Le SA chez les femmes
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Re: Le SA chez les femmes
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Re: Le SA chez les femmes
Ce n'est pas grave, on rembobine et on recommence.agate a écrit :Ok ! En fait, je n'avais pas compris ton commentaire !
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Re: Le SA chez les femmes
As-tu lu Le Deuxième Sexe, de Simone de Beauvoir ? un incontournable !
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Le SA chez les femmes
Pour moi la réponse est évidente, mais comme je l'ai dit, l'éducation (pas seulement parentale, mais sociétale, l'école, les médias, les commerces...) joue un rôle monstrueux dans cette problématique.agate a écrit :Ce que tu écris, Lou Morgan, est très intéressant. Serait-il possible qu'en tant que femmes aspies, nous soyons plus étanches aux stéréotypes et que par le fait-même, nous ayons plus de difficulté à les comprendre ?
Évidemment, mais il y a beaucoup d'ouvrage plus récent et tout aussi intéressant sur la question, le truc ce n'est pas de lire, mais de comprendre et de mettre en avant une terrible réalité qui n'évolue pas ou par des illusions anodines depuis des siècles. On est tous victime/auteur de pensée, d'acte ou d'automatisme sexiste au quotidien qui maintiens une base qui accentue les autres soucis (eux bien réel) de chaque être vivant.freeshost a écrit :As-tu lu Le Deuxième Sexe, de Simone de Beauvoir ? un incontournable !
La flemme de faire la liste mais si ça intéresse je pourrais fournir mon document de synthèse de première année qui aborde le sujet du genre, du sexisme et de l'infantilisation avec une bibliographie non-exhaustive mais intéressante sur le sujet.
On croit que les femmes sont plus libres, officiellement oui, mais dans les faits on fait surtout tout pour dégouter les femmes de la liberté en leur rajoutant un milliard de responsabilité soi-disant propre à leur sexe biologique (ce qu'à décrit Syberia, devoir être efficace au travail, à la maison, être performante sexuellement, esthétiquement, intellectuellement, socialement, être douce et sauvage...).
Une femme libre et une femme qui doit prouver au monde qu'elle mérite sa liberté en étant sur-efficace et qui n'a pas le droit à un seul moment de faiblesse sans qu'on lui ramène celle-ci à son sexe. (sur certain aspect plus tourné vers un dé-complexe, les hommes le subissent aussi ex : "ton apparte est bordélique, tu n'es pas doué pour t'occuper des enfants alalalala t'es vraiment un VRAI mec toi hihi" la même chose pour une femme et c'est le pugilat.)
Si a cette bonne base d'infériorisation on rajoute un "dysfonctionnement" d'ordre neurologique, donc vraiment inné, comme le SA, ben c'est normale que ça accentue les souffrances des femmes, leur dénie protecteur face à leur réelle difficultée et une tourmente incroyable dans des efforts toujours plus intense pour cacher leur soi-disant "anormalité".
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Re: Le SA chez les femmes
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Modifié en dernier par agate le mercredi 13 novembre 2013 à 18:36, modifié 1 fois.
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Re: Le SA chez les femmes
Je suis d'accord avec Lou Morgan, la plupart des femmes sont corsetées (intellectuellement parlant) par la Société. La "liberté" qu'elle offre aux femmes est emballée sous une forme sophistiquée et de "bon goût", mais en fin de compte elle cadre et formate la conscience. Enlever ce carcan demande aussi bien de laisser tomber les vertus traditionnelles que l'on accorde aux femmes mais aussi les nouvelles. Dans l'absolu je crois qu'éditer ses propres règles de façon réfléchi est la meilleure manière de s'accorder avec soi même, mais cela demande de savoir et comprendre ses propres besoins et de trouver le(s) moyen(s) de les accomplir.
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Re: Le SA chez les femmes
Si tu as le temps de lister les ouvrages, plus récents, qui te semblent les plus pertinents et réalistes ou scientifiques, je suis preneur, ou le nom de certains courants.
Tiens, que penses-tu du mouvement queer, de la théorie queer et des gender studies, du concept de genre ?
Pour ma part, j'ai tendance à m'en remettre au concept de catégorisation, cette sorte de classement que nous faisons par économie cognitive, et qui peut induire des biais cognitifs (dans nos représentations).
