expliquer que je pouvais faire ledit bricolage que j'ai été comme prise dans un aspirateur de conscience et que je me suis réveillée.
ça dépend,des fois,ils restent assez vivaces,de sorte que je peux les noter ou les enregistrer sur mon dictaphone(généralement les plus marquants),et d'autres me filent entre les doigts à mesure que j'essai de m'en rappeler,quand ils ne se mêlent pas à l'histoire récente en me faisant croire que ça s'est passé il y a quelques jours,jusqu'à ce que j'y fasse attention,et que je prennes conscience que ce n'était qu'un rêve,et alors ils s'évanouissent comme une nuage de fumée,j'aimerais avoir un seuil de conscience qui me permettrais de m'en rendre compte et de pouvoir les garder pour les analyser.Et vous, est-ce que vous avez tendance à oublier vos rêves, ou à facilement vous les remémorer ?
Peut-être un réflexe psychique qui jette tout hors de la table pour préparer à une nouvelle situation peut-être?quand mon sommeil était interrompu brutalement (réveil-matin, personne entrant dans ma chambre pour me lever) mon rêve s'effaçait presque instantanément,
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Re: Rêves dirigés
Topic très intéressant, en effet, auquel je livre mon expérience ,sans être vraiment sur qu'il soit en phase avec le sujet.
Quand j'étais gamin ( vers 7, 8 ans), je me souviens de quelques nuits d'affilée, avec un cousin, présent dans mon rêve, nous volions de concert au dessus des toits de la ferme de mes grands parents et c'est un souvenir qui persiste parce que j'avais vraiment eu l'impression d'être lucide, pendant mes évolutions.
Ce furent les seules fois ou cela m'arriva.
Vers 10 ans et demi, environ, j'ai fait une méningite, qui a failli m'emporter définitivement au pays de nulle part : lorsque je suis arrivé à l’hôpital, j'étais tellement affaibli que l' infirmier, ou un médecin, qui me portait dans ses bras, m'emmena directement dans une salle, dans laquelle i l y avait une sorte de gros cône argenté, sous lequel il m'étendit.
Pendant que d'autres personnes du service arrivaient et préparaient leurs appareils, j'ai vu très clairement l'ensemble de la pièce, les différents intervenants, comme si j'étais posté en hauteur 'ou du moins ma vision), et je me voyais étendu également.
Je ne sais pas si cela rentre dans la catégorie du rêve lucide, mais je me souviens avoir éprouvé un drôle de sentiment en me voyant inanimé : à l'époque je n'aurais pu le traduire ainsi, mais maintenant que j'ai vécu, je me rappelle avoir considéré ce corps ( le mien), comme un morceau de viande, ni plus ni moins et surtout aucune envie d'y « retourner ».
Je pense que je n'avais aucun affect en état de marche : cela me choque encore, d'avoir pensé aussi froidement à l'âge de 10 ans et des brouettes.
Actuellement, mais c'est un processus que j’utilise depuis très longtemps, je ferme les yeux, pour m'extraire d' un environnement qui me stresse, ou m'ennuie, tout simplement.
Jusqu'à récemment, je me contentais de peupler les ténèbres résultantes par un monde imaginaire, qui surgit automatiquement, en fait, avec un paysage, des personnages divers, souvent en relation avec une situation réelle passée (laquelle est « rembobinée », avec un autre éclairage, un nouveau jeu de dialogues, etc), ou bien à venir et dont je me sers pour m’entraîner aux divers scenarii possibles, avec un jeu de répliques : bref, je me fais mon cinéma interne (parfois aussi, je rends mes paysages en 3d encore plus réalistes et me promène, ou patauge dans la fange du crétacé), tout en restant conscient que derrière les paupières abaissées, vit un monde aux arêtes plus vives, avec lequel je peux être confronté à tout moment, à une situation non dirigée, non prévue.
Depuis quelque temps, disons plusieurs mois, je m'aperçois, que le fait de me fermer ainsi à la réalité, me propulse tout de suite dans une sorte d'état à mi chemin du rêve et du cinéma éveillé : je ne sais pas comment le décrire réellement et peut être est ce un rêve lucide (?), sans en être sur.
En tout cas, je perçois d'emblée une coupure nette, qui n'existais pas auparavant et ce, dés que je baisse les paupières : le film reprends parfois là ou je l'avais laissé précédemment et je suis totalement immergé dedans, à tel point d'ailleurs, que quand cela m'arrive dans la rue, je peux ainsi faire quelques dizaines de mètres, voire beaucoup plus, dans cet espèce d'état second, sans me rendre compte que je suis en train de marcher.
