et est-ce que cela vous a amené à changer ou quitter toute orientation professionnelle. Mon fils ne nécessite pas ma présence à 100 % pour l'instant car il aime l'école (bien strucuté pour lui, cela le rassure) mais déteste le centre de loisir (trop d'inconnu, de surprises pour lui).
J'ai réduit mon temps de travail mais je suis désormails assez mal vue par ma hiérarchie (je travaille dans un service rh, ou le mot humain n'a aucune signification d'ailleurs) où tout le monde a des horaires de cadres (même s'ils ne le sont pas). Je suis le vilain petit canard, qui refuse de me rendre à des réunions qui débordent de mes horaires, qui refusent des longs déplacement par peur d'avoir un accident de voiture (je ne dors que 5 h par nuit et je suis épuisé) et paradoxalement jê rêve de reprendre des étude pour devenir assistante sociale ou psychologue du travail. Je perds un peu pied, ne me reconnais plus. Ma vie a changé (et je n'ai aucun regret, le regard que mon fils pose sur la vie est tellement beau) mais je suis tiraillée. Je vais tenter d'y voir plus clair dans les prochains mois car il me semble important de prendre une décision pour vivre plus sereinement et continuer à apporter le meilleur pour fiston (et sa grande soeur aussi qui va rentrer au collège). Bon courage à vous tous en tout cas
on ne le croit pas ted!!! en a t'on trop fait???
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Re: on ne le croit pas ted!!! en a t'on trop fait???
Jacquie, quel plaisir de lire de si bonnes nouvelles
Il était temps que le diagnostic arrive !
Il était temps que le diagnostic arrive !
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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Re: on ne le croit pas ted!!! en a t'on trop fait???
Mars a écrit :Jacquie, quel plaisir de lire de si bonnes nouvelles
Il était temps que le diagnostic arrive !
oh que oui !
Jacqueline (52 ans - NT) mère d'un jeune aspie de 27 ans, diagnostiqué à 24 ans (CRA Bordeaux)