Je trouve malsain cette tendance à (vouloir) donner un genre à chaque activité : les mathématiques pour les hommes, les langues pour les femmes, etc. Je me distancie du "the right man at the right place". Au contraire, je pense que chaque personne, quelle qu'elle soit, peut apprendre : qu'il s'agisse de musique, de langage, de science ou de cuisine, de tricot ou de jonglage, d'informatique ou de communication, etc.
La seule capacité que je vois comme possible pour un seul sexe est : les règles, la grossesse, l'accouchement, l'allaitement. Encore que... il y a bien des femmes stériles, des hommes qui veulent se changer en femme (comme Bradley Manning, Chelsea ). Les femmes produisent des ovules, les hommes produisent des spermatozoïdes ; à chacun ses gamètes. Pour le reste, les activités sont asexuées.
On a quand même fait un peu de progrès : mixité dans les classes d'école (pas encore dans le sport, mais c'est surtout une affaire de gros sous), partiellement dans les salaires. Cela dit, il y a encore la traite des femmes dans l'islam, la femme comme argument mercatique (publicité), etc. On voit même dans les annonces bien plus souvent "cherche serveuse" que "cherche serveur".
Oui, je suis d'accord, il y a une certaine idéalisation de l'autre, idéalisation naïve ou idéalisation instrumentalisée.
Quant à cet idéal de norme sociale de la femme (performante au lit, femme épilée, etc.), il a malheureusement tendance à se retrouver aussi chez l'homme : ces hommes qui se soucient d'être performants, de la longueur ou de la grosseur de leur pénis, ces hommes qui se fardent de plus en plus, gel dans les cheveux, déodorants et parfums sur la peau, gros bras, etc. De nouveau cette instrumentalisation de l'idéal d'une certaine perfection (floue).
Je ne sais pas si vous connaissez "Juste pour rire" (Just for laugh). Un des gags (vidéo) est le suivant :
Un gars entre dans un bureau, ça semble être pour un entretien d'embauche. Un homme et une femme "attirante" l'accueillent, chacun assis. Lui aussi s'assied. Pendant qu'il discute avec l'homme, la femme lui touche la jambe avec le pied, en lui faisant des sourires coquins. Elle continue, et le gars est un peu gêné (ou sourire en coin). A un moment, son collègue lui dit de partir. Le gars sent toujours le pied caresser sa jambe, alors qu'elle se lève et quitte la salle. Le gars de rend compte que c'est le monsieur qui lui touchait la jambe du pied. Et à ce dernier de lui faire un sourire coquin. La phrase soulignée est un leurre, comme le ressent le gars à la fin.
Tiens, que penses-tu du mouvement queer, de la théorie queer et des gender studies, du concept de genre ?
Pour ma part, j'ai tendance à m'en remettre au concept de catégorisation, cette sorte de classement que nous faisons par économie cognitive, et qui peut induire des biais cognitifs (dans nos représentations).
Je trouve malsain cette tendance à (vouloir) donner un genre à chaque activité : les mathématiques pour les hommes, les langues pour les femmes, etc. Je me distancie du "the right man at the right place". Au contraire, je pense que chaque personne, quelle qu'elle soit, peut apprendre : qu'il s'agisse de musique, de langage, de science ou de cuisine, de tricot ou de jonglage, d'informatique ou de communication, etc.
La seule capacité que je vois comme possible pour un seul sexe est : les règles, la grossesse, l'accouchement, l'allaitement. Encore que... il y a bien des femmes stériles, des hommes qui veulent se changer en femme (comme Bradley Manning, Chelsea ). Les femmes produisent des ovules, les hommes produisent des spermatozoïdes ; à chacun ses gamètes. Pour le reste, les activités sont asexuées.
On a quand même fait un peu de progrès : mixité dans les classes d'école (pas encore dans le sport, mais c'est surtout une affaire de gros sous), partiellement dans les salaires. Cela dit, il y a encore la traite des femmes dans l'islam, la femme comme argument mercatique (publicité), etc. On voit même dans les annonces bien plus souvent "cherche serveuse" que "cherche serveur".
Oui, je suis d'accord, il y a une certaine idéalisation de l'autre, idéalisation naïve ou idéalisation instrumentalisée.
Quant à cet idéal de norme sociale de la femme (performante au lit, femme épilée, etc.), il a malheureusement tendance à se retrouver aussi chez l'homme : ces hommes qui se soucient d'être performants, de la longueur ou de la grosseur de leur pénis, ces hommes qui se fardent de plus en plus, gel dans les cheveux, déodorants et parfums sur la peau, gros bras, etc. De nouveau cette instrumentalisation de l'idéal d'une certaine perfection (floue).