En fait, je suis carrément déconnecté de la réalité et j’investis un monde créé de toute pièce, extrêmement prenant, en terme de présence et de réalité.
D'ailleurs, quand je « reviens », il se produit souvent comme une espèce de décrochage, presque identique à la chute soudaine que je ressentais avant de m'endormir, de par le passé, mais en moins violent cependant.
Le monde que je parcoure est très réel, très crédible et les personnages semblent vrais aussi, mais je n'ai pas d 'amis parmi eux : je suis surtout spectateur.
Quand j'étais gamin ( vers 7, 8 ans), je me souviens de quelques nuits d'affilée, avec un cousin, présent dans mon rêve, nous volions de concert au dessus des toits de la ferme de mes grands parents et c'est un souvenir qui persiste parce que j'avais vraiment eu l'impression d'être lucide, pendant mes évolutions.
Ce furent les seules fois ou cela m'arriva.
Vers 10 ans et demi, environ, j'ai fait une méningite, qui a failli m'emporter définitivement au pays de nulle part : lorsque je suis arrivé à l’hôpital, j'étais tellement affaibli que l' infirmier, ou un médecin, qui me portait dans ses bras, m'emmena directement dans une salle, dans laquelle i l y avait une sorte de gros cône argenté, sous lequel il m'étendit.
Pendant que d'autres personnes du service arrivaient et préparaient leurs appareils, j'ai vu très clairement l'ensemble de la pièce, les différents intervenants, comme si j'étais posté en hauteur 'ou du moins ma vision), et je me voyais étendu également.
Je ne sais pas si cela rentre dans la catégorie du rêve lucide, mais je me souviens avoir éprouvé un drôle de sentiment en me voyant inanimé : à l'époque je n'aurais pu le traduire ainsi, mais maintenant que j'ai vécu, je me rappelle avoir considéré ce corps ( le mien), comme un morceau de viande, ni plus ni moins et surtout aucune envie d'y « retourner ».
Je pense que je n'avais aucun affect en état de marche : cela me choque encore, d'avoir pensé aussi froidement à l'âge de 10 ans et des brouettes.
Actuellement, mais c'est un processus que j’utilise depuis très longtemps, je ferme les yeux, pour m'extraire d' un environnement qui me stresse, ou m'ennuie, tout simplement.
Jusqu'à récemment, je me contentais de peupler les ténèbres résultantes par un monde imaginaire, qui surgit automatiquement, en fait, avec un paysage, des personnages divers, souvent en relation avec une situation réelle passée (laquelle est « rembobinée », avec un autre éclairage, un nouveau jeu de dialogues, etc), ou bien à venir et dont je me sers pour m’entraîner aux divers scenarii possibles, avec un jeu de répliques : bref, je me fais mon cinéma interne (parfois aussi, je rends mes paysages en 3d encore plus réalistes et me promène, ou patauge dans la fange du crétacé), tout en restant conscient que derrière les paupières abaissées, vit un monde aux arêtes plus vives, avec lequel je peux être confronté à tout moment, à une situation non dirigée, non prévue.
Depuis quelque temps, disons plusieurs mois, je m'aperçois, que le fait de me fermer ainsi à la réalité, me propulse tout de suite dans une sorte d'état à mi chemin du rêve et du cinéma éveillé : je ne sais pas comment le décrire réellement et peut être est ce un rêve lucide (?), sans en être sur.
En tout cas, je perçois d'emblée une coupure nette, qui n'existais pas auparavant et ce, dés que je baisse les paupières : le film reprends parfois là ou je l'avais laissé précédemment et je suis totalement immergé dedans, à tel point d'ailleurs, que quand cela m'arrive dans la rue, je peux ainsi faire quelques dizaines de mètres, voire beaucoup plus, dans cet espèce d'état second, sans me rendre compte que je suis en train de marcher.
En fait, je suis carrément déconnecté de la réalité et j’investis un monde créé de toute pièce, extrêmement prenant, en terme de présence et de réalité.
D'ailleurs, quand je « reviens », il se produit souvent comme une espèce de décrochage, presque identique à la chute soudaine que je ressentais avant de m'endormir, de par le passé, mais en moins violent cependant.
Le monde que je parcoure est très réel, très crédible et les personnages semblent vrais aussi, mais je n'ai pas d 'amis parmi eux : je suis surtout spectateur.
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Re: Rêves dirigés
J'ai entendu parler de ce phénomène quelque part, je ne me rappelle pas vraiment où, mais il me semble que c'était dans un film, et je n'ai jamais vérifié si cette hypothèse était vraie ou seulement crédible donc je vais me contenter de la partager telle que je l'ai comprise. Et je précise également que ce genre d'expérience ne m'est jamais arrivée. En bref, j'ai entendu qu'on pouvait avoir ce genre de décrochage par rapport à soi-même lorsqu'on essayait de fuir des situations particulièrement difficiles à supporter (je crois que l'exemple qui était donné était celui du viol, mais ça pourrait également s'appliquer pour des circonstances de traumatisme physique: la maladie, et mental par rapport au brutal changement d'environnement et de la présence d'un entourage inconnu: les intervenants). En te lisant, dans les premières lignes, ça m'a également un peu fait penser à un récit d'expérience de mort imminente, mais si tu n'étais pas mort cliniquement à ce moment là ça ne s'applique sûrement pas... De même que (selon moi) l'hypothèse du rêve ne s'applique pas si tu n'es pas endormi . Étais-tu sous anesthésie ? Je ne sais pas si c'est possible mais si ça avait été le cas tu aurais pu reconstituer les choses à l'aide des voix et des sons autour de toi lorsque tu commençais à "planer" et ainsi avoir ces impressions ? Après, je le répète, il ne m'est jamais rien arrivé de tel donc je ne saurais pas juger l'expérience à sa juste valeur.laurent a écrit :Pendant que d'autres personnes du service arrivaient et préparaient leurs appareils, j'ai vu très clairement l'ensemble de la pièce, les différents intervenants, comme si j'étais posté en hauteur 'ou du moins ma vision), et je me voyais étendu également.
Je ne sais pas si cela rentre dans la catégorie du rêve lucide, mais je me souviens avoir éprouvé un drôle de sentiment en me voyant inanimé : à l'époque je n'aurais pu le traduire ainsi, mais maintenant que j'ai vécu, je me rappelle avoir considéré ce corps ( le mien), comme un morceau de viande, ni plus ni moins et surtout aucune envie d'y « retourner ».
Je pense que je n'avais aucun affect en état de marche : cela me choque encore, d'avoir pensé aussi froidement à l'âge de 10 ans et des brouettes.
Pour ce qui est du décrochage purement imaginaire dont tu parles, je me reconnais un petit peu parce que je pratique cette technique d'introversion également lorsque j'essaie de fuir une situation délicate, mais contrairement à ce que toi tu sembles faire, ma capacité d'immersion est bien plus limitée. Je vois des "mondes" tout comme toi, mais sous un angle unique**. J'appelle ça des tableaux, mais je suis la plupart du temps externe à ces paysages/environnements, je pense qu'ils sont tout simplement vus par mes yeux et que donc je ne me vois pas moi-même à l'intérieur. Par contre, j'ai constaté qu'ils avaient un très fort pouvoir d'influence sur moi.
Ça n'a peut-être rien à voir, mais pendant longtemps je me suis posée des questions sur la nature du sentiment amoureux, sans pouvoir trouver de réponse valable ou satisfaisante (il faut dire que par rapport à mes amis j'ai toujours été en décalage par rapport à ça, on semble ne pas avoir la même notion concernant ce sujet, et parfois je me demande encore si ce que je crois être de l'amour en est me concernant, alors qu'autour de moi tout le monde est si certain de la chose). Ce que je vais essayer d'expliquer à présent va peut-être est un peu flou, j'ai du mal à mettre des mots dessus . Peu de choses appartenant à mon quotidien "vont" avec ces tableaux. Je pense que c'est notamment pour ça que je n'y figure pas moi-même. Ils en seraient comme diminués si j'y ajoutait une chose avec laquelle il m'est possible d'entrer en contact dans "ce monde". Et pourtant lorsque je pense aimer une personne, elle est la seule chose que je peux assortir à l'un de ces paysages, la rupture s'efface et c'est comme joindre les deux mondes : celui dans ma tête et celui dans lequel je vis. (« C'est quoi exactement l'amour pour toi ? - C'est quand la personne que j'aime va bien avec mes paysages ! » Ou comment passer pour une folle ). Dans un sens ça se rapproche beaucoup du rêve je trouve. Chez moi c'est notamment par cette particularité de ne pas me "calculer" moi-même. Dans le rêve je ne me "rectifie" jamais comme je le fais dans la réalité. Pas de "Mes cheveux sont bien là ?", "j'ai réagit trop violemment je crois" "J'aurais jamais dû dire ça..." non, rien de tout ça ne me passe par la tête. Je ne me vois pas, je n'existe pas. Je suis les événements de manière neutre. Dans le rêve lucide, ce besoin de me "rectifier" revient au galop, et pour peu que je ne sois pas totalement lucide, j'aurais à nouveau peur du jugement des autres (qui n'existent pas, puisque ce ne sont que des personnages de rêve).