Je ne sais pas si vous connaissez "Juste pour rire" (Just for laugh). Un des gags (vidéo) est le suivant :
Un gars entre dans un bureau, ça semble être pour un entretien d'embauche. Un homme et une femme "attirante" l'accueillent, chacun assis. Lui aussi s'assied. Pendant qu'il discute avec l'homme, la femme lui touche la jambe avec le pied, en lui faisant des sourires coquins. Elle continue, et le gars est un peu gêné (ou sourire en coin). A un moment, son collègue lui dit de partir. Le gars sent toujours le pied caresser sa jambe, alors qu'elle se lève et quitte la salle. Le gars de rend compte que c'est le monsieur qui lui touchait la jambe du pied. Et à ce dernier de lui faire un sourire coquin. La phrase soulignée est un leurre, comme le ressent le gars à la fin.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Le SA chez les femmes
Ce que tu écris me parle bien ...agate a écrit :Vous avez tous raison, mais il y a une marge entre la réalité et le vécu. Ma psychiatre, que j'ai vu toutes les semaines pendant un an, me reprochait de ne pas collaborer. En fait, je ne savais pas exactement de quoi elle voulait que je lui parle, alors au lieu de lui expliquer comment je me sentais, je rationnalisais mes émotions ou alors je lui expliquais le fonctionnement biologique du cerveau.
Je comprends ce que vous me dites, mais ce n'est pas comme ça que je le vis. Je sais que je suis différente, mais je ne veux pas être différente. Tant que ma différence n'avait pas de nom, j'étais juste bizarre. J'ai passé ma vie à faire comme si j'étais juste bizarre. Je ne voulais pas de ce diagnostic. Je ne voulais pas devoir le sortir du tiroir. Je voudrais juste être comme tout le monde.
En fait, je ne m'en sors pas si bien que ça. Ça s'est beaucoup amélioré, mais seulement parce que j'ai renoncé à la vie de couple, au travail d'équipe, au voisinnage, etc. La plupart du temps, je me sens bien dans ma bulle, mais parfois, la solitude me pèse.
Je crois que s'accepter tel qu'on est,agate a écrit :[...]Il y a juste envers moi que j'ai des préjugés. J'aurai l'air de quoi quand je dirai à mon enfant que ce n'est pas parce qu'il est différent qu'il est un être humain inférieur si je ne montre pas l'exemple en pensant la même chose de moi ? Est-ce qu'il y a juste moi qui réagit comme ça ?
est un cheminement qu'on ne peut éviter.
Mais cela peut demander un certain temps ....
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Le SA chez les femmes
Je crois que s'accepter tel qu'on est,agate a écrit :[...]Il y a juste envers moi que j'ai des préjugés. J'aurai l'air de quoi quand je dirai à mon enfant que ce n'est pas parce qu'il est différent qu'il est un être humain inférieur si je ne montre pas l'exemple en pensant la même chose de moi ? Est-ce qu'il y a juste moi qui réagit comme ça ?
est un cheminement qu'on ne peut éviter.
Mais cela peut demander un certain temps ....[/quote]
On peut même dire que c'est le plus dur à effectuer...
Car dans l'acceptation, il y a une partie d'appréciation de soi qui n'est pas de la tarte...
Sans compter sur le fait de se connaitre pour s'accepter aussi...
Olalalalala...
Diagnostiqué(e) en février 2014.
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Re: Le SA chez les femmes
Où en es tu, Agate ?
Pour essayer de t'aider (d'accord avec vous sur le sexisme des "qualités" féminines"), dis toi qu'auparavant, tu te sentais bizarre mais ne savais pas pourquoi. Ca peut amener à une grosse remise en cause personnelle, un sentiment d'échec, une incompréhension de la part de ton entourage, un ego plus que négatif.
Savoir que tu n'es pas un être bizarre et nul mais une personne différente, et que cette différence peut être richesse quand elle est comprise, ça te met à pied d'égalité avec toi même.
Tu n'es pas incapable, tu fonctionnes autrement et si tu sais comment tu fonctionnes, tu sais comment remédier. Ce n'est pas toujours facile et on n'a pas envie de tout changer en soi juste parce qu'on a idée de comment. Mais tu sais.
Tu ne sais pas "ce qui cloche" chez toi, parce que rien ne cloche. Ton cerveau est câblé autrement.