J'ai essayé de rapprocher le récit de tes expériences avec les miennes, je ne sais absolument pas si c'est pertinent (avec un peu de chance ça n'a absolument rien à voir) mais je n'ai aucune autre chose à quoi me référer donc bon... Si jamais ça peut être utile, qui sait
** j'ai cette obsession au quotidien qui consiste à faire varier mon point de vue le plus possible sur tout et n'importe quoi : les lieux, les gens, les objets (à la fac il y a une salle que je déteste, elle est toute petite et étouffante. Malheureusement pour moi cette année j'ai eu 4 heures de cours à la suite et par semaine dans ladite salle, et pour m'évader en dehors de la technique des tableaux, je "détournais" les objets. Ainsi j'ai transformé le rétroprojecteur vintage en autruche, la vitre contenant le DVD en aquarium, la télé et son support en vide ordure design, mon stylo en bouchon de pêche, le tableau en fontaine murale et l'interrupteur défectueux sur le mur à gauche de ma place chérie en fourreau de katana incrusté dans le mur. Yay). J'ai toujours eu cette obsession du point de vue, et je me dis que si mes tableaux se présentent toujours sous le même angle, sans que je n'aie l'envie, ou même l'idée de détourner cet angle, c'est peut-être parce que selon moi ils représentent chacun une sorte d'idéal, de perfection...
C'est fortement possible, mais je n'ai jamais eu l'idée de creuser de ce côté là... Pour moi l'hippocampe était une évidence . Sinon je sais que les "monstres" de mes rêves d'enfant n'ont jamais été à proprement parler des monstres. Pas de dragons, d'araignées géantes ou de chose informe et repoussante chez moi, non ça a toujours été les trois mêmes monstres :Un hippocampe,c'est singulier comme animal,ça devait avoir une certaine signification non?Un symbole assez particulier,par rapport à quelque chose d'important.où je me faisais poursuivre par un hippocampe géant flottant au dessus du sol autour du parc de ma maison (qui possède une allée circulaire)
n°1) l'hippocampe, mais il n'est intervenu qu'une seule fois : au sein de ce rêve récurrent dont je me suis débarrassée.
n°2) le porte manteau en forme de perroquet que j'avais dans ma chambre, mais c'est pas ma faute, il avait des yeux flippants ce perroquet et je sais que de son côté, mon grand frère de trois ans mon aîné (qui avait un porte manteau de chambre d'enfant jumeau au mien mais qui représentait un pingouin) était également sujet à des terreurs nocturnes ayant pour sujet son propre porte-manteau. Il a même exigé qu'il soit entreposé hors de sa chambre, ce que je n'ai jamais eu l'idée de faire.
n°3) le gentil monstre dans Adibou (Bouzigouloum pour les connaisseurs ). Là c'est drôle parce qu'il ne m'a jamais effrayé dans le jeu (au contraire il était si sympathique !) mais dans mes cauchemars il endossait toujours le mauvais rôle ! ... Et contrairement à mon porte-manteau perroquet, je n'avais pas du tout peur de lui dans la réalité.
J'ai édité mon premier post, en fait j'avais oublié de dire la vraie méthode par laquelle je m'étais débarrassée de ce cauchemar. Il ne m'a pas suffi de mourir (même si mourir dans mes rêves me conduisent effectivement toujours au réveil) puisque l'issue de ce cauchemar était toujours ma mort.C'est intéressant de le savoir,je me demande si ça peux marcher avec d'autres personnes,je vais prendre ça en compte.Ça m'a appris la première "loi" du rêve : si je meurs, c'est le réveil. En tout cas, après cet épisode je n'ai plus jamais fait ce rêve.
Je ne pense vraiment pas que ce soit physique. Je sais que cette douleur est uniquement dans ma tête. A mon réveil, pas de crampes, pas de douleurs quelconques, juste un vague souvenir de la "douleur" que j'ai ressentie lors de ma mort en rêve et cet engourdissement qui la caractérise. En fait ce n'est rien que ça, un engourdissement, mais tellement puissant qu'il me fait mal. A mon souvenir je n'ai jamais eu de problèmes de circulation sanguine en étant éveillée (ou même en dormant en dehors de ces situations bien particulières en rêve), ni en étant enfant ni maintenant. Et pourtant lorsque je meurs en rêve c'est systématique. Cette sensation m'est très familière (tellement j'ai morflé en rêve on va dire ) mais je ne m'y habitue pas pour autant, c'est toujours traumatisant.Je ne l'ai jamais vécu,est-ce que ça s'accompagne de douleurs physiques(cela excluant la chute du lit )ou est-ce plutôt une manifestation de la peur de mourir et de l'impact psychologique?La mort dans le rêve est extrêmement désagréable pour moi (et pour tout le monde j'imagine ?)Par contre,je connais un peu ça,même si ce n'était pas aussi étendu,et je crois en connaître la source,ce ne serait pas là un problème de circulation sanguine?j'ai l'impression d'attraper des fourmis dans tout le corps, comme si elles étaient des centaines à courir dans tous mes vaisseaux sanguins.
J'ai eu une période assez longue d'intérêt très intense par rapport à ce sujet, j'allais piocher des infos aux quatre coins du net, et j'ai du relire cinq ou six fois les mêmes articles. Ma formulation est trompeuse, aucune de ces astuces ne vient de moi à proprement parler, c'est juste le peu de tactiques que j'ai expérimenté en rêve après les avoir récupérées sur le net (parce que sinon théoriquement j'en ai beaucoup d'autres, des tactiques. Mais y penser en rêve est très peu évident, c'est là que l'expérience manque).Tu as l'air d'avoir acquis une certaine maîtrise,une certaine conscience,c'est impressionnant .Du coup j'ai développé quelques tactiques : tourner sur soi-même pour rester lucide, diriger les choses en un fil « d'intrigue » vague (ou simplement changer le fil existant) et explorer, mais se laisser surprendre quand même, sinon c'est pas drôle, voire le réveil carrément. Etc etc...
Quand je m'endors en général c'est pour de bon : d'une traite jusqu'au réveil ! Le plus handicapant c'est avant de s'endormir (et à ce que j'ai pu comprendre la paralysie survient très couramment entre la sensation de somnolence légère et l'endormissement complet, mais ça c'est ce que j'ai lu. Après pour ce que j'y connais... ) puisque c'est là que j'ai tendance à attendre, rêvasser, et me retourner encore et encore pour trouver la bonne position. Il m'arrive de me réveiller sur le dos après m'être endormie sur le côté, mais généralement je ne relève même pas le changement puisqu’à mon réveil, toute menace et toute peur se sont envolées. Et surtout l'obscurité, qui m'a toujours mise mal à l'aise. Quoique, ça c'est dans la maison de mes parents (dans mon petit lit une place où je me sens en sécurité et où je n'ai pratiquement jamais à craindre l'apparition d'une paralysie). Dans mon appartement, là où chaque rituel de coucher se transforme en exorcisme (j'exagère à peine quand je dis que je suis parano), quand je m'endors sur le côté, je me réveille sur le côté. D'ailleurs parfois je bave et c'est pas top lol. Je ne sais vraiment pas comment je peux garder la même place. Il est probable que je ne la garde pas, je ne fais que me balancer d'un côté à l'autre sans jamais rester sur le dos (et pourtant c'est si confortable !). Crispation ?Comment tu fais alors pour ne pas te mettre sur le dos inconsciemment pendant que tu dors?ne jamais, Ô GRAND JAMAIS, dormir sur le dos notamment,
Oui, ça me paraît très probable . "Qui suis-je ?" "Où suis-je ?" "Quel jour sommes-nous ?" "Suis-je en retard ?" "Dois-je aller à la fac ?" "Y'a-t-il un intrus dans l'appartement ?" A partir du moment où, en panique, la seule urgence c'est de répondre à ces questions, il n'y a déjà plus de trace de rêvePeut-être un réflexe psychique qui jette tout hors de la table pour préparer à une nouvelle situation peut-être?quand mon sommeil était interrompu brutalement (réveil-matin, personne entrant dans ma chambre pour me lever) mon rêve s'effaçait presque instantanément,
كن ثريا في البية ان لم تستطيع ان تكون نجمة في السماء