Et surtout, tu n'es pas obligée d'en parler autour de toi, tu peux continuer à trouver que le mot "bizarre" te qualifie comme il le faut et que cela te convient.
Pour ton enfant, c'est à voir. Si ses bizarreries ne le gênent pas dans la vie quotidienne et à l'école, un diagnostic et des mots ne sont peut être pas nécessaires mais si tu penses qu'une aide extérieure pourrait l'aider à vivre mieux, à mieux se comprendre, alors, fonce pour un diagnostic.
Ce n'est pas une tare, il y a bien plus d'autistes non diagnostiqués que d'autistes diagnostiqués et ils ne sont pas de rebuts de la société.
(le fiston, 16 ans, a quelques fonctionnements de type autistiques, en avait petit (mais je ne savais pas que ça pouvait entrer dans le champ de l'autisme), à ce jour, il vit sans réelle difficulté et sait gérer sa différence vis à vis des autres. Il est sans doute soit dans les limites de la sphère autistique, soit très léger. Il ne sera pas diagnostiqué mais je lui rappelle de temps à autre que s'il se sent en difficultés, la démarche de diagnostic pourra l'aider, il fera selon son choix personnel)
Pour essayer de t'aider (d'accord avec vous sur le sexisme des "qualités" féminines"), dis toi qu'auparavant, tu te sentais bizarre mais ne savais pas pourquoi. Ca peut amener à une grosse remise en cause personnelle, un sentiment d'échec, une incompréhension de la part de ton entourage, un ego plus que négatif.
Savoir que tu n'es pas un être bizarre et nul mais une personne différente, et que cette différence peut être richesse quand elle est comprise, ça te met à pied d'égalité avec toi même.
Tu n'es pas incapable, tu fonctionnes autrement et si tu sais comment tu fonctionnes, tu sais comment remédier. Ce n'est pas toujours facile et on n'a pas envie de tout changer en soi juste parce qu'on a idée de comment. Mais tu sais.
Tu ne sais pas "ce qui cloche" chez toi, parce que rien ne cloche. Ton cerveau est câblé autrement.
Et surtout, tu n'es pas obligée d'en parler autour de toi, tu peux continuer à trouver que le mot "bizarre" te qualifie comme il le faut et que cela te convient.
Pour ton enfant, c'est à voir. Si ses bizarreries ne le gênent pas dans la vie quotidienne et à l'école, un diagnostic et des mots ne sont peut être pas nécessaires mais si tu penses qu'une aide extérieure pourrait l'aider à vivre mieux, à mieux se comprendre, alors, fonce pour un diagnostic.
Ce n'est pas une tare, il y a bien plus d'autistes non diagnostiqués que d'autistes diagnostiqués et ils ne sont pas de rebuts de la société.
(le fiston, 16 ans, a quelques fonctionnements de type autistiques, en avait petit (mais je ne savais pas que ça pouvait entrer dans le champ de l'autisme), à ce jour, il vit sans réelle difficulté et sait gérer sa différence vis à vis des autres. Il est sans doute soit dans les limites de la sphère autistique, soit très léger. Il ne sera pas diagnostiqué mais je lui rappelle de temps à autre que s'il se sent en difficultés, la démarche de diagnostic pourra l'aider, il fera selon son choix personnel)
Mère absolument atypique (mais à quel niveau ?) d'une petite atypique de 5 ans dont le diagnostic est enfin en route..
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Re: Le SA chez les femmes
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Modifié en dernier par agate le mercredi 13 novembre 2013 à 18:36, modifié 1 fois.
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Re: Le SA chez les femmes
Mais je crois que beaucoup d'humains fonctionnent ainsi, tu sais, au pouvoir... Des petits chefs, on en connait tous...
Courage...
Mais oui, j'ai aussi pendant un moment expliqué à mon patron combien il gérait mal son entreprise, il l'a très mal pris... Mais licenciement économique dans les 6 mois, je ne m'étais pas trompée (bon, évidemment, j'ai fait partie du train des départs, pas enve de s'entendre dire "bon, on s'y met autrement ?")
Courage...
Mais oui, j'ai aussi pendant un moment expliqué à mon patron combien il gérait mal son entreprise, il l'a très mal pris... Mais licenciement économique dans les 6 mois, je ne m'étais pas trompée (bon, évidemment, j'ai fait partie du train des départs, pas enve de s'entendre dire "bon, on s'y met autrement ?")